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Quels sujets ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois-ci? La réponse dans ces nouveaux insights Workplace by Saegus. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à télécharger l’intégralité des insights ci-dessous!

 

#1

BlackHole : le nouvel outil Workplace basé sur la blockchain

 

Si le partage de fichiers sur Internet est devenu une tâche très simple, avec de nombreuses solutions disponibles sur le marché comme WeTransfer, Dropbox, ou encore Google Drive, ces plateformes sont-elles toutes sécurisées ?

 

Une sécurisation nécessaire des données

Les facteurs de sécurité sur Internet doivent être pris en compte, car les informations sont vulnérables aux fuites et aux vols. En ce sens, si vous souhaitez partager des informations sensibles, il est préférable d’utiliser un mécanisme garantissant une sécurité maximale des données.

BlackHole File Transfer, l’application sécurisée par le réseau blockchain

Saegus vous présente ce mois-ci BlackHole File Transfer. Il s’agit d’une application pour Windows et Mac, avec laquelle vous pouvez partager des informations rapidement en utilisant la sécurité fournie par le réseau blockchain.

 

BlackHole File Transfer est une application chargée de chiffrer et de télécharger des données sur la blockchain afin qu’elles soient téléchargées par le destinataire. L’application fonctionne directement sur le PC, vous en aurez donc besoin pour charger et chiffrer les données. Pour sa part, le destinataire doit uniquement accéder au lien partagé pour obtenir les informations.

 

À vous de jouer !

 

#2

Wrike : la plateforme collaborative de gestion du travail configurable

En quoi consiste Wrike ? Le fondateur de la plateforme collaborative, Andrew Filev, l’évoque comme le Digital Workplace le plus configurable du marché. En effet, il décrit le logiciel comme une plateforme de gestion du travail avec une approche globale proposant des rapports personnalisés et s’intégrant avec d’autres outils tels que Gmail ou Dropbox.

 

Vinci adopte Wrike pour ses projets IT à l’international

La DSI de Vinci Energies a notamment choisi Wrike pour gérer ses projets IT de manière transversale. Ils souhaitent en effet disposer d’un seul outil pour l’ensemble de leurs projets. Leurs équipes sont réparties sur plusieurs sites en France et à l’étranger et ils ont décidé d’implémenter la plateforme Wrike. Celle-ci permet en effet de gérer les utilisateurs de manière transparente et elle dispose de paramétrages avancés, s’adaptant parfaitement aux modes de fonctionnement de la DSI de Vinci.

 

Le point fort de Wrike selon Saegus

Le gros point fort de Wrike selon Saegus est de proposer des versions de sa plateforme reposant sur des besoins métiers (IT, marketing, RH…). Pour info, il y a actuellement 18 000 entreprises qui utilisent Wrike à travers le monde.

Nous avons la conviction chez Saegus que Wrike a de beaux jours devant lui puisqu’ il connait une croissance importante et prévoit l’arrivée de nouvelles fonctions prédictives. Celles-ci permettront d’estimer le temps que certaines tâches vont prendre par exemple.

 

 

 

#3

Fuze : communication unifiée sur le Cloud

 

Si le Digital Workplace a connu un « boom » ces dernières années, plusieurs études récentes affirment qu’il est dû en grande partie aux communications unifiées dans le Cloud.

Ce mois-ci, nous vous présentons Fuze, un spécialiste des communications unifiées en mode SaaS c’est-à-dire dans le Cloud.

Fuze vous propose d’unifier tout simplement les services de téléphonie, vidéo, messagerie instantanée et collaboration au sein d’une même plateforme sur le Cloud.
Son ambition est de simplifier le déploiement en entreprise en ayant une solution unifiée. En effet, nous savons à quel point il est important pour les collaborateurs d’avoir une seule application permettant de regrouper plusieurs besoins. Plus de pertes de temps à switcher d’une application à l’autre. Fuze permet de simplifier ainsi leur quotidien. La mise en place pour les services IT est aussi un gain de temps puisque hébergé sur le Cloud.

 

#4

Zoho affiche des belles ambitions pour le marché français

 

Envie d’en savoir plus sur les ambitions de Zoho ? Téléchargez notre veille et découvrez l’intégralité de nos insights workplace !


Nous sommes ravis d’avoir participé au Microsoft Inspire, l’événement annuel de l’éditeur qui réunit tout son écosystème chaque été, pendant près d’une semaine.

 

 

Du 14 au 18 juillet dernier, Saegus était présent à cette édition pour faire état des grands changements à venir et des nouvelles annonces. Notre Président Marc Trilling était accompagné de Frédéric Brajon, Cofondateur – Directeur Général, de Cédric Dauvillier, Senior Manager Digital Workplace et de Julien Ayral, Senior Manager Data Driven Business, pour représenter le cabinet et s’informer des nouveautés de l’éditeur, désireux de prendre connaissance des contours de l’offre Microsoft afin d’enrichir les nôtres ainsi que notre vision.

 

Participer à un tel événement est une occasion de se forger une opinion sur la stratégie et l’avenir des produits Microsoft, toutes ces informations étant largement partagées pendant les keynotes de présentations, mais aussi via les échanges entretenus avec l’ensemble des parties prenantes (Responsables de projets, Chefs de produits, etc.).

Nous en avons tiré un bénéfice certain pour réorienter nos offres, rester en veille des solutions collaboratives et donc mieux conseiller nos clients qui souhaitent connaitre les solutions adéquates, mieux à même de répondre à leurs besoinsDigital Workplace ou Data.

La sécurisation des solutions est aussi un point sur lequel nous veillons constamment et regardons de près, contrainte que nos clients ne déjugent pas, et sujet largement évoqué pendant les 4 jours.

 

Ainsi nous avons pu faire un tour d’horizon des solutions telles que Teams, cette dernière étant au cœur des attentions de l’éditeur, gagnant du terrain dans les entreprises de toutes tailles grâce à sa simplicité et les perspectives d’innovation tournées vers l’intelligence artificielle.

Les annonces ont également marqué l’ambition de migrer une grosse part de la base installée de Microsoft vers le Cloud, de réaliser des démonstrations invraisemblables sur le principe de l’hologramme avec l’Holoportation…

 

En définitive, nous sommes ressortis avec davantage de détails sur l’environnement Microsoft, sa santé financière au beau fixe accusant un chiffre d’affaires en croissance de 15% par rapport à l’année précédente, porté principalement par Office 365, la gamme Surface (sujet pour lequel nous avons consacré un article) et Azure.

Tout ceci vient enrichir notre regard autant sur la partie Digital Workplace que Data et Innovation, enrichissant aussi le spectre de solutions que nous étudions constamment pour proposer la meilleure proposition de valeur à nos clients.

 

Si vous souhaitez nous consulter pour recevoir un bilan de la conférence “Inspire”, nous restons à votre entière disposition.

 

Saegus est très fier de vous annoncer la signature du partenariat avec l’école IESEG School of Management. Cette collaboration s’inscrit dans notre volonté de poursuivre notre croissance en recrutant, notamment, des jeunes talents issus d’écoles qui visent l’excellence. L’IESEG répond parfaitement à nos exigences puisqu’elle forme des jeunes aussi bien au développement du business qu’au digital, tout en insufflant une culture entrepreneuriale.

 

Saegus partage son savoir-faire pour former les étudiants

Concrètement, Saegus s’engage à développer des actions permettant de former les étudiants au monde de l’entreprise et du digital, de les préparer au mieux aux besoins et aux pratiques des entreprises et de renforcer leurs apprentissages par des cas concrets et pratiques, notamment via des ateliers et des hackathons.

 

Quelques dates à retenir 

Les 2 et 3 juillet derniers se sont tenues deux demi-journées durant lesquelles les étudiants du Master Digital Marketing et Innovation sont venus dans nos locaux participer à un atelier d’idéation autour du thème « que pourrait être le Master Digital Marketing et Innovation en 2023? ». Accompagnés de coachs Saegus, experts en méthodologies Agile et Design Thinking, les étudiants ont découvert la solution Foreseeds et ont ainsi confronté leurs idées et identifié de nombreuses pistes pour élaborer le master du futur.

Le 4 juillet, 2 autres coachs de Saegus ont participé à un Design Sprint. Ils ont pu partager leurs savoirs avec les étudiants et les guider tout au long de la journée.

D’autres actions sont prévues pour toute l’année scolaire à venir, notamment notre participation au «Career Perspective Day » proposée par l’IESEG, qui se tiendra le 5 septembre prochain.

 

Si vous souhaitez en savoir plus sur les profils que nous recrutons ou avoir plus de renseignement sur nos partenariats écoles, n’hésitez pas à contacter Julien Cotte, notre Directeur des Ressources Humaines. Vous pouvez aussi échanger avec des Saegusiens pour qu’ils vous parlent de leur quotidien et de l’esprit Saegus via Linkedin.

 

La méthode en cycle V est au lecteur cassette ce que l’agile est au streaming. Jusqu’à présent la méthode en cycle V fut souvent utilisée par les managers pour gérer les mises à jour d’un service de collaboration. A raison d’une montée de version tous les trois ans environ, les équipes IT avaient le temps de tester les mises à jour et de préparer les supports techniques avant un déploiement.  Or avec le Digital Workplace, les mises à jour sont devenues plus fréquentes (une par mois environ) et ont montré les limites de cette méthode basée sur des cycles longs. Car, l’enjeu est aujourd’hui d’être capable de travailler sur des cycles courts à l’aide d’un backlog, destiné à recueillir des tâches et les répartir au sein d’une équipe. La méthode agile semble la solution la plus adaptée puisqu’elle permet cette gestion en continu.  Ainsi, il est naturel de se poser des questions liées à la méthode agile, à son application, à la méthodologie à employer pour le déploiement, mais surtout d’être à l’écoute de bonnes pratiques.  

 

Comme évoqué en introduction, le cycle en V ne permet plus de traiter les mises à jour mensuelles contrairement à la méthode agile. Cette dernière offre une meilleure vision des priorités et des tâches à répartir dans les équipes. Dès lors, il convient d’adopter la méthode agile. Le schéma ci-dessous montre l’organisation type de l’équipe Workplace à l’aide de la méthode agile. La partie Vision et Product Ownership est en charge de prioriser les tâches et d’activer ou non les fonctionnalités. Pour cela, elle s’appuie sur le feedback des utilisateurs qui se traduit en expression de besoin. Cette partie est composée aussi d’un Innovation Lab présent pour tester les dernières nouveautés et vérifier que celles-ci correspondent aux besoins exprimés. Le manager Digital Workplace, quant à lui, ajoute des items dans le backlog qui sont traités par l’équipe Plateforme & Infrastructure (IT). Enfin, le Product Management se charge de la partie adoption lorsqu’une mise à jour impacte l’usage du service. 

 

 

 

 

L’objectif de cette méthode est ainsi d’avoir un backlog partagé entre plusieurs acteurs en vue d’offrir une vision commune des activités. 

Il est également possible de s’organiser des “Rings”. Cette méthode consiste à un déploiement par population qui reçoit la mise à jour en avant-première. Elles peuvent détecter en amont un éventuel dysfonctionnement et le faire remonter à l’équipe Workplace avant que cela ne pénalise l’entreprise. Par conséquent, l’équipe Workplace doit être réactive et doit agir rapidement sur la propagation de la mise à jour.   

 

 

Ce type de déroulement reste propre à chaque entreprise bien qu’il soit possible de dégager un modèle type (voir schéma ci-dessus). Cela commence par un premier cercle de population constitué des métiers de l’IT (Ring 0) qui prenen charge les nouveautés durant les premiers jours voire les premières semaines. Ensuite, le déploiement continue auprès des champions (Ring 1) qui sont appétents à recevoir les mises à jour avant de s’étendre aux autres collaborateurs (Ring 2).  

Pour bien choisir les cercles de population, il est recommandé de réfléchir à un maillage métier/situation géographique afin d’obtenir une meilleure représentativité des métiers, des attentes et des besoins. Par exemple, vous pouvez choisir des utilisateurs à Paris qui travaillent dans la finance et d’autres collaborateurs dans le marketing situés à Singapour. 

 

Notre équipe Digital Workplace se tient à votre disposition pour vous accompagner dans votre transformation digitale !


Le déploiement d’un outil à l’international est complexe. Les challenges sont nombreux et rien ne garantit le succès et l’adoption finale par les utilisateurs. Les stratégies classiques de change management s’appuient toutes sur le recrutement de champions locaux et leur montée en compétence sur les outils à déployer. Cependant, bien peu accordent de l’importance à la transmission de la philosophie de déploiement, qui est pourtant un élément clé. Saegus a construit une méthodologie spécifique qui joue sur les leviers humains pour favoriser l’adoption des nouveaux usages, plus particulièrement sur des outils du Workplace. Cette capacité à faire adopter de nouveaux outils doit être exportée en local pour changer les habitudes de travail du collaborateur. À travers cet article, nous vous invitons à découvrir les grandes idées directrices de notre programme de déploiement et d’adoption du Digital Workplace à l’international. 

 

Un peu de contexte :

En 2015, une entreprise internationale dans le domaine de l’industrie (37 000 collaborateurs présents dans plus de 30 pays), a entamé sa transformation digitale sur différentes thématiques dont le Workplace, en choisissant Office 365 pour répandre de nouvelles méthodes de travail. Cette solution, pourtant déployée depuis plusieurs années, n’a jamais été véritablement adoptée par les collaborateurs, engendrant des coûts importants sans retour sur investissement. 

Fort de ses méthodologies et convictions autour de l’adoption tactiqueSaegus a été sollicité pour accompagner les différentes entités de l’entreprise à l’usage des nouvelles méthodes de collaborationen vivant l’expérience utilisateur et en cherchant les bons moments pour pousser des messages clés avec les bons leviers. 

Afin d’éviter les écueils d’un projet “BIG BANG“, nous avons eu une approche type “Lean start up” avec un premier pilote sur Paris afin de tester notre méthodologie et la contextualiser. Ceci dans le but d’être au plus près des attentes des collaborateurs pour ensuite l’adapter à chacun des pays d’implantation de l’entreprise. Ce travail fut possible avec l’aide de relais en charge de déployer le programme au niveau local. Ces derniers ont été formés et certifiés par l’équipe d’adoption tactique du programme menée par Saegus. 

Quelques réalisations :

Pour répondre aux enjeux de notre client, nous avons réalisé les actions suivantes :

  • La création d’une application permettant aux collaborateurs de trouver le bon outil selon le bon usage. En complément, nous avons proposé un accès à des fiches “bonnes pratiques”, des vidéos, des formations, etc…
  • La mise en place d’une plateforme en ligne d’adoption d’Office 365 permettant à tout utilisateur de se former et de monter en compétence à son rythme et selon ses besoins

  • L’organisation et la planification de l’intervention d’une équipe de déploiement à l’international afin de déployer le pilote Paris, mais adapté et contextualisé à chaque pays (dimension, contexte, culture, etc.)

  • La réalisation d’un kit de déploiement composé des supports de communication on line et off line
  • La réalisation d’un pack pédagogique (formation et certification) afin que les équipes locales maîtrisent les solutions d’Office 365, les actions d’adoption et la temporalité du programme
  • L’accompagnement des équipes locales par l’équipe centrale lors du lancement du déploiement
  • Le recrutement et la fédération d’un réseau d’ambassadeurs en local et la formation de ces derniers

  • L’intégration du programme dans le quotidien des collaborateurs, à travers des pilotes métiers concrets accompagnés et suivis dans le temps

Que cela a-t-il permis concrètement ?

  • Le programme est devenu une marque interne identifiée par tous les collaborateurs
  • Le déploiement d’une stratégie d’adoption adaptée aux différentes cultures

  • Un meilleur accompagnement des collaborateurs pour comprendre les nouvelles méthodes de travail et la transformation digitale

  • Une méthode d’adoption qui veut être reprise sur d’autres sujets et d’autres outils métier
  • La transformation des habitudes de travail des collaborateurs et des usages
  • L’agrégation de nouvelles demandes et constitution d’un catalogue de nouveaux usages
  • La mise en place d’une gouvernance agile et globale (dont une “Use Case Factory” qui consiste à agréger les nouveaux usages), des tests et enfin leur déploiement
  • L’agrégation des nouveaux usages pour capitaliser et généraliser des bonnes pratiques entres les différents pays et entités

En définitive, voilà quelques facteurs clés de succès : 

  • Nous sommes parvenus à un haut niveau de Sponsoring global (niveau COMEX)

  • Nous avons permis l’engagement des sponsors locaux du projet sous la forme d’influenceurs

  • Nous avons pris en considération les particularités de chaque culture, chaque pays, chaque entité, chose qui a été triviale

  • Nous avons su adapter la communication selon les pays

  • Nous avons impliqué l’IT pour connaître le contexte technique des différentes entités
  • Nous avons embarqué et formé les relais afin qu’ils soient des facilitateurs et ambassadeurs du programme

 

Nous vous avons proposé un aperçu en quelques faits et chiffres d’un projet mené par notre équipe Digital Workplace après le déploiement, à l’international, d’Office 365 chez un de nos clients. Ceci est juste une mise en bouche, n’hésitez pas à nous solliciter pour avoir davantage de précisions sur la méthodologie employée et le bilan complet de la mission.

Notre équipe Digital Workplace se tient à votre disposition pour vous accompagner dans votre transformation digitale !  


Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

 

#1

Que retenir de Viva Technology 2019 ?

 

Depuis sa création en 2016, Viva Technology est devenu le rendez-vous incontournable des start-ups et des passionnés de nouvelles technologies. Pour l’Institut du Commerce Connecté (ICC), Viva Technology fut l’opportunité de mettre en lumière les nouvelles tendances, dont trois ont retenu notre attention :

 

Le machine learning

L’intelligence artificielle est plus qu’une tendance, il s’agit d’une profonde mutation de notre façon de vivre et de travailler. Cette évolution significative est due à la fabrication d’ordinateurs de plus en plus puissants, d’un investissement massif des entreprises dans ce domaine, de solutions cloud où il est possible de stocker plus de données et de notre quotidien devenu plus connecté.

 

De nouvelles interfaces

Que ce soit dans le monde du travail ou chez le particulier, les personnes interagiront avec des interfaces faisant appel à la voix, aux gestes, à la réalité virtuelle et augmentée. Avec l’aide de l’IA, les technologies deviendront de plus en plus intuitives et aideront mieux les utilisateurs à communiquer avec leur environnement.

 

L’intégration de l’IA dans le marché du travail

Le marché du travail est confronté à une contradiction : aujourd’hui, les entreprises font face à un manque de certains profils qualifiés, tandis que dans le même temps, le chômage touche les jeunes et les seniors en recherche d’emploi. Dans ce contexte, l’IA peut apporter une plus-value en automatisant certaines tâches et ainsi permettre au DRH de se concentrer sur celles plus importantes. Par ailleurs, ce sujet a fait l’objet d’une analyse par trois de nos saegusiens lors d’une expédition à Viva Technology en mai dernier.

@VivaTechnology

 

 

#2

Voici quelques notions sur Notion

Le marché des applications Workplace, bien que dominé par des acteurs majeurs, laisse encore de la place à de nouvelles solutions peu connues des entreprises. C’est pourquoi, ce mois-ci, nous avons décidé de vous présenter une de nos trouvailles : Notion.

Notion, c’est d’abord son fondateur Yvan Zhao qui décrit son produit comme l’alter-ego de Slack. Il part du constat que Slack peut se connecter à d’autres outils, mais qu’il ne fait qu’envoyer des notifications. Le fondateur de Notion observe aussi que les collaborateurs utilisent trop d’outils différents pour réaliser plusieurs tâches. En se basant sur ces faits, il développa une solution permettant aux personnes de retrouver leur travail en un seul et même endroit et de booster leur productivité à travers quatre dimensions : la prise de notes et la rédaction de documents, la capitalisation des connaissances, la gestion de projets et les bases de données.

Sans savoir coder, les collaborateurs seront en mesure de personnaliser rapidement leur propre environnement de travail à l’aide de « modules » basés sur des données. Ils peuvent ainsi créer des tableaux de tâches, des requêtes clients et des pages wiki. Par ailleurs, Notion s’adresse avant tout à du travail de collaboration en équipes plutôt qu’individuel : « Lorsque nous travaillons en équipe, le plus important est que les données soient bien structurées » explique Zhao dans une interview accordée au site The Verge.

Disponible aussi sur smartphone, le produit existe en version gratuite et payante. Le prix de la version payante commence à 4 dollars par mois pour la version individuelle et jusqu’à 8 dollars par mois et par membre pour une équipe. Il y a enfin la version “full package” pour les entreprises à partir de 20 dollars par mois et par membre.

 

@Notion

 

 

#3

Spatial n’est pas le nom d’un programme de la Nasa…

… mais celui de notre deuxième trouvaille que nous souhaitons vous présenter. Cette jeune pousse de la tech veut révolutionner la collaboration à l’aide de la réalité augmentée. L’idée d’Anand Agarawala et Jinha Lee, les fondateurs, est de transformer l’environnement de travail en un lieu augmenté et partagé autour de trois piliers : la téléportation, la visualisation d’idées et les extensions sur les appareils électroniques.

Nous n’en sommes pas encore à un système de téléportation digne de celui de Star Trek, mais celui de Spatial pose les bases. La solution propose aux employés de collaborer, créer des idées ou partager du contenu comme si d’autres collaborateurs étaient présents physiquement dans la pièce ou seulement virtuellement, sous forme d’avatar. Ce dernier est généré à partir d’une photo en 2D en moins de deux minutes.

Spatial offre la possibilité d’organiser des idées et de partager des contenus depuis un serveur local ou OneDrive, où les documents sont sauvegardés. Les industriels devraient s’intéresser davantage à la partie immersion qui permet de visualiser des modèles en 3D. La projection, quant à elle, se fait soit sur le mur soit au centre d’une pièce. Il est aussi possible d’avoir accès à ses contenus depuis n’importe quel appareil : smartphone et ordinateur.

Aujourd’hui, la solution est disponible sur Teams, mais la start-up souhaite à l’avenir s’intégrer dans plus de logiciels comme Slack. Elle veut également augmenter le nombre de participants possibles, qui est limité jusqu’à présent à 16 participants par session. Le seul hic reste son prix élevé (somme à six chiffres).

 

@Spartial

 

Pour consulter l’ensemble de notre veille, pouvez télécharger nos insights workplace ici !

 

 


Contexte et défis

Au sein d’une institution bancaire comme la Société Générale, les moyens de communication peuvent pâtir de limitations sécuritaires, notamment avec l’extérieur. Partager, via une application interne, des informations telles que des postes de réseaux sociaux Twitter n’était possible, a priori, qu’au prix d’études de faisabilité longues et fastidieuses. Dans ce contexte, notre client a fait appel à nos équipes pour vérifier rapidement si une telle application était réalisable et quelle en serait sa proposition de valeur, au travers d’un MVP (Minimum Viable Product).

 

Démarche

Nos équipes ont procédé par étape et ont été capables, en 2 jours, de livrer un MVP selon la logique suivante :

 

• 1ère demi-journée :  l’interview des utilisateurs cibles.

Assurer la pertinence du projet et suivre une démarche user-centric.

 

• 2ème demi-journée :  le prototypage de l’application.

Création de l’arborescence et des premiers contenus.

 

• 3ème demi-journée :  revue de l’application.

Test de l’application auprès des utilisateurs cibles et du commanditaire.

 

• 4ème demi-journée :  l’intégration des retours.

Livraison d’un MVP répondant à l’ensemble des besoins exprimés par le commanditaire et les utilisateurs.

 

Résultats

  • Validation de la désirabilité du produit par les futurs utilisateurs

  • Élaboration d’un backlog et estimation du budget nécessaire au projet en une semaine

  • 30K€ de budget débloqué pour développer l’application par un développeur

  • Vision produit enrichie entre le product owner et les développeurs grâce au MVP et au backlog

 

 

 

 

 

Retrouvez l’ensemble du business case avec des informations complémentaires en le téléchargeant :

 


 

À l’occasion de son événement Microsoft Ignite en 2017, Lori Wright, General Manager pour les produits Teams et Skype, avait annoncé le remplacement de Skype for Business (online) par Teams. Si la nouvelle a été accueillie de manière positive par les experts IT, elle a cependant soulevé des interrogations et des inquiétudes chez les clients. En parallèle, la montée en puissance de nouveaux concurrents tels que Slack a fait prendre conscience à Microsoft qu’il devait frapper fort en proposant un produit capable de les concurrencer. Teams est ainsi né.  

 

Depuis, Teams n’a cessé de faire parler de lui. Les résultats d’une enquête menée en juillet 2018 par Spiceworks, réseau de professionnels du secteur des technologies de l’information, montre que l’adoption de la plateforme collaborative connaît une croissance tellement rapide qu’elle devrait devenir la deuxième plus grande application de chat en milieu professionnel d’ici 2020, dépassant à la fois Slack, Facebook Workplace et Google Hangouts. L’étude met aussi en avant le taux de pénétration de Teams, passé de 3% en 2016 à 21% en 2018. Mieux encore, elle prédit que Teams atteindra 41% de part de marché d’ici 2020, tandis que Slack n’en occupera que 18% et Google Hangouts 12%. Ainsi se pose la question de l’avenir de Skype for Business face à Teams.  

 

Aujourd’hui, la roadmap de Microsoft s’inscrit dans la volonté de rationaliser, de mieux intégrer entre eux les différents services du Digital Workplace. Contrairement à Skype for Business, Teams a été conçu pour être plus qu’un simple outil de communication. Il propose un hub de collaboration complet, favorisant le travail en équipe et la communication. Maintenant, les collaborateurs ont la possibilité de créer des équipes par projet, de centraliser et partager les documents, de fixer des rendez-vous, de participer à des téléconférences audios et vidéos… L’écosystème permet aussi d’ajouter les connecteurs d’Office 365 tels que SharePoint, Power BI, Planner mais aussi des connecteurs externes (Trello, Adobe ou encore open Agora). Microsoft passe ainsi d’un outil dédié aux communications (Skype) à un service qui devient le point central de la collaboration dans l’entreprise. C’est pourquoi l’éditeur a tout intérêt à encourager ses clients à migrer de Skype for Business vers Teams. 

 

 

Comment migrer de Skype à Teams ? Il est nécessaire de prévoir un projet de transition et son adoption 

La transition consiste à établir le plan permettant de passer d’un environnement “full Skype” à un environnement “full Teams” soit de manière progressive en ajustant les fonctionnalités disponibles dans Skype et Teams pour qu’il n’y ait jamais de doublons (messagerie instantanée, appels, visioconférences), soit de manière plus agressive si le taux d’utilisation de Teams est déjà conséquentLa phase d’adoption consiste à faciliter l‘appropriation des nouveaux services. Compte tenu des changements conséquents entre Skype et Teams, que ce soit au niveau de l’interface que des services proposés, l’accompagnement utilisateur n’est pas à sous-estimer. 

 

Avec les nouveaux usages apportés par Teams, les entreprises ont aujourd’hui l’opportunité d’accélérer leur transformation digitale. Si ces dernières décident de rester sur Skype for Business, elles doivent avoir conscience qu’elles se privent de leviers d’efficacité et de productivité pour leurs collaborateurs, et se ferment également à toutes les futures mises à jour (Microsoft a confirmé que Skype ne proposerait plus d’évolutions fonctionnelles). Ainsi, Microsoft affiche clairement son ambition d’encourager les entreprises à continuer les migrations vers Teams. Le but étant d’en faire LA plate-forme qui réunit les fonctionnalités de communication offertes par Skype for Business et les exigences en matière de collaboration pour les professionnels.  

 

Alors, êtes-vous prêt à faire le grand saut ? 

 

Notre équipe Digital Workplace se tient à votre disposition pour vous accompagner dans votre transformation digitale, contactez-nous !  

Le 18 mai dernier, Saegus a envoyé trois explorateurs au Salon Viva Technology afin de découvrir et de tester les dernières innovations. Cette année, le programme est chargé en mettant à l’honneur plusieurs thématiques : la place des femmes dans la tech, les start-ups licornes, la santé, la mobilité ou encore les nouveaux talents. C’est ce dernier thème, qui a principalement retenu l’attention de notre équipe d’exploration.

 

Si vous souhaitez découvrir l’impact des nouvelles technologies dans le recrutement des nouveaux talents, téléchargez notre analyse !

 

 

© SIPA VIVA TECHNOLOGY

 

 

 


Le secteur du sport vit une importante transformation ces dernières années. Le sport devient un mode de vie et se mesure. Les marques d’objets connectés ne sont pas en reste et ont compris très vite la montée en poupe de cette tendance qui plébiscite le tracking d’activités et la performance.

Les innovations technologiques pleuvent tandis que les sports traditionnels vivent une évolution qui dynamise l’économie du secteur.

Yvan Forestier, notre Directeur Design & Technologie, s’est entretenu à ce propos dans l’émission de Frédéric Simmotel. Aux côtés de la Directrice des Opérations de SAP et d’Emile Leclerc, notre sondeur, ils ont fait état du boom que vit le milieu sportif, les habitudes des Français dans leur pratique et l’utilisation des objets connectés.

 

Faire du sport et mesurer sa performance 

Le secteur du sport est depuis quelques dizaines d’années un lieu d’innovation et de technologie important ou chaque seconde de performance gagnée, chaque analyse ou mesure de mouvement, permet de mieux comprendre son entrainement, sa santé, sa pratique.

Avec l’arrivée des objets connectés, un nouvel intérêt a émergé et permet aux Français de pratiquer plus facilement du sport, urbain pour beaucoup, où la ville et ses alentours devient un terrain de jeu, une fois équipé de sa montre connectée, de ses chaussures GPS ou de sa ceinture thoracique. De l’escalade, au foot, en passant par le trail et la randonnée, les applications sont multiples et les objets se démultiplient à une vitesse fulgurante. Si les grands acteurs de l’industrie sont déjà fortement en avance, de nombreuses start- ups proposent chaque année des dizaines de produits innovants pour mesurer à la fois sa performance et rendre la pratique plus facile d’accès et ludique.

 

Plus de technologies adaptées à nos modes de vie 

Un point intéressant de l’étude est de démontrer la capacité de suivre sa santé au quotidien. Changer sa manière de vivre par une habitude sportive plus fréquente, permet à chacun de suivre avec une précision méconnue auparavant sa santé, ses forces, ses faiblesses dans sa pratique sportive. Les Français y voient d’ailleurs un outil rassurant de suivi qui pourra être demain, si l’on se projette, un outil de prévention plus global et cela sur l’ensemble des objets de mesure (mesure du pouls, de la sudation, des mouvements).

Le sport passe désormais de l’exercice physique au mode de vie, c’est pourquoi aussi sport et technologie seront côte à côte et de plus en plus liés. Parce que l’avenir comprend le fait que le sport et les vêtements ou objets ont déjà changé dans le présent – de l’exercice physique au mode de vie – cela modifie également les exigences imposées aux fabricants. Il ne suffit plus de fabriquer des objets connectés de sport. Les entreprises doivent maintenant brouiller les frontières entre travail et loisirs, voire entre travail et fitness.

 

Les objets connectent vie privée et vie professionnelle

La société Alter Ego dans ce cadre, propose des programmes sportifs personnalisés, alliés à une application mobile, afin d’aider les salariés à se sentir mieux au travail par le biais du sport.

En effet, de plus en plus de personnes s’entraînent maintenant pour se rendre du travail à la maison ou chez eux dans le salon. Ainsi le vêtement sportif est omniprésent, et hors d’un contexte sportif il est porté comme vêtements de tous les jours, dans un contexte professionnel ou personnel. Un bel exemple est Clim8 et ses vêtements possédant une technologie thermique intelligente.

Il est à noter que la confiance est fortement présente dans les technologies sportives et connectées et outre mesure, le système de suivi des données devra être rassurant pour les utilisateurs afin d’être capable de sécuriser les données dites confidentielles, notamment sur la santé. Nous pouvons préciser que les nombreuses technologies du sport sont généralement issues du domaine de la santé et elles bénéficient ainsi des innovations de ce domaine pour le grand public.

 

De l’éthique du sport  

Et dans un intérêt plus général, les objets connectés révolutionnent aussi les pratiques. Dans la plupart des sports collectifs, GPS, accéléromètre, cardiomètre, sont rassemblés dans un seul objet ergonomique étudié pour son confort au quotidien. Ces technologies vont ici avoir deux buts premiers, : aider les entraineurs et coachs sportifs à mieux comprendre leurs joueurs, les tactiques mises en place et les performances qui y sont liées. Mais aussi cela permettra au public de suivre et comprendre en direct des stratégies avancées via leur smartphone lors de la retransmission d’un match et d’analyser ensuite entre amis quelles solutions ont été utilisées dans un match pour mieux comprendre leurs équipes.

Outre ces statistiques qui vont améliorer l’expérience du spectateur, une réelle envie de sports plus justes dans l’arbitrage notamment est une réelle volonté souhaitée par les Français dans cette étude. De la goal line technology d’aujourd’hui, nous pouvons déjà imaginer le vêtement connecté de demain qui pourra indiquer précisément aux arbitres l’impact de la faute et ses conséquences. La société TibTop et son protège tibia connecté en prend d’ailleurs la direction. Un bond dans le futur que nous pouvons nous permettre et où il est possible de visualiser déjà les sports de demain.

 

Equipé de lunettes connectées et vous voilà à reproduire des sports virtuels en outdoor sans forcément posséder les accessoires requis. Le mélange de la technologie et du sport en extérieur ou intérieur peut faire émerger des nouvelles pratiques ludiques qui bien souvent deviennent de véritables phénomènes de la vie des Français. L’évolution de la pratique de la course à pied est un de ces nombreux exemples.

Technologie et innovation, en mettant le besoin de l’humain au centre de ses problématiques, créent véritablement de nouvelles manières d’aborder son quotidien.

 

Découvrez l’analyse complète au travers de notre étude réalisée conjointement avec Odoxa Sondages.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business en replay.