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Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

 

#1

Que retenir de Viva Technology 2019 ?

 

Depuis sa création en 2016, Viva Technology est devenu le rendez-vous incontournable des start-ups et des passionnés de nouvelles technologies. Pour l’Institut du Commerce Connecté (ICC), Viva Technology fut l’opportunité de mettre en lumière les nouvelles tendances, dont trois ont retenu notre attention :

 

Le machine learning

L’intelligence artificielle est plus qu’une tendance, il s’agit d’une profonde mutation de notre façon de vivre et de travailler. Cette évolution significative est due à la fabrication d’ordinateurs de plus en plus puissants, d’un investissement massif des entreprises dans ce domaine, de solutions cloud où il est possible de stocker plus de données et de notre quotidien devenu plus connecté.

 

De nouvelles interfaces

Que ce soit dans le monde du travail ou chez le particulier, les personnes interagiront avec des interfaces faisant appel à la voix, aux gestes, à la réalité virtuelle et augmentée. Avec l’aide de l’IA, les technologies deviendront de plus en plus intuitives et aideront mieux les utilisateurs à communiquer avec leur environnement.

 

L’intégration de l’IA dans le marché du travail

Le marché du travail est confronté à une contradiction : aujourd’hui, les entreprises font face à un manque de certains profils qualifiés, tandis que dans le même temps, le chômage touche les jeunes et les seniors en recherche d’emploi. Dans ce contexte, l’IA peut apporter une plus-value en automatisant certaines tâches et ainsi permettre au DRH de se concentrer sur celles plus importantes. Par ailleurs, ce sujet a fait l’objet d’une analyse par trois de nos saegusiens lors d’une expédition à Viva Technology en mai dernier.

@VivaTechnology

 

 

#2

Voici quelques notions sur Notion

Le marché des applications Workplace, bien que dominé par des acteurs majeurs, laisse encore de la place à de nouvelles solutions peu connues des entreprises. C’est pourquoi, ce mois-ci, nous avons décidé de vous présenter une de nos trouvailles : Notion.

Notion, c’est d’abord son fondateur Yvan Zhao qui décrit son produit comme l’alter-ego de Slack. Il part du constat que Slack peut se connecter à d’autres outils, mais qu’il ne fait qu’envoyer des notifications. Le fondateur de Notion observe aussi que les collaborateurs utilisent trop d’outils différents pour réaliser plusieurs tâches. En se basant sur ces faits, il développa une solution permettant aux personnes de retrouver leur travail en un seul et même endroit et de booster leur productivité à travers quatre dimensions : la prise de notes et la rédaction de documents, la capitalisation des connaissances, la gestion de projets et les bases de données.

Sans savoir coder, les collaborateurs seront en mesure de personnaliser rapidement leur propre environnement de travail à l’aide de « modules » basés sur des données. Ils peuvent ainsi créer des tableaux de tâches, des requêtes clients et des pages wiki. Par ailleurs, Notion s’adresse avant tout à du travail de collaboration en équipes plutôt qu’individuel : « Lorsque nous travaillons en équipe, le plus important est que les données soient bien structurées » explique Zhao dans une interview accordée au site The Verge.

Disponible aussi sur smartphone, le produit existe en version gratuite et payante. Le prix de la version payante commence à 4 dollars par mois pour la version individuelle et jusqu’à 8 dollars par mois et par membre pour une équipe. Il y a enfin la version “full package” pour les entreprises à partir de 20 dollars par mois et par membre.

 

@Notion

 

 

#3

Spatial n’est pas le nom d’un programme de la Nasa…

… mais celui de notre deuxième trouvaille que nous souhaitons vous présenter. Cette jeune pousse de la tech veut révolutionner la collaboration à l’aide de la réalité augmentée. L’idée d’Anand Agarawala et Jinha Lee, les fondateurs, est de transformer l’environnement de travail en un lieu augmenté et partagé autour de trois piliers : la téléportation, la visualisation d’idées et les extensions sur les appareils électroniques.

Nous n’en sommes pas encore à un système de téléportation digne de celui de Star Trek, mais celui de Spatial pose les bases. La solution propose aux employés de collaborer, créer des idées ou partager du contenu comme si d’autres collaborateurs étaient présents physiquement dans la pièce ou seulement virtuellement, sous forme d’avatar. Ce dernier est généré à partir d’une photo en 2D en moins de deux minutes.

Spatial offre la possibilité d’organiser des idées et de partager des contenus depuis un serveur local ou OneDrive, où les documents sont sauvegardés. Les industriels devraient s’intéresser davantage à la partie immersion qui permet de visualiser des modèles en 3D. La projection, quant à elle, se fait soit sur le mur soit au centre d’une pièce. Il est aussi possible d’avoir accès à ses contenus depuis n’importe quel appareil : smartphone et ordinateur.

Aujourd’hui, la solution est disponible sur Teams, mais la start-up souhaite à l’avenir s’intégrer dans plus de logiciels comme Slack. Elle veut également augmenter le nombre de participants possibles, qui est limité jusqu’à présent à 16 participants par session. Le seul hic reste son prix élevé (somme à six chiffres).

 

@Spartial

 

Pour consulter l’ensemble de notre veille, pouvez télécharger nos insights workplace ici !

 

 


Contexte et défis

Au sein d’une institution bancaire comme la Société Générale, les moyens de communication peuvent pâtir de limitations sécuritaires, notamment avec l’extérieur. Partager, via une application interne, des informations telles que des postes de réseaux sociaux Twitter n’était possible, a priori, qu’au prix d’études de faisabilité longues et fastidieuses. Dans ce contexte, notre client a fait appel à nos équipes pour vérifier rapidement si une telle application était réalisable et quelle en serait sa proposition de valeur, au travers d’un MVP (Minimum Viable Product).

 

Démarche

Nos équipes ont procédé par étape et ont été capables, en 2 jours, de livrer un MVP selon la logique suivante :

 

• 1ère demi-journée :  l’interview des utilisateurs cibles.

Assurer la pertinence du projet et suivre une démarche user-centric.

 

• 2ème demi-journée :  le prototypage de l’application.

Création de l’arborescence et des premiers contenus.

 

• 3ème demi-journée :  revue de l’application.

Test de l’application auprès des utilisateurs cibles et du commanditaire.

 

• 4ème demi-journée :  l’intégration des retours.

Livraison d’un MVP répondant à l’ensemble des besoins exprimés par le commanditaire et les utilisateurs.

 

Résultats

  • Validation de la désirabilité du produit par les futurs utilisateurs

  • Élaboration d’un backlog et estimation du budget nécessaire au projet en une semaine

  • 30K€ de budget débloqué pour développer l’application par un développeur

  • Vision produit enrichie entre le product owner et les développeurs grâce au MVP et au backlog

 

 

 

 

 

Retrouvez l’ensemble du business case avec des informations complémentaires en le téléchargeant :

 


 

À l’occasion de son événement Microsoft Ignite en 2017, Lori Wright, General Manager pour les produits Teams et Skype, avait annoncé le remplacement de Skype for Business (online) par Teams. Si la nouvelle a été accueillie de manière positive par les experts IT, elle a cependant soulevé des interrogations et des inquiétudes chez les clients. En parallèle, la montée en puissance de nouveaux concurrents tels que Slack a fait prendre conscience à Microsoft qu’il devait frapper fort en proposant un produit capable de les concurrencer. Teams est ainsi né.  

 

Depuis, Teams n’a cessé de faire parler de lui. Les résultats d’une enquête menée en juillet 2018 par Spiceworks, réseau de professionnels du secteur des technologies de l’information, montre que l’adoption de la plateforme collaborative connaît une croissance tellement rapide qu’elle devrait devenir la deuxième plus grande application de chat en milieu professionnel d’ici 2020, dépassant à la fois Slack, Facebook Workplace et Google Hangouts. L’étude met aussi en avant le taux de pénétration de Teams, passé de 3% en 2016 à 21% en 2018. Mieux encore, elle prédit que Teams atteindra 41% de part de marché d’ici 2020, tandis que Slack n’en occupera que 18% et Google Hangouts 12%. Ainsi se pose la question de l’avenir de Skype for Business face à Teams.  

 

Aujourd’hui, la roadmap de Microsoft s’inscrit dans la volonté de rationaliser, de mieux intégrer entre eux les différents services du Digital Workplace. Contrairement à Skype for Business, Teams a été conçu pour être plus qu’un simple outil de communication. Il propose un hub de collaboration complet, favorisant le travail en équipe et la communication. Maintenant, les collaborateurs ont la possibilité de créer des équipes par projet, de centraliser et partager les documents, de fixer des rendez-vous, de participer à des téléconférences audios et vidéos… L’écosystème permet aussi d’ajouter les connecteurs d’Office 365 tels que SharePoint, Power BI, Planner mais aussi des connecteurs externes (Trello, Adobe ou encore open Agora). Microsoft passe ainsi d’un outil dédié aux communications (Skype) à un service qui devient le point central de la collaboration dans l’entreprise. C’est pourquoi l’éditeur a tout intérêt à encourager ses clients à migrer de Skype for Business vers Teams. 

 

 

Comment migrer de Skype à Teams ? Il est nécessaire de prévoir un projet de transition et son adoption 

La transition consiste à établir le plan permettant de passer d’un environnement “full Skype” à un environnement “full Teams” soit de manière progressive en ajustant les fonctionnalités disponibles dans Skype et Teams pour qu’il n’y ait jamais de doublons (messagerie instantanée, appels, visioconférences), soit de manière plus agressive si le taux d’utilisation de Teams est déjà conséquentLa phase d’adoption consiste à faciliter l‘appropriation des nouveaux services. Compte tenu des changements conséquents entre Skype et Teams, que ce soit au niveau de l’interface que des services proposés, l’accompagnement utilisateur n’est pas à sous-estimer. 

 

Avec les nouveaux usages apportés par Teams, les entreprises ont aujourd’hui l’opportunité d’accélérer leur transformation digitale. Si ces dernières décident de rester sur Skype for Business, elles doivent avoir conscience qu’elles se privent de leviers d’efficacité et de productivité pour leurs collaborateurs, et se ferment également à toutes les futures mises à jour (Microsoft a confirmé que Skype ne proposerait plus d’évolutions fonctionnelles). Ainsi, Microsoft affiche clairement son ambition d’encourager les entreprises à continuer les migrations vers Teams. Le but étant d’en faire LA plate-forme qui réunit les fonctionnalités de communication offertes par Skype for Business et les exigences en matière de collaboration pour les professionnels.  

 

Alors, êtes-vous prêt à faire le grand saut ? 

 

Notre équipe Digital Workplace se tient à votre disposition pour vous accompagner dans votre transformation digitale, contactez-nous !  

Le 18 mai dernier, Saegus a envoyé trois explorateurs au Salon Viva Technology afin de découvrir et de tester les dernières innovations. Cette année, le programme est chargé en mettant à l’honneur plusieurs thématiques : la place des femmes dans la tech, les start-ups licornes, la santé, la mobilité ou encore les nouveaux talents. C’est ce dernier thème, qui a principalement retenu l’attention de notre équipe d’exploration.

 

Si vous souhaitez découvrir l’impact des nouvelles technologies dans le recrutement des nouveaux talents, téléchargez notre analyse !

 

 

© SIPA VIVA TECHNOLOGY

 

 

 


Le secteur du sport vit une importante transformation ces dernières années. Le sport devient un mode de vie et se mesure. Les marques d’objets connectés ne sont pas en reste et ont compris très vite la montée en poupe de cette tendance qui plébiscite le tracking d’activités et la performance.

Les innovations technologiques pleuvent tandis que les sports traditionnels vivent une évolution qui dynamise l’économie du secteur.

Yvan Forestier, notre Directeur Design & Technologie, s’est entretenu à ce propos dans l’émission de Frédéric Simmotel. Aux côtés de la Directrice des Opérations de SAP et d’Emile Leclerc, notre sondeur, ils ont fait état du boom que vit le milieu sportif, les habitudes des Français dans leur pratique et l’utilisation des objets connectés.

 

Faire du sport et mesurer sa performance 

Le secteur du sport est depuis quelques dizaines d’années un lieu d’innovation et de technologie important ou chaque seconde de performance gagnée, chaque analyse ou mesure de mouvement, permet de mieux comprendre son entrainement, sa santé, sa pratique.

Avec l’arrivée des objets connectés, un nouvel intérêt a émergé et permet aux Français de pratiquer plus facilement du sport, urbain pour beaucoup, où la ville et ses alentours devient un terrain de jeu, une fois équipé de sa montre connectée, de ses chaussures GPS ou de sa ceinture thoracique. De l’escalade, au foot, en passant par le trail et la randonnée, les applications sont multiples et les objets se démultiplient à une vitesse fulgurante. Si les grands acteurs de l’industrie sont déjà fortement en avance, de nombreuses start- ups proposent chaque année des dizaines de produits innovants pour mesurer à la fois sa performance et rendre la pratique plus facile d’accès et ludique.

 

Plus de technologies adaptées à nos modes de vie 

Un point intéressant de l’étude est de démontrer la capacité de suivre sa santé au quotidien. Changer sa manière de vivre par une habitude sportive plus fréquente, permet à chacun de suivre avec une précision méconnue auparavant sa santé, ses forces, ses faiblesses dans sa pratique sportive. Les Français y voient d’ailleurs un outil rassurant de suivi qui pourra être demain, si l’on se projette, un outil de prévention plus global et cela sur l’ensemble des objets de mesure (mesure du pouls, de la sudation, des mouvements).

Le sport passe désormais de l’exercice physique au mode de vie, c’est pourquoi aussi sport et technologie seront côte à côte et de plus en plus liés. Parce que l’avenir comprend le fait que le sport et les vêtements ou objets ont déjà changé dans le présent – de l’exercice physique au mode de vie – cela modifie également les exigences imposées aux fabricants. Il ne suffit plus de fabriquer des objets connectés de sport. Les entreprises doivent maintenant brouiller les frontières entre travail et loisirs, voire entre travail et fitness.

 

Les objets connectent vie privée et vie professionnelle

La société Alter Ego dans ce cadre, propose des programmes sportifs personnalisés, alliés à une application mobile, afin d’aider les salariés à se sentir mieux au travail par le biais du sport.

En effet, de plus en plus de personnes s’entraînent maintenant pour se rendre du travail à la maison ou chez eux dans le salon. Ainsi le vêtement sportif est omniprésent, et hors d’un contexte sportif il est porté comme vêtements de tous les jours, dans un contexte professionnel ou personnel. Un bel exemple est Clim8 et ses vêtements possédant une technologie thermique intelligente.

Il est à noter que la confiance est fortement présente dans les technologies sportives et connectées et outre mesure, le système de suivi des données devra être rassurant pour les utilisateurs afin d’être capable de sécuriser les données dites confidentielles, notamment sur la santé. Nous pouvons préciser que les nombreuses technologies du sport sont généralement issues du domaine de la santé et elles bénéficient ainsi des innovations de ce domaine pour le grand public.

 

De l’éthique du sport  

Et dans un intérêt plus général, les objets connectés révolutionnent aussi les pratiques. Dans la plupart des sports collectifs, GPS, accéléromètre, cardiomètre, sont rassemblés dans un seul objet ergonomique étudié pour son confort au quotidien. Ces technologies vont ici avoir deux buts premiers, : aider les entraineurs et coachs sportifs à mieux comprendre leurs joueurs, les tactiques mises en place et les performances qui y sont liées. Mais aussi cela permettra au public de suivre et comprendre en direct des stratégies avancées via leur smartphone lors de la retransmission d’un match et d’analyser ensuite entre amis quelles solutions ont été utilisées dans un match pour mieux comprendre leurs équipes.

Outre ces statistiques qui vont améliorer l’expérience du spectateur, une réelle envie de sports plus justes dans l’arbitrage notamment est une réelle volonté souhaitée par les Français dans cette étude. De la goal line technology d’aujourd’hui, nous pouvons déjà imaginer le vêtement connecté de demain qui pourra indiquer précisément aux arbitres l’impact de la faute et ses conséquences. La société TibTop et son protège tibia connecté en prend d’ailleurs la direction. Un bond dans le futur que nous pouvons nous permettre et où il est possible de visualiser déjà les sports de demain.

 

Equipé de lunettes connectées et vous voilà à reproduire des sports virtuels en outdoor sans forcément posséder les accessoires requis. Le mélange de la technologie et du sport en extérieur ou intérieur peut faire émerger des nouvelles pratiques ludiques qui bien souvent deviennent de véritables phénomènes de la vie des Français. L’évolution de la pratique de la course à pied est un de ces nombreux exemples.

Technologie et innovation, en mettant le besoin de l’humain au centre de ses problématiques, créent véritablement de nouvelles manières d’aborder son quotidien.

 

Découvrez l’analyse complète au travers de notre étude réalisée conjointement avec Odoxa Sondages.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business en replay.

 


Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

 

 

#1

Dans la famille Microsoft, je veux le Surface Hub 2S 

 

Microsoft, à ses débuts, était un éditeur de logiciel qui a rapidement entrepris de moderniser et d’élargir son catalogue. Ce tournant fut récemment marqué par la première Surface Hub en 2015 qui, quatre ans plus tard, accueille sa version 2S.

 

En lançant cette nouvelle génération, Microsoft a compris que l’espace de travail traditionnel est révolu et qu’il tend à devenir phygital, contribuant ainsi à la collaboration. Cela se traduit par travailler en équipe depuis n’importe où et n’importe quel appareil. En effet, le nouvel écran permet de projeter un contenu depuis un ordinateur, une tablette ou encore un téléphone sans fil grâce à Miracast.

 

Le Surface Hub 2S offre aussi un accès à Office 365 permettant aux utilisateurs de collaborer simultanément sur plusieurs applications. Il est ainsi possible de brainstormer sur Microsoft Whiteboard tout en échangeant avec ses collègues via Teams sur l’écran.

 

Le travail d’équipe est enfin favorisé à travers les supports du Surface Hub 2S. Ces derniers permettent un mode carrelage, où quatre surfaces hub sont collés côte à côte, et un mode paperboard à l’aide du support à pied.

 

Microsoft espère ainsi améliorer l’expérience utilisateur grâce au Surface Hub 2S.

 

 

Crédits Microsoft     

 

 

#2

Google Currents : un tournant déterminant pour Google ?

 

Avis aux utilisateurs de G suite ! Google va remplacer Google+, l’actuel réseau social des entreprises, par une nouvelle plateforme baptisé Google Currents.

 

Google Currents présente les principes classiques d’un réseau social puisqu’il est possible de publier son statut, de partager des liens, de chercher des discussions à partir de mots-clés et d’échanger entre collaborateurs. Mais le géant de web a aussi ajouté de nouvelles fonctionnalités, à savoir générer des tags afin de suivre des conversations ou des thématiques, créer un flux de contenus personnalisés ou encore afficher les messages des dirigeants toujours en premier afin d’être vus de tous.

 

Google n’a pas donné de précisions sur le design de l’interface. Nous savons seulement que le graphisme sera différent par rapport à son prédécesseur.

Le géant du web a tenu à préciser que tout le contenu Google+ sera automatiquement transféré vers Currents une fois les entreprises inscrites à la version bêta.

 

Google mise ainsi sur une plateforme facilitant les échanges au sein de l’entreprise. Il ne faut toutefois pas compter sur une révolution en termes de fonctionnalités par rapport à ses concurrents.

 

Chez Saegus, nous avons envie de lui laisser sa chance pour nous en faire notre propre idée. Nous espérons juste qu’il ne rejoindra pas son confrère Google+ au Google Cemetery.

 

Crédits Google 

 

 

#3

Petit tour d’horizon des nouveautés sur Teams

 

Microsoft a récemment annoncé un certain nombre de nouveautés concernant l’application Teams. Focus sur trois nouvelles fonctionnalités qui ont retenu notre attention chez Saegus.

 

Il est maintenant possible d’ajouter un membre dans une Team privée sans en être le propriétaire. Au nom de la personne qui souhaite rejoindre l’équipe, un membre peut ajouter une personne à l’aide du bouton « Ajouter un membre ». Le propriétaire reçoit une notification indiquant la requête et la personne ajoutée reçoit une notification une fois l’invitation validée.

 

Microsoft Teams a pensé à l’ajout d’une nouvelle fonctionnalité permettant de cacher des équipes et des chaînes, afin d’éviter les encombrements et de se focaliser sur l’essentiel. Les utilisateurs peuvent toutefois, à tout moment, retrouver la liste des éléments cachés dans « Equipes cachées ».

 

Enfin, Microsoft a déployé la fonctionnalité « fichiers de restauration ». En lien avec l’application SharePoint, l’objectif est de permettre aux administrateurs et aux propriétaires de site de restaurer des fichiers supprimés au cours des 30 derniers jours. Cela est très utile en cas de suppression de l’utilisateur final, de corruption de fichiers ou d’infection par des logiciels malveillants.

 

 

Crédits Microsoft

 

 

 

#4

Facebook Workplace un nouveau look pour une meilleure expérience ?

 

À l’occasion de la conférence Facebook F8, Marc Zuckerberg a annoncé des nouveautés, dont l’évolution du design de Facebook Workplace.

 

Le concurrent de Slack et Teams a expliqué s’être basé sur les retours des entreprises utilisant Facebook Workplace en version beta test pour identifier les axes d’amélioration et ainsi proposer une version qui répond mieux aux attentes.

 

Ainsi, Facebook Workplace propose un nouveau design de toutes les interfaces de la plateforme afin d’offrir une navigation plus visible et accessible aux utilisateurs. Le but est de trouver rapidement ses informations et de basculer facilement entre ses groupes, ses notifications et la messagerie instantanée.

 

Cette refonte s’accompagne d’une amélioration des fonctionnalités, comme la possibilité de rétracter le menu de navigation afin de se concentrer sur le contenu ou de filtrer les notifications.

 

En Février 2019, Facebook déclarait avoir 2 millions d’utilisateurs payants sur son réseau social d’entreprise depuis sa création. Reste maintenant à savoir si ces modifications vont convaincre de nouvelles entreprises à installer Facebook Workplace et ainsi augmenter le nombre d’utilisateurs.

 

 

Crédits Facebook

 

 

#5

 Security Policy Advisor ? Microsoft vient à la rescousse des DSI

 

La cybercriminalité, ou cybersécurité, sont des sujets prioritaires pour les entreprises. Ces dernières investissent massivement dans ces domaines et sont parfois un casse-tête pour les DSI lorsqu’il s’agit de définir des politiques de sécurité.

 

Pour répondre à ce problème, Microsoft a annoncé le lancement d’une pré-version de Security Policy Advisor. L’objectif ? Réduire la complexité de création et de gestion des politiques de sécurité en facilitant le travail des responsables informatiques.

 

Le maître mot est de proposer un service qui s’adapte aux usages de l’utilisateur. Security Policy Advisor vise à analyser l’usage d’Office 365 afin de proposer ensuite une stratégie personnalisée. En complément, le service fournit des recommandations de politiques ou des informations sur l’impact de ces dernières sur le reste des fonctionnalités d’Office. Ainsi, cela permet de « prendre des décisions en toute connaissance de cause », ajoute Jared Spataro, Corporate Vice President de Microsoft 365.

 

Enfin, Security Policy Advisor applique en un seul clic les politiques de sécurité configurées qui peuvent à tout moment être modifiées.

 

Crédits Microsoft

 

 

#6

Slack adresse une fonctionnalité aux non-développeurs dans l’âme

 

À l’occasion de son événement annuel qui se déroulait à San Francisco, Slack a annoncé un ensemble de nouvelles fonctionnalités, dont Workflow Builder.

 

Workflow Builder va permettre d’automatiser des tâches simples et basiques sans taper des lignes de code. Bonne nouvelle pour les personnes novices sur ce sujet !

 

Le premier usage identifié est l’envoi de messages automatisés et personnalisés lorsqu’un utilisateur rejoint un espace de travail ou un canal. Slack prend comme exemple l’automatisation d’un message d’orientation envoyé aux nouveaux employés qui rejoignent le canal pour la première fois.

Le second cas d’usage est similaire à un self-service puisque les collaborateurs peuvent effectuer plusieurs demandes : poser des congés, commander des cartes de visite ou encore demander un ordinateur auprès du service informatique.

 

Slack confirme ainsi sa volonté de simplifier son accessibilité auprès de l’utilisateur final et de ne plus prétendre à être un simple outil de communication entre collaborateurs.

 

Crédits Slack

 

 

 

#7

Meeting Insights :  de l’IA dans l’organisation de vos réunions

 

Avez-vous déjà rêvé d’avoir un assistant virtuel pour organiser vos réunions, vérifier si une salle est disponible ou encore de ranger les documents de travail ? Si oui, sachez que Microsoft réalise votre rêve.

 

En effet, l’éditeur a développé la fonctionnalité Meeting Insights en intégrant une dose d’intelligence artificielle à sa messagerie Outlook. À l’aide de cette dernière, les managers et les collaborateurs ont à disposition une fonctionnalité qui désormais collecte automatiquement les éléments nécessaires à la planification d’un événement : création de réponses automatiques, anticipation des disponibilités des participants ou encore suggestion automatique des salles de réunion disponibles. Cette fonctionnalité permet aussi d’aller rechercher des documents de travail relatifs aux anciennes réunions pour pouvoir préparer les prochaines.

 

Toutefois, si l’utilisateur n’est pas satisfait, il est toujours possible de désactiver la fonctionnalité.

 

Le seul point négatif est sa disponibilité uniquement sur la version online d’Outlook.

 

Crédits Microsoft 

 

Nos experts en solutions digital workplace sont là pour vous accompagner, contactez-nous !

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Ces géants du web, parfois créés dans un garage, sont devenues les plus importantes capitalisations boursières mondiales, valorisées tout autant que les PIB de l’Allemagne, du Royaume-Unis ou encore de la France. Pour autant, ils sont de plus en plus décriés pour leur côté hégémoniques, leurs pratiques fiscales et leur souveraineté. Marc Trilling, notre CEO, a participé à la dernière émission 01 Business Forum sur BFM Business à leur sujet.

 

 

Le poids des GAFAM

4ème puissance mondiale. C’est ainsi que l’on pourrait classer les GAFAM en cumulant leur valorisation boursière (plus de 3000 milliards de dollars), par rapport au PIB des grandes puissances mondiales. En effet ils ne laisseraient devant eux que les Etats Unis, la Chine et la Japon. Apple en tête en dépassant les milles millards de dollars de valorisation.

Pour autant, ces géants du numériques n’ont pas tous le même modèle économique. Tandis que Google et Facebook génèrent plus de 80% de leurs revenus au travers de la publicité, Microsoft compte toujours sur son activité logiciel (cloud) pour générer plus de 60% du sien, Amazon et Apple, plus de 80% du leur sur – respectivement – le matériel et la vente en ligne. Mais cela va changer et rapidement.

 

L’éternelle course à l’innovation

Les annonces se sont enchainées dernièrement : Facebook lance sa crypto monnaie, Apple investit dans Texture, AppleTV+ et maintenant Apple Arcade, Amazon lance son service de streaming de musique gratuit, Microsoft et Google diversifient leurs offres cloud et intelligence artificielle.

Si leurs activités sont différentes, tous se rejoignent sur un point : diversifier ses activités – et surtout sur de nouveaux services – reste une des priorités majeures. Ainsi Google et Apple disposent d’une offre de streaming vidéo et audio et Amazon lancerait prochainement un service de streaming audio gratuit en plus de son offre de streaming video.

Ces acteurs proposent également des services d’assistants personnels basés sur leur propre intelligence artificielle. Parmi les futurs services où la lutte s’engagera : le cloud gaming. Google a annoncé récemment la sortie de Stadia, Microsoft annonçait en 2018 Xcloud pour une sortie en 2020, tandis qu’Amazon travaillerait également sur un service similaire pour une sortie en 2020 également.

 

Toujours plus de données

Qu’on ne s’y trompe pas pour autant. Au-delà de ces nouveaux services pour générer de potentiels revenus complémentaires, la course de ces géants du numériques restent centrée sur la donnée. Le saint-graal.

Plus de services souscrits par leur client, plus de données récupérées. Et contrairement aux idées reçues (et hors activités de revente de fichiers à la Facebook) pas besoin de stocker des données nominatives. Des données anonymes – à condition d’en avoir suffisamment – suffisent pour définir des modèles et tendances fiables qui permettront de mieux connaître les cibles et de pousser toujours mieux le service/ ou produit le plus pertinent.

Ces géants démontrent une fois de plus le coeur de l’ère numérique : savoir avancer tactiquement et évoluer pour s’adapter rapidement. Eux sont en mesure de le faire avec des investissements dépassant souvent le milliards (un demi-milliard sur Apple Arcade par exemple). Un ticket d’entrée compliqué pour l’émergence d’un géant du numérique européen de demain.

 

Découvrez l’analyse complète au travers de notre étude réalisée conjointement avec Odoxa Sondages.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business en replay.


Un petit aperçu des sujets qui ont fait clavarder sur notre channel #Workplace ce mois ci.

#1

Google Voice, l’innovation de G Suite pour le SMB Market 

Google se prépare à lancer son service de téléphonie cloud pour les entreprises dans 9 pays. Le service cible les entreprises avec des besoins de téléphonie simples ; préférablement celles qui utilisent déjà Hangouts Meets et Hangouts Chats.

Google teste Google Voice depuis juillet 2018 aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en France, en Espagne, au Portugal, en Suède, au Danemark et en Suisse ; avec l’objectif d’offrir des services de voix plus avancés que ceux qu’ils offrent gratuitement depuis 2009.

Voici quelques fonctionnalités de Google Voice : identification d’un appel entrant, transfert d’appel, filtrage d’appel, ne pas déranger, appel d’urgence, appel Wi-Fi, détection de spam, blocage des appels et salutations personnalisées. En outre, les administrateurs d’IT pourront gérer les utilisateurs et leurs numéros, créer un historique des appels et des rapports d’usage. Mais Google n’a pas encore confirmé lesquelles de ces fonctionnalités seront disponibles lors du lancement du service ce printemps.

 

#2

Les nouveautés de Microsoft 365

Il semblerait que la sécurité soit un des focus pour Microsoft, la société a créé Microsoft Threat Experts, un service qui permet de rechercher et de hiérarchiser de manière proactive les menaces pour maximiser l’usage de Windows Defender Advanced Threat Protection (ATP).

La firme a aussi enrichi les possibilités de configuration d’Exchange Online Protection, d’O365 Protection Avancée contre les menaces, d’O365 Chiffrement de Messages et des Politiques Data Loss Prevention sur FastTrack. De plus, Microsoft a donné la possibilité aux utilisateurs d’afficher l’activité de leur compte personnel quand ils reçoivent une notification push sur Microsoft Authenticator. Cela leur permettra de prendre des mesures pour le protéger, si nécessaire. Microsoft Authenticator peut également être utilisé pour ajouter une vérification en deux étapes au compte pour une sécurité accrue. De quoi permettre aux équipes de collaborer sereinement sur leur lieu de travail ou à distance.

 

 

#3

Intégration de Jive et GoToMeeting

LogMeIn, l’entreprise propriétaire de GoToMeeting qui a acquis Jive en 2017, a annoncé qu’en 2019 sa solution intégrera les deux plateformes. Cela fait suite à la vente de 80 000 licences des plateformes Jive et GoToMeeting à un prix groupé sur le second semestre de 2018.

Divers analystes plébiscitent cette décision stratégique qui devrait permettre à l’entreprise LogMeIn de rester compétitive, notamment après avoir perdu des parts de marché face à son concurrent, Zoom, à cause de l’absence d’intégration entre les plateformes du groupe (GoToWebinar, OpenVoice et Join.me).

 

 

#4

Microsoft améliore l’accès à ses applications

Microsoft a créé une nouvelle Office app pour Windows 10 qui intègre toutes les applications, documents et personnes de votre organisation au même endroit, avec l’objectif de faciliter l’accès aux informations.

L’idée est de faire évoluer les offres de Microsoft pour qu’elles soient de plus en plus ergonomiques : Les utilisateurs peuvent désormais ajouter des données à un tableur depuis une photo prise sur le moment avec un dispositif Android. Mais ce n’est pas tout, Microsoft To-Do s’est vu ajouter la fonctionnalité d’ajouter des photos et des documents à chaque To-Do pour mieux gérer les tâches.

On a hâte de tester toutes les nouvelles fonctionnalités pour vous faire nos retours !

 

 

 

#5

Nouveau framework UI pour améliorer les intégrations de Slack

Les utilisateurs de Slack peuvent s’attendre à des changements importants dans l’apparence de nombreuses applications tierces, à la suite de l’annonce sur le nouveau developer toolkit : Block Kit. Celui-ci facilitera la création des intégrations pour les designers. Cela veut dire qu’à l’avenir Slack offrira des intégrations plus interactives qui donneront la possibilité aux utilisateurs d’avoir plus de fonctionnalités sans changer d’application.

Cette actualité montre que Slack continue à mettre en avant les intégrations comme facteur de différenciation sur le marché de la collaboration en équipe.

Ses concurrents, Microsoft Teams et Cisco Webex, offrent beaucoup moins d’applications tierces que Slack et 94% des équipes qui utilisent la version payante de Slack utilisent ces applications.

La cerise sur le gâteau ? Ce nouveau framework d’intégration pourrait permettre aux utilisateurs de Slack sans expertise en code de modifier leur intégration.

 

#6

Les robots arrivent pour nous remplacer

Amelia travaille dans le help-desk online et téléphonique de plusieurs entreprises autour du monde, elle peut mémoriser un document de 300 pages en 30 secondes, elle parle couramment plus de 20 langues et elle peut gérer plusieurs appels simultanément.

Amelia, créé par IPsoft, est un robot en col-blanc qui peut interagir avec les clients des entreprises par téléphone, comme un chatbot ou comme un avatar tridimensionnel dans les smartphones, tout en connaissant l’historique du contact de chaque client.

Pour Allstate, une société d’assurances ayant plusieurs millions de clients, Amelia a réduit la durée moyenne des appels de 4.6 à 4.2 minutes, augmenté de 67% à 75% le taux de résolution des problèmes au premier appel. Finalement, 99% des collaborateurs de chez Allstate ont déclaré être complètement satisfaits avec leurs interactions avec Amelia.

Les « travailleurs » comme Amelia vont diminuer les couts du Workplace, pas seulement pour les fonctions opérationnels ou techniques, mais aussi pour les services clients grâce au développement du « Machine Learning », une forme d’Intelligence Artificielle dotée de compétences de lecture, d’écriture, d’expression orale, et d’auto-apprentissage qui se modifient et s’ajustent au fil du temps, en capitalisant sur chaque interaction.

Serez-vous bientôt remplacé par un collègue d’Amelia au travail ?

 

#7

La France, un marché clé pour Microsoft et leader en IA

A l’occasion de Microsoft Business Forward, événement clients mettant en lumière la transformation digitale des entreprises, Microsoft a annoncé que son Campus en France a été choisi pour accueillir un Centre de développement dédié à l’Intelligence Artificielle.

Ce centre proposera des solutions et des outils d’IA facilement accessibles pour ses clients et ses partenaires dans le monde entier pour accompagner les entreprises dans leur transformation digitale, et dans leur quête d’efficacité et de productivité. Ainsi, la France s’affirme plus que jamais comme une nation de l’Intelligence Artificielle et représente, dans ce cadre, un marché clé pour Microsoft.

 

 

N’hésitez pas à nous contacter, nos experts en solutions digital workplace seront là pour vous accompagner !

Et vous pouvez également télécharger nos insights workplace !

 


Sur les trois dernières années, l’inquiétude ou la défiance des Français vis-àvis de l’IA semble croissante. Et pourtant dans ce laps de temps, que s’est-il passé ? L’impact de l’IA sur la destruction d’emploi n’est pas une réalité, au contraire.

 

L’IA, soutenue à l’échelle mondiale par de forts investissements de recherche, est plutôt génératrice d’opportunités pour les ingénieurs bien sûr, mais également pour la plupart des entreprises qui y voient un moyen efficace de rendre plus performante leur offre de service ou d’en créer de nouveaux.

 

Cependant, la forte communication dans les médias, l’arrivée d’innovations « grand public » dans lesquelles la machine remplace l’humain (voiture autonome, diagnostics, détection de fraude, surveillance des cultures par drone…) renforcent ce sentiment de vulnérabilité.

 

En effet, les progrès de la technologie, sa démocratisation et ses coûts mesurés participent à un essor rapide qui dépasse les simples recommandations marketing initiales, et permet à l’IA d’intégrer un nouveau terrain de jeu : les fonctions internes de l’entreprise.

 

Bien que le sondage indique que les Français croient peu à l’influence de l’IA sur la collaboration ou le recrutement, c’est pourtant bien là que la transformation la plus rapide pourrait s’opérer (et toucher le quotidien des employés).

 

Sans que l’on soit forcément au courant, une multitude de micro-services basés sur de l’IA sont ou seront à très court terme intégrés dans les fonctions régaliennes (prévisions financières, budget, supply chain, recrutement, constitution d’équipes « compatibles », gestion de carrière, aide à la vente, suivi d’agendas, automatisation de tâches administratives, octroi de crédits….). Dès lors, la véritable question qui se pose n’est plus de savoir quelle place donner à l’IA, mais quelle complémentarité octroyer à l’humain et surtout, comment intégrer des garde-fous permettant d’avoir confiance en l’IA …. au quotidien.

 

Découvrez l’analyse complète au travers de notre étude réalisée conjointement avec Odoxa Sondages.

Vous pouvez aussi revoir l’émission sur BFM Business en replay.


Nous sommes fiers d’avoir la confiance de nos clients et enthousiastes de leur apporter notre aide, voici nos derniers « success unlocked » :

 

  • Agilisation d’une équipe RH pour un acteur des télécommunications 

Dans l’objectif de mieux gérer ses changements de priorité et d’améliorer la productivité des équipes, un acteur majeur du secteur des télécommunications a confié à Saegus la mise en place d’un dispositif agile pour son équipe RH. Ce client a renouvelé, en début d’année, sa confiance en Saegus afin de renforcer les connaissances de ses ambassadeurs agiles et permettre ainsi d’insuffler ces nouvelles pratiques à l’ensemble du groupe.

#Acceleration Tactics

 

  • Aide à la décision locale au Sénégal pour une Fondation

Suite à des résultats mitigés des projets de lutte contre la mortalité maternelle et néonatale, une fondation a fait appel à Saegus pour concevoir et tester une approche innovante de compréhension des expériences locales pour prioriser des projets à forte valeur ajoutée. S’appuyant sur leurs expertises Design Thinking et Agile, l’équipe d’experts Saegus est retournée sur le terrain pour enrichir les premiers éléments créés suite à une phase d’immersion dans la région de Saint-Louis au Sénégal et co-créer avec une grande diversité d’acteurs, des projets qui partent des réalités locales et sont portés par les experts agissant déjà sur le terrain.

#Acceleration Tactics

 

  • Audit des usages des collaborateurs pour la DSI d’une institution financière

Dans le cadre de sa réflexion sur les outils proposés aux collaborateurs, la DSI d’une institution financière a décidé de missionner Saegus pour auditer les différents besoins des collaborateurs en terme d’usages. Cette DSI souhaite se transformer afin d’être User Centric en s’outillant des solutions en adéquation avec les besoins des utilisateurs finaux.

#Digital Workplace

 

  • Formation support IT et administrateurs O365 pour Sogeprom

Suite au déploiement de la suite Office 365 à l’occasion de l’ouverture d’un nouveau siège, la filiale immobilière de la Société Générale a confié à Saegus les formations des administrateurs et du support IT aux fonctionnalités d’O365 et à l’administration de la plateforme.

#Digital Workplace

 

  • Déploiement de l’outil de Data Visualisation Tableau Software pour Bolloré 

Bolloré T&L a fait le choix de Tableau pour harmoniser le reporting de son activité logistique. Saegus a été choisi pour assurer le développement, à la vue des enjeux et contraintes métiers du Groupe.

#Data Driven Business

 

  • Accompagnement sur Tableau Software pour le département Digital de L’Oréal 

L’équipe L’Oréal « Precision advertising & digital analytics » souhaite développer ses compétences autour de l’outil Tableau Software afin d’effectuer des analyses plus poussées dans leur domaine.

Pour ce faire, elle a fait le choix d’installer Tableau Server afin de se doter d’une architecture robuste et adaptée à l’ensemble de leurs cas d’usages. Les analyses seront ainsi partagées à travers le groupe.

Saegus accompagne L’Oréal dans le déploiement et la bonne utilisation de Tableau par les utilisateurs.

#Data Driven Business

 

  • Cadrage des usages collaboratifs pour le département R&I de L’Oréal

L’Oréal est actuellement en plein déploiement d’Office 365. Pour s’assurer d’un déploiement réussi à L’Oréal R&I, il est indispensable d’identifier les cas d’usages spécifiques aux métiers, de démontrer comment ils peuvent être adressés par le Digital Workplace, et de construire et contextualiser le matériel d’adoption. C’est sur ces axes que Saegus a été identifié pour accompagner le département R&I.

#Digital Workplace

 

  • Plateforme de Showroom pour L’Oréal (département IA)

La division IA de L’Oréal R&I souhaite améliorer sa visibilité en développant une application « Showroom » offrant une interface aux différents algorithmes développés à des fins de démonstration. Nous accompagnons L’Oréal sur le développement d’un MVP.

#Data Driven Business

 

Si vous souhaitez davantage d’informations sur la conduite de ces missions et notre méthodologie, n’hésitez pas à solliciter un rendez-vous avec nos experts.