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Êtes-vous pour ou opposé à ce que les programmes scolaires contiennent des cours sur l’impact du numérique sur la société ? Seriez-vous d’accord que les enfants soient sensibilisés aux enjeux des fake news, aux réseaux sociaux, voire qu’ils suivent des cours de code ?

 

 

D’après le dernier sondage que nous avons réalisé grâce à notre partenaire Odoxa, il semble que les français soient tout à fait favorables à ce que le numérique ait toute sa place à l’école.

 

Pour l’édition de rentrée des émissions 01 Business Forum, le plateau de Frédéric Simmotel a accueilli Microsoft représenté par Ines Kouraichi, directrice des relations avec les institutions éducatives, ainsi que notre Responsable pédagogique et Manager au sein de Saegus, Thibault Van Caenegem, pour aborder ce sujet qui s’inscrit dans la stratégie éducative globale du gouvernement.

 

Pour 4 Français sur 5, l’apprentissage de la programmation est une bonne chose. Depuis la rentrée 2016, les programmes scolaires prévoient en effet l’enseignement de la programmation informatique sous forme de jeux dont l’objectif est de créer un petit programme ou encore dans le cadre d’un cours de mathématiques pour découvrir l’algorithmique. Les Français semblent massivement approuver cet enseignement pour 79% d’entre eux.

 

Quant à l’utilisation des outils numériques à l’école, encore une fois, elle est soutenue par 80% des français. Omniprésents dans nos sociétés, il est difficile aujourd’hui d’en faire l’impasse.

 

Les Français ne se montrent donc pas inquiets, pour la plus grande part, quant à la capacité des enfants à s’adapter aux évolutions futures du numériques. Seuls les 18-24 ans pour 57% d’entre eux redoutent la multiplication des risques.

 

On voit donc que l’école a un rôle majeur à jouer en matière d’impact du numérique dans nos sociétés. Ses conséquences, qu’il s’agisse de sécurité des données, de réseaux sociaux ou encore de fake news qui prennent une place importante dans le débat public et dans le quotidien des Français.

 

Nous vous proposons de lire en détail le point de vue des experts circonscrits dans cette étude que vous pouvez télécharger, et vous proposons de revoir l’émission ici.

Bonne lecture,

Dans le cadre du Forum Changer d’Ère dont la 6ème édition se tiendra jeudi 21 juin 2018, les experts sur le plateau du 01 Business Forum – animé par Frédéric Simmotel, son rédacteur en chef chez BFM Business – se sont réunis pour évoquer la formation professionnelle.

 

 

Aurore Pinel, responsable de la Saegus Institute – notre centre de formation agréé – s’est exprimée sur les enjeux d’une bonne formation aux côtés d’Ines Kouraichi, directrice des relations avec les institutions éducatives chez Microsoft et de Gaël Sliman, président cofondateur de l’institut d’études Odoxa.

 

Ainsi la dernière étude conduite auprès d’un échantillon représentatif de français indique que non seulement leur perception sur la capacité du pays à innover s’est nettement améliorée, mais qu’aussi la formation professionnelle s’avère être une nécessité pour demeurer à jour dans son domaine notamment. C’est ce qu’indique le sondage avec 91% des Français (et des salariés) qui pensent qu’avec 
le développement rapide des nouvelles technologies et les changements induits (nouveaux outils, nouvelles méthodes, …) nous sommes désormais tous obligés d’apprendre et de nous former tout au long de notre vie.

 

Pourtant, bien qu’il y ait un engouement autour de la formation professionnelle, nombreux sont les français non convaincus par les organismes de formation, ni même les organismes d’aide au retour à l’emploi.

 

Aurore juge justement que « s’il faut apprendre à transformer les métiers, cela nécessite d’apprendre à changer. La formation initiale doit intégrer les progrès technologiques et une vision prospective et tournée vers le futur ; la formation professionnelle doit quant à elle être continue et mise à jour constamment pour se caler sur le rythme soutenu des innovations ».

 

L’entreprise doit pouvoir jouer un rôle, notamment via les RH qui devraient coacher les collaborateurs et ne pas uniquement se reposer sur des catalogues de formations, parfois un peu vieillissants…

Il y a naturellement d’autres chemins pour accéder à la formation, tel que le e-learning qui explose, mais ne garantit pas une qualité certifiée, ou encore l’auto-formation qui est intéressante, mais ne permet pas de certification des sources et des acquis non plus… rendant de ce fait les nouvelles connaissances non valorisables.

 

Alors quid de la faculté à apprendre correctement ? Face à cette problématique, le numérique est plus que jamais à notre portée pour donner un regain d’efficacité à ces formations professionnelles. Dès aujourd’hui, des technologies telles que la réalité virtuelle ou augmentée doivent être mises à profit pour permettre aux apprenants de s’immerger en situation réelle et d’apprendre par la pratique.

 

Nous vous proposons de lire en détail le point de vue des experts dans cette étude que vous pouvez télécharger, et vous proposons de revoir l’émission ici.

 

Bonne lecture,

Frédéric Brajon, cofondateur et directeur général de notre startup Saegus, est intervenu sur le plateau du 01 Business Forum aux côtés de Frédéric Simottel, Emile Leclerc, directeur d’études Odoxa, Nicolas Julia, directeur des opérations chez Stratumn et Christophe Shaw, directeur Engineering et Innovation Europe du Sud chez Microsoft pour évoquer le sujet de la « blockchain».

 

 

Vaste sujet que la blockchain, cette technologie récente qui reste encore assez méconnue dans l’hexagone d’après le dernier sondage réalisé par notre partenaire Odoxa.

 

Seuls 5% des français déclarent connaitre précisément cette technologie. Bien qu’elle fasse parler d’elle, la blockchain n’en est pas moins un concept à expliciter. Ici les quatre intervenants ont tenté d’éclaircir le sujet en y donnant tour à tour leur définition avec plusieurs exemples à l’appui pour illustrer la manière dont elle est utilisée et en quoi elle est utile.

 

Pour rappel il s’agit d’une technologie de stockage et de partage d’informations qui repose sur la transparence et la sécurisation des données sans nécessiter d’organe de contrôle. Comme le rappel Emile Leclerc “en rendant infalsifiable les transactions et les contrats, elle rend obsolète l’intervention d’un banquier ou encore d’un notaire dont le rôle même est de s’assurer que les règles et le droit sont respectées par toutes les parties intervenantes”. Pour autant on constate que les français restent très méfiants avec une majorité d’entre eux la considérant comme une menace (67% des français sont inquiets des travers d’une telle technologie).

 

Frédéric Brajon, notre directeur est quant à lui beaucoup moins méfiant et déclare que “lorsque de nouveaux services, plus simples, plus rapides, et tout aussi sécurisés se déploieront il y a fort à parier que cette technologie se démocratisera à grande vitesse”.  D’ailleurs nombre de startups et grands groupes réfléchissent déjà à déporter le suivi de l’exécution de leur processus (logistique, fabrication, supply, …) dans une blockchain et à créer de nouveaux services.

 

Nous vous proposons de revoir cette émission afin de vous apporter des informations plus précises et de télécharger l’étude complète conduite par notre partenaire Odoxa.

Frédéric Brajon, cofondateur et directeur général de notre startup Saegus, est intervenu sur le plateau du 01 Business Forum aux côtés de Frédéric Simottel, Emile Leclerc, directeur d’études Odoxa, et Laurence Lafont, directrice marketing et opérations chez Microsoft, pour parler de “l’intelligence artificielle, chance ou menace ?”.

 

 

Il y a tout juste un an, une étude menée sur l’Intelligence Artificielle démontrait qu’une majorité de Français voyait en cette technologie une chance de voir son quotidien amélioré, même si beaucoup craignait aussi la place trop importante qu’elle pourrait prendre.

 

Aujourd’hui, la tendance s’inverse et les Français pensent que l’IA peut changer considérablement leur quotidien ainsi que l’organisation de la société. Pour certains d’entre eux, ils craignent même que tout ou partie de leur métier soit remplacé par un robot ou une intelligence artificielle.

 

Malgré cette perception de l’IA moins optimiste que l’an passé, les Français considèrent que nous sommes en retard sur ce sujet par rapport à d’autres pays, preuve que cette technologie est aussi un moyen d’être plus compétitif.

 

C’est d’ailleurs tout l’enjeu du rapport Villani rendu public il y a quelques jours.

 

Pour ce RDV de l’innovation, Frédéric évoque l’encouragement émanant des pouvoirs publics pour favoriser l’innovation et la recherche sur l’IA afin qu’elle serve davantage qu’elle n’affole, notant également les efforts qui doivent être faits pour que la France devienne un acteur de premier plan sur l’intelligence artificielle.

 

Entre vision optimiste, pistes de réflexion sur la façon judicieuse de traiter les bases d’informations et les mesures à prendre pour avancer sans perdre pied, les intervenants vous livrent leur analyse.

 

 

Vous pouvez revoir l’émission et télécharger l’étude complète conduite par notre partenaire Odoxa.

Marc Trilling, cofondateur et président de notre startup Saegus, est intervenu sur le plateau du 01 Business Forum aux côtés de Frédéric Simottel et Gaël Sliman, fondateur de l’institut d’études Odoxa, pour parler new workspaces organizations.

 

 

Pour ce RDV de l’innovation sur les nouvelles organisations des espaces de travail
Marc aborde les questions de flex-office et des nouveaux usages collaboratifs qui impactent directement les locaux et les outils mis à disposition des salariés.

Aujourd’hui, la vidéo conférence, la réalité virtuelle et les messageries instantanées sont autant de technologies en fort développement qui permettent d’entrevoir justement de nouveaux usages pour le travail collaboratif, tout en nous rapprochant – virtuellement du moins – de nos collègues distants.

 Si vous souhaitez écouter les experts s’exprimer sur le sujet, vous pouvez revoir l’émission ici et télécharger l’étude complète conduite par notre partenaire Odoxa, ou retrouver les anciennes interventions.

Frédéric Brajon, directeur général de Saegus, Emile Leclerc, directeur d’études chez Odoxa et Racha Abu el Ata, directrice du secteur santé et social pour Microsoft, ont répondu aux questions de Frédéric Simottel samedi 17 février dernier, sur le plateau du 01 Business Forum de BFM Business pour aborder le sujet de la eSanté.

 

« Tech for Humans » – Une nouvelle révolution est en marche… sous l’influence des nouvelles technologies (digital, objets connectés, big data, IA…) nous sommes à l’aube de changements profonds et durables qui vont bouleverser tout le secteur médical, de la recherche et du suivi des patients.

 

Pourquoi une telle impulsion ?

 

Le marché est là (en 2050 la population mondiale de personnes de plus de 60 ans aura doublée), la technologie est prête, l’offre se structure à grande vitesse (en témoigne la présence de plus de 200 sociétés sur le domaine de la e-santé au CES 2018), et l’accueil des populations semble très favorable.

 

Actuellement, l’on peut identifier trois grands types d’acteurs sur un marché encore très morcelé (les providers de technologie, les exploitants – laboratoires, startups… – et les fournisseurs de services d’intermédiation). Ils proposent des produits ou services digitaux allant de la numérisation du carnet de santé, de l’aide à la prise de rendez-vous, au suivi du patient post intervention et au monitoring de paramètres de santé. L’engouement des populations semble donc naturel, puisque en plus de l’assurance d’un meilleur suivi et d’une meilleure prise en charge, l’ e-santé pourrait être une solution pour lutter contre les déserts médicaux via des systèmes de télémédecine ou de téléassistance ou permettre aux usagers de profiter de services médicaux depuis leurs domiciles.

 

Mais la véritable révolution concerne le patient qui, de passif, devient participatif en « offrant » ses données, ses habitudes, son historique à un écosystème qui lui permettra d’accéder à une offre de service préventive et prédictive – Ces données extrêmement confidentielles vont pour la première fois sortir à grande échelle d’organismes de santé spécialisés (hôpitaux, sécurité sociale…) ; il s’agit d’un enjeu majeur pour les régulateurs, qui doivent veiller à mettre en place les bons garde-fou règlementaires (CNIL, GDPR en Europe), tout en laissant une zone de liberté suffisante pour exploiter ces informations, au bénéfice de l’usager.

 

Frédéric Brajon

 

Pour tout savoir, vous pouvez revoir l’émission ici. Vous pouvez également télécharger l’étude faite avec notre partenaire Odoxa.
N’hésitez pas à prendre contact avec nous en vous rapprochant de gaelle.pommereau@saegus.com !

La France est-elle une vraie terre d’innovation ? Où en est l’entrepreneuriat ?  Quel rôle joue le salon CES de Las Vegas pour les entreprises françaises ?

 

David Semhoun, directeur générale de Saegus, Émile Leclerc, directeur d’études chez Odoxa, et Éneric Lopez, directeur des programmes Innovation et startup chez Microsoft ont répondu aux questions de Frédéric Simottel samedi 20 janvier dernier, sur le plateau du 01Business Forum de BFM Business qui revenait sur le CES 2018 de Las Vegas.

Ce salon est maintenant connu de 22% des français et les innovations présentées intéressent 53% d’entre eux. Ces chiffres, en hausse chaque année, démontrent l’intérêt croissant de la population française sur les sujets d’innovation et leur regard otpimiste sur la faculté du pays à la favoriser.

Comme le rappelle David, en l’espace de 3 ans le nombre de startup présentes au CES s’est étoffé avec 66 entreprises en 2015 contre 365 en 2018 !

« La French tech renouvelle la performance d’être la deuxième délégation mondiale derrière les Etats-Unis et elle s’affirme cette année comme le hub incontournable dans l’IoT et plus globalement dans les #Deeptech », précise-t-il.

 

Le experts étayent leur propos sur l’entrepreneuriat que nous vous proposons de découvrir en vidéo.

Vous pouvez aussi télécharger notre étude réalisée en partenariat avec Odoxa pour découvrir les chiffres clés sur l’impact positif du CES.

ecommerce

Frédéric Brajon, cofondateur de Saegus, est intervenu samedi 16 décembre dernier aux côtés de Frédéric Simmotel, Odoxa et Hapticmedia sur le plateau du 01 Business Forum pour analyser l’évolution du comportement d’achat des français sur les plateformes de ecommerce.

 

Comment expliquer l’engouement de nos concitoyens pour les achats en ligne face aux canaux traditionnels ? Même si la tendance est forte, la marge de progression pour offrir une expérience digitale engageante et disruptive reste énorme.

Fiabilité, innovation, introduction massive des techniques algorithmiques, parcours inspirationnels et interactifs, nos experts débattent sur l’adoption de ces nouveaux leviers par les marques, et explorent quelques pistes d’avenir.

 

Pour tout savoir, vous pouvez revoir l’émission ici.

Vous pouvez également télécharger l’étude faite avec notre partenaire Odoxa.

 

N’hésitez pas à prendre contact avec nous en vous rapprochant de gaelle.pommereau@saegus.com !

 

Marc Trilling, cofondateur de Saegus, est intervenu samedi 18 novembre dernier aux côtés de Microsoft et Odoxa pour parler de gamification.

On s’aperçoit aujourd’hui que les jeux vidéo occupent une place de plus en plus importante en France avec un nombre de joueurs grandissant. Les entreprises ont compris qu’elles pouvaient tirer parti des mécaniques de jeu comme méthode d’accompagnement au changement et de sensibilisation à des usages nouveaux. Elles s’en inspirent largement avec le concept de « gamification ». Mais contrairement au serious gaming un peu daté, les experts sur le plateau s’entendent sur l’émulation et la dynamique positive que permet la gamification. Le concept pourrait s’inscrire comme processus de formation à intégrer au quotidien. Il constitue un bon levier d’adoption des nouveaux usages, un moyen efficace d’accompagner la renaissance digitale des entreprises. En revanche, la gamification n’est pas propice à tous les contextes, son recours doit répondre à certaines logiques que les 3 experts expliquent dans cette émission.

Pour tout savoir, vous pouvez revoir l’émission ici.

Vous pouvez également télécharger l’étude faite avec notre partenaire Odoxa.

David Semhoun, co fondateur, directeur général de Saegus, responsable du pôle Design, est intervenu samedi 21 septembre 2017 aux côtés de Microsoft et d’Odoxa pour parler du design dans les nouvelles technologies.

 

Aujourd’hui le design occupe une place importante dans l’élaboration des objets high-tech, au point qu’en l’espace de 20 ans, face à des produits aux caractéristiques techniques souvent obscures pour les consommateurs, il est devenu un critère de choix différenciant dont les marques ont pris conscience. Mais outre l’aspect esthétique qu’il représente, il revêt de nombreuses facettes que les 3 intervenants du rendez-vous de l’innovation ont partagées.

 

62% des Français déclarent que le design d’un produit high-tech est un important critère de choix. Selon David, il s’agit maintenant de proposer une expérience qui transcende les habitudes de consommation et d’usage, en se concentrant sur l’expérience utilisateur. Pour Saegus, développer l’usage du design est stratégique avec la forte conviction qu’il n’y pas de digital sans Design. Des techniques associées entre autres à l’UX (user experience) deviennent primordiales pour envisager un parcours d’utilisation optimale, agréable et intuitif, notamment dans l’usage d’applications multidevices. Il en est de même dans le rapport à l’interface, l’utilisation d’un produit ou d’une application où l’on génère une émotion via les compétences UI (User Interface).

 

Partant du principe que le design n’est pas un simple bonus cosmétique, il s’invite en tant qu’axe stratégique pour les entreprises qui l’intègrent en amont des projets afin de s’assurer que leurs produits seront viables, désirables, et utilisables. On parle alors de design thinking, cet ensemble de méthodes qui favorisent l’idéation. Dans des cycles de conception plus courts, le design impacte clairement la conception de prototype centrée utilisateur et usages, grâce aux pratiques de « design sprints » qui permettent en quelques jours de se confronter aux premiers tests utilisateurs.

 

Le design correspond donc à cet ensemble de techniques et non au seul aspect esthétique. Techniques dont les grandes entreprises high-tech ont compris toutes leurs valeurs et qui constituent aujourd’hui un facteur clé de succès incontournable dans la stratégie produit, mais aussi la conception de vos futurs projets informatiques.

 

Pour tout savoir, vous pouvez revoir l’émission ici.

 

Vous pouvez également télécharger ici l’étude faite avec notre partenaire Odoxa.