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Qui ou quelle entreprise n’a pas déjà entendu parler du Cloud ? Le Cloud (le nuage en français) Computing est un moyen de louer et d’exploiter des ressources et des services informatiques à distance via une connexion internet.

 

Voici quelques exemples d’usage :

  • le stockage de vos données : OneDrive, DropBox, Google Drive, SharePoint, etc.
  • les échanges de mail : Gmail (Google), Outlook (Microsoft), Free, etc.
  • la vidéo : VoD, Streaming (Netflix, Amazon Prime, Youtube), etc.
  • la musique : Deezer, Spotify, Apple Music, etc.

 

Figure 1: https://news.microsoft.com/fr-fr/2018/01/23/microsoft-france-annonce-louverture-de-quatre-data-centers-en-france/

 

Le Cloud Computing continue de progresser et de transformer les habitudes des particuliers et des entreprises. Les motivations des entreprises à passer sur le Cloud sont bien différentes de celles des particuliers et les craintes liées à la sécurité de leurs données sont plus importantes. Malgré ces inquiétudes, de plus en plus d’entreprises y pensent tandis que d’autres ont déjà franchi le pas et migrées leur infrastructure sur le Cloud.

 

Lorsque l’on souscrit à un abonnement Microsoft 365 (ouverture d’un Tenant), il est possible de choisir un pays. Ce choix est définitif et permet de choisir implicitement la géolocalisation du DataCenter (un bâtiment regroupant tous les équipements pour la mise en œuvre des services et systèmes d’information) qui hébergera les données. Les lois qui régissent l’exploitation et le traitement des données hébergées dépendent en partie du pays dans lequel se situe le DataCenter.

 

Figure 2 : https://products.office.com/en-us/where-is-your-data-located?geo=All

 

Depuis mars 2018, deux DataCenters Microsoft ont été ouvert en France ; les données qui y sont hébergées sont soumises aux lois françaises et européennes. Le fait de pouvoir à présent héberger les données des entreprises françaises en France est l’un des premiers facteurs favorisant le choix du Cloud pour les entreprises (Exemple : EDF).

 

Les mises à jour et la sécurité des environnements sont un deuxième critère de choix pour les entreprises. En effet, Microsoft priorise ses mises à jour sur les environnements Cloud et ensuite sur les environnements On-Premises, c’est pourquoi, il est plus intéressant aujourd’hui en termes de fonctionnalités et de sécurité de disposer d’un environnement Cloud.

 

En matière de sécurité, les entreprises pourront toujours disposer d’un service informatique efficient, mais le nombre de ressources employées ne pourra jamais atteindre celui que Microsoft emploie pour maintenir ses environnements. Ces dernières années, le nombre et la violence des attaques du web ont évolué ; il faut avoir les meilleurs ingénieurs, spécialistes et logiciels pour disposer d’une efficacité suffisante et tout ceci a un coût non négligeable pour les entreprises… toutes ces ressources sont mises à votre disposition, sur votre Tenant Microsoft 365 afin de sécuriser vos accès et vos données d’entreprises.

 

Il faut aussi prendre en considération que les nouvelles fonctionnalités sont pour la plupart disponibles uniquement sur les environnements Cloud comme Teams, Yammer, Stream, etc. L’évolution des moyens de communication est une priorité, c’est pourquoi Microsoft fait partie des leaders qui s’efforcent de mettre à notre disposition des outils collaboratifs de pointe et toujours plus intelligents.

 

Les entreprises qui restent encore dubitatives sur le sujet et qui souhaitent prendre leur temps pour migrer sur le Cloud ne resteront pas sans solution. Il est tout à fait possible de mettre en place un environnement dit « hybride » qui leur permettra de stocker leurs données sur un environnement On-Premise et de profiter aussi des fonctionnalités uniquement disponibles dans le Cloud. Cette solution permet de réunir suffisamment de critères pour se familiariser avec l’environnement Cloud, de s’assurer que le niveau de sécurité répond aux exigences avant de se lancer dans un environnement totalement Cloud (exemple : SNCF).

 

 

 

Maintenant qu’il est démontré que les environnements Cloud sont plus sécurisés que les environnements On-Premises (à partir du moment où ces derniers sont accessibles depuis internet) et que les dernières fonctionnalités sont disponibles, il faut déterminer quels services du cloud peuvent être mis à disposition des utilisateurs et pour quels usages.

 

Saegus accompagne les entreprises pour les aider à définir leur feuille de route vers le cloud.

Cela passe par une phase d’identification et de priorisation des usages, des données et du niveau de sécurité associé. Nous exploitons pour cela des méthodes d’accélération type Design Thinking, qui remettent les usages au centre du projet et proposent une feuille de route tactique pour un déploiement déjà attendu.

 

L’enjeu majeur est ensuite d’assurer l’adoption des nouveaux services par les utilisateurs. Nous intervenons en proposant un catalogue de services d’adoption packagé avec des activités disruptives et virales, réalisées par nos experts Adoption et notre agence de design interne.

 

N’hésitez pas à nous contacter, nos experts en solutions Cloud seront là pour vous accompagner !


Vous vous en êtes très certainement aperçus : attirer, accueillir et retenir des talents ne requiert plus les mêmes ingrédients aujourd’hui que quelques années auparavant. Progressivement, vous voyez arriver sur le marché et dans vos équipes, une population pour qui le digital et la connectivité ne sont pas juste des outils, mais un mode de vie. Et cette population, il va falloir la chouchouter : quand d’ici 2025 elle représentera les trois quarts de la population active, c’est sur elle que reposera toute la croissance de votre organisation.

 

 

Ceci dit, ne vous attendez pas à une course au salaire, car si ce critère conserve une certaine importance, votre priorité se situera tout autre part. Pensez-y : dans un contexte où les entreprises sont à l’affût de tout nouveau levier de rentabilité et où les forces de travail sont de plus en plus dispersées sur le globe, l’enjeu est de faire communiquer vos collaborateurs, de libérer leur potentiel maximum, bref, de les remettre en tant qu’humains au centre de vos préoccupations.

 

D’ailleurs, vous l’aviez sûrement déjà compris et avez investi dans des outils améliorant non seulement la productivité, mais aussi la collaboration. Plateforme de chat pour communiquer, réseau social d’entreprise pour partager, suite d’outils de coédition ou encore espace de stockage partagé dans le cloud : niveau Digital Workplace, vos salariés sont parés. Mais qu’en est-il de leur environnement physique ?

 

Chez Saegus, nous pensons qu’à l’heure où le salarié possède en moyenne 4 terminaux et bien plus d’outils dématérialisés, qu’il navigue chaque jour entre bureaux, salles de travail, domicile et autres activités extérieures, il devient essentiel de pouvoir lui offrir une expérience où tous ses différents lieux et outils se fondent dans une cohérence parfaite. Si en plus, on prend en compte le fait que pour 78 % des représentants de la fameuse « Génération Y », la qualité du lieu de travail est un critère clé dans le choix de son futur employeur, la conclusion vient d’elle-même : plus qu’un espace de travail digital, c’est un espace de vie phygital dont ils ont besoin.

 

 

On vous propose une avance rapide dans les prochaines années, lorsque les entreprises auront réellement investi dans les technologies de l’immobilier, comme elles sont 63 % à en avoir l’intention aujourd’hui.

 

Voici un cas concret d’un espace de travail phygital au service de l’utilisateur :

Aline, manager qualité dans un grand groupe industriel, a prévu une réunion de préparation d’audit dans une usine en Pologne avec les responsables locaux à distance et l’auditeur externe en présentiel. Elle réserve une salle de visio-conférence et avertit de l’arrivée prochaine d’un invité. La salle est prête, la réservation s’affiche le jour J sur le roompad à l’entrée de celle-ci indiquant l’heure de réunion, la durée et le nom d’Aline. A son arrivée, l’auditeur renseigne à l’accueil son nom et celui de son contact dans l’entreprise, et Aline reçoit immédiatement sur son téléphone la notification de sa présence dans les locaux. Finissant une réunion, elle notifie via chat son invité de patienter dans l’espace d’accueil puis vient le chercher. Dans la salle réservée, l’écran connecté a déjà lancé la session de visio-conférence avec les responsables polonais et la réunion peut commencer immédiatement. Durant la session, les interactions et commentaires sont notés sur le tableau numérique, ainsi visibles de chaque côté de la réunion. Chacun en reçoit une copie en fin de réunion. Aline peut retourner travailler sur sa prochaine réunion dans son espace de coworking, non sans avoir vérifié auparavant la disponibilité des postes de travail sur son application dédiée.

 

 

Gain de temps et de productivité seront au rendez-vous, nous en sommes persuadés, tout comme les 65 % de collaborateurs qui estiment que l’alliance du digital et de l’immobilier améliorent leur développement professionnel. Mais au-delà de cela, c’est le bonheur au travail du salarié qui s’en trouvera boosté. Nous y croyons tellement que c’est dans cette logique que nous avons conçu nos nouveaux locaux. Le marché regorge d’acteurs concernés : architectes d’intérieur, revendeurs audio/ vidéo, intégrateurs spécialisés, mais aucun n’est en mesure de garantir que l’ensemble proposera une expérience cohérente, intégrée et compatible avec vos propres plateformes d’entreprises. Alors plutôt que de vous en vanter encore les mérites, pourquoi ne pas passer nous voir et constater par vous-même ce que le phygital peut vous apporter ?

 

Contactez-nous, nous nous ferons un plaisir de vous partager notre vision d’un espace de travail connecté et phygital.

 

Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

 

#1
Et si les App d’entreprises intégraient des stories ?

Depuis plusieurs années, le phénomène de « story » établi par Snapchat en 2011 s’est diffusé parmi les plus grands : Instagram, Facebook, WhatsApp proposent cette fonctionnalité à leurs utilisateurs et les résultats sont plus que satisfaisants : 188 millions d’utilisateurs actifs et 3 milliards de « snaps » envoyés chaque jour dans le monde. La raison ? La tendance du live et de la vidéo qui suscitent plus d’engagement.

Si les applications qui le proposent actuellement sont réservées à la sphère personnelle, il serait intéressant de la diffuser au contexte professionnel.
En effet, son côté ludique permettrait de diffuser de l’information de manière spontanée et créative via une publication photo ou vidéo. Pour le Digital Workplace, cela permettrait de faire des teasers pour des événements à venir, des formations mais également des valorisations de salariés grâce à du « behind the scene ».

Mieux encore, ce serait un moyen de communiquer sur l’avancée d’un projet de manière ludique, ainsi que de publier le début d’une démonstration d’application avec un lien renvoyant vers l’outil collaboratif où la vidéo est diffusée en entier.

Il est important de savoir que 85% des entreprises souhaitent créer plus de vidéos internes selon une étude du State Of Social 2018.
Les fonctionnalités de ce type d’outils sont en constante évolution et de nouvelles sortent régulièrement comme la fonction de sondage pour analyser de nouvelles données liées à la satisfaction, ou encore la possibilité de faire du phygital sur une story pour donner la main à l’utilisateur. Ce serait également un moyen divertissant de communiquer les « best practices » de l’entreprise et les formations accessibles en ligne.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

 

 

#2

L’incroyable expansion des chatbot

En 2021, plus de 50% des entreprises dépenseront davantage par an pour la création de bots et chatbots que pour le développement d’applications mobiles traditionnelles.
Comment l’expliquer ? Parce qu’un chatbot facilite l’expérience utilisateur en agrégeant l’ensemble des applications développées en interne (RH, Intranet, Messagerie, etc.) en une seule et même application. Les salariés pourront donc poser leurs congés, réserver une salle de réunion, envoyer un e-mail, poser une question et faire une recherche depuis la même interface sous forme de SMS. Et bientôt on espère, l’audio ! Mais loin de nous l’idée de papoter avec un robot. L’évolution des technologies a pu rendre les chatbots intelligents et hyper efficaces grâce à l’apprentissage automatique, au traitement automatique du langage naturel et surtout de l’expérience utilisateur conversationnelle. Cela constituerait donc un gain de temps conséquent pour le salarié, permettrait une meilleure organisation et donc meilleure satisfaction.

 

 

#3

Smart building : 
La tendance responsable

En 2021, plus de 50% des entreprises dépenseront davantage par an pour la création de bots et chatbots que pour le développement d’applications mobiles traditionnelles.
Comment l’expliquer ? Parce qu’un chatbot facilite l’expérience utilisateur en agrégeant l’ensemble des applications développées en interne (RH, Intranet, Messagerie, etc.) en une seule et même application. Les salariés pourront donc poser leurs congés, réserver une salle de réunion, envoyer un e-mail, poser une question et faire une recherche depuis la même interface sous forme de SMS. Et bientôt on espère, l’audio ! Mais loin de nous l’idée de papoter avec un robot. L’évolution des technologies a pu rendre les chatbots intelligents et hyper efficaces grâce à l’apprentissage automatique, au traitement automatique du langage naturel et surtout de l’expérience utilisateur conversationnelle. Cela constituerait donc un gain de temps conséquent pour le salarié, permettrait une meilleure organisation et donc meilleure satisfaction.

Good to know : Le bâtiment connecté utilisera une multitude de technologies !
L’IoT – Internet Of Things – (pour créer de la donnée sans interaction homme-machine), le Cloud (pour stocker les données), l’Intelligence Artificielle (pour l’ensemble des algorithmes), le Big Data (pour analyser la donnée et en faire une information), l’Analytiques pour analyser les informations, l’automatisation (suite à la connaissance du salarié) et la robotique pour exécuter la tâche. Plutôt cool n’est-ce pas ?

 

 

#4

Assistance virtuelle grâce à l’IA et la Voice Activated Search

Si dans une journée on nous demandait de lister les choses qui nous agacent et nous prennent du temps au bureau, forcément il y aurait : le tri et et le traitement de nos emails (on adore les retours de vacances), la prise de RDV, la réservation des salles de réunion, la rédaction de compte-rendu etc. Mais pas de panique, une solution fait son entrée sur le marché : l’assistance virtuelle ! Elle sera chargée de gérer toutes les tâches administratives et organisationnelles, d’automatiser les processus métier conséquents pour que le salarié puisse se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée ! Ainsi, les missions du salarié deviendront plus intéressantes et épanouissantes, créant un gain de temps et de productivité important. Qu’en est-il du ROI nous direz-vous ? Il a été calculé entre 30% et 200% selon la taille de l’entreprise.
A l’assistance virtuelle s’ajoutera l’assistance de réunion intelligente avec la « Voice Activated Search » qui s’occupera d’un certain nombre de tâches qui lui seront demandées pour alléger la charge de travail des participants, comme la prise de notes !

Sur le marché, nous pouvons déjà remarquer EVA, une assistante de réunion intelligente qui enregistre les échanges pendant les réunions et réalise un procès-verbal composé des différentes décisions prises. Selon les tâches qui lui ont été attribuées en amont, elle s’occupe également d’envoyer automatiquement le rapport au public concerné.

 

 

#5

Analytics for everything

Si on continue dans cette dynamique, on se retrouve avec un salarié qui ne subit plus de tâches fastidieuses et qui est épanoui ! Mais comment vont évoluer les métiers ? Un indice : « La donnée est le pétrole du 21ème siècle ». Donc … vers l’analyse ! D’ici à 2020, 85% des nouveaux postes techniques basés sur les opérations seront sélectionnés pour des compétences d’analyse et d’intelligence artificielle. D’une part, les données seront analysées pour continuellement maintenir un environnement et une expérience digitale optimale pour les salariés ; de l’autre des analyses de sécurité avancées seront réalisées pour anticiper – grâce au croisement de données – toute menace liée à la cybersécurité. Enfin, l’intelligence artificielle sera intégrée à 75% des applications pour pouvoir analyser des données métiers et détecter tous types d’anomalies. Ainsi, les outils d’analyse performants, alliés à l’intelligence artificielle permettront d’avoir une vision claire pour prendre des décisions tout en garantissant un niveau élevé d’adoption et de satisfaction des salariés !

 

 

#6

Quand la réalité virtuelle devient un outil de travail

D’ici à 2019, les solutions technologiques de réalité virtuelle, réalité augmentée et réalité mixte seront adoptées dans 20% des entreprises. Cela favorisera de nouvelles expériences de travail au salarié mais sera surtout une solution aux entreprises multi-sites afin de projeter des présentations et d’être collaboratifs grâce à la téléprésence. Plutôt cool pour faire du télé-travail sans avoir l’impression d’être isolé dans une grotte … Le recrutement pourra également se faire de manière plus réaliste, avec des mises en situation concrètes où le candidat sera en capacité d’intervenir physiquement et à distance grâce aux technologies intelligentes et intuitives. Ces dernières permettront de vivre une expérience tactile basée sur une vidéo ainsi que d’améliorer la communication et les performances professionnelles des employés grâce aux technologies immersives.

Nous pouvons déjà trouver des outils permettant de profiter de la réalité mixte sur le marché, comme l’offre HoloLens de Microsoft qui permet par exemple de résoudre un bug technique en communiquant avec une assistance via les lunettes, en lui montrant l’ordinateur (le réel) et en voyant apparaître à l’écran les points d’attention sur lesquels l’assistance a cliqué (le virtuel) pour trouver l’origine du bug, et le résoudre. Mais ceci, vous connaissez sans doute.

 

 

#7

Évolution du Cloud vers le tout en un

Le Cloud n’a pas fini de faire parler de lui ! Le nouveau phénomène ? La démocratisation de l’utilisation des données en temps réel dans l’ensemble de l’entreprise. Actuellement, seul le top management peut utiliser toutes les informations liées à l’entreprise contrairement aux salariés qui n’ont accès qu’aux données qui les concernent directement. Avec un Cloud dit tout en un, l’ensemble des salariés auront accès à toutes les données concernant l’entreprise directement, sans devoir attendre de longues procédures d’autorisation.

Ainsi, l’accessibilité des données permettrait de les analyser sans perdre de temps, en éliminant les longs process de validation.
Si cela paraît attractif sur le papier, on peut tout de même se poser des questions sur le risque que représente des données potentiellement sensibles ou confidentielles accessibles par tous et en nomadisme ?

 

 

N’hésitez pas à nous contacter, nos experts en solutions digital workplace seront là pour vous accompagner !

 

Saegus accompagne depuis 2 ans un acteur majeur de la production et de la fourniture d’énergie dans le monde.

L’objectif de cette mission : mettre en œuvre un Lab afin d’animer en continu l’évolution de l’environnement Digital Workplace et ainsi raccourcir le “time to market” entre un besoin exprimé par les utilisateurs et sa mise à disposition effective.

 

Le challenge de la mission

Un des enjeux majeurs de la DSI est de proposer des services adaptés aux collaborateurs du Groupe pour favoriser  l’innovation et les nouveaux usages, permettant alors une meilleure efficacité, tant au niveau individuel que collectif.

 

L’ancienne organisation ne permettait pas d’apporter des améliorations aux services déjà déployés : le budget devait être prévu très en amont, et de trop nombreuses équipes intervenaient sans réelle synergie.

Résultats ? Une forte inertie et une solution apportée bien tardivement qui ne répondait parfois pas réellement à la problématique initiale.

 

Ainsi, l’organisation et l’industrialisation du processus de  création  et de mise à disposition de nouveaux services était stratégique pour la DSI du Groupe.

 

L’approche Saegus

Pour en finir avec cet effet tunnel et pour replacer l’utilisateur au centre des attentions, Saegus a alors décidé de créer un Lab des usages Workplace en s’appuyant sur son expertise reconnue des démarches d’innovation.

L’équipe s’est appuyée sur sa capacité à exploiter des méthodes agiles, Design Thinking et Lean Startup, avec les solutions de l’écosystème Digital & Phygital Workplace au sens large.

Utiliser une méthode agile permet de présenter en 1 ou 2 sprints un premier Minimum Valuable Product (MVP) à un panel utilisateurs pour valider la pertinence (ou pas) de la solution avant de l’industrialiser (ou de pivoter).

 

En amont du Lab, l’objectif était de créer une User Voice au travers de communautés et d’ateliers d’idéation. Ces ateliers, réalisés en partie grâce à la plateforme de Crowd Thinking Foreseeds (accélérateur développé par la Saegus Factory), ont permis aux clients de prioriser les sujets en identifiant les futurs Products Owners.

 

 

Les actions employées

Afin de développer et animer le Lab Digital Workplace, Saegus est intervenu à différentes étapes :

  • Coaching des équipes (le Product Owner et toute l’équipe Workplace)
  • Mise en œuvre et paramétrage des outils pour supporter la démarche agile du Lab
  • Proposition et définition des différents templates pour les livrables clés de chaque étape du processus
  • Pilotage des projets en méthodologie Scrum
  • Participation active à l’instruction des nombreux sujets en tant que membre de l’équipe Workplace

 

Tout cet accompagnement réalisé grâce au Lab a permis cette fois de conduire une quinzaine de projets dont les bénéfices sont significatifs en interne.

 

Pour avoir plus de détails sur le pourtour de cette mission et quels sont les résultats sur le long terme, n’hésitez pas à nous demander rdv.


A l’heure de la transformation digitale, les Directions des Systèmes d’Information sont au centre de toutes les attentions dans l’entreprise.

 

Bloquées entre son SI « legacy » ou SI historique et l’innovation attendue par les métiers, comment doivent-elles se positionner face aux forces de la consumérisation et de la technologie numérique, celle-ci mettant quasiment tout le monde aux manettes d’un département informatique ? Nous constatons des budgets marketing bientôt plus important que celui du DSI, alors guerre ou reconquête ?

 

Le Directeur des systèmes d’information a pour première priorité de maintenir la robustesse et la fiabilité des services informatiques de l’entreprise. Mais pas que !

 

Il doit à présenter gérer sa propre transformation en se dirigeant vers des nouvelles méthodes de travail et une nouvelle position de partenaires des métiers de l’entreprise ! Sa cible et sa transformation ultime : être considérer comme centre de services et non plus comme un centre de coûts, ce changement de paradigme entrainant bons nombres de profonds changements :

  • Le partenariat avec les métiers n’est plus une option
  • Changer de méthode de travail afin d’être plus agile, plus flexible, plus réactif est indispensable
  • Favoriser le « test & learn »
  • Mettre en avant les réussites de la DSI mais aussi ses échecs
  • Changer sa relation avec le reste de l’entreprise : ce sont aussi ses clients, qu’il doit entretenir, satisfaire, viser l’amélioration continue, faire vivre une expérience client tout en marketant et en faisant la promotion de ses services à forte valeur ajoutée
  • Innover pour servir, apporter de la valeur, répondre aux enjeux du « time to market » des métiers, doit être une motivation quotidienne et le leitmtov de ses équipes

 

Le risque à ne pas opérer cette transformation s’observe déjà dans de nombreuses entreprises ou les métiers sous traitent à l’extérieur tous les projets innovants, laissant s’éteindre les équipes de la DSI dans son legacy.

 

Pour redynamiser la DSI, il faut donc une profonde modification de son organisation, qu’elle anticipe les nouveaux besoins d’intégration en proposant une architecture qui répondra aux enjeux du développement d’apps et des nouveaux usages digitaux de type Business Apps utilisant le Big Data et les Data Analytics pour les métiers mais aussi le Cloud.

 

Dernier point mais non le moindre, la nécessité et la liberté pour la DSI de recruter et/ou de former ses équipes digitales à ces nouvelles technologies et usages : des Scrum Masters pour développer des projets en mode agile, des Cloud Managers pour gérer les hébergements, des Data Scientists pour analyser les données et en tirer des nouveaux modèles économiques, des designers (UX/UI – Expert Design Thinking) pour penser, créer et améliorer sans cesse l’expérience utilisateur interne comme externe.

 

La DSI « nouvelle génération » est une entreprise dans l’entreprise (pourquoi pas une startUp) qui sait explorer, industrialiser, mais aussi marketer et vendre ses produits et services. Elle sait parler technologie et métier et travaille en mode collaboratif.

 

Vous avez besoin d’être accompagné dans votre démarche Workplace ? N’hésitez pas à contacter gaelle.pommereau@saegus.com, nos consultants seront ravis de répondre à vos questions.

C’est lors d’un événement résolument technologique à la Société Générale que Saegus est intervenu pour apporter aux visiteurs son expertise en matière de digital et plus particulièrement de digital workplace. 

 

 

VOUS AVEZ DIT TECHWEEK ?

Événement désormais phare de la Société Générale, la deuxième édition de la Tech Week s’est déroulée du 3 au 5 juillet derniers à son technocentre des Dunes (Val de Fontenay) et à son siège de la Défense. Réalité virtuelle, création d’apps en un rien de temps, automatisation des processus grâce à l’intelligence artificielle : la Société Générale a vu se bousculer toutes les dernières tendances en matière de digital et d’innovation.

 

Principalement destiné aux collaborateurs Société Générale, cet événement a également accueilli des visiteurs externes. Entre démonstrations, conférences et ateliers, salariés, clients, candidats et partenaires ont ainsi pu découvrir et tester les solutions qui accompagneront la banque de demain.

 

 

 

AU MENU DE L’ÉDITION 2018

Cette édition 2018 a réuni plus de 10 000 visiteurs qui ont pu déambuler entre 60 stands, assister à près de 150 ateliers et à 9 conférences, tous réunis autour de six thématiques :

  • Innovation de rupture
  • Plateforme
  • Data centric
  • Cybersécurité
  • Espace de travail digital et Cloud
  • Nouveaux modèles opérationnels

 

Résolument centrée sur les métiers et les clients, l’ambition de cette nouvelle édition était de mettre en avant les applications concrètes de la technologie aux cas d’usage de la Banque. Les visiteurs ont ainsi pu découvrir différents projets du groupe dont les solutions permettent de répondre aux grandes problématiques bancaires du moment.

 

Parmi toutes ces innovations, on retient par exemple la solution apportée par l’équipe en charge de l’automatisation des processus au sein de la DSI groupe. Grâce à l’association du RPA (technologie d’automatisation des processus) et de l’ICR (capacité de reconnaissance d’écriture manuscrite), les importants volumes de données manuscrites pourront désormais être traités. Les résultats de l’expérimentation faite sur le traitement des formulaires d’auto-certification des clients pro sont très prometteurs. Cette innovation est d’un enjeu majeur pour la banque puisqu’elle permettrait de répondre à des problématiques financières et juridiques, tout en garantissant une qualité optimale.

 

 

SAEGUS ET LA TECHWEEK

Fort de son expertise en matière d’innovation digitale et d’adoption de nouveaux usages, Saegus accompagne la Société Générale depuis 2015 dans la mise en place d’une stratégie « Digital Workplace » optimale. C’est donc en toute logique que nous avons répondu présent lors de cet événement majeur du secteur numérique.

Nouvelles tendances en matière d’outils collaboratifs, possibilités de créer rapidement une app, productivity hubs, application des frameworks agiles aux équipes non IT… Toutes ces thématiques ont pu être évoquées lors d’ateliers, de démonstrations et de sessions de questions-réponses.

 

C’est sur un stand au cœur du Technocentre de la Société Générale que Saegus a pu partager aux collaborateurs les nouvelles tendances en matière d’outils collaboratifs et apporter son expertise sur le choix des solutions les plus adaptées aux cas d’usages de ses cibles. PowerApps, Teams, Foreseeds, Jive, autant d’outils que les collaborateurs ont pu directement toucher du doigt grâce à la mise en place de démonstrateurs concrets. Un bon moyen pour les visiteurs de se projeter dans le Digital Workplace de demain !

 

Saegus a également permis aux visiteurs de participer à un atelier disruptif avec l’outil Klaxoon, un outil qui vous permet de vivre vos réunions autrement ! Cet atelier donnait la possibilité aux collaborateurs de remonter leurs besoins de façon ludique et de mieux comprendre l’accompagnement dont ils peuvent bénéficier sur l’outil JIVE grâce à la collaboration entre Saegus et la Société Générale depuis déjà 3 ans.

 

 

Besoin d’être accompagné dans votre stratégie digital workplace ?


Ça y est, vous êtes prêts, vous avez trouvé la plateforme qui correspond à votre besoin, elle est installée, vous allez pouvoir déployer auprès de vos premiers utilisateurs pilotes. Dans les faits, cette démarche présente de nombreuses similitudes avec celle d’une startup ayant un produit prêt à être mis sur le marché auprès de ses premiers utilisateurs cibles, or comment une startup traite-t-elle ce genre de lancement ? Elle cherche à trouver le bon équilibre entre un produit qui soit bien sûr désirable, mais également faisable et viable.Pourquoi ces objectifs ne seraient-ils pas les mêmes dans le cadre du déploiement d’une plateforme Workplace ? 

Bâtir un produit désirable

Avoir une plateforme attractive pour les utilisateurs cela peut paraître évident, pourtant c’est souvent un axe qui demande à être optimisé. Vos utilisateurs (qui sont au final votre marché cible) ne sont pas obligés d’utiliser votre plateforme, voire ont même d’autres choix à disposition : un groupe WhatsApp, un Google Drive personnel, ce sont vos concurrents !

 

L’expérience que vous allez leur proposer doit être au moins 10 fois meilleure que celle qu’ils vivent actuellement pour qu’ils effectuent réellement une bascule vers votre produit — selon les propos de Ben Horowitz dans The hard thing about hard things

 

Ça c’est la théorie, mais dans la pratique comment bâtir cette expérience ?

 

Pour cela, il faut tout d’abord connaitre votre marché : allez à leur rencontre ! Collecter de la donnée qualitative sur vos utilisateurs (interviews, journées vis ma vie…) vous permettra de mieux comprendre leurs usages et problématiques. Coupler ces informations avec des données quantitatives (pyramide des âges, répartition géographique, taux de salariés en mobilité…) et vous pourrez bâtir les archétypes de vos utilisateurs cibles, les fameux personae.

 

Une fois que vous connaissez et avez priorisé vos utilisateurs cibles — quelle que soit la plateforme digitale workplace que vous souhaitez déployer — l’exercice consiste à :

  • Identifier les cas d’usages ayant la plus forte valeur ajoutée, et la manière de les réaliser sur votre plateforme.
  • Améliorer au maximum l’expérience autour de ces usages au sein de votre plateforme, souvent de manière itérative en prenant en compte les retours utilisateurs.

 

Vous vous adressez à des chefs de projets ? Comment fournir un cockpit de gestion de projet clé en main à ces utilisateurs ?
Votre problématique est la mobilité ? Quelles fonctionnalités clés voulez-vous rendre accessibles en mobilité de manière simple et intuitive ?

 

Un bon produit ne trouvera son marché qu’à la condition d’être hautement désirable, il ne subsistera durablement que s’il est également viable.

 

Un produit viable, vraiment ?

On associe généralement la notion de viabilité à celle de rentabilité économique, c’est en effet souvent le cas pour un produit ayant des clients externes à l’entreprise. La rentabilité économique n’est cependant qu’un des axes composant la viabilité long terme d’un produit (et elle est encore complexe à mesurer sur des projets workplace). Au sens large du terme un produit n’est viable que si la valeur générée par sa mise sur le marché (le marché étant ici l’ensemble des utilisateurs de l’entreprise étendue auquel il se destine) dépasse ses coûts à termes : quels bénéfices tire une organisation en mettant à disposition de ses salariés une plateforme digitale workplace ?

 

La priorité reste de gagner en efficacité opérationnelle : améliorer la productivité des salariés, réduire la time-to-market, fluidifier les process, favoriser l’intelligence collective…
Pour évaluer ces bénéfices une unité de mesure efficace est le temps homme gagné. Ce type d’indicateur est encore compliqué à obtenir à grande échelle, mais peut être mesuré sur des cas d’usages précis à forte valeur ajoutée. Chez un client que nous avons accompagné sur le déploiement de sa plateforme collaborative, nous avons par exemple mesuré le temps dédié au pilotage et à la synchronisation sur un programme annuel, avant et après le déploiement : celui-ci a diminué de plus de 50%, permettant aux PMO de se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée.

 

Un second axe — financier cette fois — peut permettre de mesurer la viabilité d’un projet digital workplace : en basculant l’équipe en charge du sujet d’un centre de coûts vers un centre de profit via le lancement d’une offre de service facturable. C’est également ce que nous avons réalisé pour l’un de nos clients au sein de sa DSI, et cela fera l’objet d’un article prochainement, à suivre !

 

Rendre votre produit digital workplace viable, c’est donc déjà être en mesure d’être clair sur les bénéfices que vous souhaitez en tirer, et sur la manière de les mesurer.

 

Et la faisabilité dans tout ça ?

Bien entendu les deux axes ci-dessus sont caduques si le produit n’est pas réalisable. La faisabilité regroupe ici à la fois la simplicité de conception et de déploiement : à quel point le produit cible est-il basé sur les fonctionnalités natives ? La mise à disposition de ce produit présente-t-elle des contraintes techniques fortes ? Sa prise en main par les utilisateurs va-t-elle nécessiter un accompagnement soutenu ?

 

Les plateformes digitales workplace adresseront généralement 80% de vos usages, ceux qui sont communs à toute structure d’une certaine taille. En revanche c’est la manière dont vous allez adresser les 20% d’usages restant qui va notamment vous permettre de faire de votre plateforme un véritable produit conçu pour ses utilisateurs cibles. Or c’est aussi dans ces 20% que réside généralement toute la complexité technique de votre projet car c’est là qu’interviennent les développements spécifiques.

 

Comment servir ces usages qui vous sont propres, tout en évitant de se noyer dans des cycles de développement trop complexes ?

 

La meilleure manière de concevoir des solutions techniquement réalisables est de constituer une véritable équipe produit, regroupant à la fois :

  • Toutes les expertises fonctionnelles et techniques nécessaires à la conception et au déploiement de ces solutions,
  • Un Product Owner porteur de la vision, de la connaissance des utilisateurs cibles et de leurs usages.

 

Cette équipe sera ainsi en mesure de concevoir des solutions à la fois désirables (grâce à la présence du Product Owner), mais aussi faisables et tirant partie au maximum du potentiel de votre plateforme.

 

Faire de votre Digital Workplace un produit désirable, viable et faisable c’est vous assurer d’apporter le maximum de valeur à vos utilisateurs, tout en construisant une démarche durable pour l’entreprise. Si la tâche peut sembler ardue, elle n’a jamais été aussi simple à réaliser pour la DSI : le marché des solutions est extrêmement dynamique et évolue très (trop ?) rapidement pour apporter toujours plus de valeurs à vos clients internes, vous avez donc à votre disposition tous les cartes nécessaires pour « ré-enchanter » le rapport du métier à ses outils IT.
Cette transformation dans la manière d’approcher le sujet du déploiement d’un Digital Workplace est aussi une opportunité forte pour les DSI : comme nous avons commencé à l’aborder plus haut, il est généralement pertinent de lancer en parallèle de votre Workplace une suite de services d’accompagnements ou de produits à la carte. Au delà du fait que cela permettre de faire de la DSI un nouveau centre de valeur (par opposition à un centre de coûts), c’est aussi l’occasion de passer plus de temps sur des sujets à forte valeur ajoutée métier et de redorer le blason de la DSI auprès de ses clients internes.

 

Si vous voulez en savoir plus là dessus, contactez gaelle.pommereau@saegus.com

 

Nous sommes fiers d’avoir la confiance de nos clients et enthousiastes de leur apporter notre aide, voici nos derniers “success unlocked” :

 

  • Mise en place d’un Lab Digital Workplace

Dans le cadre de son projet de transformation, un acteur majeur du secteur de l’énergie a confié à Saegus la mise en œuvre complète de son Lab Digital Workplace.

Ce Lab, s’appuyant sur des méthodes agiles en cycles courts, permet d’anticiper l’arrivée de nouvelles technologies et services en expérimentant les usages associés à travers démonstrateurs et MVP.

 

  • Accompagnement de la digitalisation du poste de travail d’Ingenico

Ingenico leader mondial des solutions de epayments, des terminaux de paiements, et de télétransmission des données de santé nous a sollicité pour notre expertise Office 365. Le projet consiste à déployer la plateforme collaborative de Microsoft à l’échelle du groupe en assurant une expérience utilisateur la plus fluide possible, et en détachant les usages du poste de travail Ingenico via la digitalisation.

 

  • Réalisation en mode agile d’une application RH

Après un cadrage utilisant notre outil de crowd thinking Foreseeds, Orange nous confie la réalisation du MVP d’une application RH en agile pour rapidement le tester auprès d’une première cible.

 

  • Accompagnement sur le programme Data et l’audit de la plateforme BI

Après une expérimentation Data autour de l’analyse de consommation des produits de la mutuelle, Unéo se lance dans l’audit et l’optimisation de leur plateforme BI avant de poursuivre sur un chantier d’évolution de leur SI pour aborder dans les meilleures conditions le Big Data.

 

  • Mise en place d’un Brand Center

Galeries Lafayette a décidé de mettre en place un DAM (Digital Asset Management) afin de centraliser et gérer les droits d’accès de l’ensemble des médias associés à la marque Galeries Lafayette. Saegus a donc coordonné l’ensemble des activités, notamment l’audit des besoins pour chaque entité, a défini la structure des données, et a piloté la relation avec l’éditeur.

 

  • Design thinking auprès de professionnels de santé

Une grande mutuelle française souhaite lancer un nouvel outil afin d’équiper des spécialistes professionnels de santé. Pour faciliter et accélérer la compréhension et la prise de décision, Saegus a mené des ateliers d’immersion afin de définir les besoins et frustrations des spécialistes, notamment en ce qui concerne leur outils digitaux actuels. Saegus a ensuite proposé des maquettes d’appli et a construit le dossier d’investissement.

 

Pour en savoir plus sur notre offre d’accompagnement ou pour une démo, n’hésitez pas à demander un rdv à gaelle.pommereau@saegus.com.

En décembre 2016, Microsoft faisait l’acquisition de Linkedin pour 26 milliards de dollars, en restant assez flou sur les impacts d’un tel rachat. 9 mois plus tard, le rachat commence à porter ses fruits via une première intégration entre Linkedin et Office365.

 

Les deux plateformes s’associent au sein d’une fonctionnalité appelée Profile Cards. Il sera possible d’importer son profil Linkedin dans Office365 -sur Outlook dans un premier temps- et ainsi d’avoir plus de contexte sur les collaborateurs, leur poste, parcours et compétences qu’il soit interne ou externe à l’entreprise.

Source: https://content.linkedin.com/content/dam/press/images/UPDATED-Current-Global-Membership_Q12016.jpg

 

 

Microsoft présente les avantages suivant à cette nouvelle intégration :

“You’ll have a quick and easy way to find more information about the people you work with, all without having to leave your workflow.”

Mais au delà de l’intégration Outlook prévue dès Octobre, la connexion sera progressivement déployée sur les autres briques de la suite Office365 et laisse présager une vraie nouvelle valeur ajoutée.

Enfin un vrai profil enrichi au service de la collaboration

Depuis une dizaine d’années, les outils associés au digital workplace accordent une importance croissante à l’utilisateur : ce n’est plus le contenu en soit qui prime, mais les interactions entre les personnes autour de celui-ci. Les outils sont passés d’une logique content centric à une logique people centric.

Les plateformes ont cherché à décloisonner le partage d’information et la collaboration dans les organisations : faciliter la rencontre au delà des silos traditionnels, réunir des équipes éloignées géographiquement ou dans l’organisation au sein de communautés projets ou d’expertises. Le pré-requis pour tout cela : un profil riche permettant à la fois aux utilisateurs de savoir avec qui ils travaillent, quel est leur background, quelles sont leurs expertises…

Si ces profils sont souvent alimentés avec l’annuaire de l’entreprise, ils sont rarement complètement remplis par les utilisateurs (on a souvent constaté des taux de remplissage inférieurs à 10% chez nos clients). Et c’est précisément ce problème que vient de résoudre Microsoft en intégrant Linkedin à sa suite Office 365.

Tout le monde n’a certes pas de compte Linkedin, mais :

  • On compte 11 millions de compte en France, soit 39% de la population active,

  • L’engagement y est important (53% des utilisateurs s’y connectent au moins une fois par semaine). Il y a donc fort à parier que les profils sont bien plus à jour sur Linkedin que en “interne”, et pour cause, c’est notre vitrine sur le marché de l’emploi.

Microsoft résout donc (presque) le problème du profil enrichi vide, pré-requis essentiel pour une organisation réellement agile & collaborative. Mais au-delà du simple remplissage de la fiche profil, deux autres éléments de la roadmap Microsoft ont attiré notre attention :

  • Les données Linkedin sont disponibles sur les API Microsoft Graph, cela devrait permettre prochainement d’utiliser ces datas au sein d’applications tierces. On peut imaginer par exemple retrouver demain ces données dans différentes applications métiers, ou la création de services divers. L’application de rencontre intra entreprise Never Eat Alone pourrait par exemple être plus intelligente grâce à ces informations.

  • Bing for Business aujourd’hui en preview privée sera prochainement disponible, il devrait permettre une recherche unifiée sur toutes les briques Office 365, avec la couche d’intelligence de l’algorithme Bing. C’est un point essentiel pour l’exploitation du potentiel de cette intégration Linkedin : c’est grâce à cette sur-couche d’intelligence que le collaborateur sera demain en mesure de rencontrer la bonne personne, au bon moment pour que l’organisation exécute et solutionne ses problèmes toujours plus rapidement.

Si vous souhaitez venir discuter de Digital Workplace, tester les usages de demain au sein de notre Lab ou échanger autour d’Office 365, n’hésitez pas à contacter gaelle.pommereau@saegus.com.

Pierre