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Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

#1

Google Voice, l’innovation de G Suite pour le SMB Market 

Google se prépare à lancer son service de téléphonie cloud pour les entreprises dans 9 pays. Le service cible les entreprises avec des besoins de téléphonie simples ; préférablement celles qui utilisent déjà Hangouts Meets et Hangouts Chats.

Google teste Google Voice depuis juillet 2018 aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en France, en Espagne, au Portugal, en Suède, au Danemark et en Suisse ; avec l’objectif d’offrir des services de voix plus avancés que ceux qu’ils offrent gratuitement depuis 2009.

Voici quelques fonctionnalités de Google Voice : identification d’un appel entrant, transfert d’appel, filtrage d’appel, ne pas déranger, appel d’urgence, appel Wi-Fi, détection de spam, blocage des appels et salutations personnalisées. En outre, les administrateurs d’IT pourront gérer les utilisateurs et leurs numéros, créer un historique des appels et des rapports d’usage. Mais Google n’a pas encore confirmé lesquelles de ces fonctionnalités seront disponibles lors du lancement du service ce printemps.

 

#2

Les nouveautés de Microsoft 365

Il semblerait que la sécurité soit un des focus pour Microsoft, la société a créé Microsoft Threat Experts, un service qui permet de rechercher et de hiérarchiser de manière proactive les menaces pour maximiser l’usage de Windows Defender Advanced Threat Protection (ATP).

La firme a aussi enrichi les possibilités de configuration d’Exchange Online Protection, d’O365 Protection Avancée contre les menaces, d’O365 Chiffrement de Messages et des Politiques Data Loss Prevention sur FastTrack. De plus, Microsoft a donné la possibilité aux utilisateurs d’afficher l’activité de leur compte personnel quand ils reçoivent une notification push sur Microsoft Authenticator. Cela leur permettra de prendre des mesures pour le protéger, si nécessaire. Microsoft Authenticator peut également être utilisé pour ajouter une vérification en deux étapes au compte pour une sécurité accrue. De quoi permettre aux équipes de collaborer sereinement sur leur lieu de travail ou à distance.

 

 

#3

Intégration de Jive et GoToMeeting

LogMeIn, l’entreprise propriétaire de GoToMeeting qui a acquis Jive en 2017, a annoncé qu’en 2019 sa solution intégrera les deux plateformes. Cela fait suite à la vente de 80 000 licences des plateformes Jive et GoToMeeting à un prix groupé sur le second semestre de 2018.

Divers analystes plébiscitent cette décision stratégique qui devrait permettre à l’entreprise LogMeIn de rester compétitive, notamment après avoir perdu des parts de marché face à son concurrent, Zoom, à cause de l’absence d’intégration entre les plateformes du groupe (GoToWebinar, OpenVoice et Join.me).

 

 

#4

Microsoft améliore l’accès à ses applications

Microsoft a créé une nouvelle Office app pour Windows 10 qui intègre toutes les applications, documents et personnes de votre organisation au même endroit, avec l’objectif de faciliter l’accès aux informations.

L’idée est de faire évoluer les offres de Microsoft pour qu’elles soient de plus en plus ergonomiques : Les utilisateurs peuvent désormais ajouter des données à un tableur depuis une photo prise sur le moment avec un dispositif Android. Mais ce n’est pas tout, Microsoft To-Do s’est vu ajouter la fonctionnalité d’ajouter des photos et des documents à chaque To-Do pour mieux gérer les tâches.

On a hâte de tester toutes les nouvelles fonctionnalités pour vous faire nos retours !

 

 

 

#5

Nouveau framework UI pour améliorer les intégrations de Slack

Les utilisateurs de Slack peuvent s’attendre à des changements importants dans l’apparence de nombreuses applications tierces, à la suite de l’annonce sur le nouveau developer toolkit : Block Kit. Celui-ci facilitera la création des intégrations pour les designers. Cela veut dire qu’à l’avenir Slack offrira des intégrations plus interactives qui donneront la possibilité aux utilisateurs d’avoir plus de fonctionnalités sans changer d’application.

Cette actualité montre que Slack continue à mettre en avant les intégrations comme facteur de différenciation sur le marché de la collaboration en équipe.

Ses concurrents, Microsoft Teams et Cisco Webex, offrent beaucoup moins d’applications tierces que Slack et 94% des équipes qui utilisent la version payante de Slack utilisent ces applications.

La cerise sur le gâteau ? Ce nouveau framework d’intégration pourrait permettre aux utilisateurs de Slack sans expertise en code de modifier leur intégration.

 

#6

Les robots arrivent pour nous remplacer

Amelia travaille dans le help-desk online et téléphonique de plusieurs entreprises autour du monde, elle peut mémoriser un document de 300 pages en 30 secondes, elle parle couramment plus de 20 langues et elle peut gérer plusieurs appels simultanément.

Amelia, créé par IPsoft, est un robot en col-blanc qui peut interagir avec les clients des entreprises par téléphone, comme un chatbot ou comme un avatar tridimensionnel dans les smartphones, tout en connaissant l’historique du contact de chaque client.

Pour Allstate, une société d’assurances ayant plusieurs millions de clients, Amelia a réduit la durée moyenne des appels de 4.6 à 4.2 minutes, augmenté de 67% à 75% le taux de résolution des problèmes au premier appel. Finalement, 99% des collaborateurs de chez Allstate ont déclaré être complètement satisfaits avec leurs interactions avec Amelia.

Les « travailleurs » comme Amelia vont diminuer les couts du Workplace, pas seulement pour les fonctions opérationnels ou techniques, mais aussi pour les services clients grâce au développement du « Machine Learning », une forme d’Intelligence Artificielle dotée de compétences de lecture, d’écriture, d’expression orale, et d’auto-apprentissage qui se modifient et s’ajustent au fil du temps, en capitalisant sur chaque interaction.

Serez-vous bientôt remplacé par un collègue d’Amelia au travail ?

 

#7

La France, un marché clé pour Microsoft et leader en IA

A l’occasion de Microsoft Business Forward, événement clients mettant en lumière la transformation digitale des entreprises, Microsoft a annoncé que son Campus en France a été choisi pour accueillir un Centre de développement dédié à l’Intelligence Artificielle.

Ce centre proposera des solutions et des outils d’IA facilement accessibles pour ses clients et ses partenaires dans le monde entier pour accompagner les entreprises dans leur transformation digitale, et dans leur quête d’efficacité et de productivité. Ainsi, la France s’affirme plus que jamais comme une nation de l’Intelligence Artificielle et représente, dans ce cadre, un marché clé pour Microsoft.

 

 

N’hésitez pas à nous contacter, nos experts en solutions digital workplace seront là pour vous accompagner !

Et vous pouvez également télécharger nos insights workplace !

 


Sur les trois dernières années, l’inquiétude ou la défiance des Français vis-àvis de l’IA semble croissante. Et pourtant dans ce laps de temps, que s’est-il passé ? L’impact de l’IA sur la destruction d’emploi n’est pas une réalité, au contraire.

 

L’IA, soutenue à l’échelle mondiale par de forts investissements de recherche, est plutôt génératrice d’opportunités pour les ingénieurs bien sûr, mais également pour la plupart des entreprises qui y voient un moyen efficace de rendre plus performante leur offre de service ou d’en créer de nouveaux.

 

Cependant, la forte communication dans les médias, l’arrivée d’innovations « grand public » dans lesquelles la machine remplace l’humain (voiture autonome, diagnostics, détection de fraude, surveillance des cultures par drone…) renforcent ce sentiment de vulnérabilité.

 

En effet, les progrès de la technologie, sa démocratisation et ses coûts mesurés participent à un essor rapide qui dépasse les simples recommandations marketing initiales, et permet à l’IA d’intégrer un nouveau terrain de jeu : les fonctions internes de l’entreprise.

 

Bien que le sondage indique que les Français croient peu à l’influence de l’IA sur la collaboration ou le recrutement, c’est pourtant bien là que la transformation la plus rapide pourrait s’opérer (et toucher le quotidien des employés).

 

Sans que l’on soit forcément au courant, une multitude de micro-services basés sur de l’IA sont ou seront à très court terme intégrés dans les fonctions régaliennes (prévisions financières, budget, supply chain, recrutement, constitution d’équipes « compatibles », gestion de carrière, aide à la vente, suivi d’agendas, automatisation de tâches administratives, octroi de crédits….). Dès lors, la véritable question qui se pose n’est plus de savoir quelle place donner à l’IA, mais quelle complémentarité octroyer à l’humain et surtout, comment intégrer des garde-fous permettant d’avoir confiance en l’IA …. au quotidien.

 

Découvrez l’analyse complète au travers de notre étude réalisée conjointement avec Odoxa Sondages.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business en replay.


L’intelligence artificielle peut contribuer formidablement aux enjeux socio-économiques, environnementaux, politiques, culturels,… de notre ère. Cependant, il est indispensable d’accompagner ce changement de paradigme sans angélisme et avec lucidité, en soulevant la question de l’éthique concernant ces nouvelles technologies. Comme disait Rabelais :

“Science sans Conscience, n’est que ruine de l’âme.”

Les aspects éthiques du “Deep Learning” se situent à deux niveaux : une bonne compréhension des limites de cette technologie pour en rester maître, et une utilisation au service du bien commun – autrement dit ne pas en faire mauvais usage. Ces deux idées sont présentées et discutées ci-dessous.

#1 Les limites du Deep Learning

Les algorithmes de deep learning, bien que très performants dans l’ensemble, sont tout comme les humains sensibles à différents biais. Or ces biais non-intentionnels peuvent être perçus très négativement par les humains, surtout s’ils entretiennent des inégalités, des souffrances, et entraînent la machine à commettre des erreurs aux conséquences possiblement dramatiques.

Un exemple regrettable a beaucoup choqué lorsque l’algorithme de classification d’images de Google Photos a confondu des humains avec des animaux (voir photo ci-dessous, dont la nature outrageante interdit tout silence). De tels biais pourraient être d’autant plus dommageables s’ils s’insinuaient par exemple dans des décisions de justice, d’octroi de prêt, de santé ou de carrière. Identifier ces biais, et plus encore les corriger, n’est pas chose aisée, puisque cela impose de comprendre comment fonctionne l’algorithme. Cela introduit une deuxième limite du deep learning discutée par la suite : l’explicabilité.

Alors que certains algorithmes d’apprentissage machine (Machine Learning) sont facilement interprétables (régression linéaire, arbre de décision), les mécanismes d’encodage et de traitement de l’information employés par le deep learning sont très difficiles à comprendre. À cet égard, ces derniers sont d’ailleurs qualifiés de « boîte noire ».

L’enjeu est crucial car il n’est pas convenable de laisser les machines prendre des décisions importantes sans comprendre les raisons qui justifient le choix, telles que : faut-il débrancher un patient végétatif, faut-il geler tous les avoirs d’un citoyen identifié à tort ou à raison comme suspect, faut-il empêcher tel étudiant d’avoir accès à tel cursus, etc. ? Il est impérieux de mieux comprendre le fonctionnement des modèles du deep learning pour les intégrer aux processus de décisions humaines. Différentes méthodologies ont été développées afin d’expliquer l’algorithme dans son ensemble ainsi que sur chaque prise de décision, et ce même pour des modèles de deep learning.

Une autre limite du deep learning touche aux limites de l’éthique humaine, lorsqu’un choix se présente sans issues favorables. Comment prendre une décision lorsqu’aucune alternative ne paraît bonne ou lorsqu’elles ne sont pas comparables ?

Cette question a été illustrée par le dilemme du tramway, où schématiquement l’opérateur doit choisir à qui il doit accidentellement ôter la vie, aucune alternative d’itinéraire immédiat ne pouvant éviter une collision avec des passants (voir illustration ci-dessus).

Dans le cas du deep learning, et notamment de la conduite autonome de véhicule, l’opérateur est une machine. Cette machine suppose un algorithme de prise de décisions. Or, dans ce cas, il est très délicat d’expliciter une politique de choix, à la fois d’un point de vue technique – il faudrait couvrir exhaustivement toutes les situations et leurs choix associés –, et d’un point de vue éthique – par exemple aussi horrible qu’est cette question sans bonne réponse : « comment choisir entre l’alternative d’écraser une femme enceinte ou un groupe de 5 retraités ? ». Cette double difficulté n’a pas encore été solutionnée.

#2 Du mauvais usage de l’Intelligence Artificielle

Les nouveaux outils de l’IA permettent de grands progrès dans de nombreux secteurs mais apportent également leurs lots de questionnements concernant leur bon usage. Certains penseurs renommés comme Stephen Hawking, voient en l’intelligence artificielle une invention à la fois brillante et menaçante. Selon eux, l’intelligence artificielle pourrait remplacer à terme l’homme du fait de sa puissance en constante amélioration, surpassant déjà l’homme sur de nombreuses tâches (des jeux de stratégie à la conduite automobile en passant par le diagnostic médical).

Sans en venir à d’apocalyptiques scénarios, des utilisations de l’IA peuvent se révéler dégradantes, malveillantes et nocives pour les individus. Par exemple, les GANs ont été utilisés pour substituer aux visages et aux voix d’actrices de films pour adultes des visages et des voix de célébrités. Selon l’une d’entre elle, la bataille contre ces détournements est déjà perdue. Au-delà de l’intégrité des personnes, c’est l’intégrité des faits qui est mise à mal par ces possibles usages. En effet, pouvoir faire dire faussement via cette technologie (DeepFake) n’importe quoi à n’importe qui avec un très grand réalisme pourrait se révéler très dangereux, a fortiori dans une actualité où les relations géopolitiques sont particulièrement tendues. C’est d’autant plus vrai que ces technologies sont accessibles à tous, par exemple via l’application FakeApp.

Pour prévenir ces mauvais usages et combattre les « fake news », il est prioritaire de développer un cadre garantissant la véracité des contenus. La blockchain aurait-elle un rôle à jouer ?

Au niveau étatique, il est observé une multiplication des tentatives d’employer ces nouvelles technologies à des fins militaires (dont l’encapsulation d’IA dans des robots soldats, voir photo ci-dessus) ou à des fins de contrôle des populations (par exemple reconnaissance et suivi des piétons grâce au deep learning appliqué aux caméras de vidéo-surveillance en Chine, voir photo ci-dessous).

Ces démarches soulèvent des inquiétudes voire des levées de boucliers. Les employés de Google ont par deux fois manifesté leur désaccord concernant l’engagement de leur firme dans ce type de projet : en premier lieu le projet Maven entre le Pentagone et Google impliquant du deep learning pour améliorer l’identification des cibles de drones ; en second lieu, le projet DragonFly pour le compte de la Chine afin de développer un moteur de recherche conforme aux positionnements des censeurs. Dans ces deux cas, les protestations internes ont mené à l’annulation de la participation de Google.

Ces mobilisations internes contre des engagements militaro-industriels s’observent identiquement chez les autres géants du numérique, comme Amazon et Microsoft. Le monde académique réagit également avec plus de 3000 chercheurs en IA et en robotique ayant signé une lettre ouverte demandant l’interdiction des armes offensives autonomes.

Cependant, certains pays s’y sont opposés, et le débat reste entier. Concernant la surveillance des individus et ses possibles dérives, des initiatives sont prises par certains états pour garantir la protection des données des citoyens, comme en Europe avec la RGPD.

Ainsi, même si ces réactions de la part des employés ou au niveau de la gouvernance sont des signaux de confiance quant à la conscience collective nécessaire, la vigilance demeure indispensable. La communauté de la data a de grandes responsabilités et chacun de ses membres devrait faire preuve d’une grande prudence sur les limites de leurs outils et l’usage de leurs réalisations. À cet égard, les intéressés ont la possibilité de signer l’équivalent du serment d’Hippocrate pour la Data. De mon côté, c’est chose faite. Et vous ?

Rédigé par Clément Moutard, Consultant Data Driven Business.

Thanks to Eliot Moll.

Notes
[1] Source
[2] Source
[3] Source

Ces derniers jours, différentes réalisations de deep learning (apprentissage profond) ont été massivement relayées sur les réseaux sociaux. Vous avez peut-être découvert notamment des algorithmes permettant de générer des visages et des annonces de location de logement entre particuliers n’ayant jamais existé. Ces applications reposent sur une technologie toute récente – 2014 –, dénommée Generative Adversarial Network (GAN). Comme tout modèle de Deep Learning, elle exploite en empilement de nombreuses couches de neurones artificiels (d’où les termes « deep »/« profond »), qui permet l’extraction et la manipulation de représentations complexes issues de modalités variées (images, sons, données numériques, etc.). La particularité de cette technologie est sa capacité à générer des exemplaires fictifs d’une classe d’éléments : en quelque sorte, la machine se dote d’une imagination.

Saegus n’a pas attendu ces buzz pour développer une expertise sur ce sujet novateur garantissant de nombreux leviers de croissance. Ce dossier vise à présenter notre vision sur cette nouvelle technologie, notamment en l’inscrivant dans son contexte et en la comparant aux modèles discriminants (et non-génératifs) qui l’ont précédée dans un premier article. Nous présentons dans un second article plus en détails le fonctionnement des GANs ainsi que certaines de nos réalisations. Pour finir, un troisième article prend du recul sur ces innovations pour considérer les portées éthiques cruciales de ces changements de paradigme. Si vous voulez savoir à quoi ressembleront vos enfants, ou comment vieillira votre peau, nous vous invitons à plonger dans l’univers passionnant du deep learning et des GANs.

 

Téléchargez notre dossier pour découvrir l’intégralité de l’étude !

 


 
 

Découvrez l’intégralité des expertises de nos experts Data sur médium !

Que se passe-t-il chez Saegus ? En voici un aperçu :

 

  • Saegus sera présent au salon du Big Data Paris 2019 aux côtés de Dataiku

Les 11 & 12 mars prochains, nous serons présents au Salon du Big Data Paris 2019, aux côtés de notre partenaire Dataiku. Nous travaillons avec Dataiku de façon stratégique sur la définition des besoins de nos clients, leurs priorités, leurs uses cases ainsi que les recommandations d’architecture.

Nous vous attendons sur le stand afin de vous présenter des cas pratiques, démonstrations, retours clients, témoignages partenaires… La scène du stand sera animée pendant les 2 jours !

Vous pouvez dès à présent prendre rendez-vous avec nos experts data !

 

 

 

  • Vous pouvez maintenant retrouver les articles Data de Saegus sur Médium

Nous venons tout juste d’ouvrir notre page Medium pour y partager des articles techniques sur l’univers Data. Notre équipe a souhaité partager plus largement ses points de vue et proposer un lieu d’échanges pour tous les experts et curieux de notre environnement data et des découvertes que nous faisons.  Nous vous invitions à retrouver le premier article de Nicolas Risi, Consultant Data Driven chez Saegus, qui nous parle du DataOps.

 

 

  • Retour sur le premier rendez-vous du Club Digital Workplace… et lumière sur le prochain !

Le Digital Workplace Lounge est le club pensé par Saegus pour ses clients. Ce temps fort rassemble les acteurs du Workplace et permet les échanges autour des problématiques qu’ils rencontrent. Saegus se place comme catalyseur et organise ces réunions trimestrielles.

Pour le second rendez-vous qui se tiendra le 21 mars prochain, nous proposerons de débattre autour des retours d’expériences et des tendances partagés lors de la « Rencontre Internationale Digital Workplace, Intranet, RSE » de novembre dernier, à laquelle Saegus s’est associé. Nous aborderons les thématiques liées aux enjeux que nos clients nous ont communiquées lors de la 1ère réunion :

  • Comment s’inspirer des meilleures pratiques produit pour booster l’adoption de votre dispositif Digital Workplace. avec un retour d’expérience de Technip proposée par un des membres du Workplace Lounge : Bertrand LANGLOIS
  • Les managers, acteurs de la transformation digitale – Engager sur la durée les managers dans les nouvelles pratiques collaboratives
  • La notion de « Hub Social-Collab », comment urbaniser entre Intranets, outils métier, RH, espaces collaboratifs, social groups, relations externes (partenaires, clients, …) sans discontinuité (desktop, mobile, etc.)
  • La place de l’IA dans le Digital Workplace – Les plateformes de demain

 

 

 

  • Le 23 février dernier, Sébastien Mazin-Pompidou, notre Directeur du Développement, était sur le plateau de BFM Business pour aborder les innovations dans les RH

Nombre de dispositions ont été prises pour assurer un passage (presque) indolore au prélèvement à la source. Les entreprises et notamment les départements des Ressources Humaines ont dû faire face à de nombreuses évolutions et ont donc dû innover. Notre Directeur du Développement explique que les politiques RH s’adaptent de plus en plus aux changements que rencontrent les organisations, elles utilisent notamment de plus en plus les outils numériques pour suivre et communiquer avec leurs salariés.

Pour en savoir plus, vous pouvez télécharger l’étude menée avec notre partenaire Odoxa ou relire l’article complet.

 

 

 

  • Saegus était invité à la Digital University de Microsoft

Dans le cadre de la Digital University de Microsoft, l’un de ses plus grands évènements, Marc notre CEO, Cédric Manager Digital Workplace chez Saegus et Sébastien Directeur du Développement, ont présenté notre plateforme de crowd thinking Foreseeds.

Nous étions particulièrement honorés de pouvoir assister à cet évènement, de partager notre vision avec notre auditoire constitué des principaux interlocuteurs Microsoft.

 

 

 

  • Notre Directeur de la Factory, Yvan Forestier, était présent sur le plateau de 01 Business Forum l’Hebdo, à son tour 

Le progrès ne s’arrête pas, c’est ce qu’a pu nous confirmer le CES qui s’est déroulé à Las Vegas du 8 au 11 janvier. Il est devenu le salon de prédiction des nouveaux usages en lieu et place d’une institution technologique. Yvan, Directeur de la Factory chez Saegus, explique sur le plateau qu’à l’heure à laquelle l’expérience utilisateur est au coeur des métiers, les entreprises ne cessent d’innover dans le digital. L’innovation dans les entreprises fait également émerger de nouvelles méthodes de travail comme le Design Thinking. Il conclut en expliquant que les entreprises devront accompagner leurs collaborateurs dans la maitrise des usages actuels et à venir si elles souhaitent rester désirables…

Nous vous invitons à télécharger l’étude réalisée en collaboration avec notre partenaire Odoxa et de relire l’article complet pour en savoir davantage.

 

 

 

  • La Saegus Academy a fait son retour pour la 4ème édition !

Pour la quatrième année consécutive, une douzaine de Saegusiens a participé à la Saegus Aademy afin d’en apprendre davantage sur les techniques de base du conseil et s’acculturer aux nouvelles méthodes. Utilisation d’outils, prise de parole en public, jeux de rôle, voici quelques exemples de sujets abordés pendant ces 3 journées de formation qui nous permettent de garantir un bon niveau d’excellence du métier de consultants. Tous nos collaborateurs sont invités à y participer qu’ils soient consultants, designers ou développeurs. L’académie est dédiée à l’ensemble des Saegusiens. Ce programme leur permet de développer ou de renforcer les compétences de base de notre travail ainsi que l’état d’esprit Saegus. Nous vous proposons de découvrir cet article afin d’en savoir plus sur la façon dont nous montons en compétences nos collaborateurs.

 

 

 

  • Les cours de Design Thinking à l’ECE… C’est fini, mais voici les pitchs !

Nos experts consultants membres de la Saegus Institute, notre centre de formation certifié, sont intervenus pour dispenser des cours de Design Thinking aux étudiants suivant une option OA Design.

Ateliers, cas pratiques et projections concrètes au coeur des projets menés par les étudiants se sont tenus pendant le 2ème semestre 2018 pour former les futurs ingénieurs aux approches Design Thinking et à l’UX en général.

Après un cours de 3 mois sur le Design Thinking, nous avons été ravis d’accueillir les étudiants de l’ECE Paris dans les locaux de Saegus afin qu’ils puissent pitcher leurs projets devant un jury de professionnels. Nous sommes fiers de les avoir vus utiliser les connaissances acquises en classe pour donner vie à leurs idées. Vous pouvez retrouver les 3 grands enseignements que retiendront nos experts formateurs de leur passage à l’ECE.

 

 

  • Le 17 décembre, Sébastien Mazin-Pompidou, Directeur du Développement chez Saegus, est revenu sur le plateau afin de parler de l’éthique dans l’Intelligence Artificielle.

L’intelligence artificielle est au coeur de toutes polémiques et préoccupations depuis plusieurs mois. Elle intrigue autant qu’elle inquiète… Sébastien nous rappelle que l’IA n’est pas un nouveau sujet, mais qu’elle était déjà évoquée depuis les années 50. Il nous met plutôt en garde contre l’usage de l’IA qui pourrait être mise au service de secteur comme celui de l’armement, la question de l’éthique pouvant être posée. Pour finir, Sébastien nous explique que l’IA révolutionnera nos modes de vie et qu’elle aura le même impact sur notre économie qu’internet ou encore dans l’automobile.

Vaste sujet que nous vous proposant de découvrir en détail dans l’étude qui a été réalisée pour l’occasion. Télécharger l’étude ou relire l’article complet.

 

 

 

  • Saegus était partenaire des Rencontres Internationales Digital Workplace des 27 & 28 novembre derniers

Nous étions présents à la 17ème édition qui s’est tenue aux salons Hoche en compagnie d’un panel d’intervenants Président, DSI, Dircom et responsables de projets Intranet et Digital Workplace.

Marc Trilling, Responsable des activités Digital Workplace, est intervenu le mercredi 28 novembre aux côtés de notre client Bertrand Langlois, Directeur de la Transformation Digitale chez Technip, pour expliquer quelles sont les meilleures pratiques du marketing produit permettant de booster l’adoption de dispositifs Digital Workplace. Nous avons également évoqué la façon d’appréhender le marché, de sensibiliser et engager les cibles et de promouvoir les meilleurs produits et services Digital Workplace.

Dans cette continuité, les 19, 20 et 21 mars prochains, nous serons présents au salon Intranet et RSE afin de relayer cet évènement et consolider une vision marché du collaboratif autour des usages.
En tant qu’équipe Digital Workplace la plus importante du secteur, Saegus a trouvé bon d’intervenir avec quelques consultants de l’équipe Workplace pour interviewer l’ensemble des acteurs présents. Le salon étant un rendez-vous côté de la sphère des éditeurs de logiciel, ce sera l’occasion pour nous de vous livrer un aperçu global de leur vision couplée à la nôtre. Nous serons heureux de vous la présenter en vidéo prochainement.
  • Saegus lance les soirées de recrutement Taek Your Job 

Dans le cadre de notre nouvelle campagne de recrutement qui concernait tous nos départements : Digital Workplace, Data Driven Business, Acceleration Tactics et Factory, nous recherchions de nouveaux talents, motivés à l’idée de rejoindre une structure alliant l’excellence au fun, valeurs chères à Saegus.

Le jeudi 29 novembre, avait lieu la première session de Taek Your Job, la soirée de recrutement by Saegus. Le principe est simple, les candidats participent à la soirée et repartent le soir même avec leur proposition d’embauche.

Cet évènement fut un succès, l’opération a été renouvelée le 9 février dernier et de nouveaux talents ont pu nous rejoindre. Ils sont d’ores et déjà formés à nos techniques pour assurer le meilleur niveau e qualité à nos clients.

N’hésitez pas à découvrir le concept en lisant notre article qui le présente.

 

 

 

  • Le 19 novembre dernier, Sébastien Mazin-Pompidou, Directeur du Développement, était déjà sur le plateau de 01 Business Forum l’Hebdo afin de nous parler de smart mobility

Aujourd’hui les modes de déplacement ne cessent d’évoluer et de se démocratiser, comme nous le prouve l’augmentation d’utilisateurs de voiture électriques et de trottinettes présentent sur tous les trottoirs parisiens. Ici Sébastien Mazin-Pompidou expose aux autres intervenants que si ces usages se développent à Paris de façon virale, il est intéressant de noter que derrière ces nouveaux acteurs se cachent en réalité de grosse tech maîtrisant parfaitement le digital business et l’agilité nécessaire pour faire des petites innovation de véritables sucess stories.

Vous pouvez télécharger l’étude faite avec notre partenaire Odoxa ou relire l’article complet.

 

 

 

               Parmi l’ensemble de ce qui fait l’actualité de notre cabinet, il y a aussi une démarche sociale qui nous tient à coeur et qui jalonne nos actions tout au long de l’année.

Notre priorité de demain est bien de continuer notre développement et de suivre cette croissance que nous sommes heureux de vivre. Mais cela fait sens dès lors que les femmes et les hommes demeurent au centre de nos préoccupations. Chez Saegus nous portons une grande attention à ce que nos projets tendent aussi à l’amélioration du « vivre mieux » ensemble et individuellement.

Aussi nous soutenons les démarches de nos collaborateurs et en lançons beaucoup au nom du groupe Saegus.

Nous vous en livrons quelques exemples plus bas avec le soutien que nous apportons au « 4L R’aide », l’association qui intervient dans le cadre d’aide humanitaire. Bientôt nous aiderons aussi la recherche contre le cancer pédiatrique…

 

  • Saegus s’engage pour le 4L Trophy

Nous vous l’annoncions il y’a quelques mois, Saegus a souhaité soutenir l’association  “4L R’Aide” dont le projet est de concourir pendant le 4L Trophy du mois de février au mois de mars, une course reliant Paris à Marrakech. Ce raid a pour but d’aider les pays défavorisés en leur apportant des fournitures scolaires et en permettant l’ouverture de salles de classe (grâce notamment aux dons fait en début de course par les Trophystes).

Après les avoir accompagnés dans l’achat des pièces, dans les réparations de la 4L, le grand jour est arrivé et l’ensemble de l’équipe de Saegus leur souhaite bonne chance dans cette belle aventure.

Dès leur retour, nous recevrons l’équipage afin qu’ils puissent nous partager leurs expériences et nous vous en donnerons des nouvelles.

 

 

 

  • Saegus participera à la course d’enfants sans cancer pour participer à la recherche contre le cancer pédiatrique :

Le 24 mai, les Saegusiens soutiendront l’association Imagine for Margo en participant à une course solidaire. Cette course a pour but de collecter des dons qui serviront à financer des programmes de recherche pour mieux comprendre et mieux soigner les cancers des enfants. Ouverte à tous, cette course a été créée pour mobiliser les entreprises et écoles des alentours du quartier d’affaires parisien afin de faire avancer encore plus vite la recherche contre le cancer. Vous pourrez donc nous retrouver sur le parvis de La défense le 24 mai prochain.

 

 

 

A bientôt pour une prochaines news !

 

Nous sommes fiers d’avoir la confiance de nos clients et enthousiastes de leur apporter notre aide, voici nos derniers « success unlocked » :

 

  • Agilisation d’une équipe RH pour un acteur des télécommunications 

Dans l’objectif de mieux gérer ses changements de priorité et d’améliorer la productivité des équipes, un acteur majeur du secteur des télécommunications a confié à Saegus la mise en place d’un dispositif agile pour son équipe RH. Ce client a renouvelé, en début d’année, sa confiance en Saegus afin de renforcer les connaissances de ses ambassadeurs agiles et permettre ainsi d’insuffler ces nouvelles pratiques à l’ensemble du groupe.

#Acceleration Tactics

 

  • Aide à la décision locale au Sénégal pour une Fondation

Suite à des résultats mitigés des projets de lutte contre la mortalité maternelle et néonatale, une fondation a fait appel à Saegus pour concevoir et tester une approche innovante de compréhension des expériences locales pour prioriser des projets à forte valeur ajoutée. S’appuyant sur leurs expertises Design Thinking et Agile, l’équipe d’experts Saegus est retournée sur le terrain pour enrichir les premiers éléments créés suite à une phase d’immersion dans la région de Saint-Louis au Sénégal et co-créer avec une grande diversité d’acteurs, des projets qui partent des réalités locales et sont portés par les experts agissant déjà sur le terrain.

#Acceleration Tactics

 

  • Audit des usages des collaborateurs pour la DSI d’une institution financière

Dans le cadre de sa réflexion sur les outils proposés aux collaborateurs, la DSI d’une institution financière a décidé de missionner Saegus pour auditer les différents besoins des collaborateurs en terme d’usages. Cette DSI souhaite se transformer afin d’être User Centric en s’outillant des solutions en adéquation avec les besoins des utilisateurs finaux.

#Digital Workplace

 

  • Formation support IT et administrateurs O365 pour Sogeprom

Suite au déploiement de la suite Office 365 à l’occasion de l’ouverture d’un nouveau siège, la filiale immobilière de la Société Générale a confié à Saegus les formations des administrateurs et du support IT aux fonctionnalités d’O365 et à l’administration de la plateforme.

#Digital Workplace

 

  • Déploiement de l’outil de Data Visualisation Tableau Software pour Bolloré 

Bolloré T&L a fait le choix de Tableau pour harmoniser le reporting de son activité logistique. Saegus a été choisi pour assurer le développement, à la vue des enjeux et contraintes métiers du Groupe.

#Data Driven Business

 

  • Accompagnement sur Tableau Software pour le département Digital de L’Oréal 

L’équipe L’Oréal « Precision advertising & digital analytics » souhaite développer ses compétences autour de l’outil Tableau Software afin d’effectuer des analyses plus poussées dans leur domaine.

Pour ce faire, elle a fait le choix d’installer Tableau Server afin de se doter d’une architecture robuste et adaptée à l’ensemble de leurs cas d’usages. Les analyses seront ainsi partagées à travers le groupe.

Saegus accompagne L’Oréal dans le déploiement et la bonne utilisation de Tableau par les utilisateurs.

#Data Driven Business

 

  • Cadrage des usages collaboratifs pour le département R&I de L’Oréal

L’Oréal est actuellement en plein déploiement d’Office 365. Pour s’assurer d’un déploiement réussi à L’Oréal R&I, il est indispensable d’identifier les cas d’usages spécifiques aux métiers, de démontrer comment ils peuvent être adressés par le Digital Workplace, et de construire et contextualiser le matériel d’adoption. C’est sur ces axes que Saegus a été identifié pour accompagner le département R&I.

#Digital Workplace

 

  • Plateforme de Showroom pour L’Oréal (département IA)

La division IA de L’Oréal R&I souhaite améliorer sa visibilité en développant une application « Showroom » offrant une interface aux différents algorithmes développés à des fins de démonstration. Nous accompagnons L’Oréal sur le développement d’un MVP.

#Data Driven Business

 

Si vous souhaitez davantage d’informations sur la conduite de ces missions et notre méthodologie, n’hésitez pas à solliciter un rendez-vous avec nos experts.