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Contexte

La MAIF a ouvert son Datalab à la fin de l’année 2017 pour mener à bien des projets de DataScience et d’innovation. Le Datalab a voulu mettre l’accent sur la production et l’industrialisation de ses travaux, afin de tirer une réelle valeur de ses projets et éviter l’écueil du « Shadow IT » dans les entités qu’elle doit servir.

Saegus a ainsi été sollicité pour cadrer et réaliser ces processus de mise en production et d’industrialisation, mais aussi pour accompagner et acculturer les entités utilisatrices à ces nouvelles méthodes.

Nous avons ainsi pu travailler d’une manière macro en définissant les process, les normes et bonnes pratiques, mais aussi à des niveaux projets, plus micro, où nous avons développé et réalisé les mises en production de modèles prédictifs et de flux de transformation de données.

 

Réalisations

Pour répondre à ce type de problématique, nous avons réalisé les actions suivantes :

  • Création d’un cadre de référence technique (sélection et recommandation d’assemblages technologiques en fonction des uses cases) ;
  • Mise en place des normes et bonnes pratiques de développement pour les Data Engineers et Data Scientists ;
  • Création de Starter Kit pour les différentes technologies (Starter Pyspark, Starter Python, Starter API prédictive …) ;
  • Coaching des Data Scientist sur les projets pour leur appropriation de ces nouvelles normes ;
  • Déploiement d’un environnement et des pratiques « Data Ops » sur tous les projets Data ;
  • Acculturation et adoption des nouveaux processus aux différentes entités ;
  • Utilisation de Git dans les projets.

 

Bénéfices

  • Processus de mise en production

  • Meilleure gestion des versions (Git)

  • Cycles de vies raccourcis (intégration et déploiement continus)

  • Rapidité au démarrage des projets grâce aux Starter Kits

 

 

 

 

Retrouvez l’ensemble du business case avec des informations complémentaires en le téléchargeant :


 

Découvrez l’intégralité des expertises de nos experts Data sur médium !

Nombre de dispositions ont été prises pour assurer un passage (presque) indolore au prélèvement à la source. Ce sujet a d’ailleurs été analysé ce mois-ci avec ce nouveau baromètre qui lui est dédié et pour lequel Sébastien Mazin-Pompidou, Directeur du Développement chez Saegus, s’est livré. Entre autre résultats analysés, il a notamment critiqué l’incitation pour des entreprises à se tourner davantage vers le numérique.

 

 

Non, il n’y a pas eu de catastrophe

 

Le passage au prélèvement à la source de nos impôts sur le revenu qui au départ, devait susciter la crainte s’est finalement révélée injustifiée. Un peu comme lorsqu’on a changé de millénaire ou de monnaie. Tout le monde anticipait un couac, un blocage, voire une catastrophe [cf. la chute de la station spatiale Mir] mais non ; rien de cela ne s’est produit. Alors pourquoi une telle crainte au regard d’un tel résultat ? La réponse se trouve, sans doute, dans la confiance qu’ont les français dans leur administration, associée à celle qu’ils ont en leur entreprise à faire face conjointement aux changements numériques.

 

Avant toute chose, rappelons que ce nouveau système de prélèvement s’applique aussi bien aux salariés, retraités et chômeurs imposables qui ont vu leurs salaires, pensions et allocations prélevés de l’impôt, qu’aux professions indépendantes/ libérales pour lesquelles un prélèvement mensuel est réalisé par l’administration sociale. Dans un article paru dans les Echos, il y a un peu plus d’un an, on apprenait dès la lecture du titre que « Près de 6 Français sur 10 ne paient plus d’impôt sur le revenu », ce qui vient réduire drastiquement le nombre de personnes concernées par la réforme. De plus, il faut noter qu’environ 6 Français imposables sur 10 avaient déjà pris l’habitude de payer leur impôt de façon régulière en ayant opté pour la mensualisation. Au final, il ne reste plus que les non-mensualisés, soit 10 millions des personnes imposables contraintes dès lors, de changer leurs habitudes.

 

 

Données personnelles et RGPD

Rappelons que le principal sujet de discorde venait du fait qu’en ces temps de RGPD, l’administration allait communiquer aux employeurs des informations personnelles sur ses salariés en lui indiquant quel pourcentage prélever. Or, là encore, la catastrophe n’a pas eu lieu puisque chaque salarié a pu, bien en avance, faire le choix d’un taux individualisé en lien avec son salaire et rien que son salaire ou d’un taux personnalisé correspondant au taux du prélèvement à la source appliqué par défaut, sur les revenus. Ce dernier, tenant compte de l’ensemble des revenus (salaire, revenus fonciers, pensions etc.) et de la situation familiale. Ce taux est le même pour l’ensemble du foyer. Grâce à ce système du taux individualisé, les salariés, soucieux de ne pas voir leur situation personnelle connue de leur employeur, ont pu sans difficulté y remédier.

 

En définitive, comme il y a « peu » de personnes concernées par la réforme et que de plus, il est possible d’individualiser les taux, c’est à l’entreprise d’assurer désormais le relais. Cette dernière, a dû faire face à un changement plus important : informer ses collaborateurs, ce qui d’après l’étude d’Odoxa s’est révélé être le cas pour presque 60% d’entre eux. Puis, il a fallu que les équipes de comptabilité et de paie échangent avec l’administration (pour récupérer les taux) et leurs fournisseurs (de services comptables) pour modifier les bulletins. Là encore, les choses se sont faites assez facilement puisqu’aujourd’hui la plupart des entreprises sont équipées de logiciels informatiques qui nécessitent des échanges réguliers avec l’éditeur pour la mise à jour ou les personnalisations.

 

Ce projet de modernisation sociale semble donc avoir bien commencé ! 2019 sera une année de test puisque forcément des cas particuliers seront plus compliqués que d’autres à gérer. Globalement, c’est une réforme qui s’annonce bien et c’est bien en cela que réside la surprise.

 

Découvrez l’analyse complète au travers de notre étude réalisée conjointement avec Odoxa Sondages.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business en replay.

Article écrit par Sébastien Mazin-Pompidou


Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

 

#1

Microsoft Staffhub se retire et laisse sa place à Shifts 

Avis aux utilisateurs de Microsoft Staffhub, application Office 365 permettant aux employés de terrain de gérer facilement leurs plannings lorsqu’ils sont en déplacement : l’application ne sera plus disponible en téléchargement à compter du 1er avril 2019 et sera retirée de l’App Store d’Apple, du Google Play Store et de tous les autres points d’accès. Les utilisateurs actuels pourront continuer d’utiliser le service jusqu’au 1er octobre 2019, date à laquelle il sera définitivement retiré, mais aucune fonctionnalité supplémentaire ne sera ajoutée d’ici là. 

 

En effet, Microsoft souhaite inciter ses utilisateurs à utiliser les nouvelles fonctionnalités de Microsoft Teams, qui intègrera très bientôt la gestion de la planification et des tâches via Shifts. Prochainement disponible sur les applications bureau et mobile de Teams, cette nouvelle fonctionnalité permettra notamment aux responsables de créer et de gérer les horaires de leurs employés, qui peuvent à leur tour mettre à jour leurs disponibilités, soumettre leurs plannings mais aussi demander des jours de congé sans quitter l’outil. 

 

Chez Saegus, nous avons hâte de pouvoir essayer Shifts afin de vous dire si cette nouvelle fonctionnalité rivalise véritablement avec Staffhub. 

 

 

 

 

#2

Microsoft Teams continue sa croissance phénoménale

 

Teams n’a pas fini de faire parler de lui ! Les résultats d’une enquête menée par Spiceworks auprès de 900 entreprises du domaine de l’IT, réparties aux États-Unis et en Europe, montre que l’adoption de la plateforme collaborative connaît une croissance tellement rapide qu’elle devrait devenir la deuxième plus grande application de chat en milieu professionnel d’ici 2020, dépassant à la fois Slack et Google Hangouts.

 

Ainsi, l’étude de Spiceworks met en avant le taux de pénétration de Teams, passé de 3% en 2016 à 21% en 2018. La part de marché de Slack, son principal concurrent, a quant à elle connu une croissance plus modeste en passant de 13% en 2016 à 15% en 2018. Cette croissance phénoménale de l’outil de Microsoft peut être attribuée au fait que la société a décidé de rendre gratuite son application en 2018, au travers d’une version « preview », alors qu’elle était auparavant réservée aux utilisateurs d’Office 365.

 

Mieux encore : la même étude prédit que Teams atteindra 41% de part de marché d’ici 2020, tandis que Slack n’en occupera que 18% et Google Hangouts 12%. De quoi rendre jaloux les pro-Slack et les pro-Google Hangouts !

 

 

 

#3

Witeboard, le nouveau concurrent de Microsoft Whiteboard ?

 

Vous cherchez une application en ligne, gratuite et simple d’utilisation pour matérialiser vos idées sur un support commun lors d’une réunion ? Nous avons ce qu’il vous faut !

Avec son design sobre et particulièrement intuitif, Witeboard a de nombreux atouts pour concurrencer la solution de Microsoft.

 

Chez Saegus, nous avons apprécié la possibilité de partager son tableau blanc et de collaborer avec d’autres utilisateurs sans avoir besoin d’installer une quelconque application, la fonctionnalité « détection de figure » qui permet à l’application de détecter un rond, un carré, un rectangle ou un triangle à partir d’une forme grossière, mais aussi la possibilité d’intégrer la web app directement dans Slack via un plugin.

 

Nous ne pouvons que vous recommander de tester l’application en cliquant sur ce lien : Witeboard.

 

 

 

 

#4 

OneDrive désormais intégré à Skype !

Après To-Do, Spotify ou encore YouTube, OneDrive rejoint la liste des add-ins sur Skype.

A l’heure actuelle, il existe une multitude de solutions de stockage de données dans le cloud, notons les plus célèbres comme Dropbox, Google Drive, iCloud, ou encore…OneDrive.

 

Afin de récupérer un maximum de nouveaux utilisateurs et de les convertir à OneDrive, Microsoft a (enfin) décidé d’intégrer son propre outil de stockage dans Skype.

 

En pratique, cela signifie que vous pouvez maintenant directement depuis l’interface Skype partager vos documents hébergés sur OneDrive à vos collègues via un lien d’accès lors de vos discussions.
A noter qu’il s’agit d’une grande nouveauté car Skype imposait jusqu’alors une limite de taille de fichier de 300 Mo, ce qui n’était pas très pratique pour partager des fichiers volumineux.

 

Pour profiter de cette nouvelle fonctionnalité, il vous suffit de télécharger la dernière version de Skype sur vos appareils !

 

 

 

#5

Microsoft incite ses utilisateurs au stockage en ligne

 

Vous est-il déjà arrivé de perdre ou de supprimer malencontreusement votre document Office sur lequel vous avez travaillé d’arrache pieds depuis des heures voire des jours ? La bonne nouvelle c’est que ce genre de situation ennuyeuse ne devrait plus vous arriver !

C’est officiel depuis le 1er février, Microsoft vient de modifier la façon dont ses utilisateurs Office 365 enregistrent leurs fichiers Word, Excel et PowerPoint.

En effet, OneDrive et SharePoint Online deviennent désormais les emplacements par défaut pour enregistrer vos fichiers.

 

Les utilisateurs auront tout de même toujours la possibilité de modifier ce paramètre en choisissant un autre emplacement ou en modifiant le dossier de travail par défaut.

Encore un pas de plus vers le 100% cloud !

 

 

 

 

 

#6 

Klaxoon se lance à la conquête des États-Unis

 

Klaxoon a le vent en poupe ! Après avoir fait fureur lors de sa participation au CES (Consumer Electronics Show) à Las Vegas début janvier, Klaxoon ne s’arrête pas là.

En effet, la startup bretonne continue son road trip avec son « truck » à travers les États-Unis !

Le planning est même plutôt chargé, avec notamment des escales prévues à San Francisco, Palo Alto, Boston, New York, Washington ou encore Houston. La tournée s’achèvera dans la ville Austin au Texas du 7 au 9 mars à l’occasion du célèbre festival SxSW Interactive, dédié à la musique, au cinéma et aux nouvelles technologies.

 

La mission principale de ce voyage est de présenter aux entreprises américaines en quoi Klaxoon révolutionne les réunions d’équipes, en les rendant toujours plus efficaces et interactives. Le tout organisé sous forme de court atelier de démonstration et de prise en main à l’outil à bord de son truck fushia bien reconnaissable.

 

Créé en 2014, Klaxoon compte aujourd’hui plus d’un million d’utilisateurs dans environ 120 pays. A savoir, l’entreprise avait déjà réussi à lever 50 millions de dollars en 2018 pour accélérer son développement sur le continent nord-américain.

 

Il faut l’avouer, la solution anti-réunionite n’a pas fini de nous surprendre et nous réserve sûrement de très belles choses pour l’année 2019 !

 

 

 

 

#7

Entrée en bourse imminente pour Slack !

Slack, la fameuse plateforme de communication collaborative destinée aux professionnels vient d’annoncer son intention de rentrer en bourse, son introduction pourrait intervenir dans les prochains mois !

 

Officialisé le 4 février par l’intermédiaire d’un très court communiqué, la société a bel et bien déposé son dossier d’introduction auprès de la SEC (Securities and Exchange Commission).

Slack souhaiterait passer par ce que l’on appelle une « cotation publique proposée », c’est-à-dire en vendant des actions sans passer par une collecte de fonds. Selon le très sérieux Wall Street Journal, La société californienne viserait une valorisation aux alentours de 7 milliards de dollars. Un chiffre à prendre avec des pincettes qui peut encore grandement évoluer en fonction de l’intérêt exprimé par les investisseurs.

 

A noter, la licorne de la Silicon Valley, qui emploie aujourd’hui 1.200 salariés, a réussi en moins de 7 ans à attirer plus de 10 millions d’utilisateurs dans près de 150 pays.

 

 

 

N’hésitez pas à nous contacter, nos experts en solutions digital workplace seront là pour vous accompagner !

 


 

L’Agile et le Design Thinking sont depuis quelques années des approches testées par de nombreuses entreprises pour adresser leur transformation digitale.

Le Design Thinking et l’Agile partagent de nombreux points communs : elles sont empiriques, itératives et font appel à des équipes multidisciplinaires où la collaboration joue un rôle clé.

 

Intuitivement, ces approches semblent intervenir à des moments complémentaires d’un projet : le Design Thinking pour définir une solution répondant à un problème utilisateur, et l’Agile pour livrer la solution via la mise en place d’un cadre de travail plus ouvert aux changements. Combiner Design Thinking et Agile semblerait naturel. Or, ces deux approches restent encore trop souvent des initiatives isolées et non intégrées. Pourtant, leur association permettrait de produire de meilleurs résultats en termes d’efficacité projet et de satisfaction client.

 

La complémentarité manifeste de l’agile et du design thinking

 

Pour rappel, le Design Thinking consiste à rechercher et à comprendre l’expérience des utilisateurs finaux, afin d’identifier la source d’un problème plus ou moins limpide. Puis, on passe par la génération d’idées nouvelles et le prototypage rapide de la solution choisie, afin de récolter un retour utilisateur très tôt dans le processus et d’itérer sur la solution. Cette approche de co-création se dessine par des phases de divergence et convergence, l’objectif étant de concevoir des solutions adaptées aux besoins des utilisateurs finaux.

 

 

L’Agile pose le cadre de travail pour qu’une équipe engagée autour d’un projet gagne en efficacité dans la livraison de solution(s). Dans un projet agile, on tend à découper le travail en petites unités. Au fur et à mesure de l’avancée du projet, l’équipe itère sur la solution et planifie son périmètre de travail en fonction des retours obtenus après les tests. La puissance de l’agile réside dans la transparence du travail réalisé au sein de l’équipe mais aussi des parties prenantes, évitant ainsi un « effet tunnel » où le résultat du travail ne serait constaté qu’en fin de projet. L’autre force de l’agile réside dans des cycles d’itérations courts permettant de répondre très rapidement aux évolutions du marché et des besoins utilisateurs. Au final, on évite des changements couteux et complexes et des délais de développement à rallonge.

 

 

 

L’Agile et le Design Thinking semblent idéalement se compléter pour accélérer un même projet. Le Design Thinking se concentrerait sur le « pourquoi » et interviendrait en amont pour imaginer une solution à un problème. L’Agile se concentrerait sur le « comment » et interviendrait ensuite pour réaliser la solution. Dans un premier temps, il peut être intéressant de systématiser l’organisation de projets par une phase de Design Thinking suivi par une phase de développement agile. Mais une fois l’Agile mis en place, comment conserver l’esprit « user-centric » du Design Thinking ?

 

Pour aller au-delà d’une simple succession chronologique de ces deux approches – Design Thinking puis Agile -, il est conseillé d’intégrer l’esprit du Design Thinking à une équipe organisée en Agile.

 

 

Aller plus loin pour intégrer l’esprit du Design Thinking à une équipe Agile

 

En combinant intimement Agile et Design Thinking, les entreprises ont tout à y gagner : une meilleure satisfaction client, une diminution du temps passé à itérer la solution et donc une économie sur le développement.

 

D’après notre expérience, l’idéal est d’intégrer un esprit centré utilisateurs le plus tôt possible dans le processus pour garder en boussole les vrais besoins des utilisateurs finaux et pas seulement la vision que s’en fait l’entreprise. Chez les entreprises les plus innovantes, les design thinkers sont membres à part entière des équipe agiles. Leur rôle est de collecter les insights utilisateurs et questionner leur expérience vécue. Si l’équipe ne peut inclure de rôle de Design Thinker, chacun de ses membres devra veiller à ce qu’elle cultive un esprit de Design Thinking sans designers.

 

Il est plus compliqué d’intégrer une culture Design Thinking à une équipe agile déjà en place sans revoir le fonctionnement de l’équipe et ainsi faire baisser sa productivité à court terme. Un coach Design Thinker pourrait accompagner l’équipe un certain temps pour faciliter la transition.

  • Si le projet le permet, il est toujours intéressant d’intégrer des utilisateurs finaux dans le process agile, notamment lors de la définition et priorisation des besoins ou alors pour la présentation du travail réalisé en fin de sprint, afin de récupérer des retours. Nous avons pour habitude de réunir les utilisateurs lors d’ateliers de co-création, afin d’affiner la vision d’un projet.
  • Il peut également être envisagé d’inclure des « tâches » Design Thinking dans le périmètre des sprints, pour être sûr d’adresser la recherche utilisateur tout au long du projet. Ainsi on combine l’aspect découverte du Design Thinking avec l’aspect livraison de l’Agile.
  • Le management visuel, consistant à laisser des informations affichées dans l’espace de travail, peut contribuer à maintenir cet esprit Design Thinking. Comme c’est déjà souvent le cas avec un backlog et le workflow de travail, on pourrait afficher le détail des personae cibles ainsi que leur « experience maps », pour toujours rappeler à l’équipe qui est l’utilisateur final.
  • Enfin, certaines organisations ayant développé l’agile à l’échelle « agile at scale » vont mêmes jusqu’à intégrer la démarche Design Thinking en continue dans leurs projets, en parallélisant des sprints 100% Design Thinking avec des Sprints de développement.

 

 

Un chemin encore long à parcourir ?

 

L’Agile est encore souvent mal compris. Travailler en agile justifierait une gestion chaotique des tâches par l’équipe car elle serait flexible à l’extrême. Ces mauvaises pratiques organisationnelles ne font que galvauder la philosophie Agile et abîment injustement son image.

 

Le Design Thinking, quant à lui, est parfois vu comme quelque chose de superficiel. Certains le considèrent comme un simple coup de pinceau une fois le projet terminé, sans prendre en compte la dimension d’expérience utilisateur pourtant nécessaire à la réussite d’un projet, et ce, dès son commencement. D’autres le résument à coller des post-its sur un mur. Le Design Thinking est une approche qui va au-delà des designers et concerne l’équipe entière.

 

Pour que l’Agile et le Design Thinking soient bien intégrés, il est primordial que ces approches soient au préalable comprises et maîtrisées individuellement. Aussi, pour déployer la dynamique, il est toujours préférable que dirigeants et managers soutiennent les initiatives dont les objectifs business intègrent une vision centrée utilisateur.

 

Intéressés par ce type d’approche ? Nous serions heureux d’en discuter et de vous accompagner sur ce type de démarche.

 


 

Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

 

 

#1
Les technologies immersives, tendance pour 2019

Selon la célèbre entreprise américaine de conseil et de recherche Gartner, l’heure est aux technologies immersives. En effet, l’institut prédit que d’ici 2022, 70% des entreprises expérimenteront des technologies immersives destinées aux consommateurs et aux entreprises et 25% en auront déjà déployées.

 

L’avenir des plateformes de conversation, allant des assistants personnels virtuels aux chatbots, intègrera ainsi des canaux sensoriels élargis qui permettront de détecter les émotions des utilisateurs basées sur leurs expressions faciales et elles deviendront plus conversationnelles dans leurs interactions.

 

De plus, Gartner prédit que jusqu’en 2028, ces mêmes plateformes de conversation mais aussi les technologies telles que la réalité augmentée, la réalité mixte et la réalité virtuelle continueront à se développer fortement afin de conduire les utilisateurs à une nouvelle expérience immersive. De nombreuses évolutions à venir que nous ne manquerons pas de vous détailler.

 

 

#2

SharePoint Online : êtes-vous à la page sur les dernières nouveautés ?

L’équipe de développement SharePoint a annoncé en décembre 2018 sa feuille de route pour l’année 2019, concernant les nouvelles fonctionnalités à venir. Ces dernières commenceront à être implantées dans l’outil dès ce début d’année, êtes-vous prêt à passer à la vitesse supérieure ?

 

Parmi les nouvelles fonctionnalités annoncées : la possibilité de personnaliser la zone de titre de chaque page et des articles de presse des sites SharePoint modernes avec plus d’options en termes de disposition et d’alignement, la possibilité d’ajouter des nuances de couleurs à l’arrière-plan des sections, celle de choisir l’ordre d’affichage des actualités pour les utilisateurs, de créer des webparts avec un affichage personnalisé pour chaque visiteur du site, de bloquer les téléchargements lors du partage d’un lien vers un document hébergé sur SharePoint… et plus encore.

 

Pour en savoir plus, nous vous invitons à écouter l’annonce de cette roadmap par les équipes SharePoint en cliquant ici.

 

 

 

#3

Éditer un document sur Google Drive en mode offline

Partager et co-éditer un document hébergé sur Google Drive avec des collaborateurs qui ne possèdent pas de compte Google ? Cela sera bientôt possible ! A l’instar de OneDrive, la solution concurrente de Microsoft qui proposait déjà cette fonctionnalité, les utilisateurs de la suite Google pourront prochainement partager leurs ressources par e-mail et collaborer à plusieurs sur un même document sans avoir besoin de s’authentifier sur un compte Google.

D’ailleurs, cette nouvelle fonctionnalité est disponible dès maintenant en version bêta. Cependant, afin de pouvoir y accéder, il y a deux prérequis pour les utilisateurs. Ces derniers devront disposer d’un compte G Suite (payant) et utiliser l’édition de documents dans un cadre professionnel. Si vous remplissez ces deux conditions, vous pouvez exprimer votre intérêt à participer à cette version bêta en complétant ce formulaire.

 

 

 

#4

Skype innove en lançant l’affichage de sous-titres en temps réel

Lancée le lundi 3 décembre 2018 afin de coïncider avec la Journée mondiale des personnes handicapées 2018, cette nouvelle fonctionnalité de l’outil de communication de Microsoft permet aux sourds et malentendants de lire les mots prononcés lors des appels audio ou vidéo. Une évolution bienvenue, qui montre que les géants du workplace ne manquent pas d’idées pour améliorer l’expérience utilisateur de leurs produits.

L’option peut être activée en quelques clics dans les paramètres de Skype (version 8) en sélectionnant le bouton Plus (+) pendant l’appel et en choisissant “Activer les sous-titres”.

Elle peut également être définie comme paramètre par défaut dans les paramètres de Skype. Une fois activée, les sous-titres défileront automatiquement et en direct pendant l’appel.

 

Encore plus surprenant, Microsoft affirme que l’IA qui génère ces sous-titres a été optimisée afin qu’ils puissent être « améliorés rapidement, en continu, en fonction du contexte, et à mesure que les gens s’expriment ». Ce n’est d’ailleurs que l’une des nombreuses améliorations de l’outil, qui a également étendu ses capacités de traduction en temps réel il y a quelques années et annonce la publication de traductions prenant en charge plus de 20 langues et dialectes à venir prochainement !

 

 

 

#5

Et le vainqueur des systèmes d’exploitation est… Windows 10 !

Non contente de finir l’année en beauté en se classant comme l’entreprise la plus lucrative du monde, Microsoft peut également se vanter du triomphe de Windows 10 qui est devenu en décembre 2018 le numéro 1 du marché mondial des systèmes d’exploitation, en détrônant son principal rival issu de la même entreprise, à savoir Windows 7.

 

Selon les chiffres du site Net Application, Windows 10 détient désormais 39,22% du marché des systèmes d’exploitation de bureau contre 36,39% pour Windows 7. Des chiffres qui rappellent le succès fou de Windows 7, qui a su tenir tête à Windows 10 pendant 3 ans avant d’être dépassé. Cette victoire est vue d’un bon œil par Microsoft qui a prévu de mettre fin à l’existence de Windows 7 le 14 janvier 2020, ce qui ne laisse qu’un an aux entreprises et aux utilisateurs pour passer le cap.

 

Aujourd’hui, Windows 10 est installé sur plus de 700 millions d’appareils, tels que des ordinateurs, des smartphones, des tablettes, mais aussi sur les consoles Xbox One de Microsoft, mais de nombreux utilisateurs préfèrent encore l’interface de Windows 7.  Et vous, avez-vous adopté Windows 10 ou avez-vous du mal à vous séparer de la précédente version ?

 

 

 

#6

Trello et Butler : un nouveau partenariat au service des utilisateurs

Bonne nouvelle pour les utilisateurs de Trello qui vont pouvoir gagner du temps dans leur travail au quotidien ! En effet, l’outil de gestion de projet en ligne de la société Atlassian a annoncé le 10 décembre l’acquisition du Power-Up Butler, permettant ainsi aux utilisateurs d’intégrer la puissance de l’automatisation à leurs cartes Trello.

Quels seront les bénéfices concrets pour les utilisateurs ? Avec l’intégration native de Butler, les cartes Trello deviendront entièrement automatisées et pourront ainsi passer de « à faire » à « fait » en fonction de la date d’échéance. De plus, elles pourront être assignées de manière automatique à un utilisateur précis en utilisant des mots ou des phrases simples que le Power Up pourra alors transformer en commandes personnalisables. Cette automatisation permettra ensuite à l’utilisateur de « glisser-déposer » sa carte avec la date d’échéance à terme pour qu’elle se valide d’elle-même.

 

 

 

#7

Traduire en temps réel vos présentations PowerPoint : du rêve à la réalité

Pour la plupart des professionnels, PowerPoint est l’outil incontournable pour réaliser une présentation. L’une des principales difficultés est de devoir adapter son discours, et notamment la langue employée, en fonction de son public. Ainsi, il faut parfois s’exprimer en anglais alors que la présentation est en français, ce qui représente un exercice difficile pour le présentateur mais aussi pour le public qui peine parfois à comprendre.

 

Mais ce problème sera bientôt de l’histoire ancienne car Microsoft a annoncé, au travers d’une vidéo disponible ici, que des légendes ainsi qu’une traduction en temps réel des présentations se présentant sous la forme de sous-titres seront prochainement disponibles en janvier 2019. L’objectif de cette nouvelle fonctionnalité est double : il permettra tout d’abord au présentateur d’être compris par tous mais également de rendre la présentation accessible aux sourds et aux malentendants. A noter qu’à son lancement, la fonctionnalité sera capable de prendre en charge 12 langues parlées différentes mais aussi d’afficher des sous-titres dans plus de 60 langues différentes !

 

Nous avons hâte de pouvoir tester cette nouvelle fonctionnalité afin de vous en dire plus !

 

 

N’hésitez pas à nous contacter, nos experts en solutions digital workplace seront là pour vous accompagner !


 

Le CES 2019, grand-messe technologique annuelle, nous prépare au futur ainsi qu’aux meilleures innovations existantes et à venir. Encore une fois, les nouvelles générations de technologies existantes sont à l’honneur : qu’il s’agisse de l’arrivée de la 5G, des téléviseurs 8K ou des voitures autonomes, l’ensemble bien entendu « connecté », maître-mot de cette édition.

 

 

L’usage au coeur des métiers de l’innovation

L’usage est désormais au cœur des métiers de l’innovation et celui-ci au cœur des enjeux métiers. Un évènement tel que le CES permet de toucher au plus près ces objets « tendance » car pour mieux les comprendre, il est primordial de les expérimenter. De ce fait, le CES est devenu un salon de prédiction des nouveaux usages en lieu et place d’une institution technologique.

En parallèle, nous recherchons continuellement à améliorer l’expérience client, la fameuse UX (expérience utilisateur), en faisant du sur-mesure pour une communauté donnée. S’acculturer est devenu primordial, mais il est désormais nécessaire que la facilité d’utilisation prenne le pas. Pourquoi avoir un téléphone 5G quand la 4G, arrivée en 2009-2010, n’est pas encore totalement adoptée ? On prédit que seul 1 téléphone sur 7 sera 5G en 2025*. Les marques doivent, en plus de maîtriser le marketing de leurs produits, être à la pointe sur leurs différentes propositions technologiques, en cas d’adoption rapide de celles-ci. D’ou la nécessité de remettre les usages et l’expérience au cœur de la technologie.

Si nous prenons le cas des « smart speakers » qui ont fait un tabac en 2018, leur première utilisation reste l’écoute musicale, comme un « speaker » normal. Cela est lié au fait que l’utilisation de la voix avec une interface
est encore une pratique en cours d’apprentissage. Seulement 21% des personnes* possédant un smartphone connaissent la fonctionnalité de reconnaissance par la voix.

 

L’adoption de nouvelles méthodes de travail, vecteur d’innovation

Ces chiffres peuvent sembler étonnants alors que la technologie va toujours plus vite d’année en année, mais l’étude démontre que les français ont une réelle impression de non-accompagnement ou d’aide pédagogique. C’est dans ce contexte que les constructeurs doivent abattre leurs cartes. Les nouvelles méthodes de travail (telle que le design thinking) pour lesquelles les technologies sont interdites afin de mieux les aborder (salle close sans téléphone ou ordinateur) en est un exemple concret. Ces nouvelles méthodes sont didactiques et remettent au cœur de ces enjeux deux éléments : la co-création (soit le travail collaboratif) et la vision utilisateur. Dans le milieu professionnel, les utilisateurs sont impliqués parfois directement dans la création de nouveaux produits pour que la technologie liée soit un outil, réel, qui aide et facilite, et non un frein ou un élément bloquant.

Ce qu’il faut retenir de ce salon c’est qu’au cœur de l’expérience client/ utilisateur, les marques sauront changer leurs innovations pour les rendre facile d’usage voire « commodes ». L’arrivée de nouvelles formes de loisirs tel que l’e-sport et sa population média fragmentée (on ne regarde plus un évènement unique, mais plusieurs parfois simultanément sur différents jeux) amène à repenser l’approche et les usages. Nous parlions naguère de second écran pour les smartphones connectés à la télévision, nous pouvons désormais parler d’environnement « global » où chaque écran, chaque fonctionnalité devra faciliter le loisir ou le travail.

 

Nous arrivons à l’ère de la pratique décrite par Steve Krug « Don’t make me think » pour l’utilisateur. L’utilisateur pense, fait des choix, mais ne doit pas réfléchir à comment utiliser une nouvelle technologie, simplement l’adopter. C’est ici que les entreprises devront accompagner leurs collaborateurs dans la maîtrise des usages actuels et à venir. Hormis le gain de temps facilement mesurable, c’est un réel changement des méthodes de travail et d’organisation (design thinking) qui devra s’opérer pour innover au quotidien en entreprise.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business.

 

*Deloitte Global mobile consumer survey (May 2018)
Article écrit par Yvan Forestier

 


 


Qui est Pulse Origin ?

 

Une entreprise française créée en 2014 par ses deux fondateurs, Benoit GIROUD, serial entrepreneur et développeur ainsi que Franck ROUSSEAU, chercheur et expert dans le domaine des technologies sans fil et des objets connectés, partageant la même ambition : devenir le media center de vos salles professionnelles.

 

L’entreprise a lancé en 2016 son programme “Early Adopter” (groupement d’utilisateurs contribuant à la sélection des nouvelles fonctionnalités et à l’optimisation des services existants) notamment avec des ambassadeurs de marque comme ALTRAN, HEC Paris, GROUPE AB Televisions, SYSTRA ou encore SciencesPo Paris.

 

Sa première solution : la Pulse Box, un outil de projection sans fil universelle la plus simple et sécurisée du marché pour équiper des salles de réunion et de formation.  L’entreprise travaille au travers de réseaux de distribution reconnus sur le marché IT. Sur 2018, c’est déjà plus de 600 Pulse Box vendues auprès de 100 clients en Europe.

 

Pourquoi s’adresser au marché de la salle professionnelle ?

 

Un cadre peut être amené à passer 40% de son temps en réunion. Qui ne s’est jamais posé la question de la raison de sa présence dans certaines réunions ? Ce sont près de 30 millions de présentations Powerpoint diffusées par jour dans le monde où l’interactivité n’est pas de mise. Même si 98% des cadres estiment les réunions nécessaires voire indispensables, 75% d’entre eux pensent souvent y perdre leur temps. Le constat est clair !

 

De plus, l’arrivée d’appareils connectés hétérogènes nécessite aujourd’hui la mise en place d’espaces de travail digitalisés simples, intuitifs et universels (selon Gartner Group, 46% des sociétés ont déjà un espace de travail digitalisé en leur sein, et 27% ont déjà démarré un projet dans cette perspective).

 

La digitalisation des espaces doit permettre aux utilisateurs de libérer et d’augmenter les salles professionnelles. Les libérer de leurs contraintes techniques, en commençant par les câbles, et augmenter leur capacité, notamment en accompagnant de manière plus efficace les interactions entre participant. Une stratégie commune à nos deux entreprises : accompagner la transformation digitale de vos entreprises.

 

Pourquoi une solution de projection sans fil ?

 

Qui n’a pas connu ce démarrage inefficace de réunion avec au choix : un câble HDMI qui a disparu, un câble Ethernet mal branché ou encore notre appareil, ordinateur ou autre, qui décide subitement de ne pas projeter le support si consciencieusement préparé ?

 

Une solution à toutes ces douleurs : la projection sans fil !

 

Pulse Origin propose une première solution lui permettant de rentrer dans la salle. Le but étant de permettre à la salle de se libérer de ses câbles tout en augmentant les possibilités de collaboration efficace. Une solution professionnelle de projection sans fil donne l’opportunité à des équipes de projeter simplement du contenu de n’importe quel type d’appareils en favorisant les interactions.

 

 

Pourquoi choisir la solution de projection sans fil de Pulse Origin ?

 

La volonté est de proposer une expérience utilisateur la plus facile possible dans le cadre d’une action usuelle : projeter du contenu en réunion.

 

Pulse Origin possède 5 atouts principaux :

  • Seule entreprise française sur le marché de la projection sans fil : nos clients apprécient la proximité et l’accompagnement technique
  • Solution simple : nos clients attendent cette expérience optimum pour leurs équipes – aucun accessoire, câble ou applicatif à télécharger
  • Solution universelle : nos clients exigent la possibilité de projeter de n’importe quel type d’appareil de n’importe quelle marque – vous pouvez utiliser vos ordinateurs, tablettes ou encore vos mobiles, peu importe vos préférences : Android, Windows ou Apple
  • Solution sécurisée : étant la seule entreprise du marché issue du monde de l’informatique, nous nous appuyons sur des standards de sécurité éprouvés nous permettant d’assurer une intégration sécurisée dans vos réseaux d’entreprise
  • Solution évolutive : et si demain votre solution de projection vous permettait d’avoir accès à de nombreuses fonctionnalités pour mieux collaborer ? Nous intégrons des services tiers dans notre solution, comme la compatibilité avec le système de réservation de salles développé par SharingCloud.

 

 

Pour qui ?

 

Les utilisateurs de la solution sont les collaborateurs ou bien les visiteurs de vos entreprises privées, les apprenants, enseignants et formateurs des grandes écoles.

 

Pulse Origin compte parmi ses références actives : GRT Gaz, Sopra Steria, Altran, Hays ou encore SciencePo Paris et l’ESSEC. Les équipes travaillent avec de nombreux prescripteurs : les aménageurs d’espaces, les entreprises de conseils tel que Saegus ou encore les DSI externalisés.

 

 

Un partenariat avec Saegus ?

 

La rencontre avec Marc Trilling et David Semhoun, deux des confondateurs Saegus, a été une révélation, tant sur le plan professionnel qu’humain. Une confiance et une bienveillance naturelle nous ont conforté rapidement dans notre souhait de travailler ensemble sur une vision partagée du marché.

 

Notre stratégie dite de Phygital, avec l’idée d’intégrer de manière efficace les atouts du monde digital dans un lieu physique, est commune avec celle de Saegus. Une stratégie que notre entreprise applique au marché de la salle professionnelle.

 

Saegus est un acteur incontournable sur le marché de la digitalisation, de par sa vision avant-gardiste et innovante en termes d’accompagnement de ses clients. Un écosystème proche, nous pouvons donner l’exemple de SharingCloud, partenaire de nos deux entités ; des valeurs communes, tel que la convivialité, le professionnalisme ou encore la proximité ; nous ont permis de renforcer nos liens pour avancer ensemble.

 

Ensemble avec les équipes Saegus, continuons à accompagner les nouveaux modes de collaborations efficaces chez nos clients !

 


Avant de réaliser un atelier collaboratif ou même une session de formation, il est important, voire nécessaire, de préparer les participants à ce qui va suivre et de les mettre dans de bonnes conditions de travail. Pour cela, l’Icebreaker est un exercice idéal car il est court et ludique.

 

En début de projet, un icebreaker permet aux participants d’apprendre à se connaître et d’être à l’aise les uns avec les autres, de fédérer le groupe, de favoriser la concentration, les apprentissages et l’implication de chacun. C’est aussi un bon moyen de commencer à les familiariser avec certaines méthodes de travail collaboratives et créatives venant du Design Thinking.

Utilisé en milieu d’atelier, l’IceBreaker permet de redynamiser les équipes, et d’encourager la pensée créative. Le jeu donne aux participants l’opportunité de découvrir de nouvelles perspectives de réflexion, ce qui stimule l’innovation.

 

Le plus souvent, les IceBreakers se réalisent :

  • avec des outils ou du matériel, afin de favoriser les interactions (feuilles, feutres, objets divers, cartes à tirer, balle, etc).
  • font intervenir le mouvement des participants (jeux debout, échanges de places, de postures, jeux de groupes, etc).

 

Il est très important de savoir chronométrer (TimeBoxer) ce moment car cela influe sur son déroulé et l’objectif que vous vous êtes fixé pour l’atelier.

 

Il existe une multitude de typologies d’ateliers « brise-glace » qui peuvent remplir des buts et enjeux différents selon le contexte. Certains sont connus et reconnus, et fonctionnent selon une méthodologie établie, d’autres sont adaptables et modifiables au besoin. Il est possible de créer ses propres IceBreakers pour qu’ils correspondent idéalement aux objectifs de l’atelier !

 

Voici un petit récapitulatif de quelques objectifs que les ateliers « brise-glace » peuvent remplir :

 

Briser la glace 

  • S’exprimer
  • Apprendre à se connaître
  • Appréhender les états d’esprit de chacun pour l’atelier à suivre
  • Installer un sentiment de confiance dans l’assemblée
  • Transformer des émotions négatives en émotions positives
  • S’amuser

 

Éviter les moments de fatigue ou de perte de concentration

  • Mettre en action (intellectuellement), se concentrer
  • Mettre en mouvement (physiquement), bouger
  • Créer des moments de pauses dynamisantes lors de longs et intenses moments de réflexion (pendant 5 jours de Design Sprint par exemple)

 

Introduire des notions importantes de Focus Group et Ateliers Design

  • Faire réfléchir vite
  • Faire réfléchir autrement
  • Faire collaborer
  • Démontrer la richesse de chaque individu
  • Démontrer la complémentarité de chacun
  • Apprendre des choses sur le projet/sujet à venir

 

Développer/encourager une compétence

  • Développer la créativité
  • Développer l’esprit d’équipe / prendre confiance en autrui
  • Développer la prise de parole individuelle / prendre confiance en soi
  • Encourager au dessin, au croquis
  • Construire / développer son idée
  • Développer ses capacités d’improvisation
  • Prototyper / concrétiser sa pensée

 

Comme vous avez pu le voir, les formats, enjeux et objectifs sont nombreux et c’est à vous en tant qu’animateur de créer votre propre recette gagnante selon vos besoins !

 

 

Besoin d’être accompagné sur vos ateliers collaboratifs ? N’hésitez pas à nous contacter !


Que se passe-t-il chez Saegus ? Voici un aperçu de la vie du cabinet :

 

  • Inauguration des nouveaux locaux du Groupe Saegus !

Vous en avez certainement entendu parler, Saegus a déménagé dans son nouvel environnement connecté le 10 septembre dernier. Véritable surprise pour l’ensemble des collaborateurs, ce projet a été conduit dans le secret par les 3 associés qui ont souhaité offrir des espaces de travail et lieux de vie dans lesquels des infrastructures technologiques de pointe ont été installées. Le phygital est en marche chez Saegus !

Les 4 et 9 octobre derniers, nous avions aussi organisé des soirées d’inauguration pour recevoir clients et partenaires qui ont pu découvrir l’ensemble des espaces et apprécier nos aménagements. Nous les remercions d’ailleurs de leurs présences, de leurs confiance et de leurs encouragements.

Si vous souhaitez découvrir nos locaux, nous nous ferons un plaisir de vous accueillir.

 

 

  • Saegus représenté au World Economic Forum

Saegus était représenté au World Economic Forum Annual Meeting of the New Champions, 2018 qui s’est tenu à Tianjin en Chine, du 17 au 21 Septembre 2018. L’une de nos consultantes était sur place entourée de chefs d’états, ministres, grandes entreprises, startups, sociétés civiles, chercheurs et de la communauté des jeunes décideurs de moins de 30 ans. La thématique de ce forum tournait autour de la 4ème révolution industrielle, de l’impact du digital sur les sociétés de demain et de la façon de se préparer à cette révolution.

Petit aperçu de notre reporter, des rencontres et échanges  :

  • Les rencontres marquantes :

Avec le CEO de Cognitive Scale, la startup qui permet en plug and play de rapidement industrialiser des cas d’usages autour de l’exploitation des données massives.

Avec le CEO d’Engie Chine, avec qui nous avons pu discuter de Digital Twins, de la façon dont le digital et la valorisation des données permettent de rapprocher les clients de la production d’énergie et de son optimisation.

  • La Session la plus inspirante :

Comment la science-fiction permet de prototyper les technologies de demain, avec Bryan Baum, CEO de Blue Vision Labs, une startup de réalité augmentée.

  • La nouvelle technologie inspirante :

Comment à travers l’analyse de la voie uniquement, on peut identifier les caractéristiques physiologiques d’une personne, sa santé physique et mentale et ses traits de personnalités, avec l’exposition du prototype par les chercheurs de l’université Carnegie-Mellon.

  • Le moment d’inspiration :

Une session privée avec Jack Ma, sur la façon dont il a construit son entreprise et ses prochains projets.

 

 

  • Saegus ouvre ses portes à son partenaire Sharing Cloud 

Le 22 novembre prochain, Saegus recevra Sharing Cloud, éditeur dédié à la digitalisation de l’environnement de travail, accompagné de ses clients à l’occasion du lancement de leur club utilisateurs, Sharing Club. Ils ont souhaité recevoir leurs clients dans nos locaux qu’ils ont équipé et pour illustrer les solutions aux défis majeurs des organisations : l’optimisation des espaces de réunion et des salles de visioconférence. Nous-même chez Saegus, nous avons observé la simplification du parcours utilisateur dans nos locaux et l’accès optimal aux ressources et services qui y sont disponibles.

 

 

  • Saegus sera présent au salon des Rencontres Internationales Digital Workplace des 27 & 28 novembre prochains

Nous serons présents à la 17ème édition qui se tiendra aux salons Hoche en compagnie d’un panel d’intervenants – Président, DSI, Dircom et responsables de projets Intranet et Digital Workplace. 

Marc Trilling, notre Président Saegus responsable des activités Digital Workplace, interviendra le mercredi 28 novembre aux côtés de notre client Bertrand Langlois, Directeur de la Transformation Digitale chez Technip, pour expliquer quelles sont les meilleures pratiques du marketing produit permettant de booster l’adoption de dispositif Digital Workplace. Nous enrichirons le discours en évoquant la façon d’appréhender le marché, de sensibiliser et engager les cibles et de promouvoir les meilleurs produits et services DW.

 

 

  • Saegus forme les étudiants de l’école d’ingénieur ECE au Design Thinking 

Nos experts consultants membres de la Saegus Institute, notre centre de formation certifié, interviennent à l’ECE pour dispenser des cours de Design Thinking aux étudiants suivant une option OA Design.

Ateliers, cas pratiques et projections concrètes au coeur des projets menés par les étudiants sont prévus pendant le 2ème semestre 2018 pour former les futurs ingénieurs aux approches Design Thinking et à l’UX en général.

Il nous a semblé intéressant de s’adresser à des étudiants dans le cadre de nos formations pour les sensibiliser à ces nouvelles méthodes qui leur permettront de travailler – plus tard – avec des professionnels du marketing et des créatifs.

Il s’agit donc de combiner au maximum les compétences analytiques prêtées aux uns avec les compétences intuitives dont seraient pourvus les autres.

 

 

  • Retour sur le premier rendez-vous du Club Digital Workplace… et lumière sur le prochain !

Le Digital Workplace Lounge est le club pensé par Saegus pour ses clients. Ce temps fort rassemble les acteurs du Workplace et permet les échanges autour des problématiques workplace du moment. Saegus se place comme catalyseur et organise ces rencontres trimestrielles.

Le premier rendez-vous s’est tenu le 5 juillet dernier, chacun des membres ayant présenté et exposé ses problématiques, ses échecs et ses réussites à ses confrères. Ce fut un réel moment de partage et de confessions dont Saegus est fier d’être l’ambassadeur.

Pour le second rendez-vous qui se tiendra le 13 décembre prochain, nous proposerons de débattre autour des retours d’expériences et des tendances partagés lors de la « Rencontre Internationale Digital Workplace, Intranet, RSE » de novembre à laquelle Saegus s’est associé. Nous aborderons plutôt les thématiques liées aux enjeux que nos clients nous ont communiquées lors de la 1èrerencontre :

  • Comment s’inspirer des meilleures pratiques produit pour booster l’adoption de votre dispositif Digital Workplace. Retour d’expérience de Technip proposée par un des membres du Workplace Lounge : Bertrand LANGLOIS
  • Les managers, acteurs de la transformation digitale – Engager sur la durée les managers dans les nouvelles pratiques collaboratives
  • La notion de “Hub Social-Collab”, comment urbaniser entre Intranets, outils métier, RH, espaces collaboratifs, social groups, relations externes (partenaires, clients, …) sans discontinuité (desktop, mobile, etc.)
  • La place de l’IA dans le Digital Workplace – Les plateformes de demain

 

 

Et sinon, nous poursuivons nos interventions sur le plateau de BFM Business pour vous livrer nos insights sur des sujets tech et digitaux :

 

  • Le 16 juin dernier, c’était Aurore Pinel, Responsable de la Saegus Institute, qui était intervenue sur le plateau du 01 Business Forum l’Hebdo, afin de nous parler de la formation professionnelle.  

Aujourd’hui, la formation professionnelle s’avère une nécessité pour demeurer à jour dans son domaine. L’entreprise doit pouvoir jouer un rôle, notamment via les RH qui devraient coacher les collaborateurs et ne pas uniquement se reposer sur des catalogues de formations, parfois un peu vieillissants. Ici, Aurore Pinel expose aux autres intervenants l’importance des formations professionnelles qui doivent être tournées vers le futur et très régulièrement mises à jour afin de suivre le rythme soutenu des innovations.

Vous pouvez télécharger l’étude faite avec notre partenaire Odoxa ou relire l’article complet.

 

  • Le 15 septembre, Thibault Van Caenegem, Responsable pédagogique et Manager chez Saegus, est intervenu à son tour afin de nous parler de l’importance du numérique à l’école.  

La rentrée scolaire a soulevé de nombreuses questions est notamment celle du numérique à l’école. Dorénavant, l’école possèdera un rôle majeur dans l’apprentissage du numérique et sur son impact dans nos sociétés. A titre d’exemple, les écoliers pourront ainsi apprendre à coder dès l’école primaire. Thibault Van Caenegem, lui même développeur amateur, explique que l’apprentissage du code est une excellente chose pour apprendre la structure, la rigueur et l’organisation.

N’hésitez pas à revoir l’émission icitélécharger l’étude réalisée avec notre partenaire Odoxa ou encore relire l’article consacré à ce sujet.

 

  • Le 18 octobre, Thibault Van Caenegem, est revenu sur le plateau afin de nous parler de la tendance Green Tech.  

Suite au rapport du GIEC sur la situation climatique, dénonçant une augmentation du réchauffement à +2°c ou 3°c d’ici une trentaine d’années, il est impératif de changer nos modes de vie dès aujoourd’hui. Doucement mais sûrement, les différents acteurs étatiques ou encore associatifs essayent d’oeuvrer en faveur du climat en mettant en place des technologies respectueuses de l’environnement. Thibault Van Caenegem a pu exposer son point de vue sur les initiatives lancées par de nombreux acteurs en France, mais qui demeurent mal-connues. 64% des Français n’ont en effet jamais entendu parler de technologies vertes.

Vous pouvez revoir l’émission récente ici, télécharger l’étude réalisée avec notre partenaire Odoxa ou encore relire l’article sur ce sujet afin d’avoir plus d’informations.

 

Si vous souhaitez être accompagné par nos experts, n’hésitez pas à nous contacter.

 


Vous vous en êtes très certainement aperçus : attirer, accueillir et retenir des talents ne requiert plus les mêmes ingrédients aujourd’hui que quelques années auparavant. Progressivement, vous voyez arriver sur le marché et dans vos équipes, une population pour qui le digital et la connectivité ne sont pas juste des outils, mais un mode de vie. Et cette population, il va falloir la chouchouter : quand d’ici 2025 elle représentera les trois quarts de la population active, c’est sur elle que reposera toute la croissance de votre organisation.

 

 

Ceci dit, ne vous attendez pas à une course au salaire, car si ce critère conserve une certaine importance, votre priorité se situera tout autre part. Pensez-y : dans un contexte où les entreprises sont à l’affût de tout nouveau levier de rentabilité et où les forces de travail sont de plus en plus dispersées sur le globe, l’enjeu est de faire communiquer vos collaborateurs, de libérer leur potentiel maximum, bref, de les remettre en tant qu’humains au centre de vos préoccupations.

 

D’ailleurs, vous l’aviez sûrement déjà compris et avez investi dans des outils améliorant non seulement la productivité, mais aussi la collaboration. Plateforme de chat pour communiquer, réseau social d’entreprise pour partager, suite d’outils de coédition ou encore espace de stockage partagé dans le cloud : niveau Digital Workplace, vos salariés sont parés. Mais qu’en est-il de leur environnement physique ?

 

Chez Saegus, nous pensons qu’à l’heure où le salarié possède en moyenne 4 terminaux et bien plus d’outils dématérialisés, qu’il navigue chaque jour entre bureaux, salles de travail, domicile et autres activités extérieures, il devient essentiel de pouvoir lui offrir une expérience où tous ses différents lieux et outils se fondent dans une cohérence parfaite. Si en plus, on prend en compte le fait que pour 78 % des représentants de la fameuse « Génération Y », la qualité du lieu de travail est un critère clé dans le choix de son futur employeur, la conclusion vient d’elle-même : plus qu’un espace de travail digital, c’est un espace de vie phygital dont ils ont besoin.

 

 

On vous propose une avance rapide dans les prochaines années, lorsque les entreprises auront réellement investi dans les technologies de l’immobilier, comme elles sont 63 % à en avoir l’intention aujourd’hui.

 

Voici un cas concret d’un espace de travail phygital au service de l’utilisateur :

Aline, manager qualité dans un grand groupe industriel, a prévu une réunion de préparation d’audit dans une usine en Pologne avec les responsables locaux à distance et l’auditeur externe en présentiel. Elle réserve une salle de visio-conférence et avertit de l’arrivée prochaine d’un invité. La salle est prête, la réservation s’affiche le jour J sur le roompad à l’entrée de celle-ci indiquant l’heure de réunion, la durée et le nom d’Aline. A son arrivée, l’auditeur renseigne à l’accueil son nom et celui de son contact dans l’entreprise, et Aline reçoit immédiatement sur son téléphone la notification de sa présence dans les locaux. Finissant une réunion, elle notifie via chat son invité de patienter dans l’espace d’accueil puis vient le chercher. Dans la salle réservée, l’écran connecté a déjà lancé la session de visio-conférence avec les responsables polonais et la réunion peut commencer immédiatement. Durant la session, les interactions et commentaires sont notés sur le tableau numérique, ainsi visibles de chaque côté de la réunion. Chacun en reçoit une copie en fin de réunion. Aline peut retourner travailler sur sa prochaine réunion dans son espace de coworking, non sans avoir vérifié auparavant la disponibilité des postes de travail sur son application dédiée.

 

 

Gain de temps et de productivité seront au rendez-vous, nous en sommes persuadés, tout comme les 65 % de collaborateurs qui estiment que l’alliance du digital et de l’immobilier améliorent leur développement professionnel. Mais au-delà de cela, c’est le bonheur au travail du salarié qui s’en trouvera boosté. Nous y croyons tellement que c’est dans cette logique que nous avons conçu nos nouveaux locaux. Le marché regorge d’acteurs concernés : architectes d’intérieur, revendeurs audio/ vidéo, intégrateurs spécialisés, mais aucun n’est en mesure de garantir que l’ensemble proposera une expérience cohérente, intégrée et compatible avec vos propres plateformes d’entreprises. Alors plutôt que de vous en vanter encore les mérites, pourquoi ne pas passer nous voir et constater par vous-même ce que le phygital peut vous apporter ?

 

Contactez-nous, nous nous ferons un plaisir de vous partager notre vision d’un espace de travail connecté et phygital.