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Today’s guest blog is from Geoffrey Felix, a Tableau Ambassador and founder of the Paris Tableau User Group. Geoffrey is a Manager at Saegus where he delivers professional services in data visualization. You can find and contact him at saegus.com.

 

I want to share with you my experience of moving to modern BI with Tableau. Tableau was a game changer for decision making; it changed the way people interacted with the data and deeply transformed the company from the inside—not only the IT landscape, but the whole organization. But it also created a governance hurdle. To get the most value from modern analytics, and especially to transform data into information, data and content governance must be assessed.

 

 

Chapter 1: Love at first sight

When you discover Tableau, it is the “wahoo” effect. After a demonstration, everyone wants to do some testing with their own data. At this time, they have just started their journey with Tableau!

I was always amazed by a Tableau demonstration done with Sample Superstore data—it was smooth and beautiful like a good movie. But when people start to use their own files, it is not as easy. First, they realize they need clean and reliable data, and this workload can sometimes be huge (thanks Tableau Prep for making our lives easier). What often happens is that people will use their reporting tools to extract the data and recreate their own dashboards or do visual analysis.

At this point in my journey, Tableau was present in several parts of the company. But people were isolated, as they are most of the time, without governance processes created yet.

 

 

Chapter 2: The governance hurdle

To get to the next level, the IT department needs to be present and assist you in getting the most out of Tableau. Companies will want to integrate Tableau into their information system. Instead of accessing old reporting data extracts, people can connect directly to sources and raw data. This creates a governance hurdle—you have to balance new access with a framework that maintains the integrity and accuracy of the content where the data is used.

 

 

The Tableau governance frameworkSometimes raw data is easy to process because of simple legacy systems or a good data dictionary, and the IT team can create certified data sources for Tableau in several days. Other times—well, let’s be honest… 80% of the time—raw data is a nightmare and you’ll struggle to get processed data to your business. Why? Because there was likely a lack of consistency in the information system and the old reporting tools had all the intelligence that was validated at that time.

It’s not practical for companies to implement modern analytics as a “big bang” project; you need to deliver value fast in a competitive context, and governance must be flexible and iterative to achieve this. Depending on the company context, a new organization can emerge with a defined scope of processes, roles, and responsibilities that span everyone involved in data projects.

 

 

Chapter 3: A new beginning

We faced some challenges on a recent project where some people were a few months into using Tableau and had started questioning the integrity of the data. The same calculations were being recreated across different data sources, and it was kind of funny how the perception of “it’s only a ‘workbook’ in my personal folders” meant nobody felt responsible for discrepancies. However, one day a department manager used one of these workbooks to negotiate with a customer and the product margin was wrong. The customer realized this and we lost a deal.

From that day we’ve learned that people are the key—not the tools—and that governance is not a switch you turn on. We needed to create a framework of governance that would provide clean and correct data to enable visual analysis for better decision making. We started a team to work on these challenges. An audit of Tableau Server was done to map and understand the most-used data sources and certify them as company-trusted.

Training and adoption were also revamped—bye, bye two-day trainings for beginners and advanced users; hello webinars with real use case scenarios and on-demand coaching (more like real-time workshops and prototyping). New activities and presentations were also created during fun events to help people understand Tableau.

 

 
You’ll see real value when Tableau is broadly deployed across the company, but only if your governance framework can ensure accurate data and analytics content. It becomes more than data visualization—it’s a communication system that will link the whole company in making better decisions.

This blog was originally published on tableau.com 


Saegus a souhaité soutenir l’association ” 4L R’Aide ” dont le projet est de concourir pendant le 4L Trophy, du mois de février au mois de mars prochains, une course reliant Paris à Marrakech. Ce raid a pour but d’aider les pays défavorisés en leur apportant des fournitures scolaires et en permettant l’ouverture de salles de classe (grâce notamment aux dons fait en début de course par les Trophystes). Nous sommes derrière eux pour s’assurer la bonne conduite de cet événement qui fêtera sa 22ème édition.

 

 

Qu’est-ce qu’est le 4L Trophy ?

Le 4L Trophy est un raid automobile solidaire destiné aux étudiants, il a été créé en 1997. Il a pour vocation de mettre en place une démarche solidaire et éco-citoyenne. En effet, les étudiants à bord d’une 4L, remise en marche par leurs soins (et grâce à l’aide de leurs sponsors), vont devoir se lancer dans un raid en traversant la France et l’Espagne à destination du Maroc.

Lors de l’édition 2018, le 4L Trophy a rassemblé 1300 équipages, 2600 participants issus de 1460 écoles.

 

Le but de ce raid ?

Vivre une aventure humaine, sportive et solidaire.

Le 4L Trophy, vient en aide à l’association « Enfants du désert ».

Le but de cette association, est de permettre à 20 000 enfants chaque année de rejoindre l’école dans de bonnes conditions, l’association travaillant en étroite collaboration avec une vingtaine d’associations locales.

Pour atteindre ses objectifs, les équipages du 4L Trophy sont appelées à acheminer plusieurs tonnes de matériel scolaire et sont invitées à participer au projet de construction d’écoles en faisant des dons.

Grâce à cette action, 16 classes ont pu être ouvertes depuis 2012.

La « remise des dons » est l’un des temps fort émotionnels de la course.

 

Le déroulement ?

Les équipages débuteront l’aventure par deux jours au Village-Départ de Biarritz les 20 et 21 février 2019. Ils seront ensuite soumis aux vérifications techniques et administratives de la part des organisateurs et recevront l’autorisation de prendre le départ. Le samedi 23 février, les étudiants arriveront à Algeciras et mettront le cap vers le Maroc via des ferrys pour traverser le détroit de Gibraltar.

Du dimanche 24 février au dimanche 3 mars l’aventure au Maroc débutera : pistes désertiques, dunes, paysages à couper le souffle.

L’arrivé se fera le vendredi 1er mars et la remise de prix aura lieu le samedi 2 mars à Marrakech.

 

Saegus et le 4L Trophy

Pour cette édition du 4L Trophy, Saegus a choisi de venir en aide à l’équipage 1048 : « Les Dromad’s ». L’équipe est composée de Jean-Pierre, étudiant en ingénierie, et de Marin étudiant en droit.  Ces deux jeunes ont marqué Saegus par leur motivation, détermination et passion dans leur projet. De ce fait, nous avons voulu les aider à réaliser leur rêve et par la même occasion nous impliquer pour une cause importante à nos yeux : l’éducation pour tous.

Saegus, a pu notamment aider les étudiants à financer les réparations que nécessitait la 4L comme : la carrosserie, l’achat de pièces, la remise en place du carburateur, le démontage et nettoyage du moteur ou encore le changement du châssis. Tout un programme !

Dans les jours à venir, les consultants se rendront sur le chantier afin de mettre la main à la pâte pour réaliser les dernières réparations manuelles que nécessite le véhicule. Le Groupe Saegus tout entier est touché par cette action et chacun souhaite y participer à sa façon. Nous sommes fiers de pouvoir prendre part à ce projet !

 

Voici quelques images de la préparation de la 4L dont nous attendons avec impatience la remise en forme :

 

 

 

 

Nous vous tiendrons informés de l’avancée de l’équipage 1048 !

Si vous portez une action humanitaire ou solidaire, n’hésitez pas à nous contacter afin que l’on puisse échanger sur ces beaux projets.

 

 

Qui ou quelle entreprise n’a pas déjà entendu parler du Cloud ? Le Cloud (le nuage en français) Computing est un moyen de louer et d’exploiter des ressources et des services informatiques à distance via une connexion internet.

 

Voici quelques exemples d’usage :

  • le stockage de vos données : OneDrive, DropBox, Google Drive, SharePoint, etc.
  • les échanges de mail : Gmail (Google), Outlook (Microsoft), Free, etc.
  • la vidéo : VoD, Streaming (Netflix, Amazon Prime, Youtube), etc.
  • la musique : Deezer, Spotify, Apple Music, etc.

 

Figure 1: https://news.microsoft.com/fr-fr/2018/01/23/microsoft-france-annonce-louverture-de-quatre-data-centers-en-france/

 

Le Cloud Computing continue de progresser et de transformer les habitudes des particuliers et des entreprises. Les motivations des entreprises à passer sur le Cloud sont bien différentes de celles des particuliers et les craintes liées à la sécurité de leurs données sont plus importantes. Malgré ces inquiétudes, de plus en plus d’entreprises y pensent tandis que d’autres ont déjà franchi le pas et migrées leur infrastructure sur le Cloud.

 

Lorsque l’on souscrit à un abonnement Microsoft 365 (ouverture d’un Tenant), il est possible de choisir un pays. Ce choix est définitif et permet de choisir implicitement la géolocalisation du DataCenter (un bâtiment regroupant tous les équipements pour la mise en œuvre des services et systèmes d’information) qui hébergera les données. Les lois qui régissent l’exploitation et le traitement des données hébergées dépendent en partie du pays dans lequel se situe le DataCenter.

 

Figure 2 : https://products.office.com/en-us/where-is-your-data-located?geo=All

 

Depuis mars 2018, deux DataCenters Microsoft ont été ouvert en France ; les données qui y sont hébergées sont soumises aux lois françaises et européennes. Le fait de pouvoir à présent héberger les données des entreprises françaises en France est l’un des premiers facteurs favorisant le choix du Cloud pour les entreprises (Exemple : EDF).

 

Les mises à jour et la sécurité des environnements sont un deuxième critère de choix pour les entreprises. En effet, Microsoft priorise ses mises à jour sur les environnements Cloud et ensuite sur les environnements On-Premises, c’est pourquoi, il est plus intéressant aujourd’hui en termes de fonctionnalités et de sécurité de disposer d’un environnement Cloud.

 

En matière de sécurité, les entreprises pourront toujours disposer d’un service informatique efficient, mais le nombre de ressources employées ne pourra jamais atteindre celui que Microsoft emploie pour maintenir ses environnements. Ces dernières années, le nombre et la violence des attaques du web ont évolué ; il faut avoir les meilleurs ingénieurs, spécialistes et logiciels pour disposer d’une efficacité suffisante et tout ceci a un coût non négligeable pour les entreprises… toutes ces ressources sont mises à votre disposition, sur votre Tenant Microsoft 365 afin de sécuriser vos accès et vos données d’entreprises.

 

Il faut aussi prendre en considération que les nouvelles fonctionnalités sont pour la plupart disponibles uniquement sur les environnements Cloud comme Teams, Yammer, Stream, etc. L’évolution des moyens de communication est une priorité, c’est pourquoi Microsoft fait partie des leaders qui s’efforcent de mettre à notre disposition des outils collaboratifs de pointe et toujours plus intelligents.

 

Les entreprises qui restent encore dubitatives sur le sujet et qui souhaitent prendre leur temps pour migrer sur le Cloud ne resteront pas sans solution. Il est tout à fait possible de mettre en place un environnement dit « hybride » qui leur permettra de stocker leurs données sur un environnement On-Premise et de profiter aussi des fonctionnalités uniquement disponibles dans le Cloud. Cette solution permet de réunir suffisamment de critères pour se familiariser avec l’environnement Cloud, de s’assurer que le niveau de sécurité répond aux exigences avant de se lancer dans un environnement totalement Cloud (exemple : SNCF).

 

 

 

Maintenant qu’il est démontré que les environnements Cloud sont plus sécurisés que les environnements On-Premises (à partir du moment où ces derniers sont accessibles depuis internet) et que les dernières fonctionnalités sont disponibles, il faut déterminer quels services du cloud peuvent être mis à disposition des utilisateurs et pour quels usages.

 

Saegus accompagne les entreprises pour les aider à définir leur feuille de route vers le cloud.

Cela passe par une phase d’identification et de priorisation des usages, des données et du niveau de sécurité associé. Nous exploitons pour cela des méthodes d’accélération type Design Thinking, qui remettent les usages au centre du projet et proposent une feuille de route tactique pour un déploiement déjà attendu.

 

L’enjeu majeur est ensuite d’assurer l’adoption des nouveaux services par les utilisateurs. Nous intervenons en proposant un catalogue de services d’adoption packagé avec des activités disruptives et virales, réalisées par nos experts Adoption et notre agence de design interne.

 

N’hésitez pas à nous contacter, nos experts en solutions Cloud seront là pour vous accompagner !


Vous vous en êtes très certainement aperçus : attirer, accueillir et retenir des talents ne requiert plus les mêmes ingrédients aujourd’hui que quelques années auparavant. Progressivement, vous voyez arriver sur le marché et dans vos équipes, une population pour qui le digital et la connectivité ne sont pas juste des outils, mais un mode de vie. Et cette population, il va falloir la chouchouter : quand d’ici 2025 elle représentera les trois quarts de la population active, c’est sur elle que reposera toute la croissance de votre organisation.

 

 

Ceci dit, ne vous attendez pas à une course au salaire, car si ce critère conserve une certaine importance, votre priorité se situera tout autre part. Pensez-y : dans un contexte où les entreprises sont à l’affût de tout nouveau levier de rentabilité et où les forces de travail sont de plus en plus dispersées sur le globe, l’enjeu est de faire communiquer vos collaborateurs, de libérer leur potentiel maximum, bref, de les remettre en tant qu’humains au centre de vos préoccupations.

 

D’ailleurs, vous l’aviez sûrement déjà compris et avez investi dans des outils améliorant non seulement la productivité, mais aussi la collaboration. Plateforme de chat pour communiquer, réseau social d’entreprise pour partager, suite d’outils de coédition ou encore espace de stockage partagé dans le cloud : niveau Digital Workplace, vos salariés sont parés. Mais qu’en est-il de leur environnement physique ?

 

Chez Saegus, nous pensons qu’à l’heure où le salarié possède en moyenne 4 terminaux et bien plus d’outils dématérialisés, qu’il navigue chaque jour entre bureaux, salles de travail, domicile et autres activités extérieures, il devient essentiel de pouvoir lui offrir une expérience où tous ses différents lieux et outils se fondent dans une cohérence parfaite. Si en plus, on prend en compte le fait que pour 78 % des représentants de la fameuse « Génération Y », la qualité du lieu de travail est un critère clé dans le choix de son futur employeur, la conclusion vient d’elle-même : plus qu’un espace de travail digital, c’est un espace de vie phygital dont ils ont besoin.

 

 

On vous propose une avance rapide dans les prochaines années, lorsque les entreprises auront réellement investi dans les technologies de l’immobilier, comme elles sont 63 % à en avoir l’intention aujourd’hui.

 

Voici un cas concret d’un espace de travail phygital au service de l’utilisateur :

Aline, manager qualité dans un grand groupe industriel, a prévu une réunion de préparation d’audit dans une usine en Pologne avec les responsables locaux à distance et l’auditeur externe en présentiel. Elle réserve une salle de visio-conférence et avertit de l’arrivée prochaine d’un invité. La salle est prête, la réservation s’affiche le jour J sur le roompad à l’entrée de celle-ci indiquant l’heure de réunion, la durée et le nom d’Aline. A son arrivée, l’auditeur renseigne à l’accueil son nom et celui de son contact dans l’entreprise, et Aline reçoit immédiatement sur son téléphone la notification de sa présence dans les locaux. Finissant une réunion, elle notifie via chat son invité de patienter dans l’espace d’accueil puis vient le chercher. Dans la salle réservée, l’écran connecté a déjà lancé la session de visio-conférence avec les responsables polonais et la réunion peut commencer immédiatement. Durant la session, les interactions et commentaires sont notés sur le tableau numérique, ainsi visibles de chaque côté de la réunion. Chacun en reçoit une copie en fin de réunion. Aline peut retourner travailler sur sa prochaine réunion dans son espace de coworking, non sans avoir vérifié auparavant la disponibilité des postes de travail sur son application dédiée.

 

 

Gain de temps et de productivité seront au rendez-vous, nous en sommes persuadés, tout comme les 65 % de collaborateurs qui estiment que l’alliance du digital et de l’immobilier améliorent leur développement professionnel. Mais au-delà de cela, c’est le bonheur au travail du salarié qui s’en trouvera boosté. Nous y croyons tellement que c’est dans cette logique que nous avons conçu nos nouveaux locaux. Le marché regorge d’acteurs concernés : architectes d’intérieur, revendeurs audio/ vidéo, intégrateurs spécialisés, mais aucun n’est en mesure de garantir que l’ensemble proposera une expérience cohérente, intégrée et compatible avec vos propres plateformes d’entreprises. Alors plutôt que de vous en vanter encore les mérites, pourquoi ne pas passer nous voir et constater par vous-même ce que le phygital peut vous apporter ?

 

Contactez-nous, nous nous ferons un plaisir de vous partager notre vision d’un espace de travail connecté et phygital.

 

Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

 

#1
Et si les App d’entreprises intégraient des stories ?

Depuis plusieurs années, le phénomène de « story » établi par Snapchat en 2011 s’est diffusé parmi les plus grands : Instagram, Facebook, WhatsApp proposent cette fonctionnalité à leurs utilisateurs et les résultats sont plus que satisfaisants : 188 millions d’utilisateurs actifs et 3 milliards de « snaps » envoyés chaque jour dans le monde. La raison ? La tendance du live et de la vidéo qui suscitent plus d’engagement.

Si les applications qui le proposent actuellement sont réservées à la sphère personnelle, il serait intéressant de la diffuser au contexte professionnel.
En effet, son côté ludique permettrait de diffuser de l’information de manière spontanée et créative via une publication photo ou vidéo. Pour le Digital Workplace, cela permettrait de faire des teasers pour des événements à venir, des formations mais également des valorisations de salariés grâce à du « behind the scene ».

Mieux encore, ce serait un moyen de communiquer sur l’avancée d’un projet de manière ludique, ainsi que de publier le début d’une démonstration d’application avec un lien renvoyant vers l’outil collaboratif où la vidéo est diffusée en entier.

Il est important de savoir que 85% des entreprises souhaitent créer plus de vidéos internes selon une étude du State Of Social 2018.
Les fonctionnalités de ce type d’outils sont en constante évolution et de nouvelles sortent régulièrement comme la fonction de sondage pour analyser de nouvelles données liées à la satisfaction, ou encore la possibilité de faire du phygital sur une story pour donner la main à l’utilisateur. Ce serait également un moyen divertissant de communiquer les « best practices » de l’entreprise et les formations accessibles en ligne.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

 

 

#2

L’incroyable expansion des chatbot

En 2021, plus de 50% des entreprises dépenseront davantage par an pour la création de bots et chatbots que pour le développement d’applications mobiles traditionnelles.
Comment l’expliquer ? Parce qu’un chatbot facilite l’expérience utilisateur en agrégeant l’ensemble des applications développées en interne (RH, Intranet, Messagerie, etc.) en une seule et même application. Les salariés pourront donc poser leurs congés, réserver une salle de réunion, envoyer un e-mail, poser une question et faire une recherche depuis la même interface sous forme de SMS. Et bientôt on espère, l’audio ! Mais loin de nous l’idée de papoter avec un robot. L’évolution des technologies a pu rendre les chatbots intelligents et hyper efficaces grâce à l’apprentissage automatique, au traitement automatique du langage naturel et surtout de l’expérience utilisateur conversationnelle. Cela constituerait donc un gain de temps conséquent pour le salarié, permettrait une meilleure organisation et donc meilleure satisfaction.

 

 

#3

Smart building : 
La tendance responsable

En 2021, plus de 50% des entreprises dépenseront davantage par an pour la création de bots et chatbots que pour le développement d’applications mobiles traditionnelles.
Comment l’expliquer ? Parce qu’un chatbot facilite l’expérience utilisateur en agrégeant l’ensemble des applications développées en interne (RH, Intranet, Messagerie, etc.) en une seule et même application. Les salariés pourront donc poser leurs congés, réserver une salle de réunion, envoyer un e-mail, poser une question et faire une recherche depuis la même interface sous forme de SMS. Et bientôt on espère, l’audio ! Mais loin de nous l’idée de papoter avec un robot. L’évolution des technologies a pu rendre les chatbots intelligents et hyper efficaces grâce à l’apprentissage automatique, au traitement automatique du langage naturel et surtout de l’expérience utilisateur conversationnelle. Cela constituerait donc un gain de temps conséquent pour le salarié, permettrait une meilleure organisation et donc meilleure satisfaction.

Good to know : Le bâtiment connecté utilisera une multitude de technologies !
L’IoT – Internet Of Things – (pour créer de la donnée sans interaction homme-machine), le Cloud (pour stocker les données), l’Intelligence Artificielle (pour l’ensemble des algorithmes), le Big Data (pour analyser la donnée et en faire une information), l’Analytiques pour analyser les informations, l’automatisation (suite à la connaissance du salarié) et la robotique pour exécuter la tâche. Plutôt cool n’est-ce pas ?

 

 

#4

Assistance virtuelle grâce à l’IA et la Voice Activated Search

Si dans une journée on nous demandait de lister les choses qui nous agacent et nous prennent du temps au bureau, forcément il y aurait : le tri et et le traitement de nos emails (on adore les retours de vacances), la prise de RDV, la réservation des salles de réunion, la rédaction de compte-rendu etc. Mais pas de panique, une solution fait son entrée sur le marché : l’assistance virtuelle ! Elle sera chargée de gérer toutes les tâches administratives et organisationnelles, d’automatiser les processus métier conséquents pour que le salarié puisse se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée ! Ainsi, les missions du salarié deviendront plus intéressantes et épanouissantes, créant un gain de temps et de productivité important. Qu’en est-il du ROI nous direz-vous ? Il a été calculé entre 30% et 200% selon la taille de l’entreprise.
A l’assistance virtuelle s’ajoutera l’assistance de réunion intelligente avec la « Voice Activated Search » qui s’occupera d’un certain nombre de tâches qui lui seront demandées pour alléger la charge de travail des participants, comme la prise de notes !

Sur le marché, nous pouvons déjà remarquer EVA, une assistante de réunion intelligente qui enregistre les échanges pendant les réunions et réalise un procès-verbal composé des différentes décisions prises. Selon les tâches qui lui ont été attribuées en amont, elle s’occupe également d’envoyer automatiquement le rapport au public concerné.

 

 

#5

Analytics for everything

Si on continue dans cette dynamique, on se retrouve avec un salarié qui ne subit plus de tâches fastidieuses et qui est épanoui ! Mais comment vont évoluer les métiers ? Un indice : « La donnée est le pétrole du 21ème siècle ». Donc … vers l’analyse ! D’ici à 2020, 85% des nouveaux postes techniques basés sur les opérations seront sélectionnés pour des compétences d’analyse et d’intelligence artificielle. D’une part, les données seront analysées pour continuellement maintenir un environnement et une expérience digitale optimale pour les salariés ; de l’autre des analyses de sécurité avancées seront réalisées pour anticiper – grâce au croisement de données – toute menace liée à la cybersécurité. Enfin, l’intelligence artificielle sera intégrée à 75% des applications pour pouvoir analyser des données métiers et détecter tous types d’anomalies. Ainsi, les outils d’analyse performants, alliés à l’intelligence artificielle permettront d’avoir une vision claire pour prendre des décisions tout en garantissant un niveau élevé d’adoption et de satisfaction des salariés !

 

 

#6

Quand la réalité virtuelle devient un outil de travail

D’ici à 2019, les solutions technologiques de réalité virtuelle, réalité augmentée et réalité mixte seront adoptées dans 20% des entreprises. Cela favorisera de nouvelles expériences de travail au salarié mais sera surtout une solution aux entreprises multi-sites afin de projeter des présentations et d’être collaboratifs grâce à la téléprésence. Plutôt cool pour faire du télé-travail sans avoir l’impression d’être isolé dans une grotte … Le recrutement pourra également se faire de manière plus réaliste, avec des mises en situation concrètes où le candidat sera en capacité d’intervenir physiquement et à distance grâce aux technologies intelligentes et intuitives. Ces dernières permettront de vivre une expérience tactile basée sur une vidéo ainsi que d’améliorer la communication et les performances professionnelles des employés grâce aux technologies immersives.

Nous pouvons déjà trouver des outils permettant de profiter de la réalité mixte sur le marché, comme l’offre HoloLens de Microsoft qui permet par exemple de résoudre un bug technique en communiquant avec une assistance via les lunettes, en lui montrant l’ordinateur (le réel) et en voyant apparaître à l’écran les points d’attention sur lesquels l’assistance a cliqué (le virtuel) pour trouver l’origine du bug, et le résoudre. Mais ceci, vous connaissez sans doute.

 

 

#7

Évolution du Cloud vers le tout en un

Le Cloud n’a pas fini de faire parler de lui ! Le nouveau phénomène ? La démocratisation de l’utilisation des données en temps réel dans l’ensemble de l’entreprise. Actuellement, seul le top management peut utiliser toutes les informations liées à l’entreprise contrairement aux salariés qui n’ont accès qu’aux données qui les concernent directement. Avec un Cloud dit tout en un, l’ensemble des salariés auront accès à toutes les données concernant l’entreprise directement, sans devoir attendre de longues procédures d’autorisation.

Ainsi, l’accessibilité des données permettrait de les analyser sans perdre de temps, en éliminant les longs process de validation.
Si cela paraît attractif sur le papier, on peut tout de même se poser des questions sur le risque que représente des données potentiellement sensibles ou confidentielles accessibles par tous et en nomadisme ?

 

 

N’hésitez pas à nous contacter, nos experts en solutions digital workplace seront là pour vous accompagner !

 

Green Tech, Clean Tech, technologies vertes… en avez-vous déjà entendu parler ? Si oui, quelle opinion en avez-vous ?

Thibault Van Caenegem, Manager chez Saegus, s’est exprimé à ce sujet sur le plateau de Frédéric Simmotel pour son émission du week-end, le 01 Business Forum.

 

 

La tendance “green”

Alarmant sans être trop alarmiste, le rapport du GIEC a fait grand bruit suite à sa publication récente, dénonçant une augmentation du réchauffement climatique à +2°c ou 3°c d’ici une trentaine d’années si nous ne changeons pas dès aujourd’hui nos modes de vie. Aussi, la tendance « green » est un vrai plébiscite mondial qu’il est temps de développer davantage pour trouver des solutions pérennes favorables à l’avenir de notre planète.

 

Si les entreprises l’ont bien compris et surfent sur la tendance, de plus en plus d’acteurs s’investissent comme le démontrent rien qu’en France de nombreuses initiatives telles que le réseau d’incubateurs de la Green Tech dont le projet est d’accompagner le développement de startup concourant à la transition énergétique (économies d’énergie, énergies renouvelables, stockage de l’énergie, mobilité…). Alors green tech d’accord, mais qu’est-ce que c’est ? Ce sont toutes les initiatives technologiques ayant pour ambition de faciliter la transition énergétique en utilisant les outils et la logique numérique.

 

Les technologies vertes encore “anonymes”

Pour autant, bien que ces projets fleurissent, les Français demeurent peu informés de l’émergence de ces green tech puisque deux tiers d’entre eux, soit 64%, n’ont jamais entendu parler de green tech. Comme le note notre partenaire Emile Leclerc, Directeur d’Études chez Odoxa : « quand ils en ont entendu parler (36%), c’est quasiment toujours de manière vague (30%) plutôt que précise (6%). Dans le détail, les jeunes (62%) et les cadres (57%) sont nettement plus au fait de ce dont il s’agit ». Comme l’explique aussi Thibault, « si le concept n’est pas encore bien identifié par les Français, leur utilisation concrète dans leur quotidien est en train de s’installer durablement (écomobilité, outils de diagnostics et de mesure de l’énergie, etc.) ».

 

Il y a donc un travail d’acculturation de l’opinion publique à réaliser autour de ces projets pourtant portés par nombre d’acteurs et par l’Etat pour inverser la part des Français (3/4 d’entre eux !) jugeant les entreprises insuffisamment incitées à se tourner vers une production plus écologique.

 

Nous vous proposons de lire en détail le point de vue des experts circonscrit dans cette étude que vous pouvez télécharger.

 


 


Contexte et défis

Dans le cadre de son plan stratégique Essentiels2020, Orange a mis l’accent sur deux axes forts : l’innovation et la construction d’un modèle d’employeur digital et humain. 

Le groupe disposait déjà de plusieurs initiatives liées à l’innovation salarié éclatées dans le groupe et les différents pays. Un nouvel objectif a été fixé afin de définir un dispositif d’innovation porté par le groupe pour tous les salariés Orange. 

Le but de ce programme était double :

  • Centraliser toutes les démarches aujourd’hui lancées par les pays en mettant en place un point d’entrée unique, au sein du réseau social d’entreprise Plazza
  • Harmoniser, structurer les démarches existantes ou en créer de nouvelles autour de 4 dispositifs (amélioration continue, mur d’idées, défis de l’innovation, Intrapreneurs Studio)

Démarche

Pour la mise en place de cette initiative, Saegus a proposé un profil pluridisciplinaire pour apporter :

  • Un support à la gestion de projet en mode agile : aider à la structuration et au pilotage du stream outil & déploiement
  • Une expertise solution Jive : assister à la conception de plateformes à la fois désirables pour l’utilisateur et techniquement viables
  • Un conseil sur les parcours et processus liés à l’innovation salarié

 

Patrick Lebreton – HR digital solution manager

« Saegus a permis à Orange d’identifier et prioriser les fonctionnalités clés et de sécuriser les livrables dans les délais impartis. Son expertise de la solution Jive et sa capacité à adapter la méthode Agile au contexte du projet ont été primordiales. »

 

Résultats

L’apport d’un cadre et d’une méthodologie projet inspirée de l’agile, a permis : 

  • La synchronisation des acteurs métiers et IT des quatre dispositifs
  • L’adoption d’une démarche de conception produit demeurant centrée sur l’utilisateur
  • La création d’une plateforme évolutive en cycle court délivrée aux salariés en 4 mois

 

Facteurs clés de succès

La maitrise des techniques de gestion de projet agile

La connaissance technique et fonctionnelle de Jive

La mobilisation de notre Factory pour le développement rapide de fonctionnalités manquantes à Jive

Une promotion soutenue du programme innovation salarié adoptée par 5000 collaborateurs

 

 

 


 

 

Saegus accompagne depuis 2 ans un acteur majeur de la production et de la fourniture d’énergie dans le monde.

L’objectif de cette mission : mettre en œuvre un Lab afin d’animer en continu l’évolution de l’environnement Digital Workplace et ainsi raccourcir le “time to market” entre un besoin exprimé par les utilisateurs et sa mise à disposition effective.

 

Le challenge de la mission

Un des enjeux majeurs de la DSI est de proposer des services adaptés aux collaborateurs du Groupe pour favoriser  l’innovation et les nouveaux usages, permettant alors une meilleure efficacité, tant au niveau individuel que collectif.

 

L’ancienne organisation ne permettait pas d’apporter des améliorations aux services déjà déployés : le budget devait être prévu très en amont, et de trop nombreuses équipes intervenaient sans réelle synergie.

Résultats ? Une forte inertie et une solution apportée bien tardivement qui ne répondait parfois pas réellement à la problématique initiale.

 

Ainsi, l’organisation et l’industrialisation du processus de  création  et de mise à disposition de nouveaux services était stratégique pour la DSI du Groupe.

 

L’approche Saegus

Pour en finir avec cet effet tunnel et pour replacer l’utilisateur au centre des attentions, Saegus a alors décidé de créer un Lab des usages Workplace en s’appuyant sur son expertise reconnue des démarches d’innovation.

L’équipe s’est appuyée sur sa capacité à exploiter des méthodes agiles, Design Thinking et Lean Startup, avec les solutions de l’écosystème Digital & Phygital Workplace au sens large.

Utiliser une méthode agile permet de présenter en 1 ou 2 sprints un premier Minimum Valuable Product (MVP) à un panel utilisateurs pour valider la pertinence (ou pas) de la solution avant de l’industrialiser (ou de pivoter).

 

En amont du Lab, l’objectif était de créer une User Voice au travers de communautés et d’ateliers d’idéation. Ces ateliers, réalisés en partie grâce à la plateforme de Crowd Thinking Foreseeds (accélérateur développé par la Saegus Factory), ont permis aux clients de prioriser les sujets en identifiant les futurs Products Owners.

 

 

Les actions employées

Afin de développer et animer le Lab Digital Workplace, Saegus est intervenu à différentes étapes :

  • Coaching des équipes (le Product Owner et toute l’équipe Workplace)
  • Mise en œuvre et paramétrage des outils pour supporter la démarche agile du Lab
  • Proposition et définition des différents templates pour les livrables clés de chaque étape du processus
  • Pilotage des projets en méthodologie Scrum
  • Participation active à l’instruction des nombreux sujets en tant que membre de l’équipe Workplace

 

Tout cet accompagnement réalisé grâce au Lab a permis cette fois de conduire une quinzaine de projets dont les bénéfices sont significatifs en interne.

 

Pour avoir plus de détails sur le pourtour de cette mission et quels sont les résultats sur le long terme, n’hésitez pas à nous demander rdv.


En 2018, Saegus accompagne les étudiants de dernière année de l’école d’ingénieur ECE, qui ont choisi de suivre l’option Design. La responsable de ce cours, Marouchka Hebben, référente Design Thinking chez Saegus, nous explique pourquoi.

 

Qu’est-ce que l’option Design de l’ECE ?

Les étudiants de dernière année de l’ECE doivent choisir une option qu’ils vont suivre pendant tout un trimestre. Cela correspond à 60h de cours, soit 20 séances. L’ECE propose de nombreuses options, depuis la robotique à la finance et, bien sûr, l’option design.

L’option design initie ces futurs diplômés à la méthode de travail du designer.

 

Quel intérêt pour des ingénieurs de s’initier au Design ?

Le design est un métier récent, qui n’a été formalisé que dans les années 1960 et dont on entend de plus en plus parler. Mais historiquement, les ingénieurs sont des designers ! En effet, ce sont eux qui conçoivent des solutions aux problèmes existants. Aujourd’hui, la différence principale, c’est que le designer va d’abord réfléchir à la désirabilité d’une solution, tandis que l’ingénieur va avoir tendance à s’attacher d’abord à sa faisabilité.

Certains élèves veulent se tourner vers l’entrepreneuriat, d’autres veulent devenir chef de projet, certains seront data scientists, mais quelle que soit leur orientation, ils vont bénéficier des apprentissages du design. Ils vont comprendre et mettre en pratique une approche centrée sur les utilisateurs, et ainsi changer leur manière d’approcher un problème. Ils seront sans doute amenés à travailler avec des designers dans leur vie professionnelle et pourront donc plus facilement participer aux décisions stratégiques sur l’expérience utilisateur ou la co-création dans laquelle ils ont un grand rôle à jouer. Il faut casser la segmentation entre ceux qui exécutent et ceux qui pensent l’expérience utilisateur, c’est un travail collectif où l’implication de chacun est essentielle.

 

Qu’est-ce que les étudiants vont apprendre ?

Le terme « design » fait peur, on imagine souvent qu’il faut savoir dessiner ou avoir des talents créatifs. Pour initier les étudiants au design, nous avons choisi de leur faire découvrir le Design Thinking, qui est l’application des principes et de l’état d’esprit du design à un ensemble de problématiques plus larges. Le champ d’application du Design Thinking est très large et continue de s’élargir, et nous pouvons ainsi accompagner les élèves dans la mise en pratique.

Sur les 60 heures de cours, ils vont apprendre à mener une recherche utilisateur pour comprendre les irritants et l’expérience existante, formaliser leurs apprentissages dans des supports tels que des personas, cartes d’empathie et experience maps, mais aussi apprendre à générer des solutions innovantes, puis à les rendre concrètes en les prototypant rapidement et en les testant auprès des utilisateurs cibles. C’est donc un cycle complet d’apprentissage, de bout-en-bout, de l’ensemble des dimensions du design thinking. Pour aller encore plus loin dans la mise en pratique, nous allons leur faire découvrir les liens entre l’Agile et le Design Thinking.

 

Pourquoi Saegus accompagne l’ECE sur ce cours ?

Chez Saegus, et notamment notre organisme de formation, la Saegus Institute, nous valorisons la mise en pratique. Nous sommes convaincus que l’apprentissage doit s’inverser : la part de la théorie doit s’inverser au profit de la mise en pratique directe accompagnée par des experts. C’est exactement l’approche que nous mettons en place à l’ECE : forts de notre expertise en Design Thinking, mais aussi de nos solutions dédiées telles que Foreseeds, ce cours est pour nous l’occasion d’accompagner 40 étudiants à mener à bien des projets qu’ils ont eux-mêmes choisi. Chaque cours sera bien plus un atelier pratique qu’un cours théorique.

 

 

Quelle va être la mise en pratique des étudiants ?

Les élèves vont avoir un projet à réaliser en équipes, qui sera le fil rouge du cours. Ils ont déjà commencé à réfléchir à leurs projets qui vont être de nature très différente : lutter contre le gâchis alimentaire, sensibiliser les personnes âgées à la sécurité informatique, la gestion des déchets sur les sites historiques… Ils ont joué le jeu et choisi des sujets qui leur tenaient à cœur !

L’objectif est aussi de leur montrer par la pratique que le champ d’application du design thinking ne se limite pas au digital et que les solutions auxquelles ils vont parvenir peuvent être très éloignées de leurs premières hypothèses. Nous leur demandons d’envisager ce projet en équipe comme un projet professionnel, et à la fin du cours, ils vont présenter leur projet devant un jury de professionnels. Cela leur donne un beau challenge à relever !