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Êtes-vous pour ou opposé à ce que les programmes scolaires contiennent des cours sur l’impact du numérique sur la société ? Seriez-vous d’accord que les enfants soient sensibilisés aux enjeux des fake news, aux réseaux sociaux, voire qu’ils suivent des cours de code ?

 

 

D’après le dernier sondage que nous avons réalisé grâce à notre partenaire Odoxa, il semble que les français soient tout à fait favorables à ce que le numérique ait toute sa place à l’école.

 

Pour l’édition de rentrée des émissions 01 Business Forum, le plateau de Frédéric Simmotel a accueilli Microsoft représenté par Ines Kouraichi, directrice des relations avec les institutions éducatives, ainsi que notre Responsable pédagogique et Manager au sein de Saegus, Thibault Van Caenegem, pour aborder ce sujet qui s’inscrit dans la stratégie éducative globale du gouvernement.

 

Pour 4 Français sur 5, l’apprentissage de la programmation est une bonne chose. Depuis la rentrée 2016, les programmes scolaires prévoient en effet l’enseignement de la programmation informatique sous forme de jeux dont l’objectif est de créer un petit programme ou encore dans le cadre d’un cours de mathématiques pour découvrir l’algorithmique. Les Français semblent massivement approuver cet enseignement pour 79% d’entre eux.

 

Quant à l’utilisation des outils numériques à l’école, encore une fois, elle est soutenue par 80% des français. Omniprésents dans nos sociétés, il est difficile aujourd’hui d’en faire l’impasse.

 

Les Français ne se montrent donc pas inquiets, pour la plus grande part, quant à la capacité des enfants à s’adapter aux évolutions futures du numériques. Seuls les 18-24 ans pour 57% d’entre eux redoutent la multiplication des risques.

 

On voit donc que l’école a un rôle majeur à jouer en matière d’impact du numérique dans nos sociétés. Ses conséquences, qu’il s’agisse de sécurité des données, de réseaux sociaux ou encore de fake news qui prennent une place importante dans le débat public et dans le quotidien des Français.

 

Nous vous proposons de lire en détail le point de vue des experts circonscrits dans cette étude que vous pouvez télécharger, et vous proposons de revoir l’émission ici.

Bonne lecture,

79 % des responsables IT déclarent que la satisfaction de leurs utilisateurs est une priorité… mais seuls 34 % de leurs utilisateurs en sont convaincus : en 2018 et depuis quelques années, les DSI ont besoin de redorer leur blason auprès des salariés. La multiplication des outils digitaux utilisés dans la sphère privée, et leur qualité, a créé un besoin de produits faciles à utiliser, et évoluant aussi vite que les usages. La problématique digital workplace, ainsi que toute la mise en place et les services qui vont avec, sont une opportunité unique d’opérer ce changement de perception.

En effet, le digital workplace se décline en une série d’outils à considérer non pas comme des applications, mais comme des produits. Un changement de paradigme qui entraine avec lui une nouvelle manière de penser les évolutions des solutions utilisées, et les services qui peuvent être proposés par la DSI aux utilisateurs afin de comprendre et répondre à leurs besoins métier. Chez certains de nos clients, la mise en place d’un centre de services lié à leur solution de collaboration a montré son efficacité dans cette transformation.

Un centre de service, comme son nom l’indique peu, sous-entend pour vous de mettre en place une série de nouvelles postures et processus en plus de proposer l’offre de services mentionnée. C’est un levier puissant pour enclencher un pivot dans le rôle et la position de votre DSI, afin de passer d’un centre de coûts à un centre valeur qui sait répondre à tous les besoins métiers de son écosystème.

 

Les usages avant tout

 

A tous les moments de conception et d’évolution de votre produit, partir des usages de vos cibles vous garantit a minima de ne pas tomber à côté de leurs besoins. C’est pour cela qu’avant le lancement du produit, il sera enrichissant de le co-concevoir avec les principales cibles auxquelles il s’adressera par la suite, de prendre leurs besoins, leurs douleurs. Vous commencerez ainsi, avant même de déployer l’outil, à leur vendre une réponse qui sera d’autant mieux accueillie qu’elle leur correspondra en tous points. Cet enthousiasme nourrira la viralité cruciale pour l’évangélisation de la solution par la suite.

Une fois déployée, votre solution n’est pas un bloc figé dans le temps, tout comme vos utilisateurs : l’un comme l’autre, ils sont amenés à évoluer régulièrement. En passant par des leviers tels que le design thinking et les méthodes agiles, vous serez à même de récupérer de précieuses informations terrain sur les besoins de vos utilisateurs, de les compiler et de les prioriser dans une feuille de route de cas d’usage. Ce backlog, puisque c’en est un, sera la base qui vous permettra de piloter les équipes en charge de répondre aux besoins exprimés, selon une démarche et des instances agiles.

 

 

Revoyez la gouvernance du produit

 

La récupération, centralisation et priorisation des évolutions attendues par votre cible demandent une équipe bien précise pour garantir un bon déroulement et une livraison dans les temps.

Afin de capter et comprendre au mieux vos clients finaux, mettez en place un système de gouvernance qui sera adapté à votre manière de fonctionner. Elle doit se composer :

  • D’un Product Owner, chargé de définir et de porter la vision de son produit, tout en sachant prioriser les actions
  • D’une équipe de product management qui gèrera le déploiement opérationnel de la solution,
  • Une équipe pour le marketing produit afin de sensibiliser les cibles à votre outil, de leur donner envie de l’utiliser et de proposer des évolutions allant dans ce sens
  • D’une équipe IT garante de la disponibilité technique de la solution et de la faisabilité des évolutions demandées
  • De relais locaux (parfois appelés Enterprise Community Managers ou ECM) qui seront chargés de porter la vision du product owner en local et auxquels vous déléguerez des droits d’administrateurs plateforme

 

Cette équipe diversifiée et forte de plusieurs points de vue et métiers vous permettra in fine d’aboutir à une solution à la fois désirable, viable et fiable.

 

 

Des services pour tous

 

Tout comme les caractéristiques et les évolutions de votre produit, les services que vous offrez avec celui-ci nécessitent d’être pensés en fonction des besoins de vos cibles : là aussi, il peut être intéressant de passer par le design thinking pour définir des profils type à qui s’adresser. On trouvera chez nos clients des gammes de services spécialement pensés pour les commerciaux ou les chefs de projet par exemple.

 

Chaque gamme de services doit donc être adaptée à votre contexte, mais pouvez entre autres les décliner en offre « freemium », avec :

  • Un support de premier niveau type « self-service » comprenant une FAQ, ainsi que des formations « quick start » gratuites afin d’offrir une belle première impression
  • Un éventail de prestations sur étagère, ex : programme de coaching pour les aspirants community managers
  • Une offre de prestations complètement personnalisées pour coller au plus près des besoins, ex : création et design d’une communauté pour une équipe avec définition d’une ligne éditoriale et formation à l’utilisation de la communauté et de ses spécificités.

 

Ces services seront d’autant plus efficaces que tous vos utilisateurs, quelle que soit leur localisation, pourront bénéficier du même accompagnement de proximité. C’est dans cette problématique qu’interviennent vos relais. Dans les faits, une équipe centrale ne sera pas suffisante si vous utilisateurs sont éclatés sur un large territoire, voilà pourquoi il est crucial que vous puissiez former des Product Owner locaux qui seront à leur tour chargés de porter la vision produit auprès d’un réseau de champions. Ceux-ci auront à cœur de relayer auprès de leurs pairs les bonnes pratiques d’usage de la solution et de remonter les besoins et cas d’usage qu’ils identifient.

 

 

Les DSI sont en pleine transformation et la gestion adaptée des outils collaboratifs de l’entreprise, renforcée par la mise en place d’une offre de services, sont de ces actions qui embrayent le pivot nécessaire à cette transition. Avoir un catalogue de services vous fait passer d’un centre consommateur de ressources à un centre créateur de valeur, tout en permettant d’améliorer l’adoption de votre solution par les utilisateurs en leur proposant de bout en bout des produits et services pensés pour eux et avec eux. Les entreprises accompagnées par Saegus ont pu constater des résultats tangibles suite à la création des leurs : 50 % de temps en moins passé sur le pilotage d’un programme grâce à une communauté dédiée, 1000 personnes formées sur une année ou encore 300 community managers accompagnés. Ainsi, la transformation des usages s’installe peu à peu dans l’entreprise, et avec elle une meilleure collaboration et un gain de temps permettant à vous et à vos utilisateurs de vous concentrer sur les tâches qui font réellement votre valeur ajoutée.

 

Vous souhaitez mettre en place un centre de services ? N’hésitez pas à contacter gaelle.pommereau@saegus.com

A l’heure de la transformation digitale, les Directions des Systèmes d’Information sont au centre de toutes les attentions dans l’entreprise.

 

Bloquées entre son SI « legacy » ou SI historique et l’innovation attendue par les métiers, comment doivent-elles se positionner face aux forces de la consumérisation et de la technologie numérique, celle-ci mettant quasiment tout le monde aux manettes d’un département informatique ? Nous constatons des budgets marketing bientôt plus important que celui du DSI, alors guerre ou reconquête ?

 

Le Directeur des systèmes d’information a pour première priorité de maintenir la robustesse et la fiabilité des services informatiques de l’entreprise. Mais pas que !

 

Il doit à présenter gérer sa propre transformation en se dirigeant vers des nouvelles méthodes de travail et une nouvelle position de partenaires des métiers de l’entreprise ! Sa cible et sa transformation ultime : être considérer comme centre de services et non plus comme un centre de coûts, ce changement de paradigme entrainant bons nombres de profonds changements :

  • Le partenariat avec les métiers n’est plus une option
  • Changer de méthode de travail afin d’être plus agile, plus flexible, plus réactif est indispensable
  • Favoriser le « test & learn »
  • Mettre en avant les réussites de la DSI mais aussi ses échecs
  • Changer sa relation avec le reste de l’entreprise : ce sont aussi ses clients, qu’il doit entretenir, satisfaire, viser l’amélioration continue, faire vivre une expérience client tout en marketant et en faisant la promotion de ses services à forte valeur ajoutée
  • Innover pour servir, apporter de la valeur, répondre aux enjeux du « time to market » des métiers, doit être une motivation quotidienne et le leitmtov de ses équipes

 

Le risque à ne pas opérer cette transformation s’observe déjà dans de nombreuses entreprises ou les métiers sous traitent à l’extérieur tous les projets innovants, laissant s’éteindre les équipes de la DSI dans son legacy.

 

Pour redynamiser la DSI, il faut donc une profonde modification de son organisation, qu’elle anticipe les nouveaux besoins d’intégration en proposant une architecture qui répondra aux enjeux du développement d’apps et des nouveaux usages digitaux de type Business Apps utilisant le Big Data et les Data Analytics pour les métiers mais aussi le Cloud.

 

Dernier point mais non le moindre, la nécessité et la liberté pour la DSI de recruter et/ou de former ses équipes digitales à ces nouvelles technologies et usages : des Scrum Masters pour développer des projets en mode agile, des Cloud Managers pour gérer les hébergements, des Data Scientists pour analyser les données et en tirer des nouveaux modèles économiques, des designers (UX/UI – Expert Design Thinking) pour penser, créer et améliorer sans cesse l’expérience utilisateur interne comme externe.

 

La DSI « nouvelle génération » est une entreprise dans l’entreprise (pourquoi pas une startUp) qui sait explorer, industrialiser, mais aussi marketer et vendre ses produits et services. Elle sait parler technologie et métier et travaille en mode collaboratif.

 

Vous avez besoin d’être accompagné dans votre démarche Workplace ? N’hésitez pas à contacter gaelle.pommereau@saegus.com, nos consultants seront ravis de répondre à vos questions.

Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

#1
OneDrive bien classé, Microsoft récompensé

« D’ici à 2022, 50 % des moyennes à grandes entreprises passeront par des plateformes collaboratives pour concevoir leurs documents et améliorer la collaboration et la productivité » : c’est avec ce constat en tête que Gartner a publié récemment sa matrice des solutions de stockage et de partage de documents. Bonne nouvelle pour Microsoft, sa solution OneDrive ressort comme grand leader du tableau, devançant de quelques points des concurrents tels que DropBox et Google. On salue un progrès remarquable pour la solution qui était encore à la traîne il y a quelques années.

#2

Messageries : la guerre est déclarée

 

Après le coup d’éclat de Microsoft qui lançait, le mois dernier, une version gratuite de Teams pour les TPE et PME, Slack prépare sa contre-offensive. Coup sur coup, la start-up déclare racheter les messageries HipChat et Stride au géant Atlassian – avec qui elle resserre les liens en annonçant une réflexion commune sur leurs offres – et lève en plus la coquette somme de 427 millions de dollars, hissant sa valorisation à plus de 7 milliards de dollars. Chez Saegus, la #TeamTeams et la #TeamSlack se frottent les mains dans l’anticipation de cette épique bataille de David contre Goliath.

 

#3

Oubliez ce que vous savez sur les tableurs Excel et les documents Word

Ce mois-ci, certaines et certains d’entre nous ont testé la version bêta de Coda, le produit créé par deux anciens de YouTube et Google qui ambitionnent de révolutionner le document comme on l’entend, rien que ça. Savant mélange d’un tableur et d’un éditeur de texte, l’outil va encore plus loin que ça et se propose d’être « un document si puissant qu’on peut y concevoir une app ». Si chez Saegus on cherche encore à maîtriser complètement leur système de formules (différent de celui d’Excel), on apprécie l’aspect ludique de pouvoir travailler à plusieurs sur un tableau classique, de passer à un kanban ou encore un diagramme de Gantt synchronisés en un seul clic, le tout sans affecter les vues des autres. Un monde de possibilités offertes dans le traitement des données, pour nous et pour nos clients !

#4

Un chatbot pour les élus

L’attrait pour les chatbots ne faiblit pas et atteint jusqu’aux institutions étatiques : la Petite Marianne, née de la société Les Petits Bots, vient répondre au besoin des élus locaux de trouver la bonne information au bon moment, sans avoir à se perdre dans les méandres de leur boite mail. Personnalisable et évolutive, elle permet à la fois aux élus de rester informés sur les dernières évolutions de l’agenda politique, les éléments de langage ou les projets en cours afin de mieux communiquer auprès de ses parties prenantes, et de de disposer d’une boîte à outils qui les accompagne au quotidien dans leur mission. De notre côté, on se demande jusqu’à quel point pousser cette bonne idée sans poser de problèmes de confidentialité… A suivre !

#5

L’IA arrive dans le Digital Workplace

Google l’a bien compris, l’intelligence artificielle est le prochain chantier que les éditeurs de solutions digital workplace se doivent de lancer si elles ne veulent pas se faire distancer par leurs concurrentes. Lors de sa conférence Google Cloud Next, le géant de Mountain View a annoncé injecter de l’IA dans plusieurs briques de sa solution G-Suite. Les fonctions Smart Compose et et Smart Reply se greffent à vos messageries email et instantanée pour analyser vos messages, les prioriser et vous proposer des réponses ainsi que des formules adaptées à votre interlocuteur, et même à votre style d’écriture. Ajoutez à ça un correcteur grammatical dopé à l’IA lui aussi pour éditer vos documents, et vous avez là un nouveau standard à égaler. La fonctionnalité est déjà disponible depuis quelques mois sur la messagerie Inbox de Google, et on a été bluffés plus d’une fois par la pertinence des réponses automatiques très adaptées au contexte de la discussion !

 

#BONUS

 

On le sait, pour nos clients, les données sont ce qu’ils ont de plus précieux et leur sécurité est un enjeu de taille, donc l’idée de passer à une solution basée sur le Cloud peut sembler inquiétante de prime abord. Mais les éditeurs de solutions en ont bien conscience et ne sont pas en reste : retrouvez les différentes fonctionnalités de sécurité de Microsoft, notamment pour sa suite Office 365 recouvrant la messagerie, le chiffrement des données, la protection des informations, la sécurisation des identités et des périphériques, et enfin la supervision des comportements. Un doute persiste, une confusion se crée ?

 

 

N’hésitez pas à nous contacter, nos experts en solutions Cloud seront là pour vous accompagner !

C’est lors d’un événement résolument technologique à la Société Générale que Saegus est intervenu pour apporter aux visiteurs son expertise en matière de digital et plus particulièrement de digital workplace. 

 

 

VOUS AVEZ DIT TECHWEEK ?

Événement désormais phare de la Société Générale, la deuxième édition de la Tech Week s’est déroulée du 3 au 5 juillet derniers à son technocentre des Dunes (Val de Fontenay) et à son siège de la Défense. Réalité virtuelle, création d’apps en un rien de temps, automatisation des processus grâce à l’intelligence artificielle : la Société Générale a vu se bousculer toutes les dernières tendances en matière de digital et d’innovation.

 

Principalement destiné aux collaborateurs Société Générale, cet événement a également accueilli des visiteurs externes. Entre démonstrations, conférences et ateliers, salariés, clients, candidats et partenaires ont ainsi pu découvrir et tester les solutions qui accompagneront la banque de demain.

 

 

 

AU MENU DE L’ÉDITION 2018

Cette édition 2018 a réuni plus de 10 000 visiteurs qui ont pu déambuler entre 60 stands, assister à près de 150 ateliers et à 9 conférences, tous réunis autour de six thématiques :

  • Innovation de rupture
  • Plateforme
  • Data centric
  • Cybersécurité
  • Espace de travail digital et Cloud
  • Nouveaux modèles opérationnels

 

Résolument centrée sur les métiers et les clients, l’ambition de cette nouvelle édition était de mettre en avant les applications concrètes de la technologie aux cas d’usage de la Banque. Les visiteurs ont ainsi pu découvrir différents projets du groupe dont les solutions permettent de répondre aux grandes problématiques bancaires du moment.

 

Parmi toutes ces innovations, on retient par exemple la solution apportée par l’équipe en charge de l’automatisation des processus au sein de la DSI groupe. Grâce à l’association du RPA (technologie d’automatisation des processus) et de l’ICR (capacité de reconnaissance d’écriture manuscrite), les importants volumes de données manuscrites pourront désormais être traités. Les résultats de l’expérimentation faite sur le traitement des formulaires d’auto-certification des clients pro sont très prometteurs. Cette innovation est d’un enjeu majeur pour la banque puisqu’elle permettrait de répondre à des problématiques financières et juridiques, tout en garantissant une qualité optimale.

 

 

SAEGUS ET LA TECHWEEK

Fort de son expertise en matière d’innovation digitale et d’adoption de nouveaux usages, Saegus accompagne la Société Générale depuis 2015 dans la mise en place d’une stratégie « Digital Workplace » optimale. C’est donc en toute logique que nous avons répondu présent lors de cet événement majeur du secteur numérique.

Nouvelles tendances en matière d’outils collaboratifs, possibilités de créer rapidement une app, productivity hubs, application des frameworks agiles aux équipes non IT… Toutes ces thématiques ont pu être évoquées lors d’ateliers, de démonstrations et de sessions de questions-réponses.

 

C’est sur un stand au cœur du Technocentre de la Société Générale que Saegus a pu partager aux collaborateurs les nouvelles tendances en matière d’outils collaboratifs et apporter son expertise sur le choix des solutions les plus adaptées aux cas d’usages de ses cibles. PowerApps, Teams, Foreseeds, Jive, autant d’outils que les collaborateurs ont pu directement toucher du doigt grâce à la mise en place de démonstrateurs concrets. Un bon moyen pour les visiteurs de se projeter dans le Digital Workplace de demain !

 

Saegus a également permis aux visiteurs de participer à un atelier disruptif avec l’outil Klaxoon, un outil qui vous permet de vivre vos réunions autrement ! Cet atelier donnait la possibilité aux collaborateurs de remonter leurs besoins de façon ludique et de mieux comprendre l’accompagnement dont ils peuvent bénéficier sur l’outil JIVE grâce à la collaboration entre Saegus et la Société Générale depuis déjà 3 ans.

 

 

Besoin d’être accompagné dans votre stratégie digital workplace ?


Ça y est, vous êtes prêts, vous avez trouvé la plateforme qui correspond à votre besoin, elle est installée, vous allez pouvoir déployer auprès de vos premiers utilisateurs pilotes. Dans les faits, cette démarche présente de nombreuses similitudes avec celle d’une startup ayant un produit prêt à être mis sur le marché auprès de ses premiers utilisateurs cibles, or comment une startup traite-t-elle ce genre de lancement ? Elle cherche à trouver le bon équilibre entre un produit qui soit bien sûr désirable, mais également faisable et viable.Pourquoi ces objectifs ne seraient-ils pas les mêmes dans le cadre du déploiement d’une plateforme Workplace ? 

Bâtir un produit désirable

Avoir une plateforme attractive pour les utilisateurs cela peut paraître évident, pourtant c’est souvent un axe qui demande à être optimisé. Vos utilisateurs (qui sont au final votre marché cible) ne sont pas obligés d’utiliser votre plateforme, voire ont même d’autres choix à disposition : un groupe WhatsApp, un Google Drive personnel, ce sont vos concurrents !

 

L’expérience que vous allez leur proposer doit être au moins 10 fois meilleure que celle qu’ils vivent actuellement pour qu’ils effectuent réellement une bascule vers votre produit — selon les propos de Ben Horowitz dans The hard thing about hard things

 

Ça c’est la théorie, mais dans la pratique comment bâtir cette expérience ?

 

Pour cela, il faut tout d’abord connaitre votre marché : allez à leur rencontre ! Collecter de la donnée qualitative sur vos utilisateurs (interviews, journées vis ma vie…) vous permettra de mieux comprendre leurs usages et problématiques. Coupler ces informations avec des données quantitatives (pyramide des âges, répartition géographique, taux de salariés en mobilité…) et vous pourrez bâtir les archétypes de vos utilisateurs cibles, les fameux personae.

 

Une fois que vous connaissez et avez priorisé vos utilisateurs cibles — quelle que soit la plateforme digitale workplace que vous souhaitez déployer — l’exercice consiste à :

  • Identifier les cas d’usages ayant la plus forte valeur ajoutée, et la manière de les réaliser sur votre plateforme.
  • Améliorer au maximum l’expérience autour de ces usages au sein de votre plateforme, souvent de manière itérative en prenant en compte les retours utilisateurs.

 

Vous vous adressez à des chefs de projets ? Comment fournir un cockpit de gestion de projet clé en main à ces utilisateurs ?
Votre problématique est la mobilité ? Quelles fonctionnalités clés voulez-vous rendre accessibles en mobilité de manière simple et intuitive ?

 

Un bon produit ne trouvera son marché qu’à la condition d’être hautement désirable, il ne subsistera durablement que s’il est également viable.

 

Un produit viable, vraiment ?

On associe généralement la notion de viabilité à celle de rentabilité économique, c’est en effet souvent le cas pour un produit ayant des clients externes à l’entreprise. La rentabilité économique n’est cependant qu’un des axes composant la viabilité long terme d’un produit (et elle est encore complexe à mesurer sur des projets workplace). Au sens large du terme un produit n’est viable que si la valeur générée par sa mise sur le marché (le marché étant ici l’ensemble des utilisateurs de l’entreprise étendue auquel il se destine) dépasse ses coûts à termes : quels bénéfices tire une organisation en mettant à disposition de ses salariés une plateforme digitale workplace ?

 

La priorité reste de gagner en efficacité opérationnelle : améliorer la productivité des salariés, réduire la time-to-market, fluidifier les process, favoriser l’intelligence collective…
Pour évaluer ces bénéfices une unité de mesure efficace est le temps homme gagné. Ce type d’indicateur est encore compliqué à obtenir à grande échelle, mais peut être mesuré sur des cas d’usages précis à forte valeur ajoutée. Chez un client que nous avons accompagné sur le déploiement de sa plateforme collaborative, nous avons par exemple mesuré le temps dédié au pilotage et à la synchronisation sur un programme annuel, avant et après le déploiement : celui-ci a diminué de plus de 50%, permettant aux PMO de se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée.

 

Un second axe — financier cette fois — peut permettre de mesurer la viabilité d’un projet digital workplace : en basculant l’équipe en charge du sujet d’un centre de coûts vers un centre de profit via le lancement d’une offre de service facturable. C’est également ce que nous avons réalisé pour l’un de nos clients au sein de sa DSI, et cela fera l’objet d’un article prochainement, à suivre !

 

Rendre votre produit digital workplace viable, c’est donc déjà être en mesure d’être clair sur les bénéfices que vous souhaitez en tirer, et sur la manière de les mesurer.

 

Et la faisabilité dans tout ça ?

Bien entendu les deux axes ci-dessus sont caduques si le produit n’est pas réalisable. La faisabilité regroupe ici à la fois la simplicité de conception et de déploiement : à quel point le produit cible est-il basé sur les fonctionnalités natives ? La mise à disposition de ce produit présente-t-elle des contraintes techniques fortes ? Sa prise en main par les utilisateurs va-t-elle nécessiter un accompagnement soutenu ?

 

Les plateformes digitales workplace adresseront généralement 80% de vos usages, ceux qui sont communs à toute structure d’une certaine taille. En revanche c’est la manière dont vous allez adresser les 20% d’usages restant qui va notamment vous permettre de faire de votre plateforme un véritable produit conçu pour ses utilisateurs cibles. Or c’est aussi dans ces 20% que réside généralement toute la complexité technique de votre projet car c’est là qu’interviennent les développements spécifiques.

 

Comment servir ces usages qui vous sont propres, tout en évitant de se noyer dans des cycles de développement trop complexes ?

 

La meilleure manière de concevoir des solutions techniquement réalisables est de constituer une véritable équipe produit, regroupant à la fois :

  • Toutes les expertises fonctionnelles et techniques nécessaires à la conception et au déploiement de ces solutions,
  • Un Product Owner porteur de la vision, de la connaissance des utilisateurs cibles et de leurs usages.

 

Cette équipe sera ainsi en mesure de concevoir des solutions à la fois désirables (grâce à la présence du Product Owner), mais aussi faisables et tirant partie au maximum du potentiel de votre plateforme.

 

Faire de votre Digital Workplace un produit désirable, viable et faisable c’est vous assurer d’apporter le maximum de valeur à vos utilisateurs, tout en construisant une démarche durable pour l’entreprise. Si la tâche peut sembler ardue, elle n’a jamais été aussi simple à réaliser pour la DSI : le marché des solutions est extrêmement dynamique et évolue très (trop ?) rapidement pour apporter toujours plus de valeurs à vos clients internes, vous avez donc à votre disposition tous les cartes nécessaires pour « ré-enchanter » le rapport du métier à ses outils IT.
Cette transformation dans la manière d’approcher le sujet du déploiement d’un Digital Workplace est aussi une opportunité forte pour les DSI : comme nous avons commencé à l’aborder plus haut, il est généralement pertinent de lancer en parallèle de votre Workplace une suite de services d’accompagnements ou de produits à la carte. Au delà du fait que cela permettre de faire de la DSI un nouveau centre de valeur (par opposition à un centre de coûts), c’est aussi l’occasion de passer plus de temps sur des sujets à forte valeur ajoutée métier et de redorer le blason de la DSI auprès de ses clients internes.

 

Si vous voulez en savoir plus là dessus, contactez gaelle.pommereau@saegus.com

 

Dans cet article on parlera de chatbots, de natural language processing (NLP), d’intelligence artificielle et de gestion de la connaissance.

 

Le 12 avril 2016, David Marcus, chef de produit chez Facebook annonçait via un communiqué de presse que Messenger ouvrait ses API Send/Receive aux chatbots. S’en est suivi une vague d’intérêt sans précédent autour de ces agents conversationnels : de 100 000 bots développés sur la plateforme de Marc Zuckerberg l’année dernière, Messenger est passé à plus de 300 000 en mai 2018. Mais si l’apparition des bots sur Messenger marque une démocratisation de l’utilisation de ces programmes, ces derniers existent déjà avec succès depuis plusieurs années sur des applications de chat comme WeChat en Chine.

Au moment où beaucoup semblent convaincus que les Chatbots sont là pour durer, voire même pour remplacer des applications et les sites qui existent aujourd’hui, il est temps pour nous de vous parler des 5 contre-vérités que nous avons pu constater sur ces petites machines.

 

 

1. « Les chatbots fonctionnent grâce à l’intelligence artificielle »

Ce n’est pas faux, mais c’est un raccourci. Même si la dernière démonstration de google Dupleix est assez bluffante, les solutions de chatbots disponibles sur le marché pour les entreprises sont encore loin des prouesses présentées lors du Google I/0. En attendant que ces innovations soient accessibles à tous, intéressons-nous à l’intelligence des bots actuels :

Leur intelligence se décompose en 2 parties :

  • Le NLU : Natural Language Understanding, qui représente la capacité de la machine à comprendre ce que l’utilisateur écrit ou dit en transformant des données non-structurées en une forme structurée qu’elle peut comprendre et à partir de laquelle elle peut agir.
  • Le NLG : Natural Language Generation, qui représente sa capacité à engendrer des phrases en langage naturel à partir de données structurées récupérées notamment à travers des bases de données (ou le processus de NLU).

A eux deux, le NLU et le NLG forment le Natural Language Processing ou NLP. C’est la qualité du NLP qui va donner son « intelligence » au bot. Cependant, la NLU, bien que de plus en plus performante ne l’est pas encore assez pour comprendre réellement le langage naturel, ce qui implique que pour comprendre l’utilisateur, le bot repose sur une base de données de questions et de réponses ou sur un arbre de décision presque entièrement paramétré par un humain.

 

2. « Nous voulons des chatbots apprenants »

Lorsque l’on parle de chatbot, beaucoup de clients s’attendent à ce que leur robot apprenne naturellement de ses échanges avec les utilisateurs à travers des fonctions de machine-learning. Mais est-ce souhaitable ?

Sans aller jusqu’au cas extrême de l’expérience Tay menée par Microsoft, au cours de laquelle un chatbot intégré au réseau social Twitter est devenu raciste et complotiste en l’espace de 24h, il est crucial pour un gestionnaire de chatbot de conserver le contrôle des réponses qui vont être données par l’agent aux utilisateurs afin d’en assurer la qualité.

Un chatbot qui apprendrait automatiquement de ses échanges en viendrait nécessairement à altérer les réponses initialement paramétrées dans sa base de données et donc à échapper au contrôle de ses créateurs. Néanmoins les éditeurs de solutions techniques proposent en général des outils permettant de proposer des améliorations de la compréhension de l’agent grâce aux échanges avec les utilisateurs, mais dont la mise en production reste à la main du gestionnaire.

3. « Le but d’un chatbot est d’apporter une réponse à l’utilisateur »

Si le but premier des chatbots est d’apporter une réponse rapide à la sollicitation d’un utilisateur, ce n’est pas son unique fonction. En effet, il y a beaucoup à apprendre des échanges entre l’agent conversationnel et ses utilisateurs.

Par exemple, une entreprise mettant en place un chatbot sur son site commercial pourra en analysant les conversations entre les visiteurs et son bot, apprendre beaucoup de chose sur le profil de ses clients, leurs attentes et leurs pains (sur le site, comme sur l’offre de l’entreprise). Ce bot pourra même récupérer un certain nombre d’informations de contact qualifiées pour l’entreprises comme des adresses mails.

Evidemment, les échanges des utilisateurs avec le bot, même non concluant, serviront ensuite à améliorer sa compréhension lors de la prochaine conversation.

 

4. « Les chatbots ne sont utiles que pour les clients »

Le succès des chatbots est en grande partie dû aux possibilités qu’ils offrent en termes de marketing et de communication – 92% des marketeurs pensent d’ailleurs qu’ils vont se généraliser dans leur domaine selon une étude de DoYouDreamUp. Mais ces programmes ont aussi un rôle à jouer à l’intérieur des entreprises. Les « chatbots internes » sont de plus en plus populaires au sein des grands groupes : Engie, La Société Générale, et bien d’autres ont déjà leurs initiatives.

A l’image des bots externes, leur objectif est d’apporter une réponse rapide et qualifiée aux collaborateurs et de fluidifier ainsi la recherche d’informations. Dans le domaine des ressources humaines par exemple, l’emploi d’un chatbot peut permettre de réduire de façon drastique les délais de réponses sur des questions administratives, légales, ou contractuelles. De même, un chatbot peut permettre d’assurer le premier niveau du support applicatif afin de décharger les services supports.

5. « Une fois lancés, les chatbots fonctionnent seuls »

Vous l’avez peut-être deviné au cours de cet article, les chatbots ne sont pas encore autonomes. Une fois un projet de chatbot déployé, le projet n’est pas terminé. Au lancement, l’agent conversationnel aura généralement une base de connaissances initiale pensée par les responsables du projet et des experts des sujets concernés, mais cette dernière est rarement suffisante pour assurer la pertinence du bot sur la durée.

Premièrement, cette base ne prend pas encore en compte les besoins réels des utilisateurs. Elle va devoir évoluer et se perfectionner à l’aide des interactions du bots et de ses utilisateurs. Pour cela les conversations devront être analysées et des ajustements apportés. Or comme nous l’avons dit précédemment, ces actions doivent être effectuées par un humain pour assurer la qualité des améliorations apportées.

Deuxièmement, les connaissances de l’entreprises évoluent, une démarche de chatbot est une vraie démarche de knowledge management, les connaissances doivent être maintenues à jour, certaines doivent être ajoutées et d’autres supprimées.

 

 

 

En conclusion…

Les chatbots ont encore du chemin à parcourir, mais la compréhension de ce qu’ils sont et de ce que leur déploiement implique aussi. Nous espérons que cet article vous aura permis d’y voir plus clair. Si vous souhaitez poursuivre la discussion sur vos projets chatbots avec nous, vous pouvez nous contacter à l’adresse mail gaelle.pommereau@saegus.com

Dans le cadre du Forum Changer d’Ère dont la 6ème édition se tiendra jeudi 21 juin 2018, les experts sur le plateau du 01 Business Forum – animé par Frédéric Simmotel, son rédacteur en chef chez BFM Business – se sont réunis pour évoquer la formation professionnelle.

 

 

Aurore Pinel, responsable de la Saegus Institute – notre centre de formation agréé – s’est exprimée sur les enjeux d’une bonne formation aux côtés d’Ines Kouraichi, directrice des relations avec les institutions éducatives chez Microsoft et de Gaël Sliman, président cofondateur de l’institut d’études Odoxa.

 

Ainsi la dernière étude conduite auprès d’un échantillon représentatif de français indique que non seulement leur perception sur la capacité du pays à innover s’est nettement améliorée, mais qu’aussi la formation professionnelle s’avère être une nécessité pour demeurer à jour dans son domaine notamment. C’est ce qu’indique le sondage avec 91% des Français (et des salariés) qui pensent qu’avec 
le développement rapide des nouvelles technologies et les changements induits (nouveaux outils, nouvelles méthodes, …) nous sommes désormais tous obligés d’apprendre et de nous former tout au long de notre vie.

 

Pourtant, bien qu’il y ait un engouement autour de la formation professionnelle, nombreux sont les français non convaincus par les organismes de formation, ni même les organismes d’aide au retour à l’emploi.

 

Aurore juge justement que « s’il faut apprendre à transformer les métiers, cela nécessite d’apprendre à changer. La formation initiale doit intégrer les progrès technologiques et une vision prospective et tournée vers le futur ; la formation professionnelle doit quant à elle être continue et mise à jour constamment pour se caler sur le rythme soutenu des innovations ».

 

L’entreprise doit pouvoir jouer un rôle, notamment via les RH qui devraient coacher les collaborateurs et ne pas uniquement se reposer sur des catalogues de formations, parfois un peu vieillissants…

Il y a naturellement d’autres chemins pour accéder à la formation, tel que le e-learning qui explose, mais ne garantit pas une qualité certifiée, ou encore l’auto-formation qui est intéressante, mais ne permet pas de certification des sources et des acquis non plus… rendant de ce fait les nouvelles connaissances non valorisables.

 

Alors quid de la faculté à apprendre correctement ? Face à cette problématique, le numérique est plus que jamais à notre portée pour donner un regain d’efficacité à ces formations professionnelles. Dès aujourd’hui, des technologies telles que la réalité virtuelle ou augmentée doivent être mises à profit pour permettre aux apprenants de s’immerger en situation réelle et d’apprendre par la pratique.

 

Nous vous proposons de lire en détail le point de vue des experts dans cette étude que vous pouvez télécharger, et vous proposons de revoir l’émission ici.

 

Bonne lecture,

En juin 2017, Automattic – l’entreprise derrière WordPress.com – a décidé de fermer ses bureaux situés en plein coeur de San Francisco. La raison: seulement une dizaine d’employés sur les 550 se rendaient régulièrement sur place.

 

 

L’entrepôt est pourtant parfait pour une startup, avec ses espaces design, sa table de ping-pong, sa librairie et ses grands canapés en cuir. Automattic a toujours poussé ses employés à faire du télé-travail si ils le désiraient. Il y’a même un budget de 250 $ par mois pour prendre un poste dans un espace de co-working: ce mode de travail est devenu la norme pour la plupart des employés.

 

En France, le cabinet DR Cronos a fait une étude en 2016 sur les bénéfices de la mise en place d’une politique de télé-travail partiel au sein d’une entreprise. Les résultats sont les suivants:

  • Une baisse de 5,5 jours par an d’arrêts maladie par salariés;
  • Une augmentation de la productivité de 22%;
  • Une réduction de 40 minutes du temps moyen de déplacement domicile-travail;
  • Une augmentation de 45 minutes du temps moyen de sommeil des salariés;
  • Ce mode de travail est plus populaire que le mode de travail français: 72% des français y sont favorables.

 

Les nouveaux outils de communication et de collaboration permettent de s’affranchir de la nécessité d’être  ensemble, certaines entreprises comme Elastic (entreprise Saas) ne dispose même pas d’un bureau pour leurs 500 employés répartis dans 35 pays.

On voit bien que depuis les années 90, la Silicon Valley est prescriptrice en matière de modes de travail (open-spaces, espaces dédiés aux loisirs ou au repos, accent mis sur la déco, snacks …): cela augure-t-il un futur sans bureaux?

Vraisemblablement, ce ne sera pas le cas pour les grands noms de la technologie. À Cupertino, Apple vient de débourser 5 milliards de dollars pour construire son nouveau campus de la taille du Pentagone. Jamais une entreprise n’a dépensé autant pour ses bureaux.  Au final: bureaux ou pas bureaux?

 

 

Les bureaux, un vecteur de culture essentielle

 

Les bureaux sont certes un centre de coût important, mais aussi un vecteur de transmission de la culture stratégique pour l’entreprise. Uber, critiqué pour sa culture du secret et de la compétitivité interne exacerbée, se construit actuellement un nouveau siège tout en espaces ouverts et transparents. De même, la Société Générale, après le scandale Kerviel, un rebâtit des salles de marché sous forme d’espaces ouverts géants de plus de 150 mètres de long.

 

Le besoin de transparence dans le domaine de l’emploi, qui n’a pas de rôle fonctionnel, mais celui de vecteur de valeurs auprès des salariés. Les valeurs liées à l’honnêteté, l’humain et le besoin de susciter confiance.

 

Au delà des contextes de transformation, l’espace de travail devient un rappel des origines et de la mission de l’entreprise. Airbnb qui affirme plus de plus en plus de ses valeurs de partage, de rencontres et d’Humanisme dispose de salles de réunions décorées comme des appartements, uniques et invitant à la convivialité, avec des photos de moments de la vie des employés. L’une d’elle est même une réplique de l’appartement dans lequel vivaient les fondateurs de la société, et où ils ont accueilli les premiers clients de la société.

 

 

Le bureau comme lieu de vie

 

La tendance qui se dessine actuellement est même l’inverse du “0 bureau”. Apple ouvre un véritable village qui recrée les conditions de travail d’une université: des librairies, des espaces verts, des cafés, des espaces-salon pour se sentir “comme chez soi”. Le but de ces espaces est de créer la sérendipité dans les rencontres, de générer des échanges et de la collaboration insoupçonnée pour favoriser à la fois la productivité et l’innovation.

 

Si certains employés se plaignent du bruit, ou de la difficulté de rejoindre leurs collègues dans ces nouveaux espaces, toutes les grandes entreprises de la technologie s’orientent vers ce type de locaux. Au delà de l’espace de travail, les services sont souvent offerts: nourriture à toute heure, garderie, conciergerie, et même services médicaux. Au final tout est mis en place pour que les salariés s’y sentent bien, et pour les décharger de leurs contraintes du quotidien. Apple n’est pas une exception, Salesforce, Google Amazon, tous dépensent des fortunes dans de nouveaux locaux.

 

Chrysler à New-York aux Petronas Tours à Kuala Lumpur: un symbole de pouvoir et de réussite pour l’entreprise.

 

En revanche, l’accent est mis de plus en plus sur le salarié et son confort: le but étant avant tout d’attirer de nouveaux et de jeunes talents qui cherchent parfois plus un style de vie qu’un emploi.

 

Les entreprises de la technologie cherchent à mettre à disposition non pas un lieu de travail, mais un lieu de vie pour attirer les employés certes, mais aussi pour qu’ils restent le plus longtemps possible. Cela pose des questions sur la frontière entre la vie professionnelle et la vie privée, et ce n’est pas sans rappeler le paternalisme industriel du XIXème siècle: en intégrant la vie privée de l’ouvrier au sein d’un espace fourni par l ‘entreprise, on garantissait un turn-over très faible et une fidélité envers l’entreprise très forte.

 

Reste à savoir si cette tendance forte de la Silicon Valley se diffusera vers d’autres secteurs. Et pour vous, à quoi ressemble le bureau du futur?

 

 

Sources :
https://qz.com/1002655/the-company-behind-wordpress-is-closing-its-gorgeous-san-francisco-office-because-its-employees-never-show-up/
http://allthingsd.com/20130222/physically-together-heres-the-internal-yahoo-no-work-from-home-memo-which-extends-beyond-remote-workers/

Nous sommes fiers d’avoir la confiance de nos clients et enthousiastes de leur apporter notre aide, voici nos derniers “success unlocked” :

 

  • Refonte de la page d’accueil de l’intranet Nexity

Dans le cadre de sa stratégie « Nexity, tous connectés », Nexity a mis en place une plateforme sociale et collaborative appelée « Nexity Live! » et basée sur la technologie Jive. Cette plateforme s’articule autour de 4 usages principaux :

– Accéder à des services personnalisés,

– Assurer une communication globale,

– Travailler en communauté,

– Promouvoir et identifier les compétences et talents.

 

Dans ce contexte, Nexity a fait appel à Saegus pour refondre la page d’accueil de la plateforme afin de répondre à deux enjeux majeurs :

– Faire transparaitre les 4 usages au niveau de la page d’accueil pour qu’ils soient directement accessibles par les collaborateurs

– Optimiser l’utilisation et augmenter l’activité au sein de la plateforme

 

 

  • Mise en place d’un portail intranet sur une plateforme sociale et collaborative pour Faurecia

Faurecia a mis en place en 2016 une plateforme collaborative et sociale appelée « Faur’us » et basée sur la technologie Jive.

 

Dans ce cadre, Le service de la communication a fait le choix de migrer leur portail appelé « Magazine » (intranet de communication à destination des collaborateurs Faurecia) vers un espace au sein de la plateforme « Faur’us ». Ce portail est actuellement mis en place et accessible via un site SharePoint (version 2013).

 

Saegus a été choisi afin de construire l’espace « Magazine » sur « Faur’us » avec une structuration de la page d’accueil qui doit répondre aux problématiques suivantes :

– Intégrer les deux aspects : éditorial et social,

– Regrouper les news qui proviennent des différents sites/pays et qui peuvent intéresser tous les collaborateurs,

– Faire de cet espace un Hub d’informations et de communication pour tout Faurecia.

 

 

  • Mise en place d’une vitrine Digital Workplace 

Dans le cadre de son déploiement d’Office 365, un acteur majeur du secteur de l’énergie a confié à Saegus la mise en œuvre de sa vitrine Digital Workplace. Cette vitrine en tant que hub constitue le point d’entrée unique pour le collaborateur à l’ensemble des services de collaboration de l’entreprise.

 

Cette mise en place s’appuie sur la méthode agile Scrum en cycles courts afin d’anticiper l’arrivée des nouveaux services de collaboration et les besoins de communication associés.

 

 

  • Accompagnement de TechnipFMC pour un pilote O365 

Saegus a été choisi par TechnipFMC pour l’accompagnement d’un pilote O365 auprès de 3500 personnes. Notre approche basée sur la méthodologie STARS sera mise en œuvre sur l’ensemble des sites Parisiens du Groupe et servira de test et de levier pour les prochaines actions vers le reste du Groupe.

 

 

  • Mise en place d’une approche « Strategic Workforce Planning »

La DSI groupe d’un acteur majeur du secteur bancaire a confié à Saegus la définition et mise en place de sa stratégie de formations et de recrutements comme levier principal de la réussite de son programme de transformation en cours. Cette approche consiste à cartographier les expertises existantes, identifier et accélérer la montée en compétences des équipes sur les expertises jugées nécessaires à la réussite de cette transformation, via la mise en place de programmes de formation et de plans de recrutement adéquats.

 

 

  • Poursuite de l’accompagnement Agile pour la refonte de parcours clients web 

Unéo renouvelle sa confiance en nos équipes d’experts Agilistes intervenant dans le cadre de la transformation agile du projet de refonte du site web Unéo et de la mise en place de parcours adhésion en ligne (Utilisation du framework SCRUM). L’optimisation du temps des ressources métiers (échanges facilités, meilleure réactivité des équipes, meilleure adaptation suite aux différents ajustements, gain en proactivité et dynamisme) a permis le développement de plus de 10 nouveaux services développés en l’espace de 8 mois.

 

 

  • Déploiement et Adoption Office 365 pour un acteur majeur du secteur Transport et Logistique

Dans le cadre de son projet de transformation Digital Workplace basé sur Office 365, un acteur majeur du secteur du transport et de la logistique a confié à Saegus le cadrage du projet, le déploiement des services de collaboration et ainsi que les activités d’adoption associées.

 

 

  • Adoption Office 365 dans le cadre d’un projet de transformation digitale 

Dans le cadre de son projet de transformation Digital Workplace basé sur Office 365, un acteur majeur du secteur de la cosmétique a confié à Saegus la définition et l’exécution du plan de communication et d’adoption, en France et à l’international, des services déployés.

 

 

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Pour en savoir plus sur notre offre d’accompagnement ou pour une démo, n’hésitez pas à demander un rdv à gaelle.pommereau@saegus.com.