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Le règlement européen en matière de protection de données (RGPD) est entré en application en mai 2018. Un an après, place au bilan. Frédéric Brajon, Directeur Général chez Saegus, était sur le plateau de BFM Business pour évoquer le sujet.

 

 

Voici un aperçu des enseignements de notre dernière étude qui a porté sur le partage des données personnelles et leur confidentialité. Par Emile Leclerc, Directeur d’Etudes chez Odoxa et Frédéric Brajon.

 

Les Français apprécient de moins en moins les publicités individualisées alors qu’ils les trouvent de plus en performantes

Avec l’avènement d’Internet et du Big data, le marketing a beaucoup évolué pour se tourner vers l’individualisation. En suivant les produits que nous achetons et consultons, les sites de e-commerce développent des algorithmes leur permettant de nous proposer des produits correspondant à nos goûts et à nos envies. Pour les Français, ces algorithmes sont de plus en plus performants. En 2015, ils étaient 37% à juger que ces publicités étaient bien ciblées. Ils sont désormais 42% à le dire. Mais dans le même temps, ils les apprécient de moins en moins. Alors qu’en 2015, 50% des Français affirmaient apprécier que les sites leurs proposent des produits qui correspondent à leur profil et à leurs goûts, ils sont aujourd’hui 9 points de moins (41%). Quant aux opportunités professionnelles individualisées, elles n’ont pour le moment touché que 21% des Français.

 

76% des Français se disent préoccupés par la collecte de leurs données

S’ils apprécient de moins en moins se voir proposer des produits correspondant à leurs goûts, c’est parce que les Français se disent préoccupés par ces collectes. 76% d’entre eux le disent et ils sont même 29% à affirmer que cela les préoccupe beaucoup. On lit parfois que les géants du numérique nous connaissent mieux que notre propre famille. En trackant nos envies et besoins, les sites internet récoltent effectivement de très grosses masses de données, une pratique qui dérange les Français. Ce sont aussi les potentielles fuites de données dont certaines sont particulièrement confidentielles, comme des données bancaires, qui inquiètent les Français.

Frédéric Brajon, Directeur Général chez Saegus, explique qu’aujourd’hui il y’a une prise de conscience de la part des Français concernant leurs données et ils savent dorénavant que leurs habitudes de consommation sont connues. Néanmoins, des questions subsistent dans les esprits, “où sont stockées les données ?” et “comment y accéder ?”.

 

RGPD : un Français sur deux accepte les conditions sans même les lire

Depuis un an, l’Union Européenne a mis en place le Règlement Général sur la Protection des Données personnelles (RGPD). Il oblige, entre autres, les sites Internet à informer leurs visiteurs sur le type de données récoltées mais aussi à obtenir leur consentement. Dans les faits, la quasi-totalité des Français (83%) nous disent accepter les conditions, 16% seulement préférant se déconnecter du site. Parmi ces 83%, 50% acceptent les conditions les yeux fermés, sans même les lire. A contrario, 33% acceptent les conditions après avoir les avoir lues. S’ils se déclarent préoccupés, les Français ne se prémunissent donc pas toujours, même lorsqu’une information plus précise leur est fournie. C’est certes un paradoxe mais c’est ainsi.

 

57% des Français n’ont pas confiance en Google et Facebook pour mieux respecter les données personnelles

Conscients des inquiétudes de leurs utilisateurs en matière de protection et d’utilisation des données personnelles, les géants du numérique ont récemment annoncé des mesures et outils pour améliorer la « privacy ». Les Français sont assez dubitatifs envers ces annonces. 57% d’entre eux nous disent ne pas faire confiance à Google et Facebook pour mieux protéger les données personnelles. Il faut dire que les modèles de ces deux géants du numérique sont fondés sur l’utilisation des données personnelles, en permettant aux marques de mieux cibler leur clientèle. Les Français se demandent pourquoi ces géants chercheraient à se tirer une balle dans le pied et perçoivent ces annonces comme de la communication visant à améliorer l’image de marque de ces entreprises. Et pourtant, quelles entreprises sont mieux placées pour assurer plus de « privacy » que celles qui en ont la clé ?

“Il est compliqué de faire confiance à Google et Facebook, leurs modèles économiques est fondé sur la revente de données. Bien qu’il y ait eu des sanctions à l’encontre de ces acteurs, le montant de ces amendes est une goutte d’eau comparée à leurs chiffre d’affaires.” nous informe Frédéric Brajon.

 

Découvrez l’analyse complète au travers de notre étude réalisée conjointement avec Odoxa Sondages.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business en replay.

 


Depuis sa création en 2016, Viva Technology est devenu le rendez-vous incontournable des start-ups et des passionnés de nouvelles technologies. Cette grande messe du digital est l’occasion de découvrir les dernières tendances en matière de transformation digitale, de robotique et d’intelligence artificielle. Dans ce contexte, Saegus a décidé d’envoyer trois explorateurs dans cette jungle de l’IT. Le 18 mai prochain, nos aventuriers passeront la journée à découvrir et tester les dernières innovations pour proposer une analyse de leur expédition. So, stay tuned !

 

© SIPA VIVA TECHNOLOGY

 

Pour recevoir notre analyse complète, laissez-nous vous recontacter 🙂

 


Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

 

 

#1

Dans la famille Microsoft, je veux le Surface Hub 2S 

 

Microsoft, à ses débuts, était un éditeur de logiciel qui a rapidement entrepris de moderniser et d’élargir son catalogue. Ce tournant fut récemment marqué par la première Surface Hub en 2015 qui, quatre ans plus tard, accueille sa version 2S.

 

En lançant cette nouvelle génération, Microsoft a compris que l’espace de travail traditionnel est révolu et qu’il tend à devenir phygital, contribuant ainsi à la collaboration. Cela se traduit par travailler en équipe depuis n’importe où et n’importe quel appareil. En effet, le nouvel écran permet de projeter un contenu depuis un ordinateur, une tablette ou encore un téléphone sans fil grâce à Miracast.

 

Le Surface Hub 2S offre aussi un accès à Office 365 permettant aux utilisateurs de collaborer simultanément sur plusieurs applications. Il est ainsi possible de brainstormer sur Microsoft Whiteboard tout en échangeant avec ses collègues via Teams sur l’écran.

 

Le travail d’équipe est enfin favorisé à travers les supports du Surface Hub 2S. Ces derniers permettent un mode carrelage, où quatre surfaces hub sont collés côte à côte, et un mode paperboard à l’aide du support à pied.

 

Microsoft espère ainsi améliorer l’expérience utilisateur grâce au Surface Hub 2S.

 

 

Crédits Microsoft     

 

 

#2

Google Currents : un tournant déterminant pour Google ?

 

Avis aux utilisateurs de G suite ! Google va remplacer Google+, l’actuel réseau social des entreprises, par une nouvelle plateforme baptisé Google Currents.

 

Google Currents présente les principes classiques d’un réseau social puisqu’il est possible de publier son statut, de partager des liens, de chercher des discussions à partir de mots-clés et d’échanger entre collaborateurs. Mais le géant de web a aussi ajouté de nouvelles fonctionnalités, à savoir générer des tags afin de suivre des conversations ou des thématiques, créer un flux de contenus personnalisés ou encore afficher les messages des dirigeants toujours en premier afin d’être vus de tous.

 

Google n’a pas donné de précisions sur le design de l’interface. Nous savons seulement que le graphisme sera différent par rapport à son prédécesseur.

Le géant du web a tenu à préciser que tout le contenu Google+ sera automatiquement transféré vers Currents une fois les entreprises inscrites à la version bêta.

 

Google mise ainsi sur une plateforme facilitant les échanges au sein de l’entreprise. Il ne faut toutefois pas compter sur une révolution en termes de fonctionnalités par rapport à ses concurrents.

 

Chez Saegus, nous avons envie de lui laisser sa chance pour nous en faire notre propre idée. Nous espérons juste qu’il ne rejoindra pas son confrère Google+ au Google Cemetery.

 

Crédits Google 

 

 

#3

Petit tour d’horizon des nouveautés sur Teams

 

Microsoft a récemment annoncé un certain nombre de nouveautés concernant l’application Teams. Focus sur trois nouvelles fonctionnalités qui ont retenu notre attention chez Saegus.

 

Il est maintenant possible d’ajouter un membre dans une Team privée sans en être le propriétaire. Au nom de la personne qui souhaite rejoindre l’équipe, un membre peut ajouter une personne à l’aide du bouton « Ajouter un membre ». Le propriétaire reçoit une notification indiquant la requête et la personne ajoutée reçoit une notification une fois l’invitation validée.

 

Microsoft Teams a pensé à l’ajout d’une nouvelle fonctionnalité permettant de cacher des équipes et des chaînes, afin d’éviter les encombrements et de se focaliser sur l’essentiel. Les utilisateurs peuvent toutefois, à tout moment, retrouver la liste des éléments cachés dans « Equipes cachées ».

 

Enfin, Microsoft a déployé la fonctionnalité « fichiers de restauration ». En lien avec l’application SharePoint, l’objectif est de permettre aux administrateurs et aux propriétaires de site de restaurer des fichiers supprimés au cours des 30 derniers jours. Cela est très utile en cas de suppression de l’utilisateur final, de corruption de fichiers ou d’infection par des logiciels malveillants.

 

 

Crédits Microsoft

 

 

 

#4

Facebook Workplace un nouveau look pour une meilleure expérience ?

 

À l’occasion de la conférence Facebook F8, Marc Zuckerberg a annoncé des nouveautés, dont l’évolution du design de Facebook Workplace.

 

Le concurrent de Slack et Teams a expliqué s’être basé sur les retours des entreprises utilisant Facebook Workplace en version beta test pour identifier les axes d’amélioration et ainsi proposer une version qui répond mieux aux attentes.

 

Ainsi, Facebook Workplace propose un nouveau design de toutes les interfaces de la plateforme afin d’offrir une navigation plus visible et accessible aux utilisateurs. Le but est de trouver rapidement ses informations et de basculer facilement entre ses groupes, ses notifications et la messagerie instantanée.

 

Cette refonte s’accompagne d’une amélioration des fonctionnalités, comme la possibilité de rétracter le menu de navigation afin de se concentrer sur le contenu ou de filtrer les notifications.

 

En Février 2019, Facebook déclarait avoir 2 millions d’utilisateurs payants sur son réseau social d’entreprise depuis sa création. Reste maintenant à savoir si ces modifications vont convaincre de nouvelles entreprises à installer Facebook Workplace et ainsi augmenter le nombre d’utilisateurs.

 

 

Crédits Facebook

 

 

#5

 Security Policy Advisor ? Microsoft vient à la rescousse des DSI

 

La cybercriminalité, ou cybersécurité, sont des sujets prioritaires pour les entreprises. Ces dernières investissent massivement dans ces domaines et sont parfois un casse-tête pour les DSI lorsqu’il s’agit de définir des politiques de sécurité.

 

Pour répondre à ce problème, Microsoft a annoncé le lancement d’une pré-version de Security Policy Advisor. L’objectif ? Réduire la complexité de création et de gestion des politiques de sécurité en facilitant le travail des responsables informatiques.

 

Le maître mot est de proposer un service qui s’adapte aux usages de l’utilisateur. Security Policy Advisor vise à analyser l’usage d’Office 365 afin de proposer ensuite une stratégie personnalisée. En complément, le service fournit des recommandations de politiques ou des informations sur l’impact de ces dernières sur le reste des fonctionnalités d’Office. Ainsi, cela permet de « prendre des décisions en toute connaissance de cause », ajoute Jared Spataro, Corporate Vice President de Microsoft 365.

 

Enfin, Security Policy Advisor applique en un seul clic les politiques de sécurité configurées qui peuvent à tout moment être modifiées.

 

Crédits Microsoft

 

 

#6

Slack adresse une fonctionnalité aux non-développeurs dans l’âme

 

À l’occasion de son événement annuel qui se déroulait à San Francisco, Slack a annoncé un ensemble de nouvelles fonctionnalités, dont Workflow Builder.

 

Workflow Builder va permettre d’automatiser des tâches simples et basiques sans taper des lignes de code. Bonne nouvelle pour les personnes novices sur ce sujet !

 

Le premier usage identifié est l’envoi de messages automatisés et personnalisés lorsqu’un utilisateur rejoint un espace de travail ou un canal. Slack prend comme exemple l’automatisation d’un message d’orientation envoyé aux nouveaux employés qui rejoignent le canal pour la première fois.

Le second cas d’usage est similaire à un self-service puisque les collaborateurs peuvent effectuer plusieurs demandes : poser des congés, commander des cartes de visite ou encore demander un ordinateur auprès du service informatique.

 

Slack confirme ainsi sa volonté de simplifier son accessibilité auprès de l’utilisateur final et de ne plus prétendre à être un simple outil de communication entre collaborateurs.

 

Crédits Slack

 

 

 

#7

Meeting Insights :  de l’IA dans l’organisation de vos réunions

 

Avez-vous déjà rêvé d’avoir un assistant virtuel pour organiser vos réunions, vérifier si une salle est disponible ou encore de ranger les documents de travail ? Si oui, sachez que Microsoft réalise votre rêve.

 

En effet, l’éditeur a développé la fonctionnalité Meeting Insights en intégrant une dose d’intelligence artificielle à sa messagerie Outlook. À l’aide de cette dernière, les managers et les collaborateurs ont à disposition une fonctionnalité qui désormais collecte automatiquement les éléments nécessaires à la planification d’un événement : création de réponses automatiques, anticipation des disponibilités des participants ou encore suggestion automatique des salles de réunion disponibles. Cette fonctionnalité permet aussi d’aller rechercher des documents de travail relatifs aux anciennes réunions pour pouvoir préparer les prochaines.

 

Toutefois, si l’utilisateur n’est pas satisfait, il est toujours possible de désactiver la fonctionnalité.

 

Le seul point négatif est sa disponibilité uniquement sur la version online d’Outlook.

 

Crédits Microsoft 

 

Nos experts en solutions digital workplace sont là pour vous accompagner, contactez-nous !

Et vous pouvez également télécharger nos insights workplace !


Saegus est très fier de vous annoncer le lancement de son offre spécialisée dans la création et le déploiement de Small Apps !  Un accompagnement basé sur des solutions telles que PowerApps pour Microsoft et AppMaker pour Google, permettant de créer vos propres applications d’entreprise.

Après l’aire des outils dits de « Productivity Hub » type Slack, Microsoft Teams et Symphony, voici venu le temps des Small Apps !

Une Small App est une application fonctionnelle et extrêmement simple d’utilisation. Elle permet de digitaliser vos processus les plus chronophages et de résoudre vos irritants du quotidien. On les appelle Small Apps car leur création ne nécessite pas de savoir coder. C’est vous, collaborateurs, qui créez vos propres applications en fonction de vos besoins ou de ceux de votre équipe.

Créer une Small Apps, c’est inné ? 

Bien sûr, il y a un court temps de montée en compétences. Si vous avez déjà utilisé Excel et PowerPoint, vous ne serez pas perdu car l’interface de création s’en rapproche fortement. Vous aurez donc la possibilité de créer une infinité d’applications car il existe autant de Small Apps que de besoins. Nous avons tous nos propres cas d’usages que nous souhaiterions transformer en petites applications Quels seraient les vôtres ? 

Voici quelques pistes d’inspiration qui n’ont nécessité qu’un seul jour de développement !

Vous l’aurez deviné, nous ne sommes pas les seuls à utiliser les Small Apps !

Avec la solution Microsoft PowerApps, la SNCF a décidé de mettre en place une application qui permettrait d’accompagner les équipes techniques lors de la maintenance effectuée sur les rames de train. Les processus étant très longs et fastidieux, ils engendraient un taux d’erreur élevé… Qui n’a pas connu la check list sur feuille Excel imprimée en A3 ? 

La Small App a permis aux utilisateurs de faire deux fois moins d’erreurs et de passer deux fois moins de temps sur la maintenance de ses rames.

 –> https://powerapps.microsoft.com/fr-fr/blog/sncf-power-platform-customer-success-story/

En conclusion …

 

Que vous ayez besoin que Saegus crée pour vous une Small App fonctionnelle ou que vous souhaitiez donner la possibilité à vos collaborateurs de les concevoir eux-mêmes, nous vous proposons plusieurs offres d’accompagnement.


 

Et rejoignez-nous le jeudi 13 juin pour créer votre App sur-mesure avec nos équipes ! Nous organisons un événement qui vous est destiné, pendant lequel vous pourrez nous faire part de vos besoins et repartir avec votre app’ personnalisée et fonctionnelle.

La deuxième édition de la course enfant sans cancer se tiendra le 24 mai prochain. Cette course est un évènement solidaire qui a pour but de récolter des dons afin de financer les recherches contre le cancer pédiatrique. Cette année, Saegus s’est engagé à participer à la course organisée par l’association Imagine for Margo que nous soutenons dans leur combat.

 

Qu’est ce qu’est l’association Imagine for Margo – Children without cancer ?

La course enfants sans cancer est une course à l’initiative de l’association Imagine for Margo. Margaux, est décédée le 7 juin 2010 d’une tumeur agressive au cerveau après 16 mois de combat contre le cancer avec un courage remarquable. En mars 2009, Margaux a initié une collecte de fonds qui a généré un immense élan de générosité et de solidarité. 103 000 euros ont été remis à l’équipe pédiatrique de l’Institut de cancérologie Gustave Roussy à Villejuif pour permettre de finaliser une étude sur les gliomes du haut grade. L’association “Imagine for Margo – Children without cancer ” a été créée en novembre 2011 afin de perpétuer le combat de Margaux en menant des actions de sensibilisation et de collecte de fonds afin d’aider la recherche européenne sur des traitements spécifiques, innovants et plus efficaces pour les enfants atteints de cancer.

 

La course enfants sans cancer city, le concept.

“Courir solidaire pour faire avancer la recherche”, sont les maitres-mots de cette course. Ouverte à tous, cette course a été créée pour mobiliser les entreprises et écoles des alentours du quartier d’affaires parisien afin de faire avancer encore plus vite la recherche contre le cancer des enfants, en plus de la course organisée au Parc de St-Cloud le 29 septembre prochain.

100% des dons collectés seront affectés à la recherche pour financer des essais cliniques permettant à des enfants atteints de cancer de bénéficier de traitements innovants et plus efficaces.

 

Saegus et la course enfants sans cancer

Très sensible et soucieux de la cause enfantine, Saegus a décidé de lancer un appel en interne afin de solliciter l’aide et le temps de nos collaborateurs pour qu’ils puissent participer à cette course solidaire. Pas moins de 20 Saegusiens ont répondu présents et enfileront leurs baskets le 24 mai aux côtés d’autres coureurs. Nous pourrons retrouver nos équipes sur les différents parcours proposés, 5km marche, 5 et 10km course, qu’ils soient de grands sportifs ou non, nos collaborateurs ont souhaité prendre part à ce beau projet.

 

Les Saegusiens ont d’ores et déjà débuté les collectes de dons, qui seront redistribués en intégralité à l’association Imagine for Margo dans le but de contribuer à la recherche contre le cancer pédiatrique. C’est un honneur pour nous de pouvoir contribuer au financement des recherches et de soutenir l’association. Comme pour le 4L Trophy, nous sommes fiers de l’engagement de nos collaborateurs et nous sommes impatients des les voir sur la ligne de départ le jour J.

 

Nous souhaitons remercier et féliciter toute l’équipe de l’association Imagine for Margo, pour chacune de leurs actions et leur combat quotidien qui est admirable. Nous souhaitons bonne chance aux Saegusiens participant à la course !

 

Si vous portez une action humanitaire ou solidaire, n’hésitez pas à nous contacter afin que l’on puisse échanger sur ces beaux projets.

 

Ces géants du web, parfois créés dans un garage, sont devenues les plus importantes capitalisations boursières mondiales, valorisées tout autant que les PIB de l’Allemagne, du Royaume-Unis ou encore de la France. Pour autant, ils sont de plus en plus décriés pour leur côté hégémoniques, leurs pratiques fiscales et leur souveraineté. Marc Trilling, notre CEO, a participé à la dernière émission 01 Business Forum sur BFM Business à leur sujet.

 

 

Le poids des GAFAM

4ème puissance mondiale. C’est ainsi que l’on pourrait classer les GAFAM en cumulant leur valorisation boursière (plus de 3000 milliards de dollars), par rapport au PIB des grandes puissances mondiales. En effet ils ne laisseraient devant eux que les Etats Unis, la Chine et la Japon. Apple en tête en dépassant les milles millards de dollars de valorisation.

Pour autant, ces géants du numériques n’ont pas tous le même modèle économique. Tandis que Google et Facebook génèrent plus de 80% de leurs revenus au travers de la publicité, Microsoft compte toujours sur son activité logiciel (cloud) pour générer plus de 60% du sien, Amazon et Apple, plus de 80% du leur sur – respectivement – le matériel et la vente en ligne. Mais cela va changer et rapidement.

 

L’éternelle course à l’innovation

Les annonces se sont enchainées dernièrement : Facebook lance sa crypto monnaie, Apple investit dans Texture, AppleTV+ et maintenant Apple Arcade, Amazon lance son service de streaming de musique gratuit, Microsoft et Google diversifient leurs offres cloud et intelligence artificielle.

Si leurs activités sont différentes, tous se rejoignent sur un point : diversifier ses activités – et surtout sur de nouveaux services – reste une des priorités majeures. Ainsi Google et Apple disposent d’une offre de streaming vidéo et audio et Amazon lancerait prochainement un service de streaming audio gratuit en plus de son offre de streaming video.

Ces acteurs proposent également des services d’assistants personnels basés sur leur propre intelligence artificielle. Parmi les futurs services où la lutte s’engagera : le cloud gaming. Google a annoncé récemment la sortie de Stadia, Microsoft annonçait en 2018 Xcloud pour une sortie en 2020, tandis qu’Amazon travaillerait également sur un service similaire pour une sortie en 2020 également.

 

Toujours plus de données

Qu’on ne s’y trompe pas pour autant. Au-delà de ces nouveaux services pour générer de potentiels revenus complémentaires, la course de ces géants du numériques restent centrée sur la donnée. Le saint-graal.

Plus de services souscrits par leur client, plus de données récupérées. Et contrairement aux idées reçues (et hors activités de revente de fichiers à la Facebook) pas besoin de stocker des données nominatives. Des données anonymes – à condition d’en avoir suffisamment – suffisent pour définir des modèles et tendances fiables qui permettront de mieux connaître les cibles et de pousser toujours mieux le service/ ou produit le plus pertinent.

Ces géants démontrent une fois de plus le coeur de l’ère numérique : savoir avancer tactiquement et évoluer pour s’adapter rapidement. Eux sont en mesure de le faire avec des investissements dépassant souvent le milliards (un demi-milliard sur Apple Arcade par exemple). Un ticket d’entrée compliqué pour l’émergence d’un géant du numérique européen de demain.

 

Découvrez l’analyse complète au travers de notre étude réalisée conjointement avec Odoxa Sondages.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business en replay.


Le Programme de Reconnaissance de l’Institut Great Place to Work® nous a remis la certification portant le même nom, valorisant Saegus en tant qu’entreprise où il fait bon travailler pour la seconde année consécutive ! Saegus a été classée 7 ème parmi les cabinets de conseils et 15 ème toutes catégories confondues sur 50 lauréats !

 

 

«  Quelle fierté d’être une nouvelle fois certifié Great Place To Work ! Nous sommes ravis de voir que les actions menées au sein de notre ConsulTech pour créer un cadre où il fait bon de travailler fonctionnent. Que ce soit notre Team Anim, la liberté à chaque Saegusien de lancer des initiatives auxquelles ils croient (séance de massage, participation à des actions solidaires, nouvelle appli mobile…) ou encore l’esprit d’intrapreneuriat qui fait partie de notre ADN, tous ces éléments contribuent à l’enrichissement du quotidien des Saegusiens ! Nos valeurs étant l’excellence et le fun, nous ne comptons pas nous arrêter là ! » Julien Cotte, Directeur des Talents chez Saegus. 

 

Ce qu’il faut retenir de la cuvée 2019 :

  • Sur les 304 entreprises ayant concouru, seulement 97 entreprises ont été validées pour rentrer dans le classement. Saegus fait donc partie des 30% retenus par Great Place To Work.
  • De plus, sur ces 97, la répartition est la suivante : 25 entreprises de -50 salariés, 50 entreprises de 50 à 500 salariés, 20 entreprises de 500 à 5000 salariés et 2 entreprises de plus de 5000 salariés. De fait, nous sommes dans la catégorie la plus représentée !

 

Nous sommes donc très heureux de pouvoir partager cette nouvelle avec vous aujourd’hui et vous proposons même de l’observer en vidéo.

D’ailleurs, n’hésitez pas à venir nous voir, on vous accueillera avec joie. Contactez notre Directeur des Talents julien.cotte@saegus.com pour plus de précisions sur Saegus.

A bientôt,

Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

#1

Google Voice, l’innovation de G Suite pour le SMB Market 

Google se prépare à lancer son service de téléphonie cloud pour les entreprises dans 9 pays. Le service cible les entreprises avec des besoins de téléphonie simples ; préférablement celles qui utilisent déjà Hangouts Meets et Hangouts Chats.

Google teste Google Voice depuis juillet 2018 aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en France, en Espagne, au Portugal, en Suède, au Danemark et en Suisse ; avec l’objectif d’offrir des services de voix plus avancés que ceux qu’ils offrent gratuitement depuis 2009.

Voici quelques fonctionnalités de Google Voice : identification d’un appel entrant, transfert d’appel, filtrage d’appel, ne pas déranger, appel d’urgence, appel Wi-Fi, détection de spam, blocage des appels et salutations personnalisées. En outre, les administrateurs d’IT pourront gérer les utilisateurs et leurs numéros, créer un historique des appels et des rapports d’usage. Mais Google n’a pas encore confirmé lesquelles de ces fonctionnalités seront disponibles lors du lancement du service ce printemps.

 

#2

Les nouveautés de Microsoft 365

Il semblerait que la sécurité soit un des focus pour Microsoft, la société a créé Microsoft Threat Experts, un service qui permet de rechercher et de hiérarchiser de manière proactive les menaces pour maximiser l’usage de Windows Defender Advanced Threat Protection (ATP).

La firme a aussi enrichi les possibilités de configuration d’Exchange Online Protection, d’O365 Protection Avancée contre les menaces, d’O365 Chiffrement de Messages et des Politiques Data Loss Prevention sur FastTrack. De plus, Microsoft a donné la possibilité aux utilisateurs d’afficher l’activité de leur compte personnel quand ils reçoivent une notification push sur Microsoft Authenticator. Cela leur permettra de prendre des mesures pour le protéger, si nécessaire. Microsoft Authenticator peut également être utilisé pour ajouter une vérification en deux étapes au compte pour une sécurité accrue. De quoi permettre aux équipes de collaborer sereinement sur leur lieu de travail ou à distance.

 

 

#3

Intégration de Jive et GoToMeeting

LogMeIn, l’entreprise propriétaire de GoToMeeting qui a acquis Jive en 2017, a annoncé qu’en 2019 sa solution intégrera les deux plateformes. Cela fait suite à la vente de 80 000 licences des plateformes Jive et GoToMeeting à un prix groupé sur le second semestre de 2018.

Divers analystes plébiscitent cette décision stratégique qui devrait permettre à l’entreprise LogMeIn de rester compétitive, notamment après avoir perdu des parts de marché face à son concurrent, Zoom, à cause de l’absence d’intégration entre les plateformes du groupe (GoToWebinar, OpenVoice et Join.me).

 

 

#4

Microsoft améliore l’accès à ses applications

Microsoft a créé une nouvelle Office app pour Windows 10 qui intègre toutes les applications, documents et personnes de votre organisation au même endroit, avec l’objectif de faciliter l’accès aux informations.

L’idée est de faire évoluer les offres de Microsoft pour qu’elles soient de plus en plus ergonomiques : Les utilisateurs peuvent désormais ajouter des données à un tableur depuis une photo prise sur le moment avec un dispositif Android. Mais ce n’est pas tout, Microsoft To-Do s’est vu ajouter la fonctionnalité d’ajouter des photos et des documents à chaque To-Do pour mieux gérer les tâches.

On a hâte de tester toutes les nouvelles fonctionnalités pour vous faire nos retours !

 

 

 

#5

Nouveau framework UI pour améliorer les intégrations de Slack

Les utilisateurs de Slack peuvent s’attendre à des changements importants dans l’apparence de nombreuses applications tierces, à la suite de l’annonce sur le nouveau developer toolkit : Block Kit. Celui-ci facilitera la création des intégrations pour les designers. Cela veut dire qu’à l’avenir Slack offrira des intégrations plus interactives qui donneront la possibilité aux utilisateurs d’avoir plus de fonctionnalités sans changer d’application.

Cette actualité montre que Slack continue à mettre en avant les intégrations comme facteur de différenciation sur le marché de la collaboration en équipe.

Ses concurrents, Microsoft Teams et Cisco Webex, offrent beaucoup moins d’applications tierces que Slack et 94% des équipes qui utilisent la version payante de Slack utilisent ces applications.

La cerise sur le gâteau ? Ce nouveau framework d’intégration pourrait permettre aux utilisateurs de Slack sans expertise en code de modifier leur intégration.

 

#6

Les robots arrivent pour nous remplacer

Amelia travaille dans le help-desk online et téléphonique de plusieurs entreprises autour du monde, elle peut mémoriser un document de 300 pages en 30 secondes, elle parle couramment plus de 20 langues et elle peut gérer plusieurs appels simultanément.

Amelia, créé par IPsoft, est un robot en col-blanc qui peut interagir avec les clients des entreprises par téléphone, comme un chatbot ou comme un avatar tridimensionnel dans les smartphones, tout en connaissant l’historique du contact de chaque client.

Pour Allstate, une société d’assurances ayant plusieurs millions de clients, Amelia a réduit la durée moyenne des appels de 4.6 à 4.2 minutes, augmenté de 67% à 75% le taux de résolution des problèmes au premier appel. Finalement, 99% des collaborateurs de chez Allstate ont déclaré être complètement satisfaits avec leurs interactions avec Amelia.

Les « travailleurs » comme Amelia vont diminuer les couts du Workplace, pas seulement pour les fonctions opérationnels ou techniques, mais aussi pour les services clients grâce au développement du « Machine Learning », une forme d’Intelligence Artificielle dotée de compétences de lecture, d’écriture, d’expression orale, et d’auto-apprentissage qui se modifient et s’ajustent au fil du temps, en capitalisant sur chaque interaction.

Serez-vous bientôt remplacé par un collègue d’Amelia au travail ?

 

#7

La France, un marché clé pour Microsoft et leader en IA

A l’occasion de Microsoft Business Forward, événement clients mettant en lumière la transformation digitale des entreprises, Microsoft a annoncé que son Campus en France a été choisi pour accueillir un Centre de développement dédié à l’Intelligence Artificielle.

Ce centre proposera des solutions et des outils d’IA facilement accessibles pour ses clients et ses partenaires dans le monde entier pour accompagner les entreprises dans leur transformation digitale, et dans leur quête d’efficacité et de productivité. Ainsi, la France s’affirme plus que jamais comme une nation de l’Intelligence Artificielle et représente, dans ce cadre, un marché clé pour Microsoft.

 

 

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Sur les trois dernières années, l’inquiétude ou la défiance des Français vis-àvis de l’IA semble croissante. Et pourtant dans ce laps de temps, que s’est-il passé ? L’impact de l’IA sur la destruction d’emploi n’est pas une réalité, au contraire.

 

L’IA, soutenue à l’échelle mondiale par de forts investissements de recherche, est plutôt génératrice d’opportunités pour les ingénieurs bien sûr, mais également pour la plupart des entreprises qui y voient un moyen efficace de rendre plus performante leur offre de service ou d’en créer de nouveaux.

 

Cependant, la forte communication dans les médias, l’arrivée d’innovations « grand public » dans lesquelles la machine remplace l’humain (voiture autonome, diagnostics, détection de fraude, surveillance des cultures par drone…) renforcent ce sentiment de vulnérabilité.

 

En effet, les progrès de la technologie, sa démocratisation et ses coûts mesurés participent à un essor rapide qui dépasse les simples recommandations marketing initiales, et permet à l’IA d’intégrer un nouveau terrain de jeu : les fonctions internes de l’entreprise.

 

Bien que le sondage indique que les Français croient peu à l’influence de l’IA sur la collaboration ou le recrutement, c’est pourtant bien là que la transformation la plus rapide pourrait s’opérer (et toucher le quotidien des employés).

 

Sans que l’on soit forcément au courant, une multitude de micro-services basés sur de l’IA sont ou seront à très court terme intégrés dans les fonctions régaliennes (prévisions financières, budget, supply chain, recrutement, constitution d’équipes « compatibles », gestion de carrière, aide à la vente, suivi d’agendas, automatisation de tâches administratives, octroi de crédits….). Dès lors, la véritable question qui se pose n’est plus de savoir quelle place donner à l’IA, mais quelle complémentarité octroyer à l’humain et surtout, comment intégrer des garde-fous permettant d’avoir confiance en l’IA …. au quotidien.

 

Découvrez l’analyse complète au travers de notre étude réalisée conjointement avec Odoxa Sondages.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business en replay.


Ces derniers jours, différentes réalisations de deep learning (apprentissage profond) ont été massivement relayées sur les réseaux sociaux. Vous avez peut-être découvert notamment des algorithmes permettant de générer des visages et des annonces de location de logement entre particuliers n’ayant jamais existé. Ces applications reposent sur une technologie toute récente – 2014 –, dénommée Generative Adversarial Network (GAN). Comme tout modèle de Deep Learning, elle exploite en empilement de nombreuses couches de neurones artificiels (d’où les termes « deep »/« profond »), qui permet l’extraction et la manipulation de représentations complexes issues de modalités variées (images, sons, données numériques, etc.). La particularité de cette technologie est sa capacité à générer des exemplaires fictifs d’une classe d’éléments : en quelque sorte, la machine se dote d’une imagination.

Saegus n’a pas attendu ces buzz pour développer une expertise sur ce sujet novateur garantissant de nombreux leviers de croissance. Ce dossier vise à présenter notre vision sur cette nouvelle technologie, notamment en l’inscrivant dans son contexte et en la comparant aux modèles discriminants (et non-génératifs) qui l’ont précédée dans un premier article. Nous présentons dans un second article plus en détails le fonctionnement des GANs ainsi que certaines de nos réalisations. Pour finir, un troisième article prend du recul sur ces innovations pour considérer les portées éthiques cruciales de ces changements de paradigme. Si vous voulez savoir à quoi ressembleront vos enfants, ou comment vieillira votre peau, nous vous invitons à plonger dans l’univers passionnant du deep learning et des GANs.

 

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