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Nous sommes fiers d’avoir leur confiance et enthousiastes de leur apporter notre aide :

  • Accompagnement de la DSI du Groupe SODEXO

Les consultants Digital Workplace de Saegus accompagnent la DSI Groupe du groupe SODEXO pour assurer le passage de 8.000 utilisateurs Jive vers Office 365. Sur une période de 10 mois, cette mission mobilise nos experts techniques, coachs adoption et designers afin de favoriser la prise en main de ce nouvel environnement de travail.

Dans la continuité de notre mission de définition de la gouvernance d’Office 365, la DSI du Groupe a mandaté Saegus pour mettre en place un service à destination des collaborateurs permettant la création d’un cadre de cohérence et de gouvernance autour des briques  SharePoint, Teams et Yammer.

  • Cadrage du projet de déploiement d’Office 365 pour BOLLORÉ Logistics

La DSI de BOLLORE LOGISTICS a demandé à Saegus de l’accompagner pendant 2 mois pour l’aider à cadrer le projet de déploiement d’Office 365. Saegus met à disposition du groupe ses experts techniques et fonctionnels ainsi que ses assets dont Foreseeds (cadrer les usages avec le design thinking), le Centre Agile et l’Adoption Management Office. 3 consultants et 1 Customer Success interviendront auprès de la DSI pour assurer la réussite de cette mission.

  • Les actions d’adoption d’Office 365 pour L’ORÉAL

L’OREAL a souhaité collaborer avec l’Adoption Management Office de Saegus afin de préparer et de mettre en œuvre les 1ères actions d’adoption d’Office 365. 2 consultants et un Customer Success interviennent pour une période de 3 mois auprès de la Direction de l’Employees Experience, responsable de l’adoption des solutions Office 365 chez L’Oréal.

  • Création du cadre de référence Data pour la MAIF

La MAIF renforce son orientation Data Driven et souhaite industrialiser l’utilisation de son Data Lake. Dans un délai de 4 mois, nos équipes de Data Architect et Data Scientists ont créé le cadre de référence Data (accostage entre Usages / socle applicatifs et bonnes pratiques).

  • Initialisation d’un premier Data Lake pour NEXITY

Afin d’accompagner la transformation Digitale du groupe, NEXITY lance un programme (Big) Data, structuré autour de la création de sa Data Factory. En interaction avec les équipes Business et IT, Saegus accompagne durant 4 mois les équipes Nexity pour initialiser un premier Data Lake au travers de 2 expérimentations de DataScience au service du Marketing et de la Connaissance Client.

  • Organisation d’un challenge international pour THALÈS

Saegus a remporté l’organisation du challenge Ambition Boost Camp pour Thalès, avec la solution Foreseeds.

Ce challenge a lieu dans le monde entier, et réuni 300 participants autour de la plateforme Foreseeds qui auront la mission de créer et pitcher leurs idées de propositions de valeur pour faire aboutir 4 des principales ambitions stratégiques du groupe.

  • Projets eCommerce Galeries Lafayette

Saegus vient de rejoindre la direction eCommerce du site Galeries Lafayette afin de gérer différents projets de transformation et d’optimisation de la plateforme eCommerce, impactant directement l’animation commerciale, la marketplace, l’acquisition, la performance.

Les aspects sur lesquels nous intervenons sont larges et concernent l’offre et le catalogue, le tunnel d’achat, le paiement, le search et le merchandising, le taux de transformation, l’expérience utilisateur ou encore le SEO, sans oublier l’innovation !

 

Pour en savoir plus sur notre offre d’accompagnement ou pour une démo, n’hésitez pas à demander un rdv à gaelle.pommereau@saegus.com.

 

Marc Trilling, cofondateur de Saegus, est intervenu samedi 18 novembre dernier aux côtés de Microsoft et Odoxa pour parler de gamification.

On s’aperçoit aujourd’hui que les jeux vidéo occupent une place de plus en plus importante en France avec un nombre de joueurs grandissant. Les entreprises ont compris qu’elles pouvaient tirer parti des mécaniques de jeu comme méthode d’accompagnement au changement et de sensibilisation à des usages nouveaux. Elles s’en inspirent largement avec le concept de « gamification ». Mais contrairement au serious gaming un peu daté, les experts sur le plateau s’entendent sur l’émulation et la dynamique positive que permet la gamification. Le concept pourrait s’inscrire comme processus de formation à intégrer au quotidien. Il constitue un bon levier d’adoption des nouveaux usages, un moyen efficace d’accompagner la renaissance digitale des entreprises. En revanche, la gamification n’est pas propice à tous les contextes, son recours doit répondre à certaines logiques que les 3 experts expliquent dans cette émission.

Pour tout savoir, vous pouvez revoir l’émission ici.

Vous pouvez également télécharger l’étude faite avec notre partenaire Odoxa.

Questions à Stéphane, Product Manager Foreseeds, pour nous présenter l’application à quelques semaines de son lancement officiel :

 

Equipe Saegus : A l’approche du lancement de Foreseeds, peux-tu raconter comment l’idée de cette plateforme est apparue ?

 

Stéphane : Comme beaucoup de consultants, je passe une bonne partie de mon temps en ateliers : expression de besoin, cadrage de projets, définition de roadmap… Et on a beau essayer des formats différents, changer de méthode d’une année sur l’autre, ce sont toujours les mêmes constats qui reviennent :

  • Entre les utilisateurs, les clients, les développeurs, les designers, les sponsors… Personne ne parle le même langage. Pourtant, chacun de leurs points de vue est essentiel, sinon la proposition de valeur est bancale.

  • Arriver à un consensus demande souvent beaucoup d’interactions individuelles et d’allers-retours : chacun défend ses priorités, selon ses propres critères, et on fait peu de fertilisation croisée.

  • Les ateliers post-it apportent un peu de dynamisme et d’intelligence collective, mais on se limite à quelques personnes, dans une même salle, pour quelques heures… Ça n’est pas du tout scalable.

 

Avec mon équipe, on était convaincus qu’un outil viendrait tôt ou tard disrupter l’atelier de design tel qu’on le connaissait. J’ai présenté notre vision au CoDir de Saegus, qui avait une vraie volonté de développer l’intrapreneuriat, et on s’est tous dit : pourquoi ne pas le faire nous-mêmes ?

 

ES: Comment positionnes-tu Foreseeds par rapport aux méthodes comme le design thinking, que les entreprises mettent déjà en oeuvre ?

 

S: Évidemment, on s’est beaucoup inspirés de ce qui existait déjà. Le but n’était pas de réinventer la roue, mais plutôt de faire la synthèse de tout ce qu’on connaissait : value proposition design, lean startup, agile, design thinking… On a voulu concevoir un framework simple et élégant, focalisé sur l’essentiel, et surtout adaptable aux enjeux de nos clients. Qu’on puisse s’en servir aussi bien pour créer une start-up interne que pour prioriser une roadmap, cadrer un projet ou son discours commercial, faire de l’UX design…

 

Par-dessus tout, l’enjeu-clé était de créer un outil que tout le monde puisse s’approprier intuitivement, qui n’exige aucun prérequis théorique ni aucune connaissance préalable. C’est pourquoi les serious games occupent une place importante dans Foreseeds : les participants créent de la valeur sans s’en rendre compte. En fin d’atelier, on en voit souvent s’étonner : « c’est nous qui avons créé tout ça ? ». Alors, on se dit que la mission est accomplie.

 

ES: Et par rapport aux outils existants sur le marché, quel est le positionnement de Foreseeds ?

 

S : On a toujours voulu créer le chaînon manquant, pas concurrencer un outil existant. C’est pourquoi à ma connaissance, nous sommes les seuls à proposer une plateforme comme Foreseeds. Et l’un des avantages d’être incubé par Saegus, c’est qu’on est entourés de consultants et d’UX designers, qui pratiquent une veille quotidienne, et qui ne se priveraient pas d’utiliser une autre solution si elle répondait mieux à leurs besoins !
En revanche, on est très vigilants à ce que Foreseeds soit compatible avec les outils qu’utilisent déjà nos clients. Aujourd’hui, il est déjà possible d’exporter son backlog priorisé dans Jira Software, dès la sortie d’atelier. Le flux d’activité des projets est également très inspiré de Slack, et un plugin permettra bientôt de poster du contenu dans Foreseeds depuis n’importe quel channel de discussion, ainsi que de recevoir des notifications. D’autres connecteurs sont en préparation, notamment avec Office 365, Trello…

 

ES : Après le lancement, comment vois-tu la trajectoire de Foreseeds ?

 

S : Le contexte est un peu particulier, parce que le bouche-à-oreille nous a déjà permis d’animer plus de 100 sessions, chez une vingtaine de clients dont Accor Hotels, Société Générale, L’Oreal ou Total. Parmi les entreprises qui utilisent déjà Foreseeds, on trouve même des cabinets de conseil et des éditeurs de logiciels. Donc aujourd’hui, on lance un produit qui est déjà mature, puisqu’il s’est nourri du retour de tous ces early-adopters.

À présent, notre ambition est de continuer à développer Foreseeds avec un panel de clients plus vaste. Bien-sûr, on ne manque pas d’idées ni d’ambition pour porter la promesse encore plus loin. Mais je suis également convaincu qu’il reste beaucoup d’usages de cette plateforme qu’on n’a pas encore rencontrés, et qui viendront l’enrichir. D’ailleurs, on utilise nous-mêmes Foreseeds pour affiner et re-prioriser la roadmap du produit, en fonction des feedbacks de nos utilisateurs.

 

Pour en savoir plus sur Foreseeds, rdv sur le site www.foreseeds.com et ici pour participer à l’événement (attention, les places sont limitées !).

A bientôt,

Saegus vous présente Fanvoice !

 

Fanvoice, qu’est-ce que c’est ?

Fanvoice est une plateforme de « Design Thinking digital » (ou « Crowd thinking »), qui permet de dépasser les contraintes de focus group classiques pour faire participer de manière ludique un grand nombre d’internautes lors des phases de co-idéation, pré-test, AB test et post test.

 

En quoi ce type de solution s’inscrit-elle dans notre stratégie ?

Nous sommes convaincus que le succès des GAFA et pure players devenus incontournables en quelques années repose en grande partie sur leur capacité à mettre l’expérience du client au centre de tous leurs processus : lors de l’élaboration du produit, lors des tests des premiers prototypes, lors de la promotion de la sortie, lors de l’amélioration du produit dans le temps. Une solution comme celle proposée par Fanvoice, nous permet justement d’aider nos clients à faire les bons choix lors des phases critiques de leurs projets d’innovation.

 

Pourquoi avons-nous choisi Fanvoice comme partenaire ?

Nous considérons Fanvoice comme le meilleur compromis pour industrialiser la digitalisation du focus group. Leur plateforme favorise non seulement le recrutement et la participation des internautes, mais leur outil d’analyse sémantique permet en plus de gagner un temps précieux lorsqu’il s’agit de donner du sens aux centaines (parfois milliers) de verbatims récoltés à l’issue d’une campagne Fanvoice.

 

A quel client propose-t-on ce genre de solution ?

Assez logiquement aux Directions marketing (digital ou non), aux directions de l’expérience client et de la relation client. Mais nous nous sommes également rendu compte que bon nombre de DSI et Directions de l’innovation étaient aussi intéressées par le concept, comme solution tactique les aidant à remettre l’utilisateur au centre des innovations favorisant par la suite l’adoption.

 

 

Questions à Gaël Muller – DG & co-fondateur de Fanvoice

 

Comment est né Fanvoice ?

Le projet a démarré sur une conviction forte : 43% des produits lancés en Europe se soldent par un échec dans les 12 mois qui suivent, le plus souvent en raison d’inadéquation entre les attentes clients et les fonctions du produit. Il faut donc impliquer davantage les clients et apporter quelques chose de plus, plus vite !

Nous avons ainsi imaginé une plateforme de co-creation en marque blanche simplifiant le travail des marques, mêlant brainstormings géants on-line et analyse sémantique pour accélérer le traitement des Feedbacks recueillis. Objectif : rendre l’implication des clients plus simple, plus rapide et se donner un moyen rapide de lire entre les lignes.

 

Pourquoi avoir noué un partenariat avec Saegus ?

Parce que nous aimons le positionnement hybride de ce cabinet, à cheval entre le cabinet de conseil en stratégie digitale, l’agence de communication et l’ESN. Leur différence les rend très complémentaires de notre proposition de valeur.

Concrètement, ils enrichissent l’analyse des verbatims issus de nos campagnes en les transformant en véritable roadmap digitale. Ils sont ensuite capables de prendre chacun des sujets de la roadmap pour en réaliser des MVP (Minimum Valuable Product) en moins de 3 mois. Sans oublier de favoriser l’adoption de nouveaux outils et de finir en gérant leur insertion dans le reste du SI de l’entreprise.

Le focus “des projets en moins de 3 mois” a vraiment fait tilt chez nous…

 

Qu’est-ce qui les distingue de vos autres partenaires ?

Pour commencer, Seagus a vraiment compris des le premier RDV tout le périmètre qui pouvait être adressé par une plateforme comme la nôtre. Une vision concrète et des idées orientées clients, immédiatement.

De plus, nous avons compris que Saegus s’attache à s’appliquer les recommandations faites à ses clients. Ainsi lorsque la Team annonce vouloir adopter la réactivité des startups, elle tient parole : il ne s’est écoulé que quelques semaines entre la première rencontre et le premier projet gagné ensemble. Ce niveau de réactivité est une première pour nous, alors forcément, ça motive encore plus !

 

Sur quel sujet êtes-vous intervenus ensemble ?

Nous sommes en ce moment même en train de collaborer sur une campagne de pré-test pour une entreprise du secteur immobilier à disrupter l’expérience d’achat.

Nous sommes également en train de travailler sur une nouvelle offre visant à créer une communauté de beta testeurs pour les grands groupes. Fanvoice a de plus en plus de retours d’expériences sur le sujet (test de concepts, objets connectés, applis, chatbots…), Seagus  dispose d’une force de frappe légitime sur le sujet, et notre première expérience commune va pouvoir se répliquer, sans aucun doute.

 

 

Pour en savoir plus sur notre offre Customer eXperience for grOwth (CXO), n’hésitez pas à demander un rdv à gaelle.pommereau@saegus.com.

 

Il y a du mouvement chez nous et on vous en parle juste en-dessous :

  • Une nouvelle offre est née ! L’offre Customer Experience for Growth (ou CXO) fait désormais partie intégrante de nos prestations de conseil. Depuis nous avons accompagné plusieurs clients dont Nexity dans la définition de leur stratégie de fidélisation pour l’année 2018 sous la conduite de la nouvelle équipe CXO. On prend RDV pour vous parler de cette offre ? Contactez-nous au 01.86.95.23.32

 

  • Ca bouge du côté de notre pôle Agile ! Nous poursuivons le programme de certification à la méthode Scrum poussée par nos experts et coach conseil Agile. Nous sommes fiers d’avoir promu encore 10 de nos consultants au titre de Scrum Master lors de la dernière promo qui s’est tenue début octobre 2017. Bravo l’équipe ! Pour en savoir plus sur notre approche de la méthodologie agile, c’est par ici : http://www.saegus.fr/centre-agile

 

  • D’ailleurs, nous avons organisé un petit-déjeuner sur le sujet autour du thème « comment booster la valeur de vos projets et équipes grâce à l’agile »le 19 octobre dernier aux côtés de clients et de curieux. Hadi, notre Manager Agile est intervenu aux côtés d’Inès Boussemart, Head of Digital Working chez Société Générale Banque d’Investissement, pour illustrer un peu le propos et évoquer notre propre approche de cette méthodologie. Vous voulez en savoir plus sur le REX ? Contactez Gaëlle, son adresse est en bas 😉 Et en attendant : http://bit.ly/2hb4G5B

 

  • Evénement ! C’est peu de le dire, on en a plusieurs en préparation dont le lancement officiel de l’application de crowd thinking Foreseeds ! Premier meetup interactif et disruptif, la soirée se tiendra chez nous le 28 novembre prochain dès 18h30 pour proposer une session sur le thème « repenser votre environnement de travail pour accélérer votre transformation ». Nous aurons le plaisir d’aborder la question aux côtés de Martin Sauer, directeur du digital chez Manutan, et de startuppers, designers, CDO et autres acteurs de la transformation digitale et de l’innovation. Vous êtes curieux ? Vous souhaitez participer ?

 

Et sinon, nous poursuivons nos interventions sur le plateau de BFM Businesspour vous livrer  nos insights sur des sujets tech et digitaux :

  • Le 23 septembre dernier, Frédéric Brajon était aux côtés de Frédéric Simottel sur le plateau du 01 Business Forum l’Hebdo pour nous parler de data protection et des moyens de se prémunir de cyberattaques.Il nous livre ses conseils et son point de vue sur les mesures que les entreprises doivent prendre pour détecter les signaux faibles… et ceci dans un contexte de renforcement de la protection des données avec notamment l’entrée en vigueur du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) en mai 2018, lequel jouera un rôle important.Vous pouvez revoir l’émission ici, télécharger l’étude faite avec notre partenaire Odoxa ici ou relire l’article complet.

 

  • Le 21 octobre, c’était David Semhoun qui était intervenu sur le plateau pour aborder, cette fois, le design dans les nouvelles technologies. Il est revenu sur les nouvelles pratiques du design qui vont plus loin que le seul aspect esthétique, et tendent à transcender les habitudes de consommation et d’usage, en se concentrant sur l’expérience utilisateur. Qu’il s’agisse des techniques associées entre autres à l’UX (user experience) ou du rapport à l’interface (UI : user interface), le design s’invite en tant qu’axe stratégique pour les entreprises. Vous pouvez revoir l’émission ici, télécharger l’étudefaite avec notre partenaire Odoxa ou relire l’article complet.

 

  • Nous sommes également intervenus aux côtés de Sébastien Couasnon sur le plateau de Tech & Co le 10 septembre dernier pour échanger sur la question des assistants personnels.Ils n’ont jamais été autant médiatisés. Entre Apple avec Siri, Microsoft et Cortana, Google Now ou encore Amazon avec Alexa et Samsung avec Bixby. Les grands acteurs de la tech investissent massivement pour proposer toujours plus d’interactions, de skills. Un assistant vocal, vraiment personnel ? La promesse ne manque plus d’ambition, mais tarde à se concrétiser. Marc vous en parle ici et l’émission est disponible par là.

 

  • Toujours avec BFM Business, nous avons animé une table au cours des Digital Networking Lunch sur le sujet « Renaissance de la fonction SI : quel expert pour accompagner la transformation digitale de l’entreprise ? » lors de la 3ème édition du 01 Business Forum, l’événement de BFM Business sur la transformation digitale des entreprises. Les participants avaient la possibilité d’échanger avec Marc Trilling qui leur a apporté des solutions concrètes et utiles à des problématiques de transformation digitale.

 

Sur un autre sujet, le Programme de Reconnaissance de l’Institut Great Place to Work® nous a remis la certification portant le même nom !Valorisant Saegus en tant qu’entreprise où il fait bon travailler ! Nous sommes très heureux de pouvoir le partager avec vous aujourd’hui et proposons que vous l’observiez par vous-même en vidéo.

 

Pour finir sur nos actus, la troisième édition de la Saegus Academy a accueilli, cette année encore, une dizaine de collaborateurs partis 3 jours en immersion afin d’apprendre ou redécouvrir toutes les techniques du métier ! Pour Saegus, qu’ils soient consultants, intrapreneurs, designers, data scientists ou développeurs, tous les collaborateurs ont l’opportunité de participer à notre Academy. Le concept est d’ailleurs bien loin de ressembler à des cours magistraux… En vous en parle ici.

 

Si vous êtes intéressés par une de ces news que vous souhaitez plus d’info et de précisions, n’hésitez pas à nous contacter. Gaëlle se fera un plaisir de vous répondre et est aussi joignable au 06 12 46 80 95.

 

A bientôt !

La Saegus Team

Rétrospective de la situation de Jive, bon candidat au rachat

 

Jusqu’ici Jive était leader sur le marché du collaboratif avec une solution pionnière et innovante : un réseau social d’entreprise proposant 2 produits (Jive-x et Jive-n).

Si l’on revient un peu en arrière, en 2011 l’entreprise décide de profiter de son avantage concurrentiel pour entrer en bourse, observant dès l’année suivante la valeur de ses actions atteindre 27,5$ quand celle du produit Jive atteignait 1,7Mrd$.

Cette même année a constitué un véritable tournant dans l’histoire de l’éditeur pour deux principales raisons :

  • Suite à son entrée en bourse, Jive a vécu une grande pression des investisseurs qui exigeaient de l’éditeur de consacrer une énergie importante pour servir les objectifs financiers ayant pour conséquence la décélération du développement
  • Le marché a évolué, laissant le champ libre à des acteurs tels que Microsoft et Atlassian de rattraper leur retard tandis que de nouveaux concurrents sont apparus avec des offres agressives : on peut citer Slack (outil collaboratif) créé en 2014.

Ses difficultés de sont faites sentir face à une pression concurrentielle aussi forte. Elle était d’autant plus forte que la solution demeure encore aujourd’hui un pure player sur un marché de niche, à la différence qu’elle n’est pas supportée par des applications métiers. Ceci est très préjudiciable pour l’activité de Jive quand, à l’inverse, des éditeurs comme Microsoft ont enrichi leur catalogue d’offres avec une couche collaborative et sociale.

 

Tous ces éléments ont marqué la fin de son avantage concurrentiel qui s’est soldé par l’annonce de résultats négatifs à partir de 2011. Ces mauvais chiffres ont vu plonger, en 2016, la valeur des actions et du produit à leur plus bas à respectivement 3$ et 400M$.

 

Ces difficultés ont assujetti Jive au rachat, et c’est en 2016 que l’entreprise a préparé son acquisition. Un certain nombre de chantiers de restructuration avaient alors été menés, assortis d’une réduction de 15% des effectifs et d’une migration vers AWS . Ils ont permis à Jive d’enregistrer des résultats positifs à la fin de la même année… L’heure de l’acquisition était proche.

 

Un avenir assez incertain…

 

En mai dernier, intervient l’annonce du double rachat de Jive par Auréa – l’un des leaders américains de l’expérience client – marquant maintenant la séparation des deux produits Jive-x (logiciel de communauté sociale) et Jive-n (logiciel intranet social et collaboratif), lesquels vivront probablement un avenir très différent.

On peut considérer cette séparation comme une opportunité si l’éditeur recentre ses efforts sur le développement de son produit phare Jive-n.

 

Et maintenant, quel avenir pour ces deux solutions ?

 

Jive-x

Solution concurrente de Lithium proposant un réseau social externe qui permet d’optimiser l’engagement des clients et partenaires, il est fort probable qu’elle disparaîtra à terme en tant que marque, favorisant un effet d’aubaine pour Lithium qui pourrait profiter du rachat pour mieux asseoir sa position de leader sur le marché, renforcer son portefeuille clients et bien évidement profiter de la technologie de Jive pour enrichir sa solution.

 

Jive-n

Contrairement à Jive-x, l’avenir de Jive-n est beaucoup moins incertain. Il peut conserver sa place parmi la suite de produits proposés par Aurea, les réseaux sociaux internes étant notamment complémentaires à des solutions CRM et d’archivage de mail.

La marque jive-n a donc de fortes chances de subsister grâce à ce rachat et à favoriser de nouvelles opportunités :

  • Libération de la pression des investisseurs pour se consacrer d’avantage au développement du produit, lequel peut s’orienter vers une seule cible (jive-n)
  • Apport de briques supplémentaires par Auréa pour enrichir et combler certaines lacunes du produit
  • Accélération de la recherche & développement via la « force de frappe » d’Auréa pour une évolution rapide de produit

En dépit de cette opportunité, on l’a souligné, le risque de perdre sa philosophie et son image de marque historique demeure pour Jive si Aurea transforme le produit… Un deuxième risque réside aussi dans la tenue des promesses déjà annoncées par Aurea concernant l’évolution du produit Jive : en cas de non-respect de ces dernières dans un timing raisonnable, la confiance des clients envers Jive serait compromise découlant sur un risque de désengagement non négligeable.

 

Les leçons à tirer 

 

L’acquisition de jive a certes soulevé un certain nombre de questions quant à son avenir et à l’impact sur les entreprises clientes, mais il a principalement rappelé et confirmé l’évolution permanente et relativement rapide du monde du Digital.

 

Pour résister face à cette transformation digitale grandissante, force est de constater que toutes les entreprises devront réaliser un grand travail de veille. Et ce travail ne s’arrêtera pas à la seule observation du marché du digital et des solutions, il devra surtout intégrer l’étude des nouveaux usages métiers au sein de l’entreprise.

 

Il s’agira résolument de tester les nouveaux outils via la mise en place d’un lab dédié à la recherche & développement « Digital », les entreprises devant se réarmer au plus tôt pour anticiper le virage et monter des POC (proof of concept) autour des nouvelles solutions et usages digitaux.

 

Nous avons fait depuis longtemps ce constat et avons accompagné plusieurs entreprises dans la mise en place de leur lab digital afin de répondre à ces objectifs :

  • Cartographier les usages métiers en sortant du cadre de référence
  • Observer de manière continue le marché du digital et les solutions proposées pour mieux faire face à son évolution
  • Dépasser la simple observation pour POCer les solutions tierces et les nouveaux usages

 

 

Pour en savoir plus sur notre démarche et proposition d’accompagnement, n’hésitez pas à demander un rdv à gaelle.pommereau@saegus.com.

 

En décembre 2016, Microsoft faisait l’acquisition de Linkedin pour 26 milliards de dollars, en restant assez flou sur les impacts d’un tel rachat. 9 mois plus tard, le rachat commence à porter ses fruits via une première intégration entre Linkedin et Office365.

 

Les deux plateformes s’associent au sein d’une fonctionnalité appelée Profile Cards. Il sera possible d’importer son profil Linkedin dans Office365 -sur Outlook dans un premier temps- et ainsi d’avoir plus de contexte sur les collaborateurs, leur poste, parcours et compétences qu’il soit interne ou externe à l’entreprise.

Source: https://content.linkedin.com/content/dam/press/images/UPDATED-Current-Global-Membership_Q12016.jpg

 

 

Microsoft présente les avantages suivant à cette nouvelle intégration :

“You’ll have a quick and easy way to find more information about the people you work with, all without having to leave your workflow.”

Mais au delà de l’intégration Outlook prévue dès Octobre, la connexion sera progressivement déployée sur les autres briques de la suite Office365 et laisse présager une vraie nouvelle valeur ajoutée.

Enfin un vrai profil enrichi au service de la collaboration

Depuis une dizaine d’années, les outils associés au digital workplace accordent une importance croissante à l’utilisateur : ce n’est plus le contenu en soit qui prime, mais les interactions entre les personnes autour de celui-ci. Les outils sont passés d’une logique content centric à une logique people centric.

Les plateformes ont cherché à décloisonner le partage d’information et la collaboration dans les organisations : faciliter la rencontre au delà des silos traditionnels, réunir des équipes éloignées géographiquement ou dans l’organisation au sein de communautés projets ou d’expertises. Le pré-requis pour tout cela : un profil riche permettant à la fois aux utilisateurs de savoir avec qui ils travaillent, quel est leur background, quelles sont leurs expertises…

Si ces profils sont souvent alimentés avec l’annuaire de l’entreprise, ils sont rarement complètement remplis par les utilisateurs (on a souvent constaté des taux de remplissage inférieurs à 10% chez nos clients). Et c’est précisément ce problème que vient de résoudre Microsoft en intégrant Linkedin à sa suite Office 365.

Tout le monde n’a certes pas de compte Linkedin, mais :

  • On compte 11 millions de compte en France, soit 39% de la population active,

  • L’engagement y est important (53% des utilisateurs s’y connectent au moins une fois par semaine). Il y a donc fort à parier que les profils sont bien plus à jour sur Linkedin que en “interne”, et pour cause, c’est notre vitrine sur le marché de l’emploi.

Microsoft résout donc (presque) le problème du profil enrichi vide, pré-requis essentiel pour une organisation réellement agile & collaborative. Mais au-delà du simple remplissage de la fiche profil, deux autres éléments de la roadmap Microsoft ont attiré notre attention :

  • Les données Linkedin sont disponibles sur les API Microsoft Graph, cela devrait permettre prochainement d’utiliser ces datas au sein d’applications tierces. On peut imaginer par exemple retrouver demain ces données dans différentes applications métiers, ou la création de services divers. L’application de rencontre intra entreprise Never Eat Alone pourrait par exemple être plus intelligente grâce à ces informations.

  • Bing for Business aujourd’hui en preview privée sera prochainement disponible, il devrait permettre une recherche unifiée sur toutes les briques Office 365, avec la couche d’intelligence de l’algorithme Bing. C’est un point essentiel pour l’exploitation du potentiel de cette intégration Linkedin : c’est grâce à cette sur-couche d’intelligence que le collaborateur sera demain en mesure de rencontrer la bonne personne, au bon moment pour que l’organisation exécute et solutionne ses problèmes toujours plus rapidement.

Si vous souhaitez venir discuter de Digital Workplace, tester les usages de demain au sein de notre Lab ou échanger autour d’Office 365, n’hésitez pas à contacter gaelle.pommereau@saegus.com.

Pierre