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En septembre 2021, nous vous présentions l’interopérabilité entre Klaxoon et Jira permettant d’enrichir votre collaboration. Klaxoon vient de l’annoncer, une nouvelle version de son intégration avec Jira est disponible… Nous l’avons testé pour vous !

L’objectif reste le même : vous permettre à vous et votre équipe de travailler avec fluidité et efficacité tout en maximisant la collaboration.

Si vous ne connaissez pas Klaxoon, voici une liste non-exhaustive des possibilités offertes par l’outil :

  • Enrichir vos réunions, qu’elles soient à distances ou en présentielles, grâce à son interface ergonomique ;
  • Récolter les avis de vos collaborateurs pendant les ateliers grâce à la création de sondages ou quiz ;
  • Passer de l’idée à l’action grâce au board « hybrid » ;
  • Et bien d’autres fonctionnalités encore.

Jira, destiné aux équipes travaillant en agile ou non, est un outil avancé de gestion de projets permettant :

  • La création de Product Backlog et le suivi des avancées des équipes en temps réel grâce à la création automatique de graphiques détaillés ;
  • L’alignement des équipes et la compréhension claire et partagée d’un projet. L’outil peut être connecté avec les environnements de développement pour les projets IT notamment;
  • L’automatisation de tâches ou processus, pour économiser du temps permettant et se concentrer sur l’évolution du projet ;
  • Et bien d’autres fonctionnalités encore.

L’intégration Jira-Klaxoon

L’utilisation conjointe de ces outils permet d’importer dynamiquement les tickets Jira dans un board Klaxoon hybride. L’avantage ? Allier la visualisation dynamique et la gestion de projet.

La nouvelle version de cette intégration propose plusieurs nouveautés clés, dont voici les bénéfices principaux.

Les demandes jira sont dorénavant des posts-it ayant des attributs

Pour rappel, en fusionnant avec Jira, l’objectif de Klaxoon est de permettre à ses utilisateurs d’organiser ou trier visuellement leurs tickets Jira. Grâce à l’interopérabilité, les demandes Jira sont affichées et modifiées en temps réel sur les deux outils.

Dans cette nouvelle version, le type de demande n’est plus signalée par une simple couleur de post-it, mais par un attribut. Il en est de même pour le statut du ticket.

De ce fait, les utilisateurs peuvent maintenant créer des couleurs ou catégories librement. En basculant dans la vue “colonne” du board Klaxoon, l’utilisateur peut créer autant de catégories et couleurs qu’il le souhaite pour mieux organiser visuellement son projet et/ou l’animation de sa réunion.

Obtenir plus d’informations sur une demande Jira depuis un post-it Klaxoon

En cliquant sur un post-it hybride, une nouvelle vue est maintenant disponible. Elle présente à gauche les informations du post-it (sujet et attributs) et à droite les informations relatives à Jira en lien avec ce post-it (assignement, priorité, date de création…). Un lien renvoyant vers le projet Jira en question apparaîtra, vous permettant de basculer simplement sur l’autre outil.

Exploiter le board Klaxoon en multi-projets

Sur votre board Klaxoon, l’intégration Jira vous propose de choisir le projet sur lequel vous souhaitez travailler. Nouveauté : la possibilité de sélectionner plusieurs projets Jira pour ajouter des tickets à votre board.

Vous pouvez également contrôler les options de filtre des tickets en utilisant le code JQL. Il vous permet de définir les filtres des tickets à importer suivant par exemple : la date de création, l’assignement, la priorité…

Ce qui n’a pas changé : la synchronisation automatique des tickets depuis Jira et Klaxoon

D’un point de vue méthodologique, il est recommandé de rédiger correctement les demandes sur Jira et renseigner l’intégralité des champs obligatoires, afin qu’elles soient compréhensibles par tous. Cependant, grâce à l’intégration, il est possible de transformer les idées Klaxoon en tickets Jira en quelques clics. Alors qu’il fallait jusqu’alors sélectionner les post-it un à un, il est maintenant possible de les sélectionner de façon groupée, puis les convertir en tickets Jira au sein d’un projet sélectionné.

Rendez vous ensuite dans le Product Backlog de votre projet Jira : enrichissez vos tickets d’informations complémentaires (description, priorité…). Ces informations se mettront automatiquement à jour sur votre board Klaxoon.

Créer des tickets directement depuis le board Klaxoon permet de gagner en rapidité et éviter de recopier chaque idée sur Jira. À noter : le processus inverse fonctionne également, à une différence près. Les tickets créés sur Jira sont automatiquement synchronisés sur le board Klaxoon mais sont disponibles dans une “inbox”. Il vous suffit de l’ouvrir pour décider les tickets que vous souhaitez incorporer. Cette procédure vous permet d’avoir la main mise sur ce qui est affiché sur le board.

Notre avis

Créativité, efficacité et transparence sont les mots qui peuvent définir la rencontre de Klaxoon et Jira.

Cette mise à jour permet de profiter pleinement des fonctionnalités de chaque outil : Klaxoon pour la collaboration, l’émergence d’idées et l’organisation des équipes et Jira pour l’alignement des équipes, la gestion de projet selon une fine maille et le suivi en temps réel des réalisations.

Pour résumer, cette intégration donne aux post-it une nouvelle dimension en leur donnant des attributs précédemment seulement visibles sur Jira. Le board Klaxoon peut être organisé selon plusieurs projets Jira, tout en offrant ses fonctionnalités clés comme la vue colonne. Il répond ainsi à de nouveaux cas d’usage. Enfin, la synchronisation des deux plateformes permet de garder la main sur ce qui est créé, décidé et réalisé à chaque instant durant la vie d’un projet.

Au sein de l’équipe Acceleration Tactics, département de Saegus expert des méthodes agiles et de la gestion de projets, nous utilisons au quotidien ces deux outils pour l’animation d’ateliers d’intelligence collective ou de nos instances agiles. Pour nous, cette intégration est importante car elle nous permet de fluidifier la transition de l’idée vers le ticket sans perte de temps ou d’information et d’assurer la transparence de chaque étape d’un projet.

Si vous souhaitez être accompagné·e dans l’adoption de ces outils ou vos projets de transformation agile, n’hésitez pas à contacter nos expert·e·s Acceleration Tactics !

Le développement de biens et services centrés utilisateurs invite les organisations à améliorer les méthodes, outils et processus de recherche utilisateur. Pour ce faire, des outils pensés pour faciliter les activités de recherche intègrent progressivement les processus de travail des équipes.

Daniel Pidcock, chercheur spécialiste en UX, a puisé dans les difficultés rencontrées par ses équipes au quotidien pour développer une méthodologie et un outil destiné à capitaliser efficacement les données de la recherche utilisateur : Glean.ly.

Le premier outil dédié à l’Atomic Research

Qui de mieux pour concevoir un outil basé sur une méthodologie que celui qui en est le créateur ? Lors de sa conférence sur l’Atomic Research à l’UX Brighton en 2018, Daniel Pidcok a dévoilé l’outil qu’il a pensé pour faciliter la recherche utilisateur avec ces mots : “What if our UX knowledge was in a searchable and shareable format?” (“Et si l’ensemble de nos connaissances UX était accessible sous un format facilement recherchable et partageable ?”).

Fondée sur la base théorique de l’Atomic Design, l’Atomic Research est une méthodologie visant à étudier un objet en le découpant en plusieurs éléments pouvant être examinés à la fois sous leur forme primaire et de façon relative par rapport à d’autres éléments.

L’Atomic Research : découpage de la recherche utilisateur en quatre parties, illustrant les informations récoltées et problématiques qu’elles résolvent.

Si l’Atomic Design entend identifier les éléments composant une structure visuelle donnée, l’Atomic Research reprend quant à lui la structure de la synthèse d’une recherche utilisateur pour catégoriser les informations obtenues et les lier entre elles.

Les expériences (questionnaires, entretiens) engendrent des faits et objectifs neutres (80% des utilisateurs ne cliquent pas sur le bouton rouge), qui nous poussent à supposer des insights (“les utilisateurs préfèrent les boutons verts”) desquels nous pouvons déduire des recommandations (“il faut remplacer les boutons rouges par des boutons verts”).

Glean.ly s’appuie sur cette structure pour faciliter le travail de l’UX Researcher en lui permettant de naviguer au sein d’un ensemble d’informations ordonnées et interconnectées.

Les fonctionnalités clés de l’outil

Nous l’avons vu, l’outil repose sur l’adaptation du modèle de l’Atomic Research. Les fonctionnalités clés de Glean.ly sont donc par nature des moyens de valoriser l’interconnexion des données de la recherche utilisateur.

Cartes interconnectées

Chaque élément des étapes de l’Atomic Research est représenté sous forme de carte. Chaque carte est reliée à celle qui la justifie ainsi qu’à celle qu’elle permet de déduire.

Grâce à cette structure, les recommandations issues d’une recherche utilisateur sont justifiées par des faits objectifs qui permettent de valider ou non des hypothèses appelées insights, sur la base desquels des recommandations sont réalisées puis testées.

Les cartes interconnectées favorisent une démarche itérative, puisque les tests utilisateurs effectués d’après les recommandations faites par l’outil alimentent une série de faits qui entameront un nouveau cycle de la recherche utilisateur.

Enfin, les éléments d’une étape peuvent être rassemblés en une liste ; l’arborescence au sein de laquelle un élément se trouve apparaît lorsque l’on clique sur une carte.

La recherche utilisateur permet d’obtenir des recommandations basées sur des insights, eux-mêmes validés ou réfutés par un certain nombre de faits constatés.

Un classement intelligent des informations

Pour améliorer la pertinence des données collectées, Glean.ly a conçu des métadonnées triables sous forme de filtres, tags et scores :

Les filtres sont personnalisables par l’administrateur et concernent par défaut :

  • Les sentiments (positif, neutre, négatif)
  • Le type de l’insight (principe, conseil, transitoire)
  • La priorité (classée de 1 à 5)
  • La facilité de mise en œuvre (classée de 1 à 5)
  • L’échelle de mise en œuvre (d’une personne à toute l’entreprise)
  • Le statut de la recommandation (rejetée, complétée, approuvée, réutilisable…)
Les filtres sont affichés en bas de la carte. Ici, la recommandation est prioritaire, plutôt facile à mettre en œuvre, avec peu de ressources humaines, et est réutilisable dans le cadre d’autres expériences.

Les tags correspondent à des étiquettes – elles aussi personnalisables – permettant de naviguer entre les données grâce à une simple recherche précise. Il est également possible de se rendre dans le menu des tags et de trouver le nombre d’occurrences qui y sont associées.

La carte comporte le tag « satisfaction ». Elle peut donc être retrouvée depuis la barre de recherche en entrant l’étiquette qui y est associée parmi toutes les autres liées à ce tag.

Le système de score permet de préciser les informations récoltées : au coin de chaque carte, un score correspond à la somme des cartes antérieures qui la prouvent ou l’infirment.

L’insight « les utilisateurs préfèrent le vert au rouge » indique un score de 1. Ce score est justifié par deux faits qui le démontrent et un qui le réfute (2-1 = 1).

Par exemple, si 3 insights valident une recommandation, mais que 2 insights l’invalident, le score de la recommandation sera de : 1.

Import/Export

Entrer manuellement des dizaines de faits peut être chronophage. Glean.ly permet de les importer sous 3 formats :

  • Aux formats .XLS, .XLSX et .CSV. Les feuilles de calcul peuvent être importées dans l’outil, qui héberge notamment Microsoft Excel, Miro et Maze.ermettant ainsi l’intégration avec Microsoft Excel, autres tableurs ainsi qu’avec Miro et Maze ;
  • L’extension Glean.ly (disponible sur le Chrome Web Store) offre la possibilité de convertir un contenu textuel provenant d’Internet en fait ;
  • L’intégration Zapier (payante) permet d’importer des données directement dans l’outil mais la prise en main peut être fastidieuse.
Page indiquant les options d’importation et d’exportation de données à partir d’une feuille de calcul, de l’extension chrome et de Zapier.

Invitation membre

Glean.ly permet d’inviter des collaborateurs sur votre espace à partir de leur adresse email. Vous pouvez leur attribuer l’un de ces trois statuts :

  • View Only (“lecture seule”) : les nouveaux collaborateurs peuvent consulter votre annuaire d’expériences, faits, insights et recommandations ;
  • Contributor (“contributeur”) : en plus d’un accès aux fonctionnalités du statut précédent, les invités pourront entrer des informations dans l’annuaire ;
  • Administrator (“administrateur”) : l’invité dispose de l’ensemble des droits ; il peut même personnaliser les filtres, gérer l’abonnement et modifier les tags.
Ici, Pierrick Gamichon est désigné comme administrateur et Nasr Kherroubi possède les droits de lecture seule.

Notre avis d’expert

Un outil spécifique

L’outil est très précis sur la recherche utilisateur ; c’est une force, mais peut aussi être une faiblesse selon l’axe de travail choisi.

Centré sur la recherche utilisateur, l’outil est moins facilitant pour le reste du processus comme l’idéation ou le prototypage. Par ailleurs, l’intégration avec d’autres outils n’est pas toujours fluide ; la navigation entre ces derniers implique une perte de données, bien que Glean.ly valorise l’interconnexion des cartes dans sa promesse de vente.

Nous l’avons vu, si l’on prend uniquement en compte la recherche utilisateur (l’essence même de sa conception), l’outil est d’une efficacité redoutable.

Une expérience utilisateur prometteuse

L’expérience utilisateur est plutôt satisfaisante dans l’ensemble, bien qu’elle puisse être améliorée, par exemple en fluidifiant le processus de création d’éléments. Le système de points attribué aux cartes n’est pas encore optimal, puisqu’il ne prend pas en compte la pondération, c’est-à-dire le poids de chaque information dans la justification d’une autre.

Nous ne pouvons pas passer à côté des gifs s’affichant au chargement des pages, ajoutant un côté “fun” à l’outil.

Une adaptation des normes RGPD à respecter

Cependant, il est clairement souligné que l’outil ne répond pas aux exigences du RGPD. Osons imaginer que Glean.ly sera bientôt compatible avec les normes européennes pour conquérir un marché qui ne lui est sûrement pas indifférent.

Un recueil et une capitalisation efficace

La récolte des faits depuis l’extension Chrome est un réel game changer dans une recherche utilisateur.

Par ailleurs, grâce à l’interconnexion et les filtres, l’outil promet une capitalisation accrue des informations et un gain de temps considérable. Il palie ainsi une navigation chronophage dans des masses informes de données. L’information est fluide, transparente, accessible et consultable par les équipes d’UX Researcher, ainsi que des métiers requérant de la visibilité sur le processus de recherche.

Un potentiel de taille

La recherche utilisateur est au cœur du Design Thinking. Faite avec rigueur, elle constitue un avantage concurrentiel de taille. C’est en tout cas le pari de l’Atomic Research, dans laquelle Glean.ly puise ses fonctionnalités. L’enjeu majeur de son évolution au cours des prochaines années ? Devenir incontournable dans la Research Ops.

Vous souhaitez essayer l’outil ou être accompagné·e·s par nos équipes Acceleration Tactics ?

Pour une expérience de collaboration innovante et créatrice de valeur

Une évolution majeure des modes de collaboration est en cours depuis plus de deux ans. Avec l’évolution croissante du télétravail, les équipes ont su recréer des espaces de collaboration innovants, fluides et propices à l’intelligence collective, qu’ils soient hybrides, à distance ou en présentiel.

Selon une étude menée par L’Observatoire des nouveaux usages, le travail hybride est la situation idéale de 36% des actifs ; la moitié d’entre eux affirmant même qu’ils pourraient quitter ou choisir une entreprise en fonction de sa politique en la matière.

Dans ce contexte, les outils de collaboration visuelle sont un réel levier pour accompagner les équipes, et pas seulement lorsqu’elles sont à distance. Ils sont maintenant ancrés dans leur quotidien pour le brainstorming, l’idéation, le prototypage, l’animation de rituels agiles ou la gestion de projet. Au-delà du tableau blanc digital, les équipes souhaitent accéder à des fonctionnalités qui facilitent l’animation de leurs réunions, à des bibliothèques de templates pour accélérer leur créativité ou à des connecteurs avec leurs autres outils quotidiens (comme Jira, par exemple) pour une expérience cross-produit.

Chez Saegus, nous avons commencé à utiliser Miro pour nos missions en tableau blanc ; mais la plateforme est rapidement devenue pour nos équipes un outil de gestion de projet complet.

L’enjeu est également de répondre aux besoins de collaboration des équipes pour les aider à accélérer l’efficacité de leurs activités, qu’il s’agisse d’équipes organisées en mode agile, experts (designers, data…) ou métiers (marketing, RH) et ce, pour tous les secteurs d’activité.

Créer des synergies au service des équipes, explorer les nouveaux usages et co-construire les nouvelles pratiques de collaboration : c’est bien l’ambition du nouveau partenariat entre Saegus et Miro.

Pour Saegus, il s’agit aussi d’innover dans les formats d’animation d’ateliers : Miro propose fréquemment de nouvelles fonctionnalités et une bibliothèque de templates qui semble infinie (MiroVerse). Forts de cette expérience, nous accompagnerons nos clients sur l’utilisation et l’adoption des évolutions de la plateforme. Enfin, la capitalisation et sécurisation des données est un enjeu fort des équipes : nous vous proposerons un accompagnement sur-mesure sur le choix de licences adaptées à vos besoins.

La force de ce partenariat est qu’il est venu de nos usages : nous utilisons Miro chez Saegus depuis 2019. Les usages de nos consultants ont repoussé les possibilités de l’outil appliquées à tout type de projet et de secteur d’activité. Ils nous permettent d’affirmer qu’aujourd’hui, Miro est un outil indispensable pour le travail en équipe et complémentaire aux autres outils collaboratifs grâce à ses nombreux connecteurs. Nos équipes sont là pour vous montrer tout ce qu’il est possible de faire demain avec Miro : dites-nous votre problématique, et je suis sûre que nous trouverons un board pour vous inspirer.

Marouchka Hebben, Manager Acceleration Tactics chez Saegus

Pour Miro, ce partenariat sera l’occasion de récolter davantage de retours d’expériences et pourra augmenter la connaissance de ses utilisateurs, pour proposer à terme des solutions encore plus innovantes et adaptées aux besoins des équipes.

Nous sommes très heureux de ce nouveau partenariat avec Saegus, l’un des experts Miro en France. Depuis plusieurs années, les habitudes de travail se transforment et évoluent. Dans un monde aujourd’hui hybride, l’expertise Agile de Saegus, couplée aux fonctionnalités de Miro, saura accompagner les utilisateurs pour faciliter la collaboration en équipe. Quel que soit le lieu où vous vous trouvez, Saegus et Miro vous accompagneront pour créer une expérience inclusive en faveur de l’engagement de vos collaborateurs.

Britt Wilhelmus, Responsable des partenariats France chez Miro

À propos de Saegus

Saegus s’est donné pour mission de faire découvrir, essayer et adopter le meilleur des usages du digital, et créer des approches uniques et innovantes centrées sur les utilisateurs pour résoudre les problématiques complexes de ses clients.  

Pour un savoir plus : https://saegus.com/fr/  

À propos de Miro

Miro est une solution de tableau blanc collaboratif proposant une multitude de fonctionnalités et répondant à de multiples besoins d’équipes : réunions, ateliers, brainstorming, workflows agiles, UX design, mind mapping…

Pour en savoir plus : https://miro.com/app/dashboard/

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Rédigé par Chloé Berthier, Consultante Acceleration Tactics

L’accélération de la collaboration au sein des équipes est plus que jamais au cœur des nouveaux modes de travail. Les solutions de collaboration, communication et coordination étaient déjà des leviers indispensables pour maximiser le travail en équipe. Avec l’adoption croissante du télétravail, elles prennent aujourd’hui une nouvelle dimension.

Le décalage entre temps de travail et résultats obtenus s’accentue. Selon L’Anatomie du travail, étude menée en 2021 auprès de 13 000 employé·e·s, 26% des échéances sont manquées en moyenne, alors même que le temps de travail des salarié·e·s a considérablement augmenté. Planifier, coordonner et communiquer prend un temps considérable aux équipes fonctionnant grâce à une multitude d’outils qui leurs sont propres. Le manque de clarté, communication et coordination au sein des équipes fait le jeu de projets chronophages et coûteux.

Développer des méthodes et outils fluidifiant et accélérant les activités est donc indispensable. C’est ce que Saegus et Asana proposent de soutenir, chacun dans leurs domaines respectifs.

Ce partenariat, c’est avant tout une alliance entre l’expertise d’un acteur du conseil (sans slide !) et un éditeur d’un outil de gestion de projet visant à maximiser la communication, collaboration et coordination des équipes. C’est surtout l’ambition d’explorer des usages en plein développement pour répondre aux besoins des utilisateurs et leur offrir une expérience collaborative réussie et créatrice de valeur.  

Cette collaboration permettra aux utilisateur·rice·s de se concentrer sur leurs activités à fortes valeurs ajoutées grâce aux solutions de communication, collaboration et coordination proposées par Asana, et aux expertises d’innovation, animation et adoption de Saegus. Asana offre de nombreuses fonctionnalités : la création d’espaces partagés, automatisation des tâches, intégration de multiples applications comme Klaxoon, Teams, Adobe et bien d’autres…

L’utilisation d’accélérateurs comme Asana permet aux équipes Saegus d’accompagner leurs clients dans la gestion de leurs projets de manière innovante et personnalisée. Pour Asana, ce partenariat est aussi une belle opportunité d’aller plus loin dans la compréhension des usages et besoins de leurs utilisateur·rice·s.

Notre experte en agilité Roxane Meyer, Manager Acceleration Tactics, témoigne :

“Pour Saegus, la capacité des organisations à concrétiser leurs projets, la création de nouveaux services, de nouvelles offres ou de nouveaux produits est clé.

Notre mission : accompagner nos clients dans la mise en place et l’adoption de cadres de travail pérennes, agiles. Pourquoi ? Afin de les aider dans cette concrétisation tout en assurant une collaboration et un alignement des parties prenantes autour d’objectifs communs.

Depuis bientôt 7 ans, j’accompagne nos clients et suis convaincue qu’une transformation agile doit être soutenue par les outils adéquats. Force est de constater qu’Asana permet de répondre aux enjeux et spécificités de tous les métiers.

Et le plus ? Asana s’intègre à l’écosystème digital des organisations et facilite l’adoption de ces nouvelles pratiques au quotidien chez nos clients et Saegus.”

Pour Tanguy Duthion, Responsable des partenariats pour l’Europe du Sud chez Asana :  

“Nous sommes très heureux de démarrer cette collaboration avec Saegus en tant qu’Asana Solution Partner. Nous avons pu le constater sur ces dernières années, le monde du travail est en perpétuelle évolution et demande de plus en plus d’agilité, innovation et clarté pour une collaboration interne des entreprises toujours plus performante. En ce sens, l’expertise Agile du cabinet de conseil Saegus sera un atout indéniable pour accompagner les entreprises utilisatrices d’Asana ou futurs utilisateurs d’Asana dans leur conduite du changement.”

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Aujourd’hui, les projets se multiplient et les méthodes de gestion de projets se diversifient. De ce fait, le pilotage des portefeuilles projets, la mise en place de processus unifiés et l’accompagnement transverse des équipes est un challenge majeur pour les entreprises.

Chez Saegus, notre département Acceleration Tactics accompagne les organisations pour piloter et concrétiser leurs projets en faisant appel à des méthodes basées sur les meilleures pratiques de l’agilité et l’entrepreneuriat. La solution Braineet Workflow de Braineet, un outil user-friendly facilitant la gestion de portefeuilles projets, fait appel à ces approches : intéressons-nous à ses fonctionnalités.

Braineet, start-up française fondée en 2014, propose deux outils complémentaires dédiés au management de l’innovation. Braineet Crowdsourcing donne la parole aux écosystèmes internes et externes des entreprises pour faire émerger de nouveaux partenaires, idées et initiatives. Braineet Workflow répond quant à lui aux besoins de pilotage et structuration des portefeuilles projets pour concrétiser les initiatives collectives. Ces outils sont utilisés dans de nombreux grands groupes comme LVMH, Sodexo, Accor, La Poste, La Caisse des Depots ou le Groupe Vyv.

Un outil conçu pour la gestion de portefeuille projet d’innovation

Conçu pour faciliter le pilotage et la concrétisation des projets, l’outil Braineet Workflow est particulièrement adapté aux cas d’usage associés aux enjeux de gestion des portefeuilles projets. Par exemple :

  • Le pilotage d’un portefeuille de quelques dizaines de projets d’innovation ;
  • L’implémentation de nouvelles méthodes de gestion de projets centrées utilisateurs et inspirées de l’entrepreneuriat ;
  • La standardisation des processus de gestion de projets au sein d’une entité ;
  • La facilitation de la collaboration d’équipes projets multi-entités ;
  • La mise en place d’un programme d’innovation collaborative inter-entreprises.

Nous avons co-développé Braineet Workflow avec des centaines d’entreprises dans le monde afin de les aider à maximiser la valeur de leur portefeuille de projets, guider les équipes à chaque étape du processus et centraliser toute la connaissance.

Jonathan Livescault, CEO & Co-fondateur de Braineet

Les fonctionnalités clés de l’outil

Pour répondre à ces cas d’usage, Braineet Workflow propose un ensemble de fonctionnalités s’adressant tant au gestionnaire du portefeuille projets qu’aux équipes projets.

Mettre en place et piloter un portefeuille de projets

La fonctionnalité au cœur de Braineet Workflow est le Dashboard regroupant un portefeuille ou une arborescence de portefeuilles de projets. Entièrement personnalisable, il permet de suivre en un coup d’œil le développement et avancement des projets et d’analyser et visualiser rapidement les indicateurs les plus pertinents. Les informations sont exportables en fiches de synthèse structurées autour des KPIs que vous aurez sélectionnés. Ce Dashboard est un excellent moyen d’avoir une vision rapide et synthétique de l’évolution d’un portefeuille projets.

Automatiser le reporting

Braineet Workflow permet d’éviter des copier/coller chronophages et récurrents entre des données brutes (souvent sur Excel) et un format de présentation plus visuel (généralement Powerpoint) : il automatise le reporting visuel sous format 1-pager pour chaque projet et sous format Data Visualization pour chaque portefeuille grâce à l’intégration d’outils de BI comme Microsoft BI.

Définir des processus de gestion de projet

Braineet Workflow unifie et aligne les étapes de gestion de projets et leurs livrables grâce à un “générateur de processus”. Ce générateur permet de définir les étapes, objectifs, livrables et gates par lesquels un projet doit passer.

Entièrement personnalisable, cette fonctionnalité donne la possibilité de partager des outils, matrices de décision et guides aux parties prenantes des projets.

Accompagner les équipes projets grâce à des outils et guides opérationnels

Braineet Workflow propose plus de 30 outils utiles pour guider les équipes dans la concrétisation de leurs travaux. Cette boite à outils comprend des frameworks bien connus, approches traditionnelles et d’autres orientées innovation comme le SWOT, le Product/Market Fit Canva, la User Journey Map… Il est aussi possible d’intégrer vos propres outils et d’en créer de nouveaux. Cette fonctionnalité permet d’initier et partager une boite à outils au sein d’une même plateforme.

Faciliter la collaboration des équipes projets

L’espace projet est administré et structuré par le gestionnaire du portefeuille projets. Il est complété par les équipes projets.

Chaque équipe dispose d’un espace dédié, lui permettant d’avoir une vision claire de la feuille de route et l’état d’avancement du projet et de partager les documents de travail et livrables associés à chaque étape. Vous pouvez également convier des parties prenantes extérieures (consultants, startups, consortium) sur chaque projet : une interface commune pour s’aligner, répartir le travail et suivre l’avancement du projet.

Notre avis

La gestion des portefeuilles projets repose encore souvent sur des tableaux Excel pour les données et présentations Powerpoints pour le reporting. Malheureusement, cette approche ne répond pas à la complexité des dispositifs collaboratifs, fait perdre du temps en tâches manuelles et crée des incohérences et données périmées dues à la multiplicité des fichiers.

Braineet Workflow est une belle découverte : il répond aux besoins de pilotage, coordination et animation de l’innovation. La prise en main de l’outil est aisée et son design est conforme aux standards actuels, facilitant son adoption.

Pour profiter pleinement de l’outil, il est nécessaire d’avoir un premier portefeuille d’initiatives à piloter. De plus, bien que l’outil soit entièrement personnalisable, les contenus proposés par défaut sont surtout adaptés au management de l’innovation.

Ainsi, l’utilisation de Braineet Workflow dans d’autres contextes nécessite un travail d’ajustement préalable, mais qui est réalisable. Le cas d’usage du Groupe Vyv sur des projets qui ne sont pas considérés comme innovants en est la preuve.

Braineet Workflow a suscité l’intérêt de nos consultants expert·e·s Acceleration Tactics. Nous vous le recommandons pour piloter vos portefeuilles projets, mesurer leur impact et mettre en place des méthodes de gestion de projets inspirées de l’entrepreneuriat et des approches centrées utilisateurs comme l’agilité, le Lean Startup et le Design Thinking pour maximiser la création de valeur.

Vous souhaitez en savoir plus sur Braineet Workflow et pour piloter vos processus d’innovation ?

Rédigé par Jean-Baptiste Briand, Consultant Acceleration Tactics

2020 a été une année riche en apprentissages. Elle a mis en emphase la nécessité pour les organisations de se concentrer sur le cœur de leurs activités, l’impact et la résilience à long terme. Elle a aussi surligné un manque de réactivité et de flexibilité organisationnelles dans des contextes de plus en plus imprévisibles, se traduisant souvent par un manque d’alignement entre l’offre et le besoin réel des utilisateurs (clients, partenaires ou collaborateurs internes).

Ainsi, aujourd’hui plus que jamais, les modèles et tactiques agiles sont au cœur des problématiques de l’entreprise : le recrutement, l’onboarding, la collaboration entre équipes, la co-création de nouveaux services, les offres, l’adoption par les utilisateurs finaux…

Nous nous entretenons aujourd’hui avec Hadi Hissa, Senior Manager chez Saegus, sur la place et l’importance de l’agilité en 2021.

Qu’entend-on par agilité ?

Je définirais l’agilité comme la capacité structurelle d’anticiper les changements présents à court, moyen et long terme, tant d’un point de vue organisationnel qu’humain.

Autrement dit, l’agilité ne se résume pas à un manifeste ou à un cadre de travail limité au développement des produits. D’ailleurs, il est important de noter que l’agilité trouve son origine dans le domaine de l’industrie, pour se démocratiser au début de l’ère digitale. Elle était alors, et est toujours, définie comme la capacité à prendre en compte des changements rapides et peu anticipables.

Quelle est la place de l’agile aujourd’hui ?

En Europe, l’agilité a quitté le berceau de l’IT, où elle est née au début des années 2000.

Aujourd’hui, elle s’étend aux fonctions qui en étaient initialement éloignées. De plus en plus, nous vivons des expériences qui visent à faire évoluer des équipes travaillant dans des domaines comme les ressources humaines, le marketing, la recherche, le développement ou la supply chain. Ces équipes souhaitent raccourcir leur délai de réaction et augmenter leur capacité à livrer des résultats rapides liés à leur fonction, comme une livraison accélérée d’un service ou une fluidification des processus d’onboarding. Elles doivent adopter ces pratiques, mais surtout se les approprier pour en tirer la meilleure valeur, celle qui les concerne.

Quels sont les avantages de l’agile dans un contexte incertain ?

Comme nous l’avons vu, l’agilité est née pour répondre à l’incertitude, en donnant la capacité aux équipes de raccourcir les circuits de livraison pour qu’un service, un processus ou un produit rencontre plus vite son public cible.

La problématique de l’agilité est donc de fournir des éléments tangibles récoltés sur le terrain remplaçant ainsi des projections théoriques, pour réduire les incertitudes.

Prenons un exemple, celui de la gestion d’une chaîne d’approvisionnement : dans un contexte d’un marché aux demandes de plus en plus volatile, l’agilité peut proposer un cadre de travail collaboratif permettant aux parties prenantes de se partager plus simplement des données. Cela permet de mieux anticiper les demandes, avérées ou potentielles, du consommateur final. Récemment, un grand acteur cosmétique avec lequel nous travaillons a par exemple divisé par deux le temps de mise sur le marché de ses produits en utilisant cette approche.

L’agile et le télétravail, une bonne combinaison ?

Bien que la crise ait accélérée la digitalisation des pratiques agiles, l’adéquation entre l’agilité et le télétravail n’est pas une problématique récente. En effet, les groupes du CAC40, dont les équipes pluridisciplinaires sont présentes dans plusieurs pays et qui ont entamé la diffusion de l’agilité à l’échelle, ont dû déjà faire face à la problématique de l’outillage agile. L’expansion et la maturité des usages de ses outils ont néanmoins été accélérées par la crise.

Aujourd’hui, de plus en plus d’équipes combinent les réunions physiques et les outils de gestion de projets (ex : Jira, Trello, Microsoft Azure, Teams…) pour délivrer leur projet aux côtés d’équipes réparties à travers le monde. De même, l’utilisation accélérée des boards interactifs (Klaxoon, Miro) participent à la digitalisation des cérémonies agiles.

L’évolution et la démocratisation des pratiques digitales est donc en pleine adéquation avec l’agile et le télétravail.

Quels conseils donneriez-vous à une entreprise qui souhaiterait mettre en place une approche agile ?

Plutôt que d’imposer des modes opératoires génériques aux équipes, pensez à les impliquer dans la définition des processus et des cadres de travail qui les concernent.

La co-création, la collaboration et l’intelligence collective font parties des clés de réussite et doivent être au centre de la définition du cadre de travail agile cible de chaque entreprise. Chaque organisation, et chaque équipe, a ses propres manières de travailler, ses contraintes et ses objectifs. Il est donc presque impossible de répliquer le même cadre de travail agile à deux organisations différentes.

Par ailleurs, adopter une démarche itérative d’amélioration continue dans le déploiement de l’agilité à l’échelle d’une entreprise est aussi essentiel. Ceci peut être réalisé en identifiant des processus ou des équipes prioritaires pour tester et valider l’adéquation du cadre de travail avant d’élargir par itérations successives ces pratiques aux autres équipes, petit à petit, jusqu’au niveau global de l’entreprise.

Comment Saegus accompagne une entreprise dans la mise en place de l’agilité ?

Chez Saegus, nous avons la conviction que l’agilité n’est pas une fin en soi mais plutôt un levier indispensable permettant la transformation des entreprises pour leur donner les moyens structurels d’accepter le changement et donc, de réagir rapidement aux incertitudes du marché.

De ce fait, nous pensons que l’agilité ne peut pas être dissocié des approches innovantes centrées sur l’utilisateur, comme le Design Thinking ou le Lean Startup par exemple. Grâce à AIM (Acceleration Impact Model), notre modèle tactique pionnier développé par nos équipes, nous combinons l’ensemble de ces approches dans une offre unique qui permet à nos clients de :

  • construire leur cadre de travail unique et d’accélérer durablement l’impact de leurs projets ;
  • avancer de manière pragmatique ;
  • apporter des réponses rapides, adaptées à leurs problématiques et ambitions ;
  • mesurer l’impact de leurs projets et rectifier le tir en temps réel.

Si vous souhaitez être accompagné par nos équipes et agiliser vos équipes, contactez-nous !

Rédigé par Hadi Issa, Senior Manager Acceleration Tactics

Saegus se mobilise afin de contribuer à l’effort National, en lien avec les dernières annonces du gouvernement concernant la pandémie COVID-19. 

 

En ces temps exceptionnels, outre nos inquiétudes sanitaires, nombreux sont les questionnements sur l’impact du télétravail sur les projets en cours, sur l’organisation des équipes et leur collaboration, sur la qualité du delivery

La question du comment est partout : 

  • Comment piloter et suivre les projets à distance ? 
  • Comment continuer d’animer des ateliers Design Thinking, des cérémonies Agile, des hackathons… ? 
  • Comment mener des observations terrain ou encore des tests utilisateurs sans présence physique mais avec la même qualité d’inputs ? 

C’est pour cela que nous lançons une série de webinars publics pour partager largement nos expertises sur ces sujets d’animation, facilitation et collaboration. Nous vous proposons des sessions dédiées si vous souhaitez approfondir les sujets évoqués. 

Liste des webinars solidaires Saegus :

Dernière mise à jour le 19/03/2020 à 12:00 heures 

WEBINAR #1 : Cadrage digitalisé 
Mardi 24 mars de 11h à 12h 
 

Comment digitaliser le cadrage de mon projet, produit ou service, de l’idée jusqu’à la vision et au backlog associé ? 

#stayathome #staysafe #stayconnected


WEBINAR #2 : Pilotage Digitalisé 
Jeudi 26 Mars de 11h à 12h 
 

Comment suivre et piloter mes projets, produits et services, à distance ?  


WEBINAR #3 : Animation d’ateliers distanciels 
Mardi 31 mars de 11h à 12h 
 

Comment animer les ateliers Design Thinking à distance, de bout-en-bout (idéation, co-création, priorisation, prototypage, tests…) ? 


WEBINAR #4 : Les cérémonies Agile à distance 
Jeudi 2 avril de 11h à 12h 
 

Comment animer l’ensemble des cérémonies Agile à distance (gestion du backlog, Sprint Planning, Daily, Sprint Review, Retrospective…) ? 


WEBINARS SUR DEMANDE 

Nous vous proposons des sessions sur demande sur les thématiques suivantes :  

  • Comment animer mon comité projet à distance,  
  • Comment animer mon comité de direction à distance,  
  • Comment maintenir le contact entre les membres de mon équipe en contexte de travail à distance… 

#stayathome #staysafe #stayconnected

L’agile s’est fait largement connaître dans le monde professionnel en s’adressant à de petites équipes isolées travaillant sur des projets informatiques. Depuis quelques années, se répand l’agilité à l’échelle ou « at scale » pour parler d’équipes intégrées entre elles adressant de plus gros projets, ayant un impact direct sur le business de l’entreprise.

 

Si l’on souhaite transformer l’entreprise dans son ensemble, il est indispensable d’aller au-delà des équipes IT pour embarquer également les métiers ainsi que les autres fonctions (départements Marketing, RH, Légal, Communication, Comptabilité, etc.). Nous appellerons ces équipes éloignées de l’informatique et du logiciel : « les équipes non IT ». Les entreprises se dirigeant progressivement vers l’agile à l’échelle de l’organisation, ces équipes non IT n’auront pas le choix : elles s’adapteront à un mode d’organisation agile ou disparaîtront.

Quels sont les enjeux et challenges des équipes non IT dans leur quête d’agilité ?

 

 

Lorsque les équipes non IT sont embarquées dans des plans de transformation agile à l’échelle, leur intégration n’est pas à négliger. Si elles n’ont pas compris les raisons pour lesquelles elles doivent changer leur manière de travailler, la transformation ne prendra pas.

Très souvent, les équipes non IT ont déjà entendu parler d’agile, parfois même trop ! En revanche, tant qu’aucune formation n’est mise en place pour aligner l’ensemble des collaborateurs sur des enseignements communs, chacun mettra le sens qu’il veut derrière les différents termes agile. La formation est ainsi indispensable pour démarrer l’intégration d’équipes non IT dans un plan de transformation à l’échelle de l’organisation. Elle pourra d’ailleurs servir de base pour permettre à l’équipe de co-construire sa nouvelle organisation.

Pour donner davantage de sens au travail des équipes opérationnelles et à leur changement d’organisation, il est nécessaire de partager avec elles les enjeux business de l’entreprise. Connaître ces enjeux business aide également à la compréhension des changements de priorité dans le travail du quotidien, et permet d’intégrer davantage les équipes non IT dans les décisions de l’entreprise.

 

Enfin, les équipes non IT, tout comme n’importe quelle équipe passant d’une façon de travailler traditionnelle à une approche plus agile, ont besoin de constater les premiers bénéfices d’un changement pour en accepter davantage. Un changement « big bang » est rarement couronné de succès. Il est préférable d’avancer progressivement et voir les premiers gains pour rendre les individus acteurs de leur transformation.

 

 

Mais par où commencer lorsque l’on est convaincu qu’il faut mettre de l’agile au sein de son équipe ?

Dans un premier temps, il est nécessaire de faire un état des lieux de l’organisation actuelle de l’équipe : Comment les gens collaborent-ils ensemble ? A quelle fréquence se rencontrent-ils ? Travaillent-ils sur des sujets communs ? L’information est-elle transparente et bien partagée ? Existe-t-il des difficultés relationnelles qui paralysent l’équipe ? Des interviews couplé à de l’observation sur place par des éléments extérieurs à l’équipe pourront vous aider à faire cette recherche.

Ce premier diagnostic devra également considérer les outils utilisés par l’équipe, car ils ont un rôle fondamental dans l’organisation du travail. Questionner l’équipe sur son usage des outils, leurs besoins que les outils n’adressent pas, etc.

Une fois que le diagnostic a été fait et partagé avec l’équipe, et que cette dernière a reçu une formation sur les principes de l’agilité, il est conseillé de co-construire avec l’équipe une nouvelle organisation basée sur l’agile (et notamment les principes de transparence, d’inspection et d’adaptation). Personne ne souhaite qu’une nouvelle stratégie venant d’en-haut soit mise en place sans prendre en compte les contraintes et enjeux propre à chaque équipe non IT. Une fois cette nouvelle organisation définie, il faudra garder en tête qu’elle évoluera au fur et à mesure que l’équipe apprend sur elle-même (principe d’empirisme). Les rétrospectives étant un moment pour échanger sur les aspects humains d’une organisation, ces instances régulières permettront à l’équipe de chercher à s’améliorer pour répondre aux enjeux qu’elle rencontrera. 

 

Bien sûr, tout changement est long à mettre en place, le temps de prendre de nouvelles habitudes. Le changement de culture est lent et progressif. Certaines difficultés rythmeront l’avancée de l’équipe vers une organisation plus agile.

Les principales difficultés que nous rencontrons lorsque nous accompagnons des équipes non IT reposent principalement sur les notions de transparence et d’estimation du travail. Très fréquemment, ces équipes sont composées de personnes ayant chacune leur propre périmètre et ne sont pas habituées à partager l’avancée de leur travail à la vue de tous. Ensuite, les équipes non IT ont aussi peu l’habitude d’estimer le travail qu’elles ont à fournir. Un accompagnement prolongé par un coach agile permettra de lever ces difficultés.

Ce qui est également difficile à admettre pour les entreprises pleinement établies sur leur marché, c’est que l’innovation et l’agilité ne peuvent se développer que dans un environnement tolérant vis-à-vis de l’échec, où la volonté d’expérimenter est encouragée, où s’exprimer sans crainte est possible, et où l’on privilégie la collaboration et non la hiérarchie.

 

Pour que puisse naître un tel environnement de travail, il existe une condition indispensable au sein des équipes non IT : le soutien du Middle Management. Les Responsables et Directeurs de départements se doivent d’adopter une posture de Managers agiles, ce qui implique de croire en l’indépendance des employés et de faire confiance en chacun des individus composant l’équipe. Une tolérance vis-à-vis de l’échec (tant que l’échec est une opportunité pour apprendre et s’améliorer) est à favoriser. Mais ce n’est pas suffisant ! La rigueur, la compétence, la responsabilité individuelle et la mise en place d’un cadre de travail discipliné sont indispensables.

Le département RH joue un rôle capital dans l’évangélisation d’un tel cadre de travail.

 

Pour agiliser une équipe non IT, cette dernière doit comprendre l’intérêt qu’elle a à changer afin d’être pleinement engagée dans sa transformation. Pour un meilleur résultat, il peut être préférable de faire un premier audit de fonctionnement de l’équipe, pour ensuite la faire participer à la co-construction de sa nouvelle organisation. Enfin, pour qu’une équipe non IT devienne agile, elle devra évoluer dans un environnement propice où le Management et les RH soutiennent ce changement de culture qui ne se fera que sur un temps long.

 

Il est ici question de la survie des départements non IT tels que nous les connaissons. S’ils ne s’adaptent pas, ils risquent d’exploser pour être refondus au sein de multiples équipes agiles.

 

Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à nous contacter ! 

 

Depuis plus de 2 ans, Ayno & Saegus collaborent sur des projets tel que le programme d’innovation salariés Oz chez Orange, ou la démarche d’Intrapreneurs League en interne chez Saegus. Pierre & Ofer partagent tous les deux la même passion et la même vision autour de l’innovation et de l’intrapreneuriat, nous avons donc souhaité faire avec eux un point d’étape sur cette tendance qui prend de l’ampleur pour nos clients.

 

Dès 1996 Ofer Attali se lance dans l’aventure internet. En 1998 il cofonde la startup Langages Virtuels et découvre le monde du B2B, des médias et de l’événementiel. Suite à sa revente en 2000 au groupe Genesys Conferencing, au sein de laquelle il sera le CTO de Genesys Open Media quelques mois, Ofer co-fonde l’agence de communication plurimédia Awak’iT. En 2006 il fonde POPSIIT, société spécialisée dans le conseil et le développement de solutions B2B d’intelligence collective.

 

Pierre Mallein est consultant chez Saegus depuis 4 ans et l’un de nos premiers salariés. Passionné par l’innovation et l’intrapreneuriat, il a porté plusieurs projets de nouveaux produits ou services en interne. Afin de faire vivre cette culture intrapreneuriale dans un contexte de forte croissance, il a monté l’Intrapreneurs League au sein du cabinet, une approche à l’origine dédiée aux consultants, qui accompagne aujourd’hui nos clients dans la définition et la conduite de programmes dédiés à la création de nouveaux produits et services

 

Nous avons pensé que vous seriez curieux de découvrir le point de vue de 2 intrapreneurs, aussi Ofer et Pierre se sont prêtés au jeu des questions. C’est parti !

Photo by Ian Schneider

Selon vous, où en est l’intrapreneuriat dans les grandes entreprises aujourd’hui en France  ?

Pierre : 

Il y a eu, depuis 3 ou 4 ans, beaucoup d’expérimentations soit en se tournant vers l’externe (partenariats avec des startups ou des incubateurs externes), soit via des « boites à idées digitales » pour faire émerger les ébauches de nouveaux produits et services de demain. Les bénéfices en termes d’image (marque employeur notamment) pour l’entreprise sont indéniables, cependant il existe encore peu de réelles success-stories avec un impact business fort. Les véritables démarches intrapreneuriales ayant connu un succès sont celles qui ont su combiner à la fois les ressources, tant financières qu’humaines, les outils ainsi que la méthodologie.

 

Ofer: 

Effectivement le premier effet induit par cette démarche est bel et bien le bénéfice en termes d’image que ce soit interne à l’entreprise ou en externe. C’est un effet qu’il ne faut pas négliger, c’est un argument fort mis en avant par les grandes entreprises pour recruter des talents.

Une transformation d’entreprise vers une culture plus intrapreneuriale passe par un message clair et bien perçu par les salariés pour les engager activement et par le marché (au sens large, clients, partenaires, futurs talents) pour les séduire. Ce qui pose problème ce sont les démarches qui s’arrêtent là ! Comme l’a mentionné Pierre, c’est une démarche qui implique des ressources, des outils et une méthodologie précise. Dans ce sens-là,  l’intrapreneuriat en France au sein des grandes entreprises a encore du chemin à parcourir !

 

En quoi les outils sont-ils essentiels pour ce type de démarche ?

Pierre: 

J’enfonce une porte ouverte en le disant, mais le point de départ d’un projet intrapreneurial c’est l’idée. Sauf que l’idée en soit ne vaut rien, c’est l’exécution autour de cette idée qui sera clé. La première étape pour passer de l’idée à un projet c’est de pouvoir la partager, la faire challenger, l’enrichir ! Pour faire cela il faut s’outiller, sinon les idées restent à l’échelle d’une équipe, sans outil, il est impossible d’impliquer tous les collaborateurs, d’avoir une démarche à l’échelle et non silotée.

 

Ofer: 

L’intrapreneuriat c’est un travail collectif à l’initiative d’un salarié passionné par son métier et son entreprise. Le point de départ en effet c’est le talent qu’il faut amener à concevoir l’idée, mais elle n’aura de valeur que si elle se transforme en projet collectif. L’outil digital est un formidable moyen de créer des passerelles entre les talents de l’entreprise (voire avec l’externe) pour faire évoluer l’idée vers le concept et constituer l’équipe idéale pour mener à bien le projet.

 

L’un des écueils fréquent est de se retrouver avec beaucoup d’ébauches de projets dans les cartons, mais rien qui ne créé in-fine de la valeur pour l’entreprise. Comment éviter cela ?

Pierre:

Une fois les projets amorcés (sous forme de PoC par exemple), l’accompagnement des intrapreneurs est souvent limité et ceux-ci peuvent se sentir isolés : c’est un nouveau métier donc il ne maitrise à priori ni les codes, ni les outils ! Le coaching et le suivi doivent se faire sur la durée, pour aider les porteurs à s’approprier les méthodologies (Agile, Design Thinking, Lean Startup), la culture et les outils, mais l’effort doit aussi être cadencé pour donner du rythme aux projets. Nous mettons par exemple en place des Growth Boards, comparables à des investisseurs à qui les intrapreneurs présentent leurs avancées (chiffrées) tous les mois pour débloquer de nouvelles ressources, ou pivoter si la direction n’est pas la bonne.

 

Ofer:

Je partage ce que dit Pierre, il faut éviter de transformer la démarche intrapreneuriale en machine à PoC. Un projet intrapreneurial est avant tout un projet. Il doit suivre des règles, parfois plus souples du fait de sa nature, et bénéficier à la fois des moyens (ressources, budgets), des objectifs (de réalisation et de rentabilité) et d’un suivi similaire aux autres projets de l’entreprise. Le risque serait de considérer ces projets intrapreneuriaux comme des initiatives hors sol voir même « hors la loi ».

 

Quels sont les autres écueils principaux à éviter lorsqu’on lance une démarche intrapreneuriale ?

Ofer:

Une erreur trop fréquente est de négliger l’impact sur le management intermédiaire et la capacité des organisations à se braquer face à des projet intrapreneuriaux venus de “nulle part”, qui vont potentiellement impacter le business d’une BU. Un nouveau produit ou service disruptif étudié et expérimenté dans un incubateur sans coordination avec la direction métier qui sera in fine concernée, conduira celle-ci à rejeter le projet (pour tout un tas de bonnes raisons) alors même que la direction souhaite le mener à terme. Si les managers des Business Unit  directement concernés par le futur produit/service ne sont pas associés en amont dans la prise de décision initiale, le rejet lié au syndrome « Not invented here » est inévitable. Le plus souvent les comités de sélection sont généralement composés de membres du comité exécutif  et d’externes qui ne seront pas impactés directement par le projet, d’où l’importance d’avoir l’ensemble des parties prenantes impliqué dans les projets qui les concerne.

 

Pierre:

Je pense que l’écueil le plus courant est de ne pas donner assez de temps ou de moyens aux projets les plus prometteurs. La plupart des projets sont coachés, mais l’accompagnement est souvent sous-dimensionné et concentré sur la phase de Pitch. Mieux vaut accompagner moins de projets et les suivre dans la durée que de fournir quelques formations/ ateliers d’acculturations qui restent trop génériques pour permettre aux intrapreneurs de s’approprier les méthodes et outils.

Pour rejoindre ce que disait Ofer sur le management intermédiaire, un aspect de l’intrapreneuriat que l’on a tendance à oublier c’est la gestion des échecs et la réintégration de l’intrapreneur dans sa Business Unit. Tous les projets ne peuvent réussir et dans cette optique-là, la direction doit avoir anticipé la réintégration en douceur d’un collaborateur suite à son expérience intrapreneuriale. Il aura, en plus, beaucoup d’apprentissages à transmettre au sein de son ancienne équipe !

 

Pour en savoir plus sur l’Intrapreneurs League : c’est par ici.
Et sur Ayno : c’est par là.

 

Nous sommes fiers d’avoir la confiance de nos clients et enthousiastes de leur apporter notre aide, voici quelques derniers « success unlocked » :

 

On a pensé que vous seriez curieux de savoir un peu ce qui anime nos équipes, nos grands projets et – bien sûr ! – nos clients avec lesquels nous construisons de belles histoires.

 

  •  Définition de la roadmap Workplace pour GPSA 

GPSA a pour objectif d’assurer une homogénéisation des systèmes, une digitalisation des processus et une interopérabilité maximale entre ses membres. En ce début d’année, l’objectif que s’est donné GPSA est la mise en place d’outils collaboratif modernes. Comment, donc, dans un contexte spécifique à leur organisation, définir, mettre en place et générer de l’adoption autour d’outils communs. Tout l’enjeu de cette mission de cadrage est de valider – ou pas – les choix pressentis, acculturer l’ensemble des parties prenantes, co-définir une stratégie rapide par étape avec des gains rapides pour les accompagner dans cette importante transformation et les aider à séquencer et présenter leur feuille de route digitale.

#DigitalWorkplace  

 

  • Réalisation d’une feuille de route liée aux outils Workplace pour AFD

Saegus a accompagné l’AFD pour créer une feuille de route à présenter au COMEX en priorisant les outils Workplace à mettre en place dans les années à venir. L’objectif étant de rationaliser le nombre d’outils en place actuellement pour faciliter le quotidien des utilisateurs.

#DigitalWorkplace

  

  • Architecture des applications Data de TechnipFMC

TechnipFMC vient d’annoncer une séparation de ses activités. Saegus accompagne les équipes d’architecture data sur deux projets phares. Le premier est la création d’un Digital Twin pour l’activité Subsea. Le second est la création d’un data lake pour la nouvelle entité Spinco dans une stratégie AWS/ Redshift. Nous interviendrons en apportant des recommandations sur la séparation entre les usages BI et le data lake, ainsi que sur les guidelines à définir.

 #DataDrivenBusiness

 

  •  Accompagnement plan de transition BI pour Rexel

Saegus accompagne depuis le mois de mai le Groupe REXEL dans le cadre de la migration de leur plateforme BI Digital, de Paris vers Dallas. Cette mission est brillamment menée par nos consultants Data qui ont également pour rôle de faire l’interface entre les différents pays du Groupe et les équipes de développement basées en en Inde. 

#DataDrivenBusiness 

 

  • Design de service gardien pour Paris Habitat

Depuis quelques temps, Paris Habitat a équipé ses gardiens avec des Windows Phone pour digitaliser leurs parcours au quotidien. Toutefois l’outil a été accueilli de façon mitigée, aussi Saegus est intervenu pour retravailler sur les besoins de cette population afin de lui proposer la meilleure solution en adéquation avec ses usages.

#AccelerationTactics

 

  • Accompagnement au repositionnement d’une agence Concept Store et de ses services associés

La BNPP se demandait comment faire pour que son agence historique incarne, pour ses clients, prospects et collaborateurs, un écosystème intégrant l’innovation comme moteur de croissance et de recommandations. Saegus a donc mis en place une démarche d’accélération qui a permis, en moins d’un mois, d’aligner les équipes sur des projets et solutions. Cette approche participative a bénéficié à ses collaborateurs, à ses équipes commerce et innovation, pour co-créer plus de 200 solutions en une journée d’atelier Foreseeds. Tout ceci devant permettre de les prioriser et d’identifier les victoires rapides et pragmatiques au profit de l’agence historique BNPP 2 Opéra.

#Acceleration Tactics

 

  • Création de vidéos d’adoption pour Cap Gemini

Dans le cadre de son projet de transformation, un acteur majeur du conseil et de l’innovation a confié à Saegus la mise en œuvre complète de vidéos d’adoption à destination de ses collaborateurs. En s’appuyant sur des méthodes d’animation modernes, plus de 6 vidéos ont été produites en 4 semaines afin de réaliser une rentrée 100% digitale et apprentissage des nouveaux usages.

#SaegusFactory

 

  • Passage du MVP au Produit d’une application web Orange

Dans le cadre de son évolution, Orange l’acteur historique français des télécommunications, a confié à Saegus la mise en œuvre complète d’un nouvel outil pour le groupe.

Dans le cadre de son évolution, Orange l’acteur historique français des télécommunications a confié à Saegus la mise en oeuvre complète d’un nouvel outil dans le groupe. La Factory ayant déjà réalisé le MVP, elle est ici allée plus loin en créant un produit Orange en 9 langues présent dans 12 pays. Un design system et ses composants ont permis une mise en place rapide sous 2 mois de cette application Groupe accessible ici.

#Saegus Factory

 

Pour avoir plus de précisions sur ces projets, n’hésitez pas à nous en faire la demande :