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Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

 

#1
Et si les App d’entreprises intégraient des stories ?

Depuis plusieurs années, le phénomène de « story » établi par Snapchat en 2011 s’est diffusé parmi les plus grands : Instagram, Facebook, WhatsApp proposent cette fonctionnalité à leurs utilisateurs et les résultats sont plus que satisfaisants : 188 millions d’utilisateurs actifs et 3 milliards de « snaps » envoyés chaque jour dans le monde. La raison ? La tendance du live et de la vidéo qui suscitent plus d’engagement.

Si les applications qui le proposent actuellement sont réservées à la sphère personnelle, il serait intéressant de la diffuser au contexte professionnel.
En effet, son côté ludique permettrait de diffuser de l’information de manière spontanée et créative via une publication photo ou vidéo. Pour le Digital Workplace, cela permettrait de faire des teasers pour des événements à venir, des formations mais également des valorisations de salariés grâce à du « behind the scene ».

Mieux encore, ce serait un moyen de communiquer sur l’avancée d’un projet de manière ludique, ainsi que de publier le début d’une démonstration d’application avec un lien renvoyant vers l’outil collaboratif où la vidéo est diffusée en entier.

Il est important de savoir que 85% des entreprises souhaitent créer plus de vidéos internes selon une étude du State Of Social 2018.
Les fonctionnalités de ce type d’outils sont en constante évolution et de nouvelles sortent régulièrement comme la fonction de sondage pour analyser de nouvelles données liées à la satisfaction, ou encore la possibilité de faire du phygital sur une story pour donner la main à l’utilisateur. Ce serait également un moyen divertissant de communiquer les « best practices » de l’entreprise et les formations accessibles en ligne.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

 

 

#2

L’incroyable expansion des chatbot

En 2021, plus de 50% des entreprises dépenseront davantage par an pour la création de bots et chatbots que pour le développement d’applications mobiles traditionnelles.
Comment l’expliquer ? Parce qu’un chatbot facilite l’expérience utilisateur en agrégeant l’ensemble des applications développées en interne (RH, Intranet, Messagerie, etc.) en une seule et même application. Les salariés pourront donc poser leurs congés, réserver une salle de réunion, envoyer un e-mail, poser une question et faire une recherche depuis la même interface sous forme de SMS. Et bientôt on espère, l’audio ! Mais loin de nous l’idée de papoter avec un robot. L’évolution des technologies a pu rendre les chatbots intelligents et hyper efficaces grâce à l’apprentissage automatique, au traitement automatique du langage naturel et surtout de l’expérience utilisateur conversationnelle. Cela constituerait donc un gain de temps conséquent pour le salarié, permettrait une meilleure organisation et donc meilleure satisfaction.

 

 

#3

Smart building : 
La tendance responsable

En 2021, plus de 50% des entreprises dépenseront davantage par an pour la création de bots et chatbots que pour le développement d’applications mobiles traditionnelles.
Comment l’expliquer ? Parce qu’un chatbot facilite l’expérience utilisateur en agrégeant l’ensemble des applications développées en interne (RH, Intranet, Messagerie, etc.) en une seule et même application. Les salariés pourront donc poser leurs congés, réserver une salle de réunion, envoyer un e-mail, poser une question et faire une recherche depuis la même interface sous forme de SMS. Et bientôt on espère, l’audio ! Mais loin de nous l’idée de papoter avec un robot. L’évolution des technologies a pu rendre les chatbots intelligents et hyper efficaces grâce à l’apprentissage automatique, au traitement automatique du langage naturel et surtout de l’expérience utilisateur conversationnelle. Cela constituerait donc un gain de temps conséquent pour le salarié, permettrait une meilleure organisation et donc meilleure satisfaction.

Good to know : Le bâtiment connecté utilisera une multitude de technologies !
L’IoT – Internet Of Things – (pour créer de la donnée sans interaction homme-machine), le Cloud (pour stocker les données), l’Intelligence Artificielle (pour l’ensemble des algorithmes), le Big Data (pour analyser la donnée et en faire une information), l’Analytiques pour analyser les informations, l’automatisation (suite à la connaissance du salarié) et la robotique pour exécuter la tâche. Plutôt cool n’est-ce pas ?

 

 

#4

Assistance virtuelle grâce à l’IA et la Voice Activated Search

Si dans une journée on nous demandait de lister les choses qui nous agacent et nous prennent du temps au bureau, forcément il y aurait : le tri et et le traitement de nos emails (on adore les retours de vacances), la prise de RDV, la réservation des salles de réunion, la rédaction de compte-rendu etc. Mais pas de panique, une solution fait son entrée sur le marché : l’assistance virtuelle ! Elle sera chargée de gérer toutes les tâches administratives et organisationnelles, d’automatiser les processus métier conséquents pour que le salarié puisse se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée ! Ainsi, les missions du salarié deviendront plus intéressantes et épanouissantes, créant un gain de temps et de productivité important. Qu’en est-il du ROI nous direz-vous ? Il a été calculé entre 30% et 200% selon la taille de l’entreprise.
A l’assistance virtuelle s’ajoutera l’assistance de réunion intelligente avec la « Voice Activated Search » qui s’occupera d’un certain nombre de tâches qui lui seront demandées pour alléger la charge de travail des participants, comme la prise de notes !

Sur le marché, nous pouvons déjà remarquer EVA, une assistante de réunion intelligente qui enregistre les échanges pendant les réunions et réalise un procès-verbal composé des différentes décisions prises. Selon les tâches qui lui ont été attribuées en amont, elle s’occupe également d’envoyer automatiquement le rapport au public concerné.

 

 

#5

Analytics for everything

Si on continue dans cette dynamique, on se retrouve avec un salarié qui ne subit plus de tâches fastidieuses et qui est épanoui ! Mais comment vont évoluer les métiers ? Un indice : « La donnée est le pétrole du 21ème siècle ». Donc … vers l’analyse ! D’ici à 2020, 85% des nouveaux postes techniques basés sur les opérations seront sélectionnés pour des compétences d’analyse et d’intelligence artificielle. D’une part, les données seront analysées pour continuellement maintenir un environnement et une expérience digitale optimale pour les salariés ; de l’autre des analyses de sécurité avancées seront réalisées pour anticiper – grâce au croisement de données – toute menace liée à la cybersécurité. Enfin, l’intelligence artificielle sera intégrée à 75% des applications pour pouvoir analyser des données métiers et détecter tous types d’anomalies. Ainsi, les outils d’analyse performants, alliés à l’intelligence artificielle permettront d’avoir une vision claire pour prendre des décisions tout en garantissant un niveau élevé d’adoption et de satisfaction des salariés !

 

 

#6

Quand la réalité virtuelle devient un outil de travail

D’ici à 2019, les solutions technologiques de réalité virtuelle, réalité augmentée et réalité mixte seront adoptées dans 20% des entreprises. Cela favorisera de nouvelles expériences de travail au salarié mais sera surtout une solution aux entreprises multi-sites afin de projeter des présentations et d’être collaboratifs grâce à la téléprésence. Plutôt cool pour faire du télé-travail sans avoir l’impression d’être isolé dans une grotte … Le recrutement pourra également se faire de manière plus réaliste, avec des mises en situation concrètes où le candidat sera en capacité d’intervenir physiquement et à distance grâce aux technologies intelligentes et intuitives. Ces dernières permettront de vivre une expérience tactile basée sur une vidéo ainsi que d’améliorer la communication et les performances professionnelles des employés grâce aux technologies immersives.

Nous pouvons déjà trouver des outils permettant de profiter de la réalité mixte sur le marché, comme l’offre HoloLens de Microsoft qui permet par exemple de résoudre un bug technique en communiquant avec une assistance via les lunettes, en lui montrant l’ordinateur (le réel) et en voyant apparaître à l’écran les points d’attention sur lesquels l’assistance a cliqué (le virtuel) pour trouver l’origine du bug, et le résoudre. Mais ceci, vous connaissez sans doute.

 

 

#7

Évolution du Cloud vers le tout en un

Le Cloud n’a pas fini de faire parler de lui ! Le nouveau phénomène ? La démocratisation de l’utilisation des données en temps réel dans l’ensemble de l’entreprise. Actuellement, seul le top management peut utiliser toutes les informations liées à l’entreprise contrairement aux salariés qui n’ont accès qu’aux données qui les concernent directement. Avec un Cloud dit tout en un, l’ensemble des salariés auront accès à toutes les données concernant l’entreprise directement, sans devoir attendre de longues procédures d’autorisation.

Ainsi, l’accessibilité des données permettrait de les analyser sans perdre de temps, en éliminant les longs process de validation.
Si cela paraît attractif sur le papier, on peut tout de même se poser des questions sur le risque que représente des données potentiellement sensibles ou confidentielles accessibles par tous et en nomadisme ?

 

 

N’hésitez pas à nous contacter, nos experts en solutions digital workplace seront là pour vous accompagner !

 

Saegus accompagne depuis 2 ans un acteur majeur de la production et de la fourniture d’énergie dans le monde.

L’objectif de cette mission : mettre en œuvre un Lab afin d’animer en continu l’évolution de l’environnement Digital Workplace et ainsi raccourcir le “time to market” entre un besoin exprimé par les utilisateurs et sa mise à disposition effective.

 

Le challenge de la mission

Un des enjeux majeurs de la DSI est de proposer des services adaptés aux collaborateurs du Groupe pour favoriser  l’innovation et les nouveaux usages, permettant alors une meilleure efficacité, tant au niveau individuel que collectif.

 

L’ancienne organisation ne permettait pas d’apporter des améliorations aux services déjà déployés : le budget devait être prévu très en amont, et de trop nombreuses équipes intervenaient sans réelle synergie.

Résultats ? Une forte inertie et une solution apportée bien tardivement qui ne répondait parfois pas réellement à la problématique initiale.

 

Ainsi, l’organisation et l’industrialisation du processus de  création  et de mise à disposition de nouveaux services était stratégique pour la DSI du Groupe.

 

L’approche Saegus

Pour en finir avec cet effet tunnel et pour replacer l’utilisateur au centre des attentions, Saegus a alors décidé de créer un Lab des usages Workplace en s’appuyant sur son expertise reconnue des démarches d’innovation.

L’équipe s’est appuyée sur sa capacité à exploiter des méthodes agiles, Design Thinking et Lean Startup, avec les solutions de l’écosystème Digital & Phygital Workplace au sens large.

Utiliser une méthode agile permet de présenter en 1 ou 2 sprints un premier Minimum Valuable Product (MVP) à un panel utilisateurs pour valider la pertinence (ou pas) de la solution avant de l’industrialiser (ou de pivoter).

 

En amont du Lab, l’objectif était de créer une User Voice au travers de communautés et d’ateliers d’idéation. Ces ateliers, réalisés en partie grâce à la plateforme de Crowd Thinking Foreseeds (accélérateur développé par la Saegus Factory), ont permis aux clients de prioriser les sujets en identifiant les futurs Products Owners.

 

 

Les actions employées

Afin de développer et animer le Lab Digital Workplace, Saegus est intervenu à différentes étapes :

  • Coaching des équipes (le Product Owner et toute l’équipe Workplace)
  • Mise en œuvre et paramétrage des outils pour supporter la démarche agile du Lab
  • Proposition et définition des différents templates pour les livrables clés de chaque étape du processus
  • Pilotage des projets en méthodologie Scrum
  • Participation active à l’instruction des nombreux sujets en tant que membre de l’équipe Workplace

 

Tout cet accompagnement réalisé grâce au Lab a permis cette fois de conduire une quinzaine de projets dont les bénéfices sont significatifs en interne.

 

Pour avoir plus de détails sur le pourtour de cette mission et quels sont les résultats sur le long terme, n’hésitez pas à nous demander rdv.


Dans cet article on parlera de chatbots, de natural language processing (NLP), d’intelligence artificielle et de gestion de la connaissance.

 

Le 12 avril 2016, David Marcus, chef de produit chez Facebook annonçait via un communiqué de presse que Messenger ouvrait ses API Send/Receive aux chatbots. S’en est suivi une vague d’intérêt sans précédent autour de ces agents conversationnels : de 100 000 bots développés sur la plateforme de Marc Zuckerberg l’année dernière, Messenger est passé à plus de 300 000 en mai 2018. Mais si l’apparition des bots sur Messenger marque une démocratisation de l’utilisation de ces programmes, ces derniers existent déjà avec succès depuis plusieurs années sur des applications de chat comme WeChat en Chine.

Au moment où beaucoup semblent convaincus que les Chatbots sont là pour durer, voire même pour remplacer des applications et les sites qui existent aujourd’hui, il est temps pour nous de vous parler des 5 contre-vérités que nous avons pu constater sur ces petites machines.

 

 

1. « Les chatbots fonctionnent grâce à l’intelligence artificielle »

Ce n’est pas faux, mais c’est un raccourci. Même si la dernière démonstration de google Dupleix est assez bluffante, les solutions de chatbots disponibles sur le marché pour les entreprises sont encore loin des prouesses présentées lors du Google I/0. En attendant que ces innovations soient accessibles à tous, intéressons-nous à l’intelligence des bots actuels :

Leur intelligence se décompose en 2 parties :

  • Le NLU : Natural Language Understanding, qui représente la capacité de la machine à comprendre ce que l’utilisateur écrit ou dit en transformant des données non-structurées en une forme structurée qu’elle peut comprendre et à partir de laquelle elle peut agir.
  • Le NLG : Natural Language Generation, qui représente sa capacité à engendrer des phrases en langage naturel à partir de données structurées récupérées notamment à travers des bases de données (ou le processus de NLU).

A eux deux, le NLU et le NLG forment le Natural Language Processing ou NLP. C’est la qualité du NLP qui va donner son « intelligence » au bot. Cependant, la NLU, bien que de plus en plus performante ne l’est pas encore assez pour comprendre réellement le langage naturel, ce qui implique que pour comprendre l’utilisateur, le bot repose sur une base de données de questions et de réponses ou sur un arbre de décision presque entièrement paramétré par un humain.

 

2. « Nous voulons des chatbots apprenants »

Lorsque l’on parle de chatbot, beaucoup de clients s’attendent à ce que leur robot apprenne naturellement de ses échanges avec les utilisateurs à travers des fonctions de machine-learning. Mais est-ce souhaitable ?

Sans aller jusqu’au cas extrême de l’expérience Tay menée par Microsoft, au cours de laquelle un chatbot intégré au réseau social Twitter est devenu raciste et complotiste en l’espace de 24h, il est crucial pour un gestionnaire de chatbot de conserver le contrôle des réponses qui vont être données par l’agent aux utilisateurs afin d’en assurer la qualité.

Un chatbot qui apprendrait automatiquement de ses échanges en viendrait nécessairement à altérer les réponses initialement paramétrées dans sa base de données et donc à échapper au contrôle de ses créateurs. Néanmoins les éditeurs de solutions techniques proposent en général des outils permettant de proposer des améliorations de la compréhension de l’agent grâce aux échanges avec les utilisateurs, mais dont la mise en production reste à la main du gestionnaire.

3. « Le but d’un chatbot est d’apporter une réponse à l’utilisateur »

Si le but premier des chatbots est d’apporter une réponse rapide à la sollicitation d’un utilisateur, ce n’est pas son unique fonction. En effet, il y a beaucoup à apprendre des échanges entre l’agent conversationnel et ses utilisateurs.

Par exemple, une entreprise mettant en place un chatbot sur son site commercial pourra en analysant les conversations entre les visiteurs et son bot, apprendre beaucoup de chose sur le profil de ses clients, leurs attentes et leurs pains (sur le site, comme sur l’offre de l’entreprise). Ce bot pourra même récupérer un certain nombre d’informations de contact qualifiées pour l’entreprises comme des adresses mails.

Evidemment, les échanges des utilisateurs avec le bot, même non concluant, serviront ensuite à améliorer sa compréhension lors de la prochaine conversation.

 

4. « Les chatbots ne sont utiles que pour les clients »

Le succès des chatbots est en grande partie dû aux possibilités qu’ils offrent en termes de marketing et de communication – 92% des marketeurs pensent d’ailleurs qu’ils vont se généraliser dans leur domaine selon une étude de DoYouDreamUp. Mais ces programmes ont aussi un rôle à jouer à l’intérieur des entreprises. Les « chatbots internes » sont de plus en plus populaires au sein des grands groupes : Engie, La Société Générale, et bien d’autres ont déjà leurs initiatives.

A l’image des bots externes, leur objectif est d’apporter une réponse rapide et qualifiée aux collaborateurs et de fluidifier ainsi la recherche d’informations. Dans le domaine des ressources humaines par exemple, l’emploi d’un chatbot peut permettre de réduire de façon drastique les délais de réponses sur des questions administratives, légales, ou contractuelles. De même, un chatbot peut permettre d’assurer le premier niveau du support applicatif afin de décharger les services supports.

5. « Une fois lancés, les chatbots fonctionnent seuls »

Vous l’avez peut-être deviné au cours de cet article, les chatbots ne sont pas encore autonomes. Une fois un projet de chatbot déployé, le projet n’est pas terminé. Au lancement, l’agent conversationnel aura généralement une base de connaissances initiale pensée par les responsables du projet et des experts des sujets concernés, mais cette dernière est rarement suffisante pour assurer la pertinence du bot sur la durée.

Premièrement, cette base ne prend pas encore en compte les besoins réels des utilisateurs. Elle va devoir évoluer et se perfectionner à l’aide des interactions du bots et de ses utilisateurs. Pour cela les conversations devront être analysées et des ajustements apportés. Or comme nous l’avons dit précédemment, ces actions doivent être effectuées par un humain pour assurer la qualité des améliorations apportées.

Deuxièmement, les connaissances de l’entreprises évoluent, une démarche de chatbot est une vraie démarche de knowledge management, les connaissances doivent être maintenues à jour, certaines doivent être ajoutées et d’autres supprimées.

 

 

 

En conclusion…

Les chatbots ont encore du chemin à parcourir, mais la compréhension de ce qu’ils sont et de ce que leur déploiement implique aussi. Nous espérons que cet article vous aura permis d’y voir plus clair. Si vous souhaitez poursuivre la discussion sur vos projets chatbots avec nous, vous pouvez nous contacter à l’adresse mail gaelle.pommereau@saegus.com

Contexte et défis

La concurrence sur le marché de la mutuelle santé des militaires s’accroit fortement ces dernières années et a poussé notre client Unéo à revoir ses services en mettant davantage en avant sa relation affinitaire et sa proximité terrain.

Unéo a fait appel à nos équipes afin de l’aider à conduire une stratégie efficace permettant d’identifier la solution la plus innovante possible.

Nous avons donc accompagné Unéo au travers d’ateliers de design sprint dans des délais très courts lui permettant de rebondir efficacement face à ce constat.

 

Démarche

Le Design Sprint est réalisé sur 5 jour et chaque jour est destiné à servir un objectif :

  • Comprendre : première journée dédiée à la description du contexte et à la définition du problème à résoudre pendant le sprint.
  • Explorer : journée consacrée à l’étude de la concurrence et à l’exploration des idées où la divergence est de mise.
  • Choisir : journée de convergence destinée à choisir les meilleures idées et à les transformer en hypothèses testables.
  • Prototyper : journée dédiée à la création d’un prototype réaliste composé d’écrans clés.
  • Tester : cette dernière journée est capitale car l’on met à l’épreuve le prototype réalisé en le soumettant à des utilisateurs cibles.

 

« Au cours de ce sprint mené avec Saegus, j’ai apprécié d’être bousculé par les consultants et qu’ils me mènent hors de mon cadre habituel. Entre l’équipe Unéo et Saegus, il s’est créé un lien qui nous a permis d’échanger sans filtre sur toute la durée du sprint. Cette collaboration fut un succès : 5 jours pour créer l’idée et 2 mois pour la rendre disponible aux utilisateurs. »

Marc Dérouet, Product Owner, Unéo

 

Résultats

  • 7 utilisateurs l’ont testé en un temps record
  • Les utilisateurs l’ont adopté à 100%
  • Les feedbacks ont permis l’évolution du produit
  • Le Product Owner a été convaincu par la méthode

 

Facteurs clés de succès

  • Une équipe expérimentée ayant répondu dans des délais courts
  • La mobilisation d’utilisateurs pour effectuer les tests
  • La mise en place d’un design sprint tactique
  • Une complémentarité des compétences (métier, design et technique)

 

 

Pour en savoir plus sur notre offre d’accompagnement, n’hésitez pas à demander un rdv à gaelle.pommereau@saegus.com.

« Malgré le passage en agile de mes équipes de développement, la phase de cadrage projet est tout aussi longue… »

 

« Design Thinking, Agile… Ok, mais je veux être sûr de sélectionner les personae les plus pertinents en amont… »

 

« En tant que membre d’une équipe opérationnelle non IT, j’ai l’impression d’être mis à l’écart de la transformation agile… »

 

 

Si vous avez fait ou faites actuellement face à un challenge en raison de certains freins (temps, expertises, organisation, etc.), venez rencontrer l’équipe Acceleration Tactics. Découvrez, au cours de cette immersion dans notre lab, comment nous concevons l’accélération de vos produits, projets et organisation.

 

 

Notre promesse ? Accélérer.

 

En perpétuelle recherche d’innovations et à l’affut des constantes mutations du marché, les grandes entreprises peinent cependant à répliquer la réactivité et le dynamisme qui caractérisent les plus petites structures. Ayant adopté un modèle de management souvent basé sur des process lourds et un système chronophage de contrôle et de reporting, la créativité et l’adaptabilité des équipes s’en trouvent ralenties.

 

Développer la capacité d’innovation de ces entreprises nécessite donc la mise en place de plusieurs mécanismes permettant notamment la libération de la créativité, une collaboration plus efficiente, un time-to-market réduit et une meilleure réactivité et adaptabilité face aux retours du marché.

 

C’est dans cette optique que l’offre Acceleration Tactics de Saegus est née.

 

Chez Saegus, nous considérons non seulement qu’une idée n’est rien sans une capacité à la réaliser rapidement, mais que la rapidité d’exécution est indispensable pour tout nouveau produit ou service, tout projet au sens large, et tout changement organisationnel.

 

Nous proposons donc une démarche itérative en 3 dimensions au cours desquelles les entreprises pourront bénéficier de nos différents leviers d’accélération :

  • Notre maîtrise des approches éprouvées & innovantes (Agile, Lean Startup, Design Thinking)
  • Notre centre de formation agréé : la Saegus Institute
  • Nos solutions, pensées pour être compatibles avec les exigences d’une multitude d’environnements

 

Design, prove, scale

 

 

 

Pour en savoir plus sur notre démarche et comprendre comment nous vous permettrons d’accélérer quel que soit votre enjeu, rejoignez-nous dans notre Lab d’innovations jeudi 7 juin prochain dès 19h00 via ce lien.

La France est-elle une vraie terre d’innovation ? Où en est l’entrepreneuriat ?  Quel rôle joue le salon CES de Las Vegas pour les entreprises françaises ?

 

David Semhoun, directeur générale de Saegus, Émile Leclerc, directeur d’études chez Odoxa, et Éneric Lopez, directeur des programmes Innovation et startup chez Microsoft ont répondu aux questions de Frédéric Simottel samedi 20 janvier dernier, sur le plateau du 01Business Forum de BFM Business qui revenait sur le CES 2018 de Las Vegas.

Ce salon est maintenant connu de 22% des français et les innovations présentées intéressent 53% d’entre eux. Ces chiffres, en hausse chaque année, démontrent l’intérêt croissant de la population française sur les sujets d’innovation et leur regard otpimiste sur la faculté du pays à la favoriser.

Comme le rappelle David, en l’espace de 3 ans le nombre de startup présentes au CES s’est étoffé avec 66 entreprises en 2015 contre 365 en 2018 !

« La French tech renouvelle la performance d’être la deuxième délégation mondiale derrière les Etats-Unis et elle s’affirme cette année comme le hub incontournable dans l’IoT et plus globalement dans les #Deeptech », précise-t-il.

 

Le experts étayent leur propos sur l’entrepreneuriat que nous vous proposons de découvrir en vidéo.

Vous pouvez aussi télécharger notre étude réalisée en partenariat avec Odoxa pour découvrir les chiffres clés sur l’impact positif du CES.

Innovation was the keyword during the TechWeek held from 3rd to 6th of July 2017 at Paris. Imagined and launched by Société Générale at its headquarter, this event was dedicated to innovative services related to banking. 

6 hubs of technological information were introduced to collaborators and also students through conferences, workshops, showrooms and lot of presentation booths. They were invited to discover and test the different technologies available showed on every technological and digital enterprises’ booths.

Saegus is proud to have accompanied Société Générale, true precursor on this initiative, during the Digital Workplace day!

10 Saegusiens were involved for this special occasion where they could run several workshops around the creation of mobile applications using Microsoft PowerApps. They could also provide a lecture around collaborative solutions like Microsoft Teams. All of those presentation raised the level of awareness on digital usages and were well received by the attendees.

This event confirms the companies’ growing concerns to get involved in digital and technological innovation programs that feeds their roadmap of services to be deployed. 

#TechWeekSG

L’innovation était à l’honneur du 3 au 6 juillet 2017 à l’occasion de la TechWeek, premier événement lancé par la Société Générale destiné à dresser une vitrine des services innovants en rapport avec la banque.

Six hubs d’innovation technologiques étaient présentés à travers de nombreux stands, conférences, ateliers et showrooms. Tous les collaborateurs, mais aussi des étudiants, étaient invités à découvrir et tester les différentes technologies présentes sur les différents stands des entreprises digitales et technologiques partenaires.

Saegus est fier d’avoir accompagné la Société Générale, véritable précurseur sur cette initiative, et d’en avoir été acteur au cours de la journée sur le thème du Digital Workplace !

10 Saegusiens s’étaient mobilisés à cette occasion. Ils ont pu animer plusieurs workshops consacrés à la réalisation d’applications mobiles grâce à PowerApps d’Office 365. Ils ont également présenté des scénarii autour du collaboratif sur Microsoft Teams. Toutes leurs démonstrations autour des usages ont permis de sensibiliser sur les pratiques digitales nouvelles et ont été très bien accueillies.

Cet événement confirme l’engagement croissant des entreprises à s’impliquer dans des programmes digitaux et d’innovations technologiques qui alimentent leur roadmap de services à déployer.

#TechWeekSG

Marc, président de Saegus, est intervenu aux côtés de Microsoft et Odoxa pour aborder un sujet qui divise autant qu’il enthousiasme : l’IA et les robots.

Aptitude des français à innover, massification des données, gouvernance politique attendue, position des plateformistes en France, mais aussi cas d’usage entourant la robotique… Tous ces angles ont été débattus par les 3 experts.

Pour tout savoir, vous pouvez revoir l’émission ici

Vous pouvez également télécharger ici l’étude faite avec notre partenaire Odoxa

Marc, our CEO, was in attendance as speaker next to Microsoft and Odoxa to talk about AI and robots, a topic that both passionate and divides people. Ability for French to innovate, data massification, political governance expected, platform producers situation, and also use cases surrounding robotization were such subjects among the questions discussed by the 3 business experts.

For further information, have a look on the video here!