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Que se passe-t-il chez Saegus ? En voici un aperçu :

 

  • Saegus sera présent au salon du Big Data Paris 2019 aux côtés de Dataiku

Les 11 & 12 mars prochains, nous serons présents au Salon du Big Data Paris 2019, aux côtés de notre partenaire Dataiku. Nous travaillons avec Dataiku de façon stratégique sur la définition des besoins de nos clients, leurs priorités, leurs uses cases ainsi que les recommandations d’architecture.

Nous vous attendons sur le stand afin de vous présenter des cas pratiques, démonstrations, retours clients, témoignages partenaires… La scène du stand sera animée pendant les 2 jours !

Vous pouvez dès à présent prendre rendez-vous avec nos experts data !

 

 

 

  • Vous pouvez maintenant retrouver les articles Data de Saegus sur Médium

Nous venons tout juste d’ouvrir notre page Medium pour y partager des articles techniques sur l’univers Data. Notre équipe a souhaité partager plus largement ses points de vue et proposer un lieu d’échanges pour tous les experts et curieux de notre environnement data et des découvertes que nous faisons.  Nous vous invitions à retrouver le premier article de Nicolas Risi, Consultant Data Driven chez Saegus, qui nous parle du DataOps.

 

 

  • Retour sur le premier rendez-vous du Club Digital Workplace… et lumière sur le prochain !

Le Digital Workplace Lounge est le club pensé par Saegus pour ses clients. Ce temps fort rassemble les acteurs du Workplace et permet les échanges autour des problématiques qu’ils rencontrent. Saegus se place comme catalyseur et organise ces réunions trimestrielles.

Pour le second rendez-vous qui se tiendra le 21 mars prochain, nous proposerons de débattre autour des retours d’expériences et des tendances partagés lors de la « Rencontre Internationale Digital Workplace, Intranet, RSE » de novembre dernier, à laquelle Saegus s’est associé. Nous aborderons les thématiques liées aux enjeux que nos clients nous ont communiquées lors de la 1ère réunion :

  • Comment s’inspirer des meilleures pratiques produit pour booster l’adoption de votre dispositif Digital Workplace. avec un retour d’expérience de Technip proposée par un des membres du Workplace Lounge : Bertrand LANGLOIS
  • Les managers, acteurs de la transformation digitale – Engager sur la durée les managers dans les nouvelles pratiques collaboratives
  • La notion de « Hub Social-Collab », comment urbaniser entre Intranets, outils métier, RH, espaces collaboratifs, social groups, relations externes (partenaires, clients, …) sans discontinuité (desktop, mobile, etc.)
  • La place de l’IA dans le Digital Workplace – Les plateformes de demain

 

 

 

  • Le 23 février dernier, Sébastien Mazin-Pompidou, notre Directeur du Développement, était sur le plateau de BFM Business pour aborder les innovations dans les RH

Nombre de dispositions ont été prises pour assurer un passage (presque) indolore au prélèvement à la source. Les entreprises et notamment les départements des Ressources Humaines ont dû faire face à de nombreuses évolutions et ont donc dû innover. Notre Directeur du Développement explique que les politiques RH s’adaptent de plus en plus aux changements que rencontrent les organisations, elles utilisent notamment de plus en plus les outils numériques pour suivre et communiquer avec leurs salariés.

Pour en savoir plus, vous pouvez télécharger l’étude menée avec notre partenaire Odoxa ou relire l’article complet.

 

 

 

  • Saegus était invité à la Digital University de Microsoft

Dans le cadre de la Digital University de Microsoft, l’un de ses plus grands évènements, Marc notre CEO, Cédric Manager Digital Workplace chez Saegus et Sébastien Directeur du Développement, ont présenté notre plateforme de crowd thinking Foreseeds.

Nous étions particulièrement honorés de pouvoir assister à cet évènement, de partager notre vision avec notre auditoire constitué des principaux interlocuteurs Microsoft.

 

 

 

  • Notre Directeur de la Factory, Yvan Forestier, était présent sur le plateau de 01 Business Forum l’Hebdo, à son tour 

Le progrès ne s’arrête pas, c’est ce qu’a pu nous confirmer le CES qui s’est déroulé à Las Vegas du 8 au 11 janvier. Il est devenu le salon de prédiction des nouveaux usages en lieu et place d’une institution technologique. Yvan, Directeur de la Factory chez Saegus, explique sur le plateau qu’à l’heure à laquelle l’expérience utilisateur est au coeur des métiers, les entreprises ne cessent d’innover dans le digital. L’innovation dans les entreprises fait également émerger de nouvelles méthodes de travail comme le Design Thinking. Il conclut en expliquant que les entreprises devront accompagner leurs collaborateurs dans la maitrise des usages actuels et à venir si elles souhaitent rester désirables…

Nous vous invitons à télécharger l’étude réalisée en collaboration avec notre partenaire Odoxa et de relire l’article complet pour en savoir davantage.

 

 

 

  • La Saegus Academy a fait son retour pour la 4ème édition !

Pour la quatrième année consécutive, une douzaine de Saegusiens a participé à la Saegus Aademy afin d’en apprendre davantage sur les techniques de base du conseil et s’acculturer aux nouvelles méthodes. Utilisation d’outils, prise de parole en public, jeux de rôle, voici quelques exemples de sujets abordés pendant ces 3 journées de formation qui nous permettent de garantir un bon niveau d’excellence du métier de consultants. Tous nos collaborateurs sont invités à y participer qu’ils soient consultants, designers ou développeurs. L’académie est dédiée à l’ensemble des Saegusiens. Ce programme leur permet de développer ou de renforcer les compétences de base de notre travail ainsi que l’état d’esprit Saegus. Nous vous proposons de découvrir cet article afin d’en savoir plus sur la façon dont nous montons en compétences nos collaborateurs.

 

 

 

  • Les cours de Design Thinking à l’ECE… C’est fini, mais voici les pitchs !

Nos experts consultants membres de la Saegus Institute, notre centre de formation certifié, sont intervenus pour dispenser des cours de Design Thinking aux étudiants suivant une option OA Design.

Ateliers, cas pratiques et projections concrètes au coeur des projets menés par les étudiants se sont tenus pendant le 2ème semestre 2018 pour former les futurs ingénieurs aux approches Design Thinking et à l’UX en général.

Après un cours de 3 mois sur le Design Thinking, nous avons été ravis d’accueillir les étudiants de l’ECE Paris dans les locaux de Saegus afin qu’ils puissent pitcher leurs projets devant un jury de professionnels. Nous sommes fiers de les avoir vus utiliser les connaissances acquises en classe pour donner vie à leurs idées. Vous pouvez retrouver les 3 grands enseignements que retiendront nos experts formateurs de leur passage à l’ECE.

 

 

  • Le 17 décembre, Sébastien Mazin-Pompidou, Directeur du Développement chez Saegus, est revenu sur le plateau afin de parler de l’éthique dans l’Intelligence Artificielle.

L’intelligence artificielle est au coeur de toutes polémiques et préoccupations depuis plusieurs mois. Elle intrigue autant qu’elle inquiète… Sébastien nous rappelle que l’IA n’est pas un nouveau sujet, mais qu’elle était déjà évoquée depuis les années 50. Il nous met plutôt en garde contre l’usage de l’IA qui pourrait être mise au service de secteur comme celui de l’armement, la question de l’éthique pouvant être posée. Pour finir, Sébastien nous explique que l’IA révolutionnera nos modes de vie et qu’elle aura le même impact sur notre économie qu’internet ou encore dans l’automobile.

Vaste sujet que nous vous proposant de découvrir en détail dans l’étude qui a été réalisée pour l’occasion. Télécharger l’étude ou relire l’article complet.

 

 

 

  • Saegus était partenaire des Rencontres Internationales Digital Workplace des 27 & 28 novembre derniers

Nous étions présents à la 17ème édition qui s’est tenue aux salons Hoche en compagnie d’un panel d’intervenants Président, DSI, Dircom et responsables de projets Intranet et Digital Workplace.

Marc Trilling, Responsable des activités Digital Workplace, est intervenu le mercredi 28 novembre aux côtés de notre client Bertrand Langlois, Directeur de la Transformation Digitale chez Technip, pour expliquer quelles sont les meilleures pratiques du marketing produit permettant de booster l’adoption de dispositifs Digital Workplace. Nous avons également évoqué la façon d’appréhender le marché, de sensibiliser et engager les cibles et de promouvoir les meilleurs produits et services Digital Workplace.

Dans cette continuité, les 19, 20 et 21 mars prochains, nous serons présents au salon Intranet et RSE afin de relayer cet évènement et consolider une vision marché du collaboratif autour des usages.
En tant qu’équipe Digital Workplace la plus importante du secteur, Saegus a trouvé bon d’intervenir avec quelques consultants de l’équipe Workplace pour interviewer l’ensemble des acteurs présents. Le salon étant un rendez-vous côté de la sphère des éditeurs de logiciel, ce sera l’occasion pour nous de vous livrer un aperçu global de leur vision couplée à la nôtre. Nous serons heureux de vous la présenter en vidéo prochainement.
  • Saegus lance les soirées de recrutement Taek Your Job 

Dans le cadre de notre nouvelle campagne de recrutement qui concernait tous nos départements : Digital Workplace, Data Driven Business, Acceleration Tactics et Factory, nous recherchions de nouveaux talents, motivés à l’idée de rejoindre une structure alliant l’excellence au fun, valeurs chères à Saegus.

Le jeudi 29 novembre, avait lieu la première session de Taek Your Job, la soirée de recrutement by Saegus. Le principe est simple, les candidats participent à la soirée et repartent le soir même avec leur proposition d’embauche.

Cet évènement fut un succès, l’opération a été renouvelée le 9 février dernier et de nouveaux talents ont pu nous rejoindre. Ils sont d’ores et déjà formés à nos techniques pour assurer le meilleur niveau e qualité à nos clients.

N’hésitez pas à découvrir le concept en lisant notre article qui le présente.

 

 

 

  • Le 19 novembre dernier, Sébastien Mazin-Pompidou, Directeur du Développement, était déjà sur le plateau de 01 Business Forum l’Hebdo afin de nous parler de smart mobility

Aujourd’hui les modes de déplacement ne cessent d’évoluer et de se démocratiser, comme nous le prouve l’augmentation d’utilisateurs de voiture électriques et de trottinettes présentent sur tous les trottoirs parisiens. Ici Sébastien Mazin-Pompidou expose aux autres intervenants que si ces usages se développent à Paris de façon virale, il est intéressant de noter que derrière ces nouveaux acteurs se cachent en réalité de grosse tech maîtrisant parfaitement le digital business et l’agilité nécessaire pour faire des petites innovation de véritables sucess stories.

Vous pouvez télécharger l’étude faite avec notre partenaire Odoxa ou relire l’article complet.

 

 

 

               Parmi l’ensemble de ce qui fait l’actualité de notre cabinet, il y a aussi une démarche sociale qui nous tient à coeur et qui jalonne nos actions tout au long de l’année.

Notre priorité de demain est bien de continuer notre développement et de suivre cette croissance que nous sommes heureux de vivre. Mais cela fait sens dès lors que les femmes et les hommes demeurent au centre de nos préoccupations. Chez Saegus nous portons une grande attention à ce que nos projets tendent aussi à l’amélioration du « vivre mieux » ensemble et individuellement.

Aussi nous soutenons les démarches de nos collaborateurs et en lançons beaucoup au nom du groupe Saegus.

Nous vous en livrons quelques exemples plus bas avec le soutien que nous apportons au « 4L R’aide », l’association qui intervient dans le cadre d’aide humanitaire. Bientôt nous aiderons aussi la recherche contre le cancer pédiatrique…

 

  • Saegus s’engage pour le 4L Trophy

Nous vous l’annoncions il y’a quelques mois, Saegus a souhaité soutenir l’association  “4L R’Aide” dont le projet est de concourir pendant le 4L Trophy du mois de février au mois de mars, une course reliant Paris à Marrakech. Ce raid a pour but d’aider les pays défavorisés en leur apportant des fournitures scolaires et en permettant l’ouverture de salles de classe (grâce notamment aux dons fait en début de course par les Trophystes).

Après les avoir accompagnés dans l’achat des pièces, dans les réparations de la 4L, le grand jour est arrivé et l’ensemble de l’équipe de Saegus leur souhaite bonne chance dans cette belle aventure.

Dès leur retour, nous recevrons l’équipage afin qu’ils puissent nous partager leurs expériences et nous vous en donnerons des nouvelles.

 

 

 

  • Saegus participera à la course d’enfants sans cancer pour participer à la recherche contre le cancer pédiatrique :

Le 24 mai, les Saegusiens soutiendront l’association Imagine for Margo en participant à une course solidaire. Cette course a pour but de collecter des dons qui serviront à financer des programmes de recherche pour mieux comprendre et mieux soigner les cancers des enfants. Ouverte à tous, cette course a été créée pour mobiliser les entreprises et écoles des alentours du quartier d’affaires parisien afin de faire avancer encore plus vite la recherche contre le cancer. Vous pourrez donc nous retrouver sur le parvis de La défense le 24 mai prochain.

 

 

 

A bientôt pour une prochaines news !

 

Nous sommes fiers d’avoir la confiance de nos clients et enthousiastes de leur apporter notre aide, voici nos derniers « success unlocked » :

 

  • Agilisation d’une équipe RH pour un acteur des télécommunications 

Dans l’objectif de mieux gérer ses changements de priorité et d’améliorer la productivité des équipes, un acteur majeur du secteur des télécommunications a confié à Saegus la mise en place d’un dispositif agile pour son équipe RH. Ce client a renouvelé, en début d’année, sa confiance en Saegus afin de renforcer les connaissances de ses ambassadeurs agiles et permettre ainsi d’insuffler ces nouvelles pratiques à l’ensemble du groupe.

#Acceleration Tactics

 

  • Aide à la décision locale au Sénégal pour une Fondation

Suite à des résultats mitigés des projets de lutte contre la mortalité maternelle et néonatale, une fondation a fait appel à Saegus pour concevoir et tester une approche innovante de compréhension des expériences locales pour prioriser des projets à forte valeur ajoutée. S’appuyant sur leurs expertises Design Thinking et Agile, l’équipe d’experts Saegus est retournée sur le terrain pour enrichir les premiers éléments créés suite à une phase d’immersion dans la région de Saint-Louis au Sénégal et co-créer avec une grande diversité d’acteurs, des projets qui partent des réalités locales et sont portés par les experts agissant déjà sur le terrain.

#Acceleration Tactics

 

  • Audit des usages des collaborateurs pour la DSI d’une institution financière

Dans le cadre de sa réflexion sur les outils proposés aux collaborateurs, la DSI d’une institution financière a décidé de missionner Saegus pour auditer les différents besoins des collaborateurs en terme d’usages. Cette DSI souhaite se transformer afin d’être User Centric en s’outillant des solutions en adéquation avec les besoins des utilisateurs finaux.

#Digital Workplace

 

  • Formation support IT et administrateurs O365 pour Sogeprom

Suite au déploiement de la suite Office 365 à l’occasion de l’ouverture d’un nouveau siège, la filiale immobilière de la Société Générale a confié à Saegus les formations des administrateurs et du support IT aux fonctionnalités d’O365 et à l’administration de la plateforme.

#Digital Workplace

 

  • Déploiement de l’outil de Data Visualisation Tableau Software pour Bolloré 

Bolloré T&L a fait le choix de Tableau pour harmoniser le reporting de son activité logistique. Saegus a été choisi pour assurer le développement, à la vue des enjeux et contraintes métiers du Groupe.

#Data Driven Business

 

  • Accompagnement sur Tableau Software pour le département Digital de L’Oréal 

L’équipe L’Oréal « Precision advertising & digital analytics » souhaite développer ses compétences autour de l’outil Tableau Software afin d’effectuer des analyses plus poussées dans leur domaine.

Pour ce faire, elle a fait le choix d’installer Tableau Server afin de se doter d’une architecture robuste et adaptée à l’ensemble de leurs cas d’usages. Les analyses seront ainsi partagées à travers le groupe.

Saegus accompagne L’Oréal dans le déploiement et la bonne utilisation de Tableau par les utilisateurs.

#Data Driven Business

 

  • Cadrage des usages collaboratifs pour le département R&I de L’Oréal

L’Oréal est actuellement en plein déploiement d’Office 365. Pour s’assurer d’un déploiement réussi à L’Oréal R&I, il est indispensable d’identifier les cas d’usages spécifiques aux métiers, de démontrer comment ils peuvent être adressés par le Digital Workplace, et de construire et contextualiser le matériel d’adoption. C’est sur ces axes que Saegus a été identifié pour accompagner le département R&I.

#Digital Workplace

 

  • Plateforme de Showroom pour L’Oréal (département IA)

La division IA de L’Oréal R&I souhaite améliorer sa visibilité en développant une application « Showroom » offrant une interface aux différents algorithmes développés à des fins de démonstration. Nous accompagnons L’Oréal sur le développement d’un MVP.

#Data Driven Business

 

Si vous souhaitez davantage d’informations sur la conduite de ces missions et notre méthodologie, n’hésitez pas à solliciter un rendez-vous avec nos experts.

 

Contexte

La MAIF a ouvert son Datalab à la fin de l’année 2017 pour mener à bien des projets de DataScience et d’innovation. Le Datalab a voulu mettre l’accent sur la production et l’industrialisation de ses travaux, afin de tirer une réelle valeur de ses projets et éviter l’écueil du « Shadow IT » dans les entités qu’elle doit servir.

Saegus a ainsi été sollicité pour cadrer et réaliser ces processus de mise en production et d’industrialisation, mais aussi pour accompagner et acculturer les entités utilisatrices à ces nouvelles méthodes.

Nous avons ainsi pu travailler d’une manière macro en définissant les process, les normes et bonnes pratiques, mais aussi à des niveaux projets, plus micro, où nous avons développé et réalisé les mises en production de modèles prédictifs et de flux de transformation de données.

 

Réalisations

Pour répondre à ce type de problématique, nous avons réalisé les actions suivantes :

  • Création d’un cadre de référence technique (sélection et recommandation d’assemblages technologiques en fonction des uses cases) ;
  • Mise en place des normes et bonnes pratiques de développement pour les Data Engineers et Data Scientists ;
  • Création de Starter Kit pour les différentes technologies (Starter Pyspark, Starter Python, Starter API prédictive …) ;
  • Coaching des Data Scientist sur les projets pour leur appropriation de ces nouvelles normes ;
  • Déploiement d’un environnement et des pratiques « Data Ops » sur tous les projets Data ;
  • Acculturation et adoption des nouveaux processus aux différentes entités ;
  • Utilisation de Git dans les projets.

 

Bénéfices

  • Processus de mise en production

  • Meilleure gestion des versions (Git)

  • Cycles de vies raccourcis (intégration et déploiement continus)

  • Rapidité au démarrage des projets grâce aux Starter Kits

 

 

 

 

Retrouvez l’ensemble du business case avec des informations complémentaires en le téléchargeant :


 

Découvrez l’intégralité des expertises de nos experts Data sur médium !

Nombre de dispositions ont été prises pour assurer un passage (presque) indolore au prélèvement à la source. Ce sujet a d’ailleurs été analysé ce mois-ci avec ce nouveau baromètre qui lui est dédié et pour lequel Sébastien Mazin-Pompidou, Directeur du Développement chez Saegus, s’est livré. Entre autre résultats analysés, il a notamment critiqué l’incitation pour des entreprises à se tourner davantage vers le numérique.

 

 

Non, il n’y a pas eu de catastrophe

 

Le passage au prélèvement à la source de nos impôts sur le revenu qui au départ, devait susciter la crainte s’est finalement révélée injustifiée. Un peu comme lorsqu’on a changé de millénaire ou de monnaie. Tout le monde anticipait un couac, un blocage, voire une catastrophe [cf. la chute de la station spatiale Mir] mais non ; rien de cela ne s’est produit. Alors pourquoi une telle crainte au regard d’un tel résultat ? La réponse se trouve, sans doute, dans la confiance qu’ont les français dans leur administration, associée à celle qu’ils ont en leur entreprise à faire face conjointement aux changements numériques.

 

Avant toute chose, rappelons que ce nouveau système de prélèvement s’applique aussi bien aux salariés, retraités et chômeurs imposables qui ont vu leurs salaires, pensions et allocations prélevés de l’impôt, qu’aux professions indépendantes/ libérales pour lesquelles un prélèvement mensuel est réalisé par l’administration sociale. Dans un article paru dans les Echos, il y a un peu plus d’un an, on apprenait dès la lecture du titre que « Près de 6 Français sur 10 ne paient plus d’impôt sur le revenu », ce qui vient réduire drastiquement le nombre de personnes concernées par la réforme. De plus, il faut noter qu’environ 6 Français imposables sur 10 avaient déjà pris l’habitude de payer leur impôt de façon régulière en ayant opté pour la mensualisation. Au final, il ne reste plus que les non-mensualisés, soit 10 millions des personnes imposables contraintes dès lors, de changer leurs habitudes.

 

 

Données personnelles et RGPD

Rappelons que le principal sujet de discorde venait du fait qu’en ces temps de RGPD, l’administration allait communiquer aux employeurs des informations personnelles sur ses salariés en lui indiquant quel pourcentage prélever. Or, là encore, la catastrophe n’a pas eu lieu puisque chaque salarié a pu, bien en avance, faire le choix d’un taux individualisé en lien avec son salaire et rien que son salaire ou d’un taux personnalisé correspondant au taux du prélèvement à la source appliqué par défaut, sur les revenus. Ce dernier, tenant compte de l’ensemble des revenus (salaire, revenus fonciers, pensions etc.) et de la situation familiale. Ce taux est le même pour l’ensemble du foyer. Grâce à ce système du taux individualisé, les salariés, soucieux de ne pas voir leur situation personnelle connue de leur employeur, ont pu sans difficulté y remédier.

 

En définitive, comme il y a « peu » de personnes concernées par la réforme et que de plus, il est possible d’individualiser les taux, c’est à l’entreprise d’assurer désormais le relais. Cette dernière, a dû faire face à un changement plus important : informer ses collaborateurs, ce qui d’après l’étude d’Odoxa s’est révélé être le cas pour presque 60% d’entre eux. Puis, il a fallu que les équipes de comptabilité et de paie échangent avec l’administration (pour récupérer les taux) et leurs fournisseurs (de services comptables) pour modifier les bulletins. Là encore, les choses se sont faites assez facilement puisqu’aujourd’hui la plupart des entreprises sont équipées de logiciels informatiques qui nécessitent des échanges réguliers avec l’éditeur pour la mise à jour ou les personnalisations.

 

Ce projet de modernisation sociale semble donc avoir bien commencé ! 2019 sera une année de test puisque forcément des cas particuliers seront plus compliqués que d’autres à gérer. Globalement, c’est une réforme qui s’annonce bien et c’est bien en cela que réside la surprise.

 

Découvrez l’analyse complète au travers de notre étude réalisée conjointement avec Odoxa Sondages.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business en replay.

Article écrit par Sébastien Mazin-Pompidou


Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

 

#1

Microsoft Staffhub se retire et laisse sa place à Shifts 

Avis aux utilisateurs de Microsoft Staffhub, application Office 365 permettant aux employés de terrain de gérer facilement leurs plannings lorsqu’ils sont en déplacement : l’application ne sera plus disponible en téléchargement à compter du 1er avril 2019 et sera retirée de l’App Store d’Apple, du Google Play Store et de tous les autres points d’accès. Les utilisateurs actuels pourront continuer d’utiliser le service jusqu’au 1er octobre 2019, date à laquelle il sera définitivement retiré, mais aucune fonctionnalité supplémentaire ne sera ajoutée d’ici là. 

 

En effet, Microsoft souhaite inciter ses utilisateurs à utiliser les nouvelles fonctionnalités de Microsoft Teams, qui intègrera très bientôt la gestion de la planification et des tâches via Shifts. Prochainement disponible sur les applications bureau et mobile de Teams, cette nouvelle fonctionnalité permettra notamment aux responsables de créer et de gérer les horaires de leurs employés, qui peuvent à leur tour mettre à jour leurs disponibilités, soumettre leurs plannings mais aussi demander des jours de congé sans quitter l’outil. 

 

Chez Saegus, nous avons hâte de pouvoir essayer Shifts afin de vous dire si cette nouvelle fonctionnalité rivalise véritablement avec Staffhub. 

 

 

 

 

#2

Microsoft Teams continue sa croissance phénoménale

 

Teams n’a pas fini de faire parler de lui ! Les résultats d’une enquête menée par Spiceworks auprès de 900 entreprises du domaine de l’IT, réparties aux États-Unis et en Europe, montre que l’adoption de la plateforme collaborative connaît une croissance tellement rapide qu’elle devrait devenir la deuxième plus grande application de chat en milieu professionnel d’ici 2020, dépassant à la fois Slack et Google Hangouts.

 

Ainsi, l’étude de Spiceworks met en avant le taux de pénétration de Teams, passé de 3% en 2016 à 21% en 2018. La part de marché de Slack, son principal concurrent, a quant à elle connu une croissance plus modeste en passant de 13% en 2016 à 15% en 2018. Cette croissance phénoménale de l’outil de Microsoft peut être attribuée au fait que la société a décidé de rendre gratuite son application en 2018, au travers d’une version « preview », alors qu’elle était auparavant réservée aux utilisateurs d’Office 365.

 

Mieux encore : la même étude prédit que Teams atteindra 41% de part de marché d’ici 2020, tandis que Slack n’en occupera que 18% et Google Hangouts 12%. De quoi rendre jaloux les pro-Slack et les pro-Google Hangouts !

 

 

 

#3

Witeboard, le nouveau concurrent de Microsoft Whiteboard ?

 

Vous cherchez une application en ligne, gratuite et simple d’utilisation pour matérialiser vos idées sur un support commun lors d’une réunion ? Nous avons ce qu’il vous faut !

Avec son design sobre et particulièrement intuitif, Witeboard a de nombreux atouts pour concurrencer la solution de Microsoft.

 

Chez Saegus, nous avons apprécié la possibilité de partager son tableau blanc et de collaborer avec d’autres utilisateurs sans avoir besoin d’installer une quelconque application, la fonctionnalité « détection de figure » qui permet à l’application de détecter un rond, un carré, un rectangle ou un triangle à partir d’une forme grossière, mais aussi la possibilité d’intégrer la web app directement dans Slack via un plugin.

 

Nous ne pouvons que vous recommander de tester l’application en cliquant sur ce lien : Witeboard.

 

 

 

 

#4 

OneDrive désormais intégré à Skype !

Après To-Do, Spotify ou encore YouTube, OneDrive rejoint la liste des add-ins sur Skype.

A l’heure actuelle, il existe une multitude de solutions de stockage de données dans le cloud, notons les plus célèbres comme Dropbox, Google Drive, iCloud, ou encore…OneDrive.

 

Afin de récupérer un maximum de nouveaux utilisateurs et de les convertir à OneDrive, Microsoft a (enfin) décidé d’intégrer son propre outil de stockage dans Skype.

 

En pratique, cela signifie que vous pouvez maintenant directement depuis l’interface Skype partager vos documents hébergés sur OneDrive à vos collègues via un lien d’accès lors de vos discussions.
A noter qu’il s’agit d’une grande nouveauté car Skype imposait jusqu’alors une limite de taille de fichier de 300 Mo, ce qui n’était pas très pratique pour partager des fichiers volumineux.

 

Pour profiter de cette nouvelle fonctionnalité, il vous suffit de télécharger la dernière version de Skype sur vos appareils !

 

 

 

#5

Microsoft incite ses utilisateurs au stockage en ligne

 

Vous est-il déjà arrivé de perdre ou de supprimer malencontreusement votre document Office sur lequel vous avez travaillé d’arrache pieds depuis des heures voire des jours ? La bonne nouvelle c’est que ce genre de situation ennuyeuse ne devrait plus vous arriver !

C’est officiel depuis le 1er février, Microsoft vient de modifier la façon dont ses utilisateurs Office 365 enregistrent leurs fichiers Word, Excel et PowerPoint.

En effet, OneDrive et SharePoint Online deviennent désormais les emplacements par défaut pour enregistrer vos fichiers.

 

Les utilisateurs auront tout de même toujours la possibilité de modifier ce paramètre en choisissant un autre emplacement ou en modifiant le dossier de travail par défaut.

Encore un pas de plus vers le 100% cloud !

 

 

 

 

 

#6 

Klaxoon se lance à la conquête des États-Unis

 

Klaxoon a le vent en poupe ! Après avoir fait fureur lors de sa participation au CES (Consumer Electronics Show) à Las Vegas début janvier, Klaxoon ne s’arrête pas là.

En effet, la startup bretonne continue son road trip avec son « truck » à travers les États-Unis !

Le planning est même plutôt chargé, avec notamment des escales prévues à San Francisco, Palo Alto, Boston, New York, Washington ou encore Houston. La tournée s’achèvera dans la ville Austin au Texas du 7 au 9 mars à l’occasion du célèbre festival SxSW Interactive, dédié à la musique, au cinéma et aux nouvelles technologies.

 

La mission principale de ce voyage est de présenter aux entreprises américaines en quoi Klaxoon révolutionne les réunions d’équipes, en les rendant toujours plus efficaces et interactives. Le tout organisé sous forme de court atelier de démonstration et de prise en main à l’outil à bord de son truck fushia bien reconnaissable.

 

Créé en 2014, Klaxoon compte aujourd’hui plus d’un million d’utilisateurs dans environ 120 pays. A savoir, l’entreprise avait déjà réussi à lever 50 millions de dollars en 2018 pour accélérer son développement sur le continent nord-américain.

 

Il faut l’avouer, la solution anti-réunionite n’a pas fini de nous surprendre et nous réserve sûrement de très belles choses pour l’année 2019 !

 

 

 

 

#7

Entrée en bourse imminente pour Slack !

Slack, la fameuse plateforme de communication collaborative destinée aux professionnels vient d’annoncer son intention de rentrer en bourse, son introduction pourrait intervenir dans les prochains mois !

 

Officialisé le 4 février par l’intermédiaire d’un très court communiqué, la société a bel et bien déposé son dossier d’introduction auprès de la SEC (Securities and Exchange Commission).

Slack souhaiterait passer par ce que l’on appelle une « cotation publique proposée », c’est-à-dire en vendant des actions sans passer par une collecte de fonds. Selon le très sérieux Wall Street Journal, La société californienne viserait une valorisation aux alentours de 7 milliards de dollars. Un chiffre à prendre avec des pincettes qui peut encore grandement évoluer en fonction de l’intérêt exprimé par les investisseurs.

 

A noter, la licorne de la Silicon Valley, qui emploie aujourd’hui 1.200 salariés, a réussi en moins de 7 ans à attirer plus de 10 millions d’utilisateurs dans près de 150 pays.

 

 

 

N’hésitez pas à nous contacter, nos experts en solutions digital workplace seront là pour vous accompagner !

 


 

L’Agile et le Design Thinking sont depuis quelques années des approches testées par de nombreuses entreprises pour adresser leur transformation digitale.

Le Design Thinking et l’Agile partagent de nombreux points communs : elles sont empiriques, itératives et font appel à des équipes multidisciplinaires où la collaboration joue un rôle clé.

 

Intuitivement, ces approches semblent intervenir à des moments complémentaires d’un projet : le Design Thinking pour définir une solution répondant à un problème utilisateur, et l’Agile pour livrer la solution via la mise en place d’un cadre de travail plus ouvert aux changements. Combiner Design Thinking et Agile semblerait naturel. Or, ces deux approches restent encore trop souvent des initiatives isolées et non intégrées. Pourtant, leur association permettrait de produire de meilleurs résultats en termes d’efficacité projet et de satisfaction client.

 

La complémentarité manifeste de l’agile et du design thinking

 

Pour rappel, le Design Thinking consiste à rechercher et à comprendre l’expérience des utilisateurs finaux, afin d’identifier la source d’un problème plus ou moins limpide. Puis, on passe par la génération d’idées nouvelles et le prototypage rapide de la solution choisie, afin de récolter un retour utilisateur très tôt dans le processus et d’itérer sur la solution. Cette approche de co-création se dessine par des phases de divergence et convergence, l’objectif étant de concevoir des solutions adaptées aux besoins des utilisateurs finaux.

 

 

L’Agile pose le cadre de travail pour qu’une équipe engagée autour d’un projet gagne en efficacité dans la livraison de solution(s). Dans un projet agile, on tend à découper le travail en petites unités. Au fur et à mesure de l’avancée du projet, l’équipe itère sur la solution et planifie son périmètre de travail en fonction des retours obtenus après les tests. La puissance de l’agile réside dans la transparence du travail réalisé au sein de l’équipe mais aussi des parties prenantes, évitant ainsi un « effet tunnel » où le résultat du travail ne serait constaté qu’en fin de projet. L’autre force de l’agile réside dans des cycles d’itérations courts permettant de répondre très rapidement aux évolutions du marché et des besoins utilisateurs. Au final, on évite des changements couteux et complexes et des délais de développement à rallonge.

 

 

 

L’Agile et le Design Thinking semblent idéalement se compléter pour accélérer un même projet. Le Design Thinking se concentrerait sur le « pourquoi » et interviendrait en amont pour imaginer une solution à un problème. L’Agile se concentrerait sur le « comment » et interviendrait ensuite pour réaliser la solution. Dans un premier temps, il peut être intéressant de systématiser l’organisation de projets par une phase de Design Thinking suivi par une phase de développement agile. Mais une fois l’Agile mis en place, comment conserver l’esprit « user-centric » du Design Thinking ?

 

Pour aller au-delà d’une simple succession chronologique de ces deux approches – Design Thinking puis Agile -, il est conseillé d’intégrer l’esprit du Design Thinking à une équipe organisée en Agile.

 

 

Aller plus loin pour intégrer l’esprit du Design Thinking à une équipe Agile

 

En combinant intimement Agile et Design Thinking, les entreprises ont tout à y gagner : une meilleure satisfaction client, une diminution du temps passé à itérer la solution et donc une économie sur le développement.

 

D’après notre expérience, l’idéal est d’intégrer un esprit centré utilisateurs le plus tôt possible dans le processus pour garder en boussole les vrais besoins des utilisateurs finaux et pas seulement la vision que s’en fait l’entreprise. Chez les entreprises les plus innovantes, les design thinkers sont membres à part entière des équipe agiles. Leur rôle est de collecter les insights utilisateurs et questionner leur expérience vécue. Si l’équipe ne peut inclure de rôle de Design Thinker, chacun de ses membres devra veiller à ce qu’elle cultive un esprit de Design Thinking sans designers.

 

Il est plus compliqué d’intégrer une culture Design Thinking à une équipe agile déjà en place sans revoir le fonctionnement de l’équipe et ainsi faire baisser sa productivité à court terme. Un coach Design Thinker pourrait accompagner l’équipe un certain temps pour faciliter la transition.

  • Si le projet le permet, il est toujours intéressant d’intégrer des utilisateurs finaux dans le process agile, notamment lors de la définition et priorisation des besoins ou alors pour la présentation du travail réalisé en fin de sprint, afin de récupérer des retours. Nous avons pour habitude de réunir les utilisateurs lors d’ateliers de co-création, afin d’affiner la vision d’un projet.
  • Il peut également être envisagé d’inclure des « tâches » Design Thinking dans le périmètre des sprints, pour être sûr d’adresser la recherche utilisateur tout au long du projet. Ainsi on combine l’aspect découverte du Design Thinking avec l’aspect livraison de l’Agile.
  • Le management visuel, consistant à laisser des informations affichées dans l’espace de travail, peut contribuer à maintenir cet esprit Design Thinking. Comme c’est déjà souvent le cas avec un backlog et le workflow de travail, on pourrait afficher le détail des personae cibles ainsi que leur « experience maps », pour toujours rappeler à l’équipe qui est l’utilisateur final.
  • Enfin, certaines organisations ayant développé l’agile à l’échelle « agile at scale » vont mêmes jusqu’à intégrer la démarche Design Thinking en continue dans leurs projets, en parallélisant des sprints 100% Design Thinking avec des Sprints de développement.

 

 

Un chemin encore long à parcourir ?

 

L’Agile est encore souvent mal compris. Travailler en agile justifierait une gestion chaotique des tâches par l’équipe car elle serait flexible à l’extrême. Ces mauvaises pratiques organisationnelles ne font que galvauder la philosophie Agile et abîment injustement son image.

 

Le Design Thinking, quant à lui, est parfois vu comme quelque chose de superficiel. Certains le considèrent comme un simple coup de pinceau une fois le projet terminé, sans prendre en compte la dimension d’expérience utilisateur pourtant nécessaire à la réussite d’un projet, et ce, dès son commencement. D’autres le résument à coller des post-its sur un mur. Le Design Thinking est une approche qui va au-delà des designers et concerne l’équipe entière.

 

Pour que l’Agile et le Design Thinking soient bien intégrés, il est primordial que ces approches soient au préalable comprises et maîtrisées individuellement. Aussi, pour déployer la dynamique, il est toujours préférable que dirigeants et managers soutiennent les initiatives dont les objectifs business intègrent une vision centrée utilisateur.

 

Intéressés par ce type d’approche ? Nous serions heureux d’en discuter et de vous accompagner sur ce type de démarche.

 


 

Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

 

 

#1
Les technologies immersives, tendance pour 2019

Selon la célèbre entreprise américaine de conseil et de recherche Gartner, l’heure est aux technologies immersives. En effet, l’institut prédit que d’ici 2022, 70% des entreprises expérimenteront des technologies immersives destinées aux consommateurs et aux entreprises et 25% en auront déjà déployées.

 

L’avenir des plateformes de conversation, allant des assistants personnels virtuels aux chatbots, intègrera ainsi des canaux sensoriels élargis qui permettront de détecter les émotions des utilisateurs basées sur leurs expressions faciales et elles deviendront plus conversationnelles dans leurs interactions.

 

De plus, Gartner prédit que jusqu’en 2028, ces mêmes plateformes de conversation mais aussi les technologies telles que la réalité augmentée, la réalité mixte et la réalité virtuelle continueront à se développer fortement afin de conduire les utilisateurs à une nouvelle expérience immersive. De nombreuses évolutions à venir que nous ne manquerons pas de vous détailler.

 

 

#2

SharePoint Online : êtes-vous à la page sur les dernières nouveautés ?

L’équipe de développement SharePoint a annoncé en décembre 2018 sa feuille de route pour l’année 2019, concernant les nouvelles fonctionnalités à venir. Ces dernières commenceront à être implantées dans l’outil dès ce début d’année, êtes-vous prêt à passer à la vitesse supérieure ?

 

Parmi les nouvelles fonctionnalités annoncées : la possibilité de personnaliser la zone de titre de chaque page et des articles de presse des sites SharePoint modernes avec plus d’options en termes de disposition et d’alignement, la possibilité d’ajouter des nuances de couleurs à l’arrière-plan des sections, celle de choisir l’ordre d’affichage des actualités pour les utilisateurs, de créer des webparts avec un affichage personnalisé pour chaque visiteur du site, de bloquer les téléchargements lors du partage d’un lien vers un document hébergé sur SharePoint… et plus encore.

 

Pour en savoir plus, nous vous invitons à écouter l’annonce de cette roadmap par les équipes SharePoint en cliquant ici.

 

 

 

#3

Éditer un document sur Google Drive en mode offline

Partager et co-éditer un document hébergé sur Google Drive avec des collaborateurs qui ne possèdent pas de compte Google ? Cela sera bientôt possible ! A l’instar de OneDrive, la solution concurrente de Microsoft qui proposait déjà cette fonctionnalité, les utilisateurs de la suite Google pourront prochainement partager leurs ressources par e-mail et collaborer à plusieurs sur un même document sans avoir besoin de s’authentifier sur un compte Google.

D’ailleurs, cette nouvelle fonctionnalité est disponible dès maintenant en version bêta. Cependant, afin de pouvoir y accéder, il y a deux prérequis pour les utilisateurs. Ces derniers devront disposer d’un compte G Suite (payant) et utiliser l’édition de documents dans un cadre professionnel. Si vous remplissez ces deux conditions, vous pouvez exprimer votre intérêt à participer à cette version bêta en complétant ce formulaire.

 

 

 

#4

Skype innove en lançant l’affichage de sous-titres en temps réel

Lancée le lundi 3 décembre 2018 afin de coïncider avec la Journée mondiale des personnes handicapées 2018, cette nouvelle fonctionnalité de l’outil de communication de Microsoft permet aux sourds et malentendants de lire les mots prononcés lors des appels audio ou vidéo. Une évolution bienvenue, qui montre que les géants du workplace ne manquent pas d’idées pour améliorer l’expérience utilisateur de leurs produits.

L’option peut être activée en quelques clics dans les paramètres de Skype (version 8) en sélectionnant le bouton Plus (+) pendant l’appel et en choisissant “Activer les sous-titres”.

Elle peut également être définie comme paramètre par défaut dans les paramètres de Skype. Une fois activée, les sous-titres défileront automatiquement et en direct pendant l’appel.

 

Encore plus surprenant, Microsoft affirme que l’IA qui génère ces sous-titres a été optimisée afin qu’ils puissent être « améliorés rapidement, en continu, en fonction du contexte, et à mesure que les gens s’expriment ». Ce n’est d’ailleurs que l’une des nombreuses améliorations de l’outil, qui a également étendu ses capacités de traduction en temps réel il y a quelques années et annonce la publication de traductions prenant en charge plus de 20 langues et dialectes à venir prochainement !

 

 

 

#5

Et le vainqueur des systèmes d’exploitation est… Windows 10 !

Non contente de finir l’année en beauté en se classant comme l’entreprise la plus lucrative du monde, Microsoft peut également se vanter du triomphe de Windows 10 qui est devenu en décembre 2018 le numéro 1 du marché mondial des systèmes d’exploitation, en détrônant son principal rival issu de la même entreprise, à savoir Windows 7.

 

Selon les chiffres du site Net Application, Windows 10 détient désormais 39,22% du marché des systèmes d’exploitation de bureau contre 36,39% pour Windows 7. Des chiffres qui rappellent le succès fou de Windows 7, qui a su tenir tête à Windows 10 pendant 3 ans avant d’être dépassé. Cette victoire est vue d’un bon œil par Microsoft qui a prévu de mettre fin à l’existence de Windows 7 le 14 janvier 2020, ce qui ne laisse qu’un an aux entreprises et aux utilisateurs pour passer le cap.

 

Aujourd’hui, Windows 10 est installé sur plus de 700 millions d’appareils, tels que des ordinateurs, des smartphones, des tablettes, mais aussi sur les consoles Xbox One de Microsoft, mais de nombreux utilisateurs préfèrent encore l’interface de Windows 7.  Et vous, avez-vous adopté Windows 10 ou avez-vous du mal à vous séparer de la précédente version ?

 

 

 

#6

Trello et Butler : un nouveau partenariat au service des utilisateurs

Bonne nouvelle pour les utilisateurs de Trello qui vont pouvoir gagner du temps dans leur travail au quotidien ! En effet, l’outil de gestion de projet en ligne de la société Atlassian a annoncé le 10 décembre l’acquisition du Power-Up Butler, permettant ainsi aux utilisateurs d’intégrer la puissance de l’automatisation à leurs cartes Trello.

Quels seront les bénéfices concrets pour les utilisateurs ? Avec l’intégration native de Butler, les cartes Trello deviendront entièrement automatisées et pourront ainsi passer de « à faire » à « fait » en fonction de la date d’échéance. De plus, elles pourront être assignées de manière automatique à un utilisateur précis en utilisant des mots ou des phrases simples que le Power Up pourra alors transformer en commandes personnalisables. Cette automatisation permettra ensuite à l’utilisateur de « glisser-déposer » sa carte avec la date d’échéance à terme pour qu’elle se valide d’elle-même.

 

 

 

#7

Traduire en temps réel vos présentations PowerPoint : du rêve à la réalité

Pour la plupart des professionnels, PowerPoint est l’outil incontournable pour réaliser une présentation. L’une des principales difficultés est de devoir adapter son discours, et notamment la langue employée, en fonction de son public. Ainsi, il faut parfois s’exprimer en anglais alors que la présentation est en français, ce qui représente un exercice difficile pour le présentateur mais aussi pour le public qui peine parfois à comprendre.

 

Mais ce problème sera bientôt de l’histoire ancienne car Microsoft a annoncé, au travers d’une vidéo disponible ici, que des légendes ainsi qu’une traduction en temps réel des présentations se présentant sous la forme de sous-titres seront prochainement disponibles en janvier 2019. L’objectif de cette nouvelle fonctionnalité est double : il permettra tout d’abord au présentateur d’être compris par tous mais également de rendre la présentation accessible aux sourds et aux malentendants. A noter qu’à son lancement, la fonctionnalité sera capable de prendre en charge 12 langues parlées différentes mais aussi d’afficher des sous-titres dans plus de 60 langues différentes !

 

Nous avons hâte de pouvoir tester cette nouvelle fonctionnalité afin de vous en dire plus !

 

 

N’hésitez pas à nous contacter, nos experts en solutions digital workplace seront là pour vous accompagner !


 

Le CES 2019, grand-messe technologique annuelle, nous prépare au futur ainsi qu’aux meilleures innovations existantes et à venir. Encore une fois, les nouvelles générations de technologies existantes sont à l’honneur : qu’il s’agisse de l’arrivée de la 5G, des téléviseurs 8K ou des voitures autonomes, l’ensemble bien entendu « connecté », maître-mot de cette édition.

 

 

L’usage au coeur des métiers de l’innovation

L’usage est désormais au cœur des métiers de l’innovation et celui-ci au cœur des enjeux métiers. Un évènement tel que le CES permet de toucher au plus près ces objets « tendance » car pour mieux les comprendre, il est primordial de les expérimenter. De ce fait, le CES est devenu un salon de prédiction des nouveaux usages en lieu et place d’une institution technologique.

En parallèle, nous recherchons continuellement à améliorer l’expérience client, la fameuse UX (expérience utilisateur), en faisant du sur-mesure pour une communauté donnée. S’acculturer est devenu primordial, mais il est désormais nécessaire que la facilité d’utilisation prenne le pas. Pourquoi avoir un téléphone 5G quand la 4G, arrivée en 2009-2010, n’est pas encore totalement adoptée ? On prédit que seul 1 téléphone sur 7 sera 5G en 2025*. Les marques doivent, en plus de maîtriser le marketing de leurs produits, être à la pointe sur leurs différentes propositions technologiques, en cas d’adoption rapide de celles-ci. D’ou la nécessité de remettre les usages et l’expérience au cœur de la technologie.

Si nous prenons le cas des « smart speakers » qui ont fait un tabac en 2018, leur première utilisation reste l’écoute musicale, comme un « speaker » normal. Cela est lié au fait que l’utilisation de la voix avec une interface
est encore une pratique en cours d’apprentissage. Seulement 21% des personnes* possédant un smartphone connaissent la fonctionnalité de reconnaissance par la voix.

 

L’adoption de nouvelles méthodes de travail, vecteur d’innovation

Ces chiffres peuvent sembler étonnants alors que la technologie va toujours plus vite d’année en année, mais l’étude démontre que les français ont une réelle impression de non-accompagnement ou d’aide pédagogique. C’est dans ce contexte que les constructeurs doivent abattre leurs cartes. Les nouvelles méthodes de travail (telle que le design thinking) pour lesquelles les technologies sont interdites afin de mieux les aborder (salle close sans téléphone ou ordinateur) en est un exemple concret. Ces nouvelles méthodes sont didactiques et remettent au cœur de ces enjeux deux éléments : la co-création (soit le travail collaboratif) et la vision utilisateur. Dans le milieu professionnel, les utilisateurs sont impliqués parfois directement dans la création de nouveaux produits pour que la technologie liée soit un outil, réel, qui aide et facilite, et non un frein ou un élément bloquant.

Ce qu’il faut retenir de ce salon c’est qu’au cœur de l’expérience client/ utilisateur, les marques sauront changer leurs innovations pour les rendre facile d’usage voire « commodes ». L’arrivée de nouvelles formes de loisirs tel que l’e-sport et sa population média fragmentée (on ne regarde plus un évènement unique, mais plusieurs parfois simultanément sur différents jeux) amène à repenser l’approche et les usages. Nous parlions naguère de second écran pour les smartphones connectés à la télévision, nous pouvons désormais parler d’environnement « global » où chaque écran, chaque fonctionnalité devra faciliter le loisir ou le travail.

 

Nous arrivons à l’ère de la pratique décrite par Steve Krug « Don’t make me think » pour l’utilisateur. L’utilisateur pense, fait des choix, mais ne doit pas réfléchir à comment utiliser une nouvelle technologie, simplement l’adopter. C’est ici que les entreprises devront accompagner leurs collaborateurs dans la maîtrise des usages actuels et à venir. Hormis le gain de temps facilement mesurable, c’est un réel changement des méthodes de travail et d’organisation (design thinking) qui devra s’opérer pour innover au quotidien en entreprise.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business.

 

*Deloitte Global mobile consumer survey (May 2018)
Article écrit par Yvan Forestier

 


 


Pour la 4ème année consécutive, une dizaine de Saegusiens est parti 3 jours en immersion dans un château afin d’apprendre ou redécouvrir toutes les techniques du métier dans le cadre de la Saegus Academy ! Qu’ils soient consultants, intrapreneurs, designers, data scientists ou développeurs… tous nos collaborateurs participeront au cours de leur carrière à notre Academy.

 

Un moment de partages et non un cours magistral

Loin de proposer un cours magistral, la Saegus Academy s’articule autour de modules de 2h, alliant théories et ateliers pratiques autour de notre métier, de ses outils, méthodes & modèles, de la prise de parole, du leadership, du management, mais également des mises en situations pour acquérir les réflexes afin de gérer les difficultés quotidiennes.

Tout au long de l’Academy, associés et managers accompagnent jours et nuits les collaborateurs pour approfondir, guider, partager leurs expériences et répondre à toutes les questions des participants !

Nous avons la volonté de former continuellement nos consultants à l’ensemble des techniques qui font d’eux des professionnels aguerris sur le terrain, la Saegus Academy étant une occasion particulière pour renforcer aussi la cohésion d’équipe.

Vous êtes curieux de voir à quoi cela ressemble ? Vous souhaitez en savoir plus sur nos formations ? 

Nous nous ferons une joie de vous faire découvrir l’esprit Saegus.


Nous vous en parlions dans un article précédent : Saegus a initié un programme complet à l’école d’ingénieur ECE Paris, afin d’enseigner le Design Thinking aux étudiants de dernière année qui avaient choisi ce cours. Huit intervenants se sont succédés pour leur faire découvrir cette approche centrée sur les utilisateurs en partant d’un sujet qu’ils avaient eux-mêmes choisis.

Le centre de formation agréé Saegus Institute a tout imaginé pour offrir une expérience d’apprentissage unique aux étudiants, comme nous savons le proposer à nos clients. Centré sur la pratique et des retours constructifs de nos experts sur leurs réalisations, le cours s’est achevé par une cérémonie de pitchs organisée chez Saegus.

A cette occasion, nous avons réuni un jury de professionnels permettant de placer les étudiants en situation d’elevator pitch comme le feraient des entrepreneurs, chose qui nous tient particulièrement à cœur en tant qu’intrapreneurs (ADN Saegus).

Nous vous proposons de plonger dans cette expérience !

 

Le bilan des cours à l’ECE

Nos 3 challenges majeurs

  •  Mobiliser les étudiants, tu devras

Quand on a pris l’habitude de travailler en tant que consultant pour des clients, aussi variées soient les missions et les équipes, rien ne nous prépare à faire face à une classe d’étudiants. C’est un public qui n’est pas toujours facile à capter, qui se désintéresse vite, mais qui est aussi très exigeant. Nous avons choisi de les faire travailler en groupes de 5 à 7 personnes aux dynamiques hétérogènes. Les mobiliser sur la durée s’est avéré un challenge à part entière !

Les échanges étaient toujours riches lors des cas pratiques, mais plus réservés lors des parties théoriques, ce qui nous a forcé à innover toujours davantage dans les présentations pour ne pas perdre leur attention.

 

  • Les faire progresser sur des concepts, il te faudra

Nous sommes intervenus sur l’ensemble d’un cours très complet, composé de 20 cours de 3 heures chacun, ce qui nous a permis d’inscrire l’apprentissage dans un accompagnement sur la durée. Nous leur avons demandé de rendre des travaux réguliers et leur faisions des retours au fil de l’eau sur leurs réalisations (personas, cartes d’empathie, prototype, tests utilisateurs…). Cette posture d’accompagnant est proche de celle du coach que nous adoptons dans nos missions, mais peut se révéler complexe lorsqu’il s’agit de faire progresser sur des concepts nouveaux.

 

« J’ai aimé que chaque cours théorique soit accompagné d’une partie pratique, c’était assez instructif et les concepts étaient assimilables plus facilement. »  T, étudiant en Master 2, à l’ECE Paris

 

  • Adapter tes attentes en restant exigeant, indispensable il te sera

Au début du cours, nous avions probablement le même niveau d’exigence auprès des étudiants que nous en avons dans nos missions. Rapidement, il nous a fallu nous rappeler que nos élèves étaient précisément nos élèves, et que nous devions adapter notre niveau d’exigence en fonction de leur statut. Pour cela, nous avons cherché à être tout le temps à l’écoute de chacun, de nous rendre disponibles en mettant à leur disposition une instance slack, mais aussi à nous remettre en question et faire preuve d’humilité sur nos propres connaissances, car les étudiants aussi nous ont énormément appris !

 

Les étudiants durant les pitchs

 

Les grandes fiertés que nous retirons de ce cours

  • Avoir contribué à diffuser le Design Thinking auprès de la future génération d’ingénieurs qui arrive sur le marché

Intégrer le Design Thinking dans toutes les typologies de métiers permet de toujours envisager un projet, une idée, un problème, sous un angle centré sur les utilisateurs et à itérer, encore et encore, pour affiner et créer une solution pertinente et innovante. Le Design Thinking n’est pas une baguette magique, c’est une approche structurée qui modifie en profondeur nos schémas de pensée habituels.

Que des ingénieurs de dernière année aient fait le choix de ce cours, et en ressortent avec un bon bagage théorique est pour nous une fierté, car ils seront eux-mêmes porteurs et moteurs de cette approche dans leur vie future.

 

  • Avoir enseigné par la démonstration de nos expertises pratiques et technologiques

Chez Saegus, nous croyons en la preuve par la démonstration. Plutôt que de dire, nous faisons et nous montrons. Le cours a été conçu dans le cadre de la Saegus Institute et a fait intervenir une grande diversité de nos expertises : recherche utilisateur, Design Thinking, Agile, entrepreneuriat, business model, UI, UX….

Mais nous n’avons pas seulement puisé dans nos expertises pratiques, nous avons aussi initié les étudiants à Foreseeds, notre plateforme de crowdthinking. Cela leur a permis de manipuler un outil innovant et ainsi comprendre qu’une approche Design Thinking ne passe pas que par des post-its, mais peut, elle aussi, être révolutionnée et adaptée.

 

« J’ai aussi adoré l’outil Foreseeds, il est vraiment bien conçu et permet l’émergence de nouvelles idées ! » S, étudiante en Master 2, à l’ECE Paris

 

  • Voir les élèves progresser, s’intéresser et se révéler !

Notre fierté, c’est d’avoir vu les élèves progresser. D’une posture un peu lointaine, ils se sont intéressés et révélés tout au long des cours, et tous les groupes sans exception ont fourni un travail d’une grande qualité. Notre plus belle réussite sur ce cours, c’est de voir que l’approche a été comprise et assimilée, et qu’elle leur servira quelle que soit leur activité professionnelle.

 

« J’ai apprécié le fait de venir en cours avec plaisir, les projets qui réveillent, l’animation, les profs jeunes, dynamiques et accessible. »   A, étudiante en Master 2, à l’ECE Paris

 

Nous avons demandé en fin de cours aux étudiants de nous envoyer leurs feedbacks, ce qui n’est que justice car si nous les avons bien notés, à eux de nous noter également ! Le cours a reçu une note globale de 4/5, le nombre et la pertinence de leurs retours vont nous aider à améliorer le cours pour faire encore mieux l’année prochaine. C’était une très belle expérience que nous avons partagée avec les étudiants, et nous avons hâte de recommencer l’année prochaine !

 

Les membres du jury

 

Merci à notre cher jury présent lors de la matinée de pitchs :

  • Sylvie Coumel (Sanofi)
  • Mazid Calas (Renault)
  • David-Olivier Bouchez (ECE)
  • Jacques Rossard (ECE)
  • Yvan Forestier (Saegus)
  • Frédéric Brajon (Saegus)

 

Et merci à nos intervenants de cours :

  • Marouchka Hebben (responsable de l’option)
  • Aurore Pinel
  • Charlotte Marmet
  • Pauline Hénon
  • Sarah Chakir
  • Jérôme Laizin
  • Jean-Marie Dabbaghian
  • Hadi Issa