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Le cerveau mémorise plus facilement un contenu lorsqu’il est illustré par un visuel et accompagné par du son : nous retenons 10% de ce que nous lisons, 20% de ce que nous entendons et 60% de ce que nous lisons et entendons simultanément.

Un format alliant ces deux éléments sera donc plus impactant. C’est là qu’intervient le motion design : l’art de mettre en mouvement des éléments (schémas, images, typographies, illustrations) synchronisés sur une musique, voire une voix-off. L’objectif : simplifier et illustrer une notion complexe pour faciliter la réception d’un message clé à une audience cible.

Il peut être diffusé sur tout support pouvant accueillir un format vidéo : réseaux sociaux, YouTube, télévision, cinéma, écran publicitaire… Il est donc particulièrement adapté pour :

  • Faire de la pédagogie : vulgariser un propos auprès du grand public ;
  • Une présentation produit : en montrant ses atouts et cas d’usage par exemple ;
  • Animer un live event : en s’appuyant sur une identité visuelle définie, les animations encadrent les différentes séquences (animer le logo, créer un carton pour les questions ou le nom de l’intervenant·e) d’une émission télévisée ou un webinaire par exemple ;
  • Brander une marque ou œuvre : on pense par exemple aux génériques de films, celui créé dans les années 1960 pour la série de films James Bond étant considéré comme le premier motion du cinéma.

Les entreprises utilisant la vidéo comme contenu marketing obtiennent un taux de clics et de conversion web étant respectivement 27% et 34% plus importants que celles qui ne l’utilisent pas (source : Vidyard). L’explication est simple : une présentation produit en motion design, plutôt qu’une image packshot, met l’accent sur l’émotion à l’appui du storytelling. Parce qu’il·elle pourra mieux se projeter dans l’utilisation du produit, le·la consommateur·rice sera plus enclin·e à passer à la phase d’achat.

Le format vidéo est aujourd’hui l’allié du référencement naturel (SEO) : par exemple, une vidéo publiée sur YouTube intégrée dans un site web générera plus de vues, les deux algorithmes travaillant ensemble pour créer de l’engagement.

Les étapes de création d’une vidéo en motion design

  • Le contexte : quel est le message clé de la vidéo ? Quelle est sa cible ? Où sera-t-elle diffusée ? Quelle est la direction artistique de la marque ? Quelle ambiance recherche-t-elle ? Une maison de luxe recherchera par exemple des transitions douces, alors qu’une marque d’art discount préférera des effets plus rapides ;
  • Le script : c’est ici que commence le storytelling. Uniquement écrit, le script définit le fil conducteur de la vidéo et les mots clés à introduire. Il est essentiel de verrouiller ici le « ton of voice » et les tournures de phrase avec les parties prenantes ;
  • Le storyboard : ou la mise en image. C’est à cette étape que le propos est illustré (animation, personnage…) en accord avec la charte graphique de la marque. Notre astuce : pour aider un client à se projeter, créez votre storyboard en haute fidélité sur Illustrator – la hiérarchisation des informations, les couleurs et les animations seront proches du rendu final ;
  • La musique de fond : le choix de musique intervient à cette étape car le tempo des animations est désormais défini ;
  • (Optionnel) La voix-off : pour trouver celle qui sera le mieux adaptée à une vidéo, enregistrez-en plusieurs aux timbres différents et testez-les ;
  • L’animation : soit la symbiose entre ce qui a été composé jusqu’ici (illustrations, musique, voix-off) ;
  • Le sous-titrage : cette étape assure l’accessibilité de la vidéo.
Exemple de storyboard

Les 5 principes du motion design

Voici quelques conseils non-exhaustifs que nous appliquons dans la création de nos vidéos :

  • Une vitesse de lecture confortable : le danger étant d’être trop rapide. À force de travailler sur une vidéo, nous finissons par en connaître le contenu par cœur. Ce n’est pas le cas du·de la spectateur·rice qui regarde la vidéo pour la première fois et essaie d’absorber le maximum d’informations. Tip : faites tester votre vidéo à différentes personnes ;
  • Choisir une typologie d’animations : à conserver tout au long de la vidéo pour créer de la linéarité et cohérence. Créez des points de repères avec des effets de répétition – par exemple, une typologie pour des questions. Choisissez des animations en accord avec la hiérarchisation des informations et évitez celles étant trop originales (par exemple, un titre apparaissant en tourbillon à l’écran) – sauf si c’est l’effet recherché ! ;
  • Pensez à l’accessibilité : en évitant les animations rapides et brusques pour les personnes épileptiques, les aplats de couleurs similaires pour les personnes daltoniennes… ;
  • Synchronisez : vos animations avec le tempo de la musique ;
  • Ne craignez pas le vide ! Favorisez un ensemble épuré et séquencez les mises en page.

Les logiciels couramment utilisés

Il existe de nombreux logiciels couramment utilisés pour les différentes étapes du motion design (Potoon, Animate…). Nous nous concentrerons sur Illustrator et After Effect, qui sont ceux que nous utilisons le plus chez Saegus.

Illustrator est particulièrement utile pour l’étape de création du storyboard. Il permet de travailler sur des formations vectorielles. Un bémol : les graphismes manquent parfois de texture, donnant un rendu un peu froid.

After Effect est un logiciel aux possibilités infinies pour la création d’animations sur-mesure. Le logiciel est régulièrement mis à jour et de nouvelles fonctionnalités sont proposées chaque année. La seule limite : votre créativité !

Un·e bon·ne motion designer saura…

  • Faire une veille pour connaître les bonnes pratiques, tendances, idées d’animations… ;
  • Comprendre et s’adapter au tone of voice d’une marque ;
  • Donner un mouvement fluide et naturel aux animations.

Les projets de motion design chez Saegus

Chez Saegus, nous travaillons principalement sur des projets d’animation de marques ou produits. En voici quelques exemples :

Hololens 2 : à travers un cas d’usage, cette vidéo montre le pain point que résout cette technologie et comment l’utiliser concrètement sur le terrain.

Accompagner l’adoption des outils de collaboration comme Office 365 : ce type de vidéo met en avant les nouveaux usages et les fonctionnalités des outils correspondants. Il est ici nécessaire de bien comprendre les besoins de chaque client et créer une vidéo qui leur est spécifique, selon leur niveau de maturité digitale.

Animer la marque Saegus : en illustrant notre positionnement, nos offres, nos événements…

Vous souhaitez être accompagnés par nos designers à la Factory ou en savoir plus ?

Rédigé par Julie Ramier, Designer à la Factory

Habituez-vous à la terminologie EE…

L’EE, c’est comme si nous parlions d’UX (User Experience) ou de CX (Customer Experience) en interne des entreprises : EE pour Employee Experience… L’expérience collaborateur, en voilà une belle proposition pour 2022, faites vivre une expérience à vos collaborateurs et collaboratrices !

Et c’est là que l’intranet change radicalement de visage en 2022,
OUT « le site interne », place aux plateformes d’expérience employé :

  • Partager de l’information inédite ;
  • Communiquer avec ses pairs ;
  • Travailler différemment.

Quoiqu’en on en dise, la crise sanitaire aura eu l’avantage d’accélérer la nécessité de disposer de plateformes internes innovantes dans nos entreprises et nos organisations. Une plateforme interne, c’est bien plus qu’un site de diffusion de l’information.

C’est un lieu d’échange, qui permet de parler à n’importe qui n’importe quand sur un sujet, une initiative, une bonne pratique… bref, l’occasion de mieux connaître celles et ceux qui partagent votre quotidien professionnel ou qui pourraient le partager demain. C’est un lieu de travail, qui permet de donner des référentiels conjoints, de documenter des procédés, de partager des expériences vécues et de mettre tout le monde sur un niveau de connaissance commun.

Enfin, c’est un lieu qui devient presque communautaire : car oui ! Le développement et le renforcement du sentiment d’appartenance n’est pas qu’une douce utopie, il est une réalité pour des milliers de salarié·e·s et dirigeant·e·s d’entreprise. Aujourd’hui, il ne suffit pas de travailler pour… Il s’agit aussi d’être fièr·e de travailler pour !

Ces dernières années, notre cabinet Saegus a accompagné plusieurs clients dans la création ou la refonte de leurs plateformes internes : des gros et des petits, des groupes transverses comme des groupes silotés, des clients qui partaient de zéro et d’autres qui étaient déjà bien avancés… Savez-vous ce qui relie ces clients ? La réussite ne peut venir que d’un engagement collectif !

Si vous pensez que l’amélioration significative de l’expérience employé ne passe que par la mise en place d’une nouvelle solution, passez votre chemin ;

Si vous êtes persuadés que l’accompagnement au changement est secondaire, la réussite restera en demi-teinte ;

Enfin, si vous croyez qu’un site interne ne se traite pas comme n’importe quel produit digital, vous faites fausse route.

Notre cabinet est partenaire depuis plusieurs années de LumApps. La raison pour laquelle nous nous engageons dans ce partenariat est la capacité de l’éditeur à pousser son produit toujours plus loin pour en faire un levier incroyable d’amélioration de l’expérience employé et de l’engagement collaborateur.

Si, il y a quelques années, la solution pouvait se limiter au partage de contenus et à quelques fonctionnalités communautaires, les cas d’usage qui sont adressés aujourd’hui sont presque infinis :

  • J’ai besoin d’un espace de diffusion pour partager des informations corporate ;
  • Je souhaite un espace sécurisé pour travailler et échanger les bonnes pratiques avec mes pairs ;
  • J’aimerais proposer des fonctions d’interactions sociales avancées pour que chacun et chacune se sente libre de diffuser sa propre voix en interne de l’entreprise ;
  • J’aimerais en apprendre davantage sur les autres entités de mon entreprise ;
  • Je suis frontline worker mais cela ne devrait pas me couper des informations internes et du partage avec mes collègues ;
  • J’aimerais faire découvrir ma filiale aux autres entités du groupe ;
  • J’ai besoin d’informations clés en ressources humaines ;
  • J’ai besoin d’un accès exclusif aux offres de mobilité internes

Je vous l’ai dit, les exemples sont infinis.

La force de LumApps ? Adresser ces cas d’usage en construisant des sites uniques et sur mesure à partir d’éléments templatisés et prêts à l’emploi.

Vraiment ? Oui, vraiment ! Il suffit d’être bien accompagné pour réaliser le projet correctement. Car oui, créer ou refondre une plateforme interne n’est pas une mince affaire. C’est un projet ambitieux dont il faut mesurer l’importance.

Une plateforme innovante et facile d’utilisation, c’est la force de LumApps :

  • Un accompagnement sur la gouvernance pour mesurer les décisions stratégiques dès le démarrage de vos projets : qui en est responsable ? Quelle équipe pour le démarrer et le tester ? Comment le déployer ? Comment le faire adopter ? Et enfin, comment le faire vivre ?
  • Une construction de produit ambitieuse. Car si le design ne suffit pas, il reste néanmoins le premier contact que vos utilisateurs et utilisatrices auront avec le site ! Une force encore de LumApps : prêt à l’emploi est aussi synonyme de personnalisation. Ce sont vos codes, votre univers, vos originalités. Il s’agit également de trouver un territoire singulier qui, lui aussi, permettra de renforcer le sentiment d’appartenance de vos collaborateurs et collaboratrices et donc votre marque employeur ;
  • Une approche adaptée à vos besoins pour optimiser votre expérience employé et pérenniser la valeur métier apportée ;
  • Et enfin, étape ultime et bien trop souvent négligée : l’adoption. Car oui, faire le site le plus beau c’est bien, mais faire le site le plus utilisé, c’est mieux !

Notre cabinet mesure l’importance d’un embarquement collectif pour réussir ces projets :

  • Un éditeur qui dispose d’une solution innovante et tient également une roadmap ambitieuse pour penser aussi au « demain » ;
  • Un client pleinement sensibilisé aux enjeux du renforcement du sentiment d’appartenance et des nouvelles façons de collaborer en hybride ;
  • Enfin, un partenaire qui connaît à la fois les enjeux client et la solution qui sera mise en place par l’éditeur pour cadrer le besoin et construire la solution la plus adaptée possible en réponse à ce besoin.

Si la collaboration entre LumApps, Saegus et les clients pouvait se mesurer factuellement, je dirais sans l’ombre d’un doute qu’un travail d’équipe équilibré, c’est déjà la moitié du chemin parcouru.

Alors lancez-vous !

Imaginez des plateformes innovantes, faites participer vos employé·e·s, envisagez des nouvelles façons de travailler, diffusez vos contenus différemment, adressez vos frontline workers….

Chez Saegus, nous sommes lancés depuis des mois et plus nous avançons, plus nous courrons vite pour atteindre la prochaine étape.

Merci à LumApps et aux nombreux clients qui nous font confiance pour leur projet d’intranet !

Restez connecté·e·s pour une table ronde spéciale sur ce sujet très bientôt… En attendant, pour en savoir plus :

Rédigé par Charlotte Zekraoui, Manager Senior Factory

Ce n’est pas ici que je vais refaire l’histoire des marques et des stratégies de branding,

Pendant des années, toutes les grandes théories se succédaient,

Comment positionner sa marque, quelle place pour son branding, comment générer de la préférence de marque jusqu’à accéder au statut de… LOVE BRAND.

Oui mais voilà,

Tout est bousculé depuis quelques années par les « perturbateurs » que j’appellerais bien volontiers les accélérateurs (puisqu’en bousculant, ils font avancer).

Les MDD qui travaillent leur stratégie avec habileté : fini l’ère du mee-too, place à l’unicité et à l’audace créative ! Qui aurait pu penser, il y a 5 ans à peine, que les MDD seraient capables d’avoir autant d’aplomb ?

Il y a eu également les start-ups et l’ère du « no marketing ». Un branding timide, fait maison, artisanal et simple.

Mais alors, les marques nationales dans tout cela ?

Comment se remettre à la page quand tout est bousculé ?

Comme une peur de faire un faux pas, de prendre une mauvaise route qui, dans ce cas, s’avèrerai être une mauvaise posture.

Bienvenue dans l’ère des marques timides ?

Celles qui s’allègent pour laisser la part belle au produit, vous diront-elles,

Mais surtout celles qui peinent à passer au statut de marque engagée,

Comment continuer à fédérer quand on a utilisé pendant des années des techniques pour vendre, parfois à n’importe quel prix ?

Il est presque étonnant de voir que, pour s’engager sur des nouveaux marchés, nouveaux segments, nouvelles promesses, les marques sont presque obligées de disparaître ! Rassurez-vous, elles ne disparaissent pas, elles laissent la place.

La place à des promesses inédites, des cibles nouvelles ; pour adresser correctement cela, quoi de plus fort que de créer de toute pièce des marques nouvelles ?

(Le point commun entre ces 3 marques ? Elles appartiennent toutes au géant Nestlé !)

Et nous assistons tout doucement à un nouveau terrain de jeu pour les marketeux·ses de demain : des marques patrimoniales et historiques qui laissent la place aux marques filles pour éviter un énième système de « oui mais tu comprends, la règle d’endorsement c’est que le logo de Y doit faire 26,72% de la hauteur de X avec une zone de protection de ½ Y » (j’exagère à peine).

Des marques qui simplifient aussi leurs codes pour s’essentialiser. Le fameux retour du Less is More. Et lorsque Danone lance sa nouvelle plateforme de communication corporate « Danone, One Planet, One Health », il faut bien que la stratégie d’offre et l’expression branding suivent ensuite.

Autre exemple illustrant ce propos ? Les marques qui sont lancées dans la mouvance des grands enjeux sociétaux : la génération des millenials et celle des GenZ. Cette génération qui n’achètera plus comme hier, qui consommera en pensant à demain, celle pour qui les marques doivent se réinventer sans cesse.

AirFrance avait fait une tentative, sans doute un peu trop tôt ? Avec le rachat et l’animation de sa marque JOON, disparue en 2019.

Mais les grands groupes de tourisme et de transports ne sont pas en reste,

Accor, SNCF, tous veulent eux aussi se lancer dans cette chasse à la cible des « engagé·es », des écos-citoyen·nes.

Et enfin, parce que les start-ups restent les meilleures stimulatrices d’idées, de nouvelles marques viennent encore bousculer nos idées reçues en s’engageant non seulement dans des combats RSE mais en proposant aussi des univers de marques innovants et crédibles à la fois.

Alors, quelle place pour les marques demain ?

Comment travailleront-elles leur identité ?

Comment consommerons-nous autrement ?

Quel sera notre rapport aux marques demain ?

Je crois au pouvoir des marques, je crois profondément qu’elles peuvent participer aux engagements de demain. Je crois en leur capacité à rebondir, à se réinventer. Il y a 15 ans, je démarrais ma carrière en rêvant de travailler pour une Love Brand.

Je crois qu’aujourd’hui, je n’attends qu’une chose, travailler avec et pour les INVOLVED BRANDS. Celles qui innoveront pour une consommation plus responsable, celles qui militeront pour une politique interne plus inclusive, celles qui encourageront les idées d’où qu’elles viennent.

Marques d’hier, d’aujourd’hui et de demain, ENGAGEZ-VOUS !

Rédigé par Charlotte Zekraoui, Manager Senior Factory

Si nous organisions le concours des notions les plus vastes, le « Design » gagnerait bien volontiers l’une des marches du podium. Pourtant, qui pourrait se targuer de savoir en donner une définition exhaustive, claire et précise  ?  

Charlotte, senior manager et nouvelle recrue de la Factory a près de 15 ans d’expérience dans les plus belles agences parisiennes. Alors quand on lui pose une question sur le design, aucun doute quant à sa disposition à savoir y répondre. Aujourd’hui, elle partage avec vous ses réflexions sur le design et la transformation, en expliquant comment le premier peut agir comme accélérateur sur le second. 

Commençons par la première difficulté lorsque l’on parle de design : la notion est très vaste. Car, qui dit Design, dit peut-être : Design Branding, Design Packaging, Shape Design, UX et UI Design, Design System, Retail Design, Corporate Design et tant d’autres… S’il fallait rappeler quelques rappels historiques, il faudrait dire que le design est d’abord mondialement associé à une activité industrielle ou commerciale, son principal objectif réside dans l’invention, la facilitation ou l’amélioration ; Philip Kotler (professeur en stratégie marketing) fut l’un des premiers à positionner le design comme un outil du marketing, car le design est jugé avant tout par son « usager » : 

  • Sa perception 
  • Son ressenti 
  • Sa compréhension 

Besoin d’être convaincu.e.s  ? 

Bref… quelle que soit la raison, tout part d’une émotion, car OUI, si le design a bien un attribut majeur, c’est l’émotion qu’il procure chez chacun·e d’entre nous, « Tu as vu le nouveau logo de Saint Gobain ? Statutaire et visionnaire à la fois ! », « Mais cette appli l’Oréal est géniale ! Je peux tester mon maquillage depuis mon téléphone ! », « Quand je fais mes courses chez Monoprix, je passe plus de temps à regarder les packagings qu’à circuler en rayons », « Je replonge en enfance quand je vois mes enfants jouer aux Lego et imaginer sans cesse un nouveau monde ».

Je parle ici d’une palette d’émotion extrêmement large : qu’il s’agisse d’inspirer, sourire, rêver, imaginer … C’est aussi cette part d’émotion qui nous fait basculer, nous, en tant que consommateur.ice.s, en tant qu’utilisateur.ice.s, en tant que collaborateur.ice.s, en tant que citoyen.ne.s. Les marques l’ont bien compris, Et savent l’utiliser quand il s’agit de changement
 

Quoi de plus évident et universel qu’un changement visuel ?

Parce qu’un changement visuel est un changement immédiat,

Un changement visuel est plus impactant,

Un changement visuel est plus engageant,

Je crois que c’est la force du Design aujourd’hui, cette capacité à transmettre le changement, à l’accélérer, à le porter, à le valoriser. Le design n’est pas un mauvais outil Marketing. Au contraire, c’est un facilitant, une fondation, une base solide, une première pierre. Je me passionne du Design, je me passionne de sa diversité, de sa pluralité, de ses domaines d’expertises, et de son infinie richesse, de son pouvoir.

Car OUI, Le design a cette puissance, cette force, cette magie presque… La magie du changement. La magie de voir les choses autrement, la magie d’ouvrir son esprit, la magie de transformer notre regard. C’est une des grandes forces du Design selon moi. Une force commune et rassembleuse entre toutes les facettes du Design : le pouvoir de transformer : une vision, une promesse, un positionnement, un engagement, une image, un apprentissage, un métier. 

Décidez de traiter le sujet Design avec créativité et expertise : si vous réussissez cela, vous accélèrerez votre transformation. 

Un design transforme, un design réussi accélère une transformation, c’est la force que j’y vois, moi, dans le design ; d’aller plus vite, de voir plus grand. 

Osez ! Quel que soit le sujet. Qu’il s’agisse d’un projet de création, de refonte, d’adoption. Qu’il s’agisse d’un grand groupe, d’une PME, d’une start-up. Que vous soyez au Marketing, à l’IT, à la RH.

Osez faire du Design,

Car c’est un sujet passionnant et infini.

Le secteur du sport vit une importante transformation ces dernières années. Le sport devient un mode de vie et se mesure. Les marques d’objets connectés ne sont pas en reste et ont compris très vite la montée en poupe de cette tendance qui plébiscite le tracking d’activités et la performance.

Les innovations technologiques pleuvent tandis que les sports traditionnels vivent une évolution qui dynamise l’économie du secteur.

Yvan Forestier, notre Directeur Design & Technologie, s’est entretenu à ce propos dans l’émission de Frédéric Simmotel. Aux côtés de la Directrice des Opérations de SAP et d’Emile Leclerc, notre sondeur, ils ont fait état du boom que vit le milieu sportif, les habitudes des Français dans leur pratique et l’utilisation des objets connectés.

 

Faire du sport et mesurer sa performance 

Le secteur du sport est depuis quelques dizaines d’années un lieu d’innovation et de technologie important ou chaque seconde de performance gagnée, chaque analyse ou mesure de mouvement, permet de mieux comprendre son entrainement, sa santé, sa pratique.

Avec l’arrivée des objets connectés, un nouvel intérêt a émergé et permet aux Français de pratiquer plus facilement du sport, urbain pour beaucoup, où la ville et ses alentours devient un terrain de jeu, une fois équipé de sa montre connectée, de ses chaussures GPS ou de sa ceinture thoracique. De l’escalade, au foot, en passant par le trail et la randonnée, les applications sont multiples et les objets se démultiplient à une vitesse fulgurante. Si les grands acteurs de l’industrie sont déjà fortement en avance, de nombreuses start- ups proposent chaque année des dizaines de produits innovants pour mesurer à la fois sa performance et rendre la pratique plus facile d’accès et ludique.

 

Plus de technologies adaptées à nos modes de vie 

Un point intéressant de l’étude est de démontrer la capacité de suivre sa santé au quotidien. Changer sa manière de vivre par une habitude sportive plus fréquente, permet à chacun de suivre avec une précision méconnue auparavant sa santé, ses forces, ses faiblesses dans sa pratique sportive. Les Français y voient d’ailleurs un outil rassurant de suivi qui pourra être demain, si l’on se projette, un outil de prévention plus global et cela sur l’ensemble des objets de mesure (mesure du pouls, de la sudation, des mouvements).

Le sport passe désormais de l’exercice physique au mode de vie, c’est pourquoi aussi sport et technologie seront côte à côte et de plus en plus liés. Parce que l’avenir comprend le fait que le sport et les vêtements ou objets ont déjà changé dans le présent – de l’exercice physique au mode de vie – cela modifie également les exigences imposées aux fabricants. Il ne suffit plus de fabriquer des objets connectés de sport. Les entreprises doivent maintenant brouiller les frontières entre travail et loisirs, voire entre travail et fitness.

 

Les objets connectent vie privée et vie professionnelle

La société Alter Ego dans ce cadre, propose des programmes sportifs personnalisés, alliés à une application mobile, afin d’aider les salariés à se sentir mieux au travail par le biais du sport.

En effet, de plus en plus de personnes s’entraînent maintenant pour se rendre du travail à la maison ou chez eux dans le salon. Ainsi le vêtement sportif est omniprésent, et hors d’un contexte sportif il est porté comme vêtements de tous les jours, dans un contexte professionnel ou personnel. Un bel exemple est Clim8 et ses vêtements possédant une technologie thermique intelligente.

Il est à noter que la confiance est fortement présente dans les technologies sportives et connectées et outre mesure, le système de suivi des données devra être rassurant pour les utilisateurs afin d’être capable de sécuriser les données dites confidentielles, notamment sur la santé. Nous pouvons préciser que les nombreuses technologies du sport sont généralement issues du domaine de la santé et elles bénéficient ainsi des innovations de ce domaine pour le grand public.

 

De l’éthique du sport  

Et dans un intérêt plus général, les objets connectés révolutionnent aussi les pratiques. Dans la plupart des sports collectifs, GPS, accéléromètre, cardiomètre, sont rassemblés dans un seul objet ergonomique étudié pour son confort au quotidien. Ces technologies vont ici avoir deux buts premiers, : aider les entraineurs et coachs sportifs à mieux comprendre leurs joueurs, les tactiques mises en place et les performances qui y sont liées. Mais aussi cela permettra au public de suivre et comprendre en direct des stratégies avancées via leur smartphone lors de la retransmission d’un match et d’analyser ensuite entre amis quelles solutions ont été utilisées dans un match pour mieux comprendre leurs équipes.

Outre ces statistiques qui vont améliorer l’expérience du spectateur, une réelle envie de sports plus justes dans l’arbitrage notamment est une réelle volonté souhaitée par les Français dans cette étude. De la goal line technology d’aujourd’hui, nous pouvons déjà imaginer le vêtement connecté de demain qui pourra indiquer précisément aux arbitres l’impact de la faute et ses conséquences. La société TibTop et son protège tibia connecté en prend d’ailleurs la direction. Un bond dans le futur que nous pouvons nous permettre et où il est possible de visualiser déjà les sports de demain.

 

Equipé de lunettes connectées et vous voilà à reproduire des sports virtuels en outdoor sans forcément posséder les accessoires requis. Le mélange de la technologie et du sport en extérieur ou intérieur peut faire émerger des nouvelles pratiques ludiques qui bien souvent deviennent de véritables phénomènes de la vie des Français. L’évolution de la pratique de la course à pied est un de ces nombreux exemples.

Technologie et innovation, en mettant le besoin de l’humain au centre de ses problématiques, créent véritablement de nouvelles manières d’aborder son quotidien.

 

Découvrez l’analyse complète au travers de notre étude réalisée conjointement avec Odoxa Sondages.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business en replay.

 


En 2018, Saegus accompagne les étudiants de dernière année de l’école d’ingénieur ECE, qui ont choisi de suivre l’option Design. La responsable de ce cours, Marouchka Hebben, référente Design Thinking chez Saegus, nous explique pourquoi.

 

Qu’est-ce que l’option Design de l’ECE ?

Les étudiants de dernière année de l’ECE doivent choisir une option qu’ils vont suivre pendant tout un trimestre. Cela correspond à 60h de cours, soit 20 séances. L’ECE propose de nombreuses options, depuis la robotique à la finance et, bien sûr, l’option design.

L’option design initie ces futurs diplômés à la méthode de travail du designer.

 

Quel intérêt pour des ingénieurs de s’initier au Design ?

Le design est un métier récent, qui n’a été formalisé que dans les années 1960 et dont on entend de plus en plus parler. Mais historiquement, les ingénieurs sont des designers ! En effet, ce sont eux qui conçoivent des solutions aux problèmes existants. Aujourd’hui, la différence principale, c’est que le designer va d’abord réfléchir à la désirabilité d’une solution, tandis que l’ingénieur va avoir tendance à s’attacher d’abord à sa faisabilité.

Certains élèves veulent se tourner vers l’entrepreneuriat, d’autres veulent devenir chef de projet, certains seront data scientists, mais quelle que soit leur orientation, ils vont bénéficier des apprentissages du design. Ils vont comprendre et mettre en pratique une approche centrée sur les utilisateurs, et ainsi changer leur manière d’approcher un problème. Ils seront sans doute amenés à travailler avec des designers dans leur vie professionnelle et pourront donc plus facilement participer aux décisions stratégiques sur l’expérience utilisateur ou la co-création dans laquelle ils ont un grand rôle à jouer. Il faut casser la segmentation entre ceux qui exécutent et ceux qui pensent l’expérience utilisateur, c’est un travail collectif où l’implication de chacun est essentielle.

 

Qu’est-ce que les étudiants vont apprendre ?

Le terme « design » fait peur, on imagine souvent qu’il faut savoir dessiner ou avoir des talents créatifs. Pour initier les étudiants au design, nous avons choisi de leur faire découvrir le Design Thinking, qui est l’application des principes et de l’état d’esprit du design à un ensemble de problématiques plus larges. Le champ d’application du Design Thinking est très large et continue de s’élargir, et nous pouvons ainsi accompagner les élèves dans la mise en pratique.

Sur les 60 heures de cours, ils vont apprendre à mener une recherche utilisateur pour comprendre les irritants et l’expérience existante, formaliser leurs apprentissages dans des supports tels que des personas, cartes d’empathie et experience maps, mais aussi apprendre à générer des solutions innovantes, puis à les rendre concrètes en les prototypant rapidement et en les testant auprès des utilisateurs cibles. C’est donc un cycle complet d’apprentissage, de bout-en-bout, de l’ensemble des dimensions du design thinking. Pour aller encore plus loin dans la mise en pratique, nous allons leur faire découvrir les liens entre l’Agile et le Design Thinking.

 

Pourquoi Saegus accompagne l’ECE sur ce cours ?

Chez Saegus, et notamment notre organisme de formation, la Saegus Institute, nous valorisons la mise en pratique. Nous sommes convaincus que l’apprentissage doit s’inverser : la part de la théorie doit s’inverser au profit de la mise en pratique directe accompagnée par des experts. C’est exactement l’approche que nous mettons en place à l’ECE : forts de notre expertise en Design Thinking, mais aussi de nos solutions dédiées telles que Foreseeds, ce cours est pour nous l’occasion d’accompagner 40 étudiants à mener à bien des projets qu’ils ont eux-mêmes choisi. Chaque cours sera bien plus un atelier pratique qu’un cours théorique.

 

 

Quelle va être la mise en pratique des étudiants ?

Les élèves vont avoir un projet à réaliser en équipes, qui sera le fil rouge du cours. Ils ont déjà commencé à réfléchir à leurs projets qui vont être de nature très différente : lutter contre le gâchis alimentaire, sensibiliser les personnes âgées à la sécurité informatique, la gestion des déchets sur les sites historiques… Ils ont joué le jeu et choisi des sujets qui leur tenaient à cœur !

L’objectif est aussi de leur montrer par la pratique que le champ d’application du design thinking ne se limite pas au digital et que les solutions auxquelles ils vont parvenir peuvent être très éloignées de leurs premières hypothèses. Nous leur demandons d’envisager ce projet en équipe comme un projet professionnel, et à la fin du cours, ils vont présenter leur projet devant un jury de professionnels. Cela leur donne un beau challenge à relever !

Le design chez Saegus

 

Pourquoi fait-on du design  ?

Pour résoudre des problèmes actuels en apportant des solutions innovantes et en créant de l’émotion.

 

Qui est impliqué dans le processus ?

Toutes les parties prenantes : clients, designers, développeurs, chefs de projet et utilisateurs collaborent pour partager leurs expertises dans un but commun.

 

Quand est-ce qu’on intervient ?

Le plus tôt possible dans le processus de conception et à ensuite à chaque phase de vie d’un projet pour rester garant des besoins utilisateurs.

 

Qu’est-ce qu’on fait ?

Nous créons de nouveaux parcours ou optimisons ceux existants en étudiant les besoins utilisateurs, objectifs business et contraintes techniques.

 

Comment le fait-on?

Comme le veut l’ADN de Saegus, le design est 100% agile. Nous testons et éprouvons rapidement nos hypothèses afin d’aboutir au résultat souhaité.

 

 

Notre vision du design

 

Aujourd’hui nous entendons beaucoup de termes contenant le mot “Design” : digital design, web design, ui design, ux design, ux/ui ou ui/ux design, visual design, graphic design etc.. Chez Saegus, design signifie “rendre les choses plus simples, résoudre les problèmes de nos clients et de leurs utilisateurs, rendre l’expérience d’utilisation du produit agréable”.

Pour concevoir cette expérience, on observe, interroge, itère, prototype, teste, design, développe, lance, puis nous évaluons les résultats et pivotons si besoin. Pour nous, l’UX est fait de tous ces tenants et aboutissants, c’est un ensemble qui englobe la relation entre l’utilisateur et le service de notre client. Quant au design d’interface (UI), c’est un élément clef de l’expérience utilisateur car c’est au travers de celle-ci qu’il interagit avec le produit. Il est donc important qu’elle s’adapte aux besoins ergonomiques de l’utilisateur tout en restant cohérent avec l’ADN du client.

Chez Saegus l’UX et l’UI ne sont pas deux choses distinctes : l’interface utilisateur fait partie de l’expérience globale d’utilisation parmi d’autres tels que : la clarté de l’information fournie, la stabilité technique du produit, etc.

 

 

« La perfection est atteinte, non pas lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter, mais lorsqu’il n’y a plus rien à retirer. » Antoine de St Exupéry

 

 

Nos designers, des DevSigners en devenir

 

Chez Saegus, on considère que pour arriver à une expérience utilisateur efficiente,  le design doit intervenir à chaque étape de vie du produit : de la définition du product vision jusqu’à l’analyse de données collectées après l’installation chez l’utilisateur final.

Cette intervention nécessite une collaboration régulière avec tous les membres de l’équipe projet et particulièrement avec des développeurs. Afin de faciliter ce travail collaboratif et gagner en productivité, nous attendons qu’en plus de maîtriser leur cœur de métier, nos designers apprennent à intégrer les interfaces qu’ils conçoivent en html/css.

Comprenant mieux le processus de développement, les designers peuvent être plus réalistes lors de la conception. En étant intégrés dans la phase de développement ils restent garants de l’expérience utilisateur tout au long de cette étape. Cette vision du designer DevSigner à laquelle aspire Saegus commence à prendre racine depuis peu, mais prouve chaque jour l’intérêt de poursuivre dans cette voie.

 

 

10 TIPS

….pour réussir son projet de création d’interface (ou nos secrets de conception essentiels) !

 

1- COLLABOREZ

Un bon produit est le résultat d’une collaboration interdisciplinaire

Nous nous sommes inspirés du Design Thinking pour définir notre façon de concevoir les produits. Nous considérons qu’une expérience utilisateur efficiente est le résultat d’une collaboration interdisciplinaire. C’est bien pour cela que nous imposons l’intervention de différents profils : techniques, créatifs et métiers, au moins de manière ponctuelle, dès la phase de product vision.

 

2- PENSEZ AUX CONTRAINTES TECHNIQUES

Prendre en compte les contraintes permet de mener la réflexion dans le bon sens.

Que ce soit un projet de conception du site web ou d’une application mobile, il y a toujours différentes contraintes techniques à prendre en compte. Intégrer des développeurs tôt dans le processus de conception et former les designers aux bases du code permet d’éviter de concevoir un produit qui n’est techniquement pas viable suite à des contraintes techniques non identifiées.

 

3- ÉTUDIEZ, EXPLOREZ, IDÉEZ

Ne soyez pas amoureux de votre première idée, poussez la réflexion plus loin.

Avant de se lancer dans la conception, il est important de comprendre sa cible, d’étudier son marché pour pouvoir se positionner correctement par rapport à la concurrence. Une fois les données collectées, il est important de faire des sessions d’idéation afin de générer un maximum de possibilités. C’est au travers de cette phase que la créativité prend sa source.

 

 

4- PENSEZ AU CONTENU D’ABORD

Le contenu est essentiel pour réussir la conception de votre produit.

Il ne faut pas perdre de vue qu’un utilisateur est en quête d’informations, il est donc primordial que celles-ci soient limpides et faciles d’accès. Pour rendre le parcours efficace, le contenu doit être défini en amont du projet et être le point de départ du processus de conception.

 

 

5- HIÉRARCHISEZ

Cette notion indispensable rend le contenu plus intuitif !

Elle articule une page en une sorte de chorégraphie qui apporte du sens. Puisque dans une page l’interprétation de chaque élément dépend de ce qui l’entoure. L ’exercice demande rigueur et logique.

 

 

6- UTILISEZ DE BONNES PRATIQUES

Ne réinventez pas la roue, utilisez de bonnes pratiques

Pour créer des produits de qualité il est important de savoir ce qui se fait de bien et de moins bien. Les bonnes pratiques mises en place par plusieurs acteurs du marché ont su démontrer leur efficacité !

Utiliser les bonnes pratiques ne veut pas dire « copier la solution du concurrent », mais il est possible d’aboutir à une solution similaire en ayant eu une réflexion qui vous est propre. Les bonnes pratiques sont nombreuses, utilisez-les avec bonne intelligence.

 

 

7- DÉFINISSEZ DES GRILLES

Les grilles apportent de l’harmonie, elles rythment le chaos.

Indispensables pour construire une maquette, elles laisseront un dessin invisible qui guidera l’utilisateur. Elles permettent de prendre des décisions logiques dans le placement des éléments qui participeront à la cohérence du projet. Pour trouver sa grille on commence par définir le contenu, c’est celui-ci qui correctement hiérarchisé aidera à amorcer notre choix.

 

 

8- CRÉEZ L’IDENTITÉ GRAPHIQUE ET RESPECTEZ-LA

Créez de l’émotion chez l’utilisateur pour le fidéliser

La création de l’identité graphique du produit est un moment clef de la conception pendant lequel on va donner une âme à l’interface.

C’est un style unique qui transmet le message de la marque et inspire les utilisateurs. L’identité graphique donnée au produit devra ensuite être déclinée sur l’ensemble des supports de communication.

 

 

9- SOIGNEZ LA TYPOGRAPHIE

Dans une journée nous passons un temps considérable à lire des informations

C’est pour cette raison qu’on ne doit pas négliger la typographie ! Les informations doivent être lisibles autant par leur anatomie que par leur taille. D’autres facteurs, qu’un designer aguerri saura identifier, entrent en jeu tels que l’interlignage, les bonnes combinaisons de police, etc.

Un texte est comme un morceau de musique, il doit être rythmé, aéré et accentué aux bons moments pour faciliter la lecture et donc donner envie d’en lire davantage.

 

 

10- N’OUBLIEZ PAS L’AFFORDANCE

Permettre à l’utilisateur de comprendre où l’interaction est possible.

Nous naissons et évoluons dans un monde en quatre dimensions, nous percevons et analysons les distances, les objets, leur poids.

Pour le moment les interfaces digitales nous limitent à un univers 2D. Même si des technologies telles que la 3D, la VR se rapprochent de plus en plus du réel, ces technologies ne sont pas encore popularisées !

Pour cela nous devons ajouter des indices visuels (il en existe de nombreux) qui donneront l’illusion du volume.

 

Pour aller plus loin et construire votre projet d’interface, contactez-nous !

« Malgré le passage en agile de mes équipes de développement, la phase de cadrage projet est tout aussi longue… »

 

« Design Thinking, Agile… Ok, mais je veux être sûr de sélectionner les personae les plus pertinents en amont… »

 

« En tant que membre d’une équipe opérationnelle non IT, j’ai l’impression d’être mis à l’écart de la transformation agile… »

 

 

Si vous avez fait ou faites actuellement face à un challenge en raison de certains freins (temps, expertises, organisation, etc.), venez rencontrer l’équipe Acceleration Tactics. Découvrez, au cours de cette immersion dans notre lab, comment nous concevons l’accélération de vos produits, projets et organisation.

 

 

Notre promesse ? Accélérer.

 

En perpétuelle recherche d’innovations et à l’affut des constantes mutations du marché, les grandes entreprises peinent cependant à répliquer la réactivité et le dynamisme qui caractérisent les plus petites structures. Ayant adopté un modèle de management souvent basé sur des process lourds et un système chronophage de contrôle et de reporting, la créativité et l’adaptabilité des équipes s’en trouvent ralenties.

 

Développer la capacité d’innovation de ces entreprises nécessite donc la mise en place de plusieurs mécanismes permettant notamment la libération de la créativité, une collaboration plus efficiente, un time-to-market réduit et une meilleure réactivité et adaptabilité face aux retours du marché.

 

C’est dans cette optique que l’offre Acceleration Tactics de Saegus est née.

 

Chez Saegus, nous considérons non seulement qu’une idée n’est rien sans une capacité à la réaliser rapidement, mais que la rapidité d’exécution est indispensable pour tout nouveau produit ou service, tout projet au sens large, et tout changement organisationnel.

 

Nous proposons donc une démarche itérative en 3 dimensions au cours desquelles les entreprises pourront bénéficier de nos différents leviers d’accélération :

  • Notre maîtrise des approches éprouvées & innovantes (Agile, Lean Startup, Design Thinking)
  • Notre centre de formation agréé : la Saegus Institute
  • Nos solutions, pensées pour être compatibles avec les exigences d’une multitude d’environnements

 

Design, prove, scale

 

 

 

Pour en savoir plus sur notre démarche et comprendre comment nous vous permettrons d’accélérer quel que soit votre enjeu, rejoignez-nous dans notre Lab d’innovations jeudi 7 juin prochain dès 19h00 via ce lien.

Saegus, cabinet «  consultech » en transformation digitale, a refondu son site internet pour proposer à ses visiteurs une expérience de navigation inédite et immersive. On vous explique :

 

 

Notre équipe de Développeurs et designers ont travaillé en mode agile avec l’aide de nos experts du customer experience pour aller plus loin dans ce projet qui ne devait pas reposer sur la seule refonte esthétique. Toute l’équipe en charge du projet a souhaité s’attarder sur les attentes et besoins de nos visiteurs réguliers pour s’assurer que le contenu proposé réponde aux besoins utilisateurs et leur permette d’obtenir rapidement l’information recherchée. 

 

Nous nous sommes attelés à un important, mais tactique, chantier d’études amont en menant des interviews ciblées et en réalisant un audit pour analyser les vraies motivations qui poussent chacun des type de profil visiteurs à consulter notre site. Nous nous sommes aperçus, après l’analyse de leurs réponses, que – la plupart du temps – l’information souhaitée n’est ni atteignable ni évidente à trouver, cachée dans une arborescence protéiforme. Beaucoup nous ont confié abandonner leurs recherches et considérer les sites corporate compliqués, peu efficaces voire peu captivants. Il y avait donc du travail en perspective et un nouveau challenge pour les équipes de Saegus à relever !

 

Nous avons alors travaillé sur ce projet de refonte qui devait rendre nos contenus non seulement lisibles, plus clairs, plus compréhensifs, mais aussi très rapidement atteignables avec une réelle direction artistique au service du design d’interface. Au fur et à mesure du développement de notre site, nous nous sommes aperçus que l’enjeu résidait avant tout dans la navigation et dans la façon d’arriver à l’information recherchée. Nous avons décidé très vite de changer le paradigme de notre site et plutôt que de laisser nos internautes chercher l’information qu’ils désirent, les rediriger vers les informations après identification de leur profil et de leur problématique.

Vrai challenge technique et fonctionnelle que nous avons décidé de relever en créant nos parcours « immersifs » où un client, un prospect un journaliste ainsi qu’un candidat s’identifie et répond à quelques questions afin de lui proposer les solutions que Saegus peut lui offrir.

 

Après 3 mois d’audit, de réalisation graphique et de développement, nous avons donc mis en production www.saegus.com et sommes ravis du rendu. Nous espérons sincèrement qu’il conviendra aux 3 profils de visiteurs type (clients/ futurs partenaires, candidats et média/ influenceurs) qui parcourent notre site et leur apportera satisfaction. 

 

Si vous souhaitez nous donner votre avis, échanger sur ce projet original ou rencontrez notre équipe n’hésitez pas à nous contacter via gaelle.pommereau@saegus.com. A bientôt !